Emanuelle a écrit :Nicolas78 a écrit :
Rigoureuse ?
Nan, mais vous avez lu mon message le concernant ?
C'est tout sauf rigoureux, j'ai expliqué pourquoi...
Non. Lequel ?
Tu m'as l'air bien présomptueux. TU as EXPLIQUE pourquoi. On dirait du NEMROD

Oui, n'importe qui utilisant la logique peur expliquer pourquoi une chose n'est pas rigoureuse...
On appelle ça des arguments. Pas besoin d'etre scientifique ou Mr CONNUE.
je les ai plus ou moins résumés dans mon message plus haut mais voila le message d'on je parlais :
viewtopic.php?f=68&t=12331&start=2325#p419202
En gros, Jourdan arrive en un seul lien (une source) à démontrer que son étude est moins qualitative que les sources qu'il propose (d'on une retrouvé par Kesta est pas mal)...
Il ferait donc mieux de s'abstenir, notamment en utilisant un cas connue et reconnue
médiatiquement mais qui n'a plus trop la mémoire en place...
Mais comme j'aime bien ce sujet, je vous reviens plus tard ou demain concernant un autre cas.
Celui la dispose de détails qui sont intéressant, notamment dans la chronologie des faits.
Si on disposait du détail complet de la méthode de recueil des informations qui confirme l'impossibilité apparente d'avoir deviné un certains nombre d'informations trop précises pour être hasardeuse ou lié à d'autres phénomènes explicables, alors on serait devant un phénomène inexpliqué
avéré (il faut enquêter sur le comment ce témoignage fut recueillit pour ça d'on les questions que j'ai posées plus haut, et pleins d'autres).
« Un exemple intéressant d'expérience de sortie du corps véridique, en situation de mort imminente, est celui de Ted, un enseignant afro-américain de 26 ans, souffrant d'un cancer inopérable... L'équipe médicale s'était décidée à l'opérer... Nous apprîmes qu'au cours de l'opération, Ted avait eu deux arrêts cardiaques entraînant une mort clinique et qu'il avait dû être réanimé à deux reprises... Nous interrogeâmes Ted sur ce qu'il avait vécu... [1] Sa conscience se trouvait en haut du plafond et il n'arrivait pas à revenir dans son corps... [2] Il se mit à décrire avec précision ce que nous portions [comme vêtements] lors de notre précédente visite. Il ne faisait aucun doute qu'il avait perçu avec justesse les personnes présentes dans la pièce, alors que ses yeux étaient restés fermés. Il avait même remarqué à un moment des larmes couler sur les joues de Joan [Halifax]... [3] [Il vit] une lumière brillante, [accompagnée] d'un sentiment de sacré et d'une profonde paix intérieure. [4] Il voyait simultanément un film au plafond retraçant de façon très intense tout le mal qu'il avait fait dans sa vie. Devant ses yeux défilaient les visages de toutes les personnes qu'il avait tuées pendant la guerre, il ressentit la douleur et les souffrances de toutes les personnes auxquelles il avait fait du mal, tout au long de sa vie. »
— Stanislav Grof, Quand l'impossible arrive, 2007, Guy Trédaniel éditeur, pp. 205-207.
Tiré de Wikipedia.