Cézame a écrit :La vision matérialiste du monde et de l'esprit n'est pas incompatible avec une recherche spirituelle.
Le regard naïf nous portons sur le monde considère la connaissance comme une simple copie de la réalité que l'on prend pour unique référence.
Alors que notre fonctionnement interne responsables de l'élaboration de notre pensée nous est pratiquement inconnu. Nous sommes incapables de comprendre notre propre fonctionnement. Seule une toute petite partie de notre psychisme est ouverte à notre analyse. Il est donc impossible d'imaginer toute vérité à partir simplement d'une réflexion du sujet sur lui-même.
C'est justement pour ses raisons, par exemple que nous connaissons mal notre propre fonctionnement, que la science se base sur l’extérieur. Et que la psychologie et une science jeune, et qui prend en compte pas mal de truc non matérialiste.
Votre argument est donc un argument sur l'ignorance pour faire passé vos pilules.
Même si l'argument d'ignorance n'est pas obligatoirement fallacieux et qu'il peux remettre une idée philosophique dans sont contexte (par exemple, on peux grâce à cet argument comprendre qu'on ne sais pas grand chose et donc que la science nous réserve de grandes surprises).
Mais ici cet argument ne permet que d'imposer une forme de vérité alternative qui n'utilise l'ignorance que pour faire croire en la connaissance du niveau de notre ignorance. Se qui demande de situé cette ignorance dans un système connue.....Se qui rend votre argument fallacieux.
Et c'est aussi pour ses raisons, que la science ne parle pas de Verité Absolue, puisqu’elle sais que l'objectivité qu'elle tente de décrire n'est qu'un but "philosophique" (en gros résumé simplifié).
Et que les possible vérités qui nous échappes, notre existence faussée dans la matrice par exemple, n'est pas accessible objectivement de pare notre fonctionnement et nos échange.
Donc la science n'est pas incompatible avec ses philosophies, certes. Le jour, lointain ou improbable, ou elle ne produira plus de connaissances, alors elle changera peut-être son épistémologiste, mais j'ai comme un doute...Car elle ne combat pas la subjectivité, elle l'utilise même.
Croire que la science et l'imagination ou l'intuition et d'autres ressentit (émotionnel) rentre dans un conflit mortel est totalement faux.
L'un n’empêche pas l'autre dans un esprit qui sais faire la différence, et je dirait même que l'un peux aider l'autre dans certaines conditions.
La science se base, a la base, sur des concept + ou - philosophique, des concepts eux même basés sur des logiques qui serait caduques si il ne font que tourner en rond sans rien produire. Le subjectif est inutile si il ne prend pas en compte se qui se sais déjà en date.
La science se pliera pas à jugé ses propres limites comme une forme de moyen de transcendé les limites de ses capacités et de ses bases conceptuel.
Elle le fait naturellement de toute facons, sans corrompre ses limites qu'elle repousse sans les dépasser à la hâte.
Se que vous faite.
Et se qui est très intéressent pour la personne, mais pas pour l’extérieur. Pas jusqu'a ce qu'un élément objectif ne vienne étayé tout cela. Afin de le communiqué.
Car même si vos interlocuteur sont une représentation de votre esprit, vous paraissez nous parler quand même et avoir besoin de le faire.
Comme déjà dit, la limite parfois est flou, et complexe...et j'ai du mal définir tout cela facilement...se qui explique ma présence ici, entre autre choses.
Notamment le fait que la science paraisse si difficilement critiquable, mais pas forcement ses applications. Ni ses limites inhérentes à sa méthode.
Chose impossible a denuer en parlant spirituel.
La science ne nie pas que certain sentiments subjectif soit bien réel, ni même qu'ils puissent représenter un intérêt pour l'observation objective.
Mais les milliers d'erreurs possible dans l’interprétation de ses ressentit fait que la science doit se protéger de cela.
Elle ne nie pas le sentiments subjectif, elle fait simplement attention aux interprétation subjective, même si elle sont logique, est probablement de bon sens.
Car n’importe quel biais peux s'y trouver.
Y compris ceux qu'on ne connais peut-être pas.