Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Pour faire suite à mon dernier post, un article sur The Conversation : Assiste-t-on vraiment à une montée du climatoscepticisme en France ?
(Anaïs Rocci, Sociologue, Ademe (Agence de la transition écologique)
"Nos concitoyens sont prêts à modifier de façon importante leurs modes de vie, à la condition que les efforts soient équitablement répartis entre les différents membres de la société. Ayant déjà adopté à titre individuel un certain nombre d’actions en faveur de l’environnement (les évolutions les plus significatives concernant la baisse du chauffage, de la consommation, mais aussi de l’usage de l’avion et de la consommation de viande), ils attendent désormais plus d’actions de la part des pouvoirs publics et des entreprises.
Or, malgré les alertes du GIEC, la multiplication des événements climatiques extrêmes et le dépassement du seuil de 1,5 °C de réchauffement par rapport aux niveaux préindustriels en 2024, les politiques publiques et les accords internationaux ne nous placent pas, à l’heure actuelle, sur les bonnes trajectoires de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre.
Et au regard des forts enjeux d’équité exprimés par les Français, ce manque de résultats contribue certainement à la démobilisation individuelle observée cette année, et peut-être même à la posture climatosceptique.
Aujourd’hui, la priorité n’est donc pas de convaincre les Français des causes anthropiques du changement climatique ou de la nécessité d’une action collective, mais de porter des mesures à la hauteur des enjeux, aussi bien à l’échelle de l’État que des collectivités et des entreprises, permettant de faire évoluer massivement les modes de production et les modes de vie."
(Anaïs Rocci, Sociologue, Ademe (Agence de la transition écologique)
"Nos concitoyens sont prêts à modifier de façon importante leurs modes de vie, à la condition que les efforts soient équitablement répartis entre les différents membres de la société. Ayant déjà adopté à titre individuel un certain nombre d’actions en faveur de l’environnement (les évolutions les plus significatives concernant la baisse du chauffage, de la consommation, mais aussi de l’usage de l’avion et de la consommation de viande), ils attendent désormais plus d’actions de la part des pouvoirs publics et des entreprises.
Or, malgré les alertes du GIEC, la multiplication des événements climatiques extrêmes et le dépassement du seuil de 1,5 °C de réchauffement par rapport aux niveaux préindustriels en 2024, les politiques publiques et les accords internationaux ne nous placent pas, à l’heure actuelle, sur les bonnes trajectoires de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre.
Et au regard des forts enjeux d’équité exprimés par les Français, ce manque de résultats contribue certainement à la démobilisation individuelle observée cette année, et peut-être même à la posture climatosceptique.
Aujourd’hui, la priorité n’est donc pas de convaincre les Français des causes anthropiques du changement climatique ou de la nécessité d’une action collective, mais de porter des mesures à la hauteur des enjeux, aussi bien à l’échelle de l’État que des collectivités et des entreprises, permettant de faire évoluer massivement les modes de production et les modes de vie."
Thunderbolt and lightning very, very frightening me (Galileo)
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Et donc ?shisha a écrit : 06 août 2025, 18:50 De manière générale les prises de bénéfice sont toute petites par rapport à la valeur ajoutée.
De même les fortunes/valorisations financières d' une entreprise sont toutes petites par rapport à la valeur ajoutée cumulée depuis que la boîte est créée.
Ces gens sont richissimes, sur le dos des gens qui triment dans leurs boîtes. Ils ne redistribuent pas (de moins en moins) en faveur des salariés mais en faveur d’eux-mêmes et des actionnaires. Ne me parle pas de l’actionnariat salarié, merci, je suis au courant que c’est une arnaque destinée à leur faire fermer leur gueule (ben quoi, ils ont une miette, de se plaignent-ils encore ? Ils voudraient la brioche entière, peut-être ? Et pourquoi pas la boîte entière, tant qu’ils y sont ?)
Le mien se casse la gueule année après année… et pour ma catégorie sociale, ça dure depuis 1983.Je ne parlais pas de vote électoral, mais du pouvoir d'achat.
Au prix de bouffer des trucs chimiques, pas franchement en accord avec la sobriété (technique comme tout court) prônée.Cela n'implique pas d'en manger en grande quantité. Ni même d'en manger tout court.
Quand ça dure depuis si longtemps, c’est que c’est voulu, non ?Je n'ai pas trop l'impression que mon vote électoral ait beaucoup de pouvoir non plus. Dépenses publiques passées de 30% à 60% du PIB, endettement sur endettement... Je ne souhaite pas voter pour cela.
Et qui paie, in fine ? Les gens qui ne sont rien. Qui tire son épingle du jeu ? Les gens qui ont réussi.

Au fait, le pognon de la Sécu n’est pas une dépense publique, ce n’est pas du pognon qui appartient à l’État, encore moins au patronat, il appartient aux gens qui cotisent. La Sécu est une boîte privée.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
-+- Cavanna, François -+-
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Et donc c'est tant mieux pour eux. Ils ont créé des richesses là où d'autres ont investi et ont fait faillite. Leurs entreprises ont permis de donner du travail (et le travail fait vivre l'entreprise), de rendre des services et bien à la société, je trouve plus que normal que le créateur/investisseurs prenne une petite part de la valeur ajoutée.Et donc ?
Il ne me serait jamais venu à l idée de demander une part du bénéfice à mes employeurs (à la rigueur, payer des actions pourquoi pas), cela serait totalement déplacé. Après si cela vient d'en haut c'est une autre chose. Le salarié n'est pas le patron/créateur, tu sembles vouloir les mettre au même niveau, tu sembles avoir un problème personnel avec les dirigeants.
Comme si l alternative était forcément chimique ^^ et puis lorsque tu mets ta viande dans la poêle, il s'en passe pas mal des réactions chimiques aussi..Au prix de bouffer des trucs chimiques, pas franchement en accord avec la sobriété (technique comme tout court) prônée.
C'est considéré comme une dépense publique. La sécu est une boîte privée mais sa mission est publique. C'est comptabilisé comme une dépense publique. (3 grands types de dépenses, dépenses de l'état, dépenses des collectivités et dépense des administrations de la sécurité sociale).Au fait, le pognon de la Sécu n’est pas une dépense publique, ce n’est pas du pognon qui appartient à l’État, encore moins au patronat, il appartient aux gens qui cotisent. La Sécu est une boîte privée.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Cela m'a échappé.nikola a écrit : 06 août 2025, 09:49 [
Quant à la bonne gestion, regarde où nous ont amené plus de quarante ans d’ultra-libéralisme ultra-réactionnaire.
Quand on dépense 60% de PIB en dépense publique, il faut être culotté pour parler d'ultra libéralisme. En France on est plutôt à l'ultra socialisme...
Un modèle libéral qui réduit l'intervention/poids de l'état serait plutôt celui de l'Argentine.
La pauvreté se réduit et la santé économique va mieux. Voyons si avec le temps, les effets positifs continuent, espérons le pour eux.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
D'accord avec lui.Certes, mais ce n'est pas parce qu'une remarque est juste et correctement argumentée que cela va nécessairement suffire pour convaincre... ...Quelle est la solution ? Janco dit qu'il faut simplement se contenter d'exprimer son point de vue le mieux et le plus factuellement possible en montrant du respect et de l'écoute pour les contradicteurs (comme vous le faites d'ailleurs). Je suis tenté de penser qu'il a raison.
Il y a une certaine impuissance qu'il faut accepter tout en faisant ce que l'on peut à notre échelle pour agir en fonction de nos convictions (c'est comme ça que j'essaie de procéder pour une autre thématique). Petite action par petite action, effets papillons potentiels, on touche notre entourage (la petite graine...), la balance qui commence à se pencher peu à peu (ou pas) dans l'autre direction.
S'énerver et perdre patience peut s'avérer contre productif même si pas facile par moment.
Concernant le réchauffement climatique, je crois que l'humanité doit sentir d'avantage dans sa chair, les conséquences du réchauffement climatique pour d'avantage agir/prendre en considération l'ecologie. On ne peut pas apeler cela une solution mais le défi me semble tellement grand et le tout avec très peu de temps que j'ai du mal à imaginer une implication totale sans passer par l'expérience du corps. Et tant mieux si je me trompe.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
N’importe quoi.
Ceux qui ont créé ces richesses sont plutôt les gens qui ont bossé dans les dites boîtes.
Comment en sont-ils remerciés, en étant remerciés.
shisha a écrit : 06 août 2025, 23:44 Quand on dépense 60% de PIB en dépense publique, il faut être culotté pour parler d'ultra libéralisme. En France on est plutôt à l'ultra socialisme...

Rappel : le budget de la Sécu n’est PAS un budget de l’État, c’est un budget privé.
Pire : tu confonds socialisme et étatisme.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
-+- Cavanna, François -+-
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Pas uniquement, non. Et si les salariés étaient les seuls a créer des richesses alors ils seraient les seuls a créer les externalités négatives.Ceux qui ont créé ces richesses sont plutôt les gens qui ont bossé dans les dites boîtes
Je n'ai pas écrit que c'était le budget de l'état, j'ai écris que c'était une dépense publique (budget de la sécurité sociale) et comptabilisé comme tel. De plus le parlement intervient pour voter le budget de la sécurité sociale.Rappel : le budget de la Sécu n’est PAS un budget de l’État, c’est un budget privé.
Pire : tu confonds socialisme et étatisme.
https://www.economie.gouv.fr/a-la-loupe ... -la-france
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Si la Sécu avait été une entreprise privée, il y a longtemps qu’elle serait en faillite ! 
Une entreprise sérieuse aurait capitalisé les cotisations pour les retraites par exemple...

Une entreprise sérieuse aurait capitalisé les cotisations pour les retraites par exemple...
Русский военный корабль, иди нахуй !


Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Notamment ceux qui les ont créées.nikola a écrit : 07 août 2025, 08:38Ceux qui ont créé ces richesses sont plutôt les gens qui ont bossé dans les dites boîtes.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Ai-je écrit « uniquement » ?shisha a écrit : 07 août 2025, 09:35Pas uniquement, non. Et si les salariés étaient les seuls a créer des richesses alors ils seraient les seuls a créer les externalités négatives.Ceux qui ont créé ces richesses sont plutôt les gens qui ont bossé dans les dites boîtes
Je souligne pour que tu voies mieux.
Ce qui n’est pas normal et tend à confondre les deux.Je n'ai pas écrit que c'était le budget de l'état, j'ai écris que c'était une dépense publique (budget de la sécurité sociale) et comptabilisé comme tel. De plus le parlement intervient pour voter le budget de la sécurité sociale.
Ça serait vrai si l’État et le patronat n’y avait aucun pouvoir.Lambert85 a écrit : 07 août 2025, 10:13 Si la Sécu avait été une entreprise privée, il y a longtemps qu’elle serait en faillite !
Comme Enron.Une entreprise sérieuse aurait capitalisé les cotisations pour les retraites par exemple...
Et pourquoi cela leur donne-t-il le droit de vie et de mort sur les salariés qui y travaillent ? J’exagère à peine quand le patron décide de délocaliser.
Et quand la boîte a été refilée au fils à papa, ce que tu écris ne devrait plus tenir. D’ailleurs, les vrais libéraux sont contre l’héritage. Bizarrement, ceux qui se réclament du libéralisme passent ce fait sous silence.
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
shisha a écrit :
Niko ditEt donc c'est tant mieux pour eux. Ils ont créé des richesses
Shisha dit :N’importe quoi.
Ceux qui ont créé ces richesses sont plutôt les gens qui ont bossé dans les dites boîtes.
...Pas uniquement, non. Et si les salariés étaient les seuls a créer des richesses alors ils seraient les seuls a créer les externalités négatives.
Tu sais lire !? Je n'ai pas écris "les" richesses mais "des" richesses, je souligne pour que tu vois mieux.
En général, comme déjà précisé, ils se prennent en moyenne une petite part par rapport aux richesses créées de l'entreprise.
Pour moi c'est normal que cela soit considéré comme une dépense publique. La mission est publique et le parlement vote le budget social.Ce qui n’est pas normal et tend à confondre les deux.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Je souligne pour que tu voies mieux.
On n’est pas d’accord là-dessus mais en tout cas, puisque tu pense que c’est normal qu’il soit géré par l’État (que tu crois socialiste,shisha a écrit : 07 août 2025, 12:06 Pour moi c'est normal que cela soit considéré comme une dépense publique. La mission est publique et le parlement vote le budget social.

Au fait, lors de la création de la Sécu, ce n’était pas le cas. Ça a changé en 1967 si je ne me trompe pas. Au tout début, comme le patronat (notamment les assureurs) était mouillé jusqu’au cou dans la Collaboration, ils ont fermé leur gueule. Ils ont bien vu que le budget de la Sécu était un sacré gros paquet de fric qui leur échappait et bien vite, ils ont chouiné à l’incompétence des salariés pour le gérer. Devine qui est plus compétent (pour les assureurs), eux-même, pardi. Et depuis, ils ont tout fait pour casser la Sécu. Par exemple, le patronat vote maintenant à parité avec les salariés, alors qu’ils y sont bien moins nombreux. Comment se fait-ce ? Autre exemple, plus le patronat et l’État prennent le pouvoir dans la Sécu, plus le patronat reçoit de dégrèvement de cotisations, et plus elle est endettée. Comme c’est étrange.
Ci-dessous, une petite comparaison (qui mélange les choux des cadeaux fiscaux, les carottes de la fraude fiscale et les patates des dégrèvements de cotisations sociales).

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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Il ne fallait pas écrire à l'origine "n'importe quoi" car c est juste illogique vu que la justification de ton "n importe quoi" ne contredit pas ma phrase.
Shisha dit :
Niko dit :Et donc c'est tant mieux pour eux. Ils ont créé des richesses
Je n'avais pas dit "les"richesses mais "des" richesses. Ta phrase n'est pas appropriée par rapport au contexte.N’importe quoi.
Ceux qui ont créé ces richesses sont plutôt les gens qui ont bossé dans les dites boîtes.
Nikola dit :
Deux choses :puisque tu pense que c’est normal qu’il soit géré par l’État (que tu crois socialiste,), ne te plains pas si le budget idoine est énorme
1) Tu as commencé par affirmer de manière caricaturale (et probablement sincère) qu'on est dans un courant ultra libérale. En écho, à cette caricature, j'ai parlé d'ultra socialisme mais cela ne reflete pas exactement ma pensée.
Ta caricature en est une car l'intervention très importante de l'état dans l'économie, en autre, au nom de la solidarité/socialisme et aussi car les dépenses publiques atteignent 60% du PIB, devrait t'empêcher de parler d'ultra libéralisme. On n est pas non plus encore dans l ultra
2) Que les dépenses publiques soient énormes parce que les dépenses sociales y sont comptées comme telles ne changent rien à la logique des prélèvements imposés aux entreprises et à leurs conséquences sur la création des richesses. D'autres pays ont également des dépenses publiques (budget état, social...) et pourtant sont loins d'arriver à 60% du PIB.
Ci-dessous, une petite comparaison (qui mélange les choux des cadeaux fiscaux, les carottes de la fraude fiscale et les patates des dégrèvements de cotisations sociales
Pourquoi dans les 211 milliards plutôt que dans les 1600 milliards attribuées aux autres dépenses publiques ? (60% du PIB cela fait à peu près 1800 milliards)."Monsieur on pourrait trouver un peu d'argent dans les 211 milliards d'aides au entreprises..? "
Vous devez savoir, monsieur à lunettes, qu'on essaye déjà de trouver de l'argent dans la fraude fiscale. Et même si on arrivait à trouver tous les fraudeurs, on aurait qu'une fraction de ces 100 milliards.ou les 100 milliards de fraudes fiscales
Monsieur à lunettes répond : Les entreprises permettent la création des richesses. On leur prend juste la moitié des richesses créées. 1/15 ème de richesse créé de cette moitié manque à l'appel, misère, il nous les doivent, c'est
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
On ne penche pas vers le socialisme, à moins que tu ne confondes étatisme et socialisme… alors que ça n’a rien à voir.mais on penche plus à mon sens (pour les raisons évoquées) vers le socialisme que vers le libéralisme, même si il y a des deux.
Le socialisme, à l’origine, était non étatiste.
Oui, certains préfèrent donner ce fric aux cabinets d’avocats, comme les Ziouhèssas. Les gens paient globalement plus cher leurs dépenses de santé, pour un résultat moindre. Bravo !2) Que les dépenses publiques soient énormes parce que les dépenses sociales y sont comptées comme telles ne changent rien à la logique des prélèvements imposés aux entreprises et à leurs conséquences sur la création des richesses. D'autres pays ont également des dépenses publiques (budget état, social...) et pourtant sont loin d'arriver à 60% du PIB.

Parce que le pognon de la Sécu est le pognon des gens qui cotisent !Pourquoi dans les 211 milliards plutôt que dans les 1600 milliards attribuées aux autres dépenses publiques ? (60% du PIB cela fait à peu près 1800 milliards).
Et que les cadeaux divers sont du pognon qui devrait être cotisé mais qui ne l’est pas… et qui finit en résidences secondaires, en grosses bagnoles, aux Bahamas.
Tu confonds les cadeaux divers aux gens qui ont réussi (211 miyiards, quand même) et le pognon qui va presque directement dans les poches des ayant-droits (8 fois plus mais que je sache, il y a bien plus que 8 fois plus de gens qui ne sont rien que de gens qui ont réussi). Je rappelle que le taux de retour de la Sécu est sans commune mesure avec celui des mutuelles, et je ne parle même pas des assurances privées classiques.
Encore faut-il embaucher des inspecteurs du travail et des gens aux impôts.Vous devez savoir, monsieur à lunettes, qu'on essaye déjà de trouver de l'argent dans la fraude fiscale. Et même si on arrivait à trouver tous les fraudeurs, on aurait qu'une fraction de ces 100 milliards.
Bizarrement, quand je cherche à frauder, je me fais choper illico et je prends cher. Quand un gros fraudeur se fait choper, il a droit à une ristourne.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
C'est lié.On ne penche pas vers le socialisme, à moins que tu ne confondes étatisme et socialisme… alors que ça n’a rien à voir.
Le socialisme, à l’origine, était non étatiste.
Wiki:
J ai mis en gras, plus tu as des dépenses publiques importantes, plus tu redistribues/reogarnises la répartition des richesses. Après redistribution les inégalités diminuent.Le concept de socialisme recouvre un ensemble divers de courants de pensée et de mouvements politiques[1], dont le point commun est de rechercher une organisation sociale et économique plus juste. Le but originel du socialisme est d'obtenir l'égalité sociale, ou du moins une réduction des inégalités[2] et, notamment pour les courants d'inspirations marxiste et anarchiste, d'établir une société sans classes sociales. Plus largement, le socialisme désigne un ensemble de doctrines qui critiquent l’organisation économique et sociale en place et propose des modèles alternatifs reposant sur des principes tels que la coopération ou la solidarité, avec pour objectif de réorganiser la répartition des ressources et, dans certains cas, de remplacer le capitalisme. Selon les contextes, le mot socialisme ou l'adjectif socialiste peuvent qualifier une idéologie, un parti politique, un régime politique ou une organisation sociale. .
Un certain degré de socialisme est donc bien présent au même titre que le libéralisme.
Sources ?Tu confonds les cadeaux divers aux gens qui ont réussi (211 miyiards, quand même)
Comment sont utilisés ces 211 milliards? qu est ce qui te fait penser qu'ils soient moins ou plus gaspillé que les 1600 autres milliards ? (Dans les dépenses sociales, il peut aussi y avoir du gaspillage). Qu'est ce qui te fait penser que les 211 milliards soient moins profitables au collectif que les 1600 autres ? Par ce que à part affirmer que c est des cadeaux, je vois rien, je peux tous aussi bien dire que dans les 1600 milliards il y a plein de cadeaux et qu'ils ne produisent pas dutout autant le service qu'on attend d'eux.
Notes que de base, je ne suis pas fan des subventions, mais je me dis qu'il y a peut être des raisons collectives que certaines entreprises disposent de subventions. De même pour certains rares secteurs, il est peut être plus adapté que cela soit l'état qui gère (nationalisation ou partiellement via des subventions).
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Non.shisha a écrit : 07 août 2025, 15:00C'est lié.On ne penche pas vers le socialisme, à moins que tu ne confondes étatisme et socialisme… alors que ça n’a rien à voir.
Le socialisme, à l’origine, était non étatiste.
Il existe des socialistes étatistes (les marxistes) et des socialistes non-étatistes (les anarchistes).
Évidemment que je caricature.Comment sont utilisés ces 211 milliards ?Tu confonds les cadeaux divers aux gens qui ont réussi (211 miyiards, quand même)
Il n’empêche que la promesse de Gattaz a fait long feu. Un poil de culture historique permettait de le prévoir, mais bon…
Il n’empêche aussi que la chasse aux fraudeurs ne vise principalement que les fraudeurs pauvres. Les riches ? Ils ont droit à une ristourne et même à des niches fiscales aux petits oignons et qui coûtent un pognon de dingue pour des gens qui n’en ont absolument pas besoin.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Connais tu un seul exemple de pays anarchiste (du 19 au 21 siècle) ? Si tu ne connais pas, alors jusqu'à preuve du contraire l'étatisme et le socialisme sont liés.Non.
Il existe des socialistes étatistes (les marxistes) et des socialistes non-étatistes (les anarchistes).
Actuellement en France, il y a donc de l'étatisme, socialisme et du libéralisme.
J'ai demandé à quoi correspondait ces 211 milliards, il m'a dit que c était lors de la période COVID.Évidemment que je caricature.
Et 2024, c est juste entre 30 et 40 milliards. Bien loin des 200 milliards exceptionnel.
Chat gpt dit :
En 2024, les aides aux entreprises en France ont continué d'être un élément clé du soutien à l'économie, même si elles étaient plus ciblées et ajustées par rapport aux années de crise sanitaire (2020-2022). Les chiffres précis des aides pour 2024 n'ont pas encore été totalement compilés, mais plusieurs dispositifs et mesures étaient en place, notamment dans le cadre de la relance économique, du plan de transition écologique, et des mesures pour soutenir les entreprises face à l'inflation et à la crise énergétique. Voici les principaux types d'aides en 2024 et les montants qui ont été alloués :
1. Aides pour la Transition Écologique et la Décarbonation
En 2024, le gouvernement a continué de déployer des aides pour accompagner les entreprises dans leur transition énergétique et la réduction de leurs émissions de CO2, conformément aux objectifs du Green Deal européen et du plan France Relance. Ces aides ont été destinées à encourager les investissements dans les technologies vertes, les énergies renouvelables, et l'efficacité énergétique.
Le crédit d'impôt pour la transition énergétique a été renforcé pour les entreprises investissant dans des équipements moins polluants ou plus économes en énergie.
Subventions et prêts verts ont été alloués pour la modernisation des équipements industriels et la mise en place de solutions écologiques.
Estimation 2024 : Environ 10 à 15 milliards d'euros ont été alloués sous forme d'aides directes et de prêts pour la transition écologique.
2. Prêts garantis par l'État (PGE)
Le prêt garanti par l'État (PGE) a été largement utilisé pendant la pandémie, mais en 2024, il est en phase de remboursement pour de nombreuses entreprises qui ont bénéficié de cette aide. Certaines entreprises qui ont encore des difficultés financières peuvent demander des rééchelonnements de dette. Le volume global des PGE a continué à être surveillé et régulé pour éviter des impacts négatifs à long terme.
En 2024, le gouvernement a mis en place des dispositifs de soutien ciblés pour les entreprises encore sous pression économique, mais sans prolonger le système de PGE de manière générale.
Estimation 2024 : Le soutien sous forme de rééchelonnement des PGE représente environ 5 à 10 milliards d'euros.
3. Chômage partiel et aides à l'emploi
Bien que le système de chômage partiel ait été largement réduit depuis la fin de la pandémie, des dispositifs de soutien à l'emploi ont été adaptés pour répondre aux besoins des secteurs en difficulté. Cela comprend le dispositif de l'activité partielle longue durée (APLD), destiné à soutenir les entreprises confrontées à des baisses d'activité durables.
Indemnités compensatoires et aides à la restructuration des emplois dans certains secteurs ont continué d'être proposées, notamment pour les secteurs les plus touchés par les crises économiques récentes (industrie, culture, transport aérien, etc.).
Estimation 2024 : Ces dispositifs ont représenté environ 2 à 4 milliards d'euros en 2024.
4. Aides pour les entreprises face à l'inflation et la crise énergétique
En réponse à la crise énergétique exacerbée par la guerre en Ukraine, de nouvelles aides ont été mises en place pour limiter l'impact de la hausse des prix de l'énergie sur les entreprises.
Bouclier tarifaire : Bien qu'il ait été plus orienté vers les consommateurs, un soutien a été donné à certaines entreprises, notamment celles de petite taille ou dans des secteurs énergivores (comme la sidérurgie, la chimie, etc.), via un plafonnement des coûts énergétiques.
Aides au paiement des factures d'énergie : Certaines entreprises ont continué à bénéficier de subventions ou de crédits d'impôt pour compenser l'augmentation des coûts de l'énergie.
Prêts et subventions spécifiques ont également été accordés aux entreprises pour les aider à investir dans des solutions énergétiques alternatives ou des rénovations permettant de réduire leur consommation.
Estimation 2024 : Les aides directes liées à la crise énergétique ont représenté environ 6 à 8 milliards d'euros.
5. Soutien à l'innovation et à la compétitivité des entreprises
Les startups, les PME innovantes et les entreprises œuvrant dans la recherche et développement (R&D) ont continué de bénéficier d'aides pour soutenir leur croissance et leur compétitivité. Cela comprend :
Crédit d'impôt recherche (CIR) : Des milliards d'euros ont continué à être alloués via ce dispositif pour encourager les investissements en recherche.
Subventions à l'innovation et aides à l'exportation ont été maintenues pour soutenir les entreprises technologiques, les startups, et les entreprises cherchant à se développer à l'international.
Estimation 2024 : Environ 5 à 7 milliards d'euros ont été alloués à ces dispositifs.
6. Dispositifs de soutien aux secteurs en difficulté
Des aides sectorielles ont continué à être distribuées pour soutenir les secteurs en difficulté, notamment :
Tourisme et hôtellerie : Certaines aides ponctuelles ont été mises en place pour soutenir la reprise du secteur touristique.
Agriculture et pêche : Des aides ont été prévues pour compenser les pertes liées à des crises climatiques ou sanitaires.
Estimation 2024 : Ces aides sectorielles ont représenté environ 2 à 3 milliards d'euros.
Estimation totale des aides en 2024 :
L’ensemble des aides directes et indirectes aux entreprises en 2024 pourrait donc s’élever à environ 30 à 40 milliards d’euros, bien que cela inclut à la fois des aides directes, des subventions, des prêts garantis et des soutiens indirects.
Il est important de noter que les montants exacts peuvent varier en fonction de l’évolution des crises économiques et de l’ajustement des politiques publiques en réponse aux besoins des entreprises.
Les niches fiscales/optimisation fiscale légale, cela ne coûte pas de l'argent. L' argent des autres, ce n'est pas l'argent de l'état et encore moins le tiens.Il n’empêche que la promesse de Gattaz a fait long feu. Un poil de culture historique permettait de le prévoir, mais bon…
Il n’empêche aussi que la chasse aux fraudeurs ne vise principalement que les fraudeurs pauvres. Les riches ? Ils ont droit à une ristourne et même à des niches fiscales aux petits oignons et qui coûtent un pognon de dingue pour des gens qui n’en ont absolument pas besoin.
Face aux 1800 milliards de dépense publique annuel, le problème majeur n'est pas les riches (au contraire, ils apportent proportionnellement parlant bien plus de richesses surtout si on prends en considération leurs part de richesses créées dans les entreprises qu'ils n'en récupèrent via la redistribution contrairement aux plus pauvres qui voient leurs salaire/services augmenter après redistribution par rapport aux impôts initiaux (dont la tva)) mais les dépenses elles mêmes.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Aucun rapport avec la choucroute.shisha a écrit : 07 août 2025, 16:21 Connais tu un seul exemple de pays anarchiste (du 19 au 21 siècle) ? Si tu ne connais pas, alors jusqu'à preuve du contraire l'étatisme et le socialisme sont liés.
Je ne te parle par du socialisme du PS (qui en est un aspect) mais du socialisme.
Ça confirme bien que tu confonds socialisme et étatisme.
Et il n’y a aucun contrôle sur ce pognon versé.Et 2024, c est juste entre 30 et 40 milliards. Bien loin des 200 milliards exceptionnel.
Sauf qu’il n’y a rien en face en faveur des salariés, notamment les fonctionnaires.Il est important de noter que les montants exacts peuvent varier en fonction de l’évolution des crises économiques et de l’ajustement des politiques publiques en réponse aux besoins des entreprises.
Les niches fiscales/optimisation fiscale légale, cela ne coûte pas de l'argent.


C’est bizarre, on n’entend pas ce discours quand il s’agit de dépenses sociales.

C’est l’argent de l’État et/ou de la Sécu à partir du moment où aurait du être dû.L' argent des autres, ce n'est pas l'argent de l'État et encore moins le tiens.
Si, parce qu’ils montrent le mauvais exemple, en plus de saigner les pauvres.Face aux 1800 milliards de dépense publique annuel, le problème majeur n'est pas les riches
Quant à la redistribution par les entreprises, elles augmentent en faveur du capital et baissent en faveur du travail.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
-+- Cavanna, François -+-
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Le rapport c'est que tous les exemples de socialisme que je connais coexistent avec l'intervention de l'état. J'en conclus que c'est donc lié (à part si tu m'amènes un contre exemple). Dans un monde utopiste/dans le monde des idées, peut être que ce n'est pas lié mais dans les faits, oui.Aucun rapport avec la choucroute.
:
shock:
C’est bizarre, on n’entend pas ce discours quand il s’agit de dépenses sociales.
Il y a déjà les dépenses publiques pour les salariés. Ce n'est pas rien. C est bien plus que ceux qu ont touché les entreprises qui par la suite permettront (participent) de payer les fonctionnaires au passage.Sauf qu’il n’y a rien en face en faveur des salariés, notamment les fonctionnaires.
Et cela ne l'est plus dès que légalement tu n'es pas obligé de payer.C’est l’argent de l’État et/ou de la Sécu à partir du moment où aurait du être dû.
Les riches enrichissent d'avantage les pauvres qu'ils ne les appauvrissent, mais les dépenses publiques et leurs gros volumes excessif par rapport PiB et une mauvaise gestion de la dette (et bientôt l'utilisation moindre du pétrole et conséquence du réchauffement climatique) c'est çà qui appauvit la santé économique du pays.Si, parce qu’ils montrent le mauvais exemple, en plus de saigner les pauvres.
Quant à la redistribution par les entreprises, elles augmentent en faveur du capital et baissent en faveur du travail.
Dernière modification par shisha le 07 août 2025, 17:31, modifié 1 fois.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Voilà, c'est fait :Inso a écrit : 06 août 2025, 01:05 C'est vrai que les pétrochimistes n'ont pas le choix quand ils sont en train de torpiller les tentatives d'accord sur les plastiques à Genève (comme l'année dernière à Busan).
![]()
"Les négociations à Genève en vue d’établir le premier traité mondial de lutte contre la pollution plastique sont bloquées par des pays pétroliers qui refusent toute contrainte sur la production de plastique vierge" source
Un accord souhaité par des millions (et bénéfique à des milliards) est sabordé par une dizaine de puissants.
Il aurait peut-être fallu que Janco aille leur parler avec respect, non ?
Alors que :
"dans un rapport paru le 4 aôut dans la revue médicale The Lancet. Les scientifiques alertent : "Les plastiques provoquent des maladies et des décès de l'enfance à la vieillesse et sont responsables de pertes économiques liées à la santé* dépassant 1.500 milliards de dollars " source
Mais ce n'est pas bien grave ce ne sont pas les producteurs de pétrole ni les pétrochimistes qui vont payer, ce sont les contribuables et les malades.
Alors que :
"The durability of plastic has severe consequences for marine life.
Large plastic items can entangle marine mammals and fish, leading to starvation, injury, and vulnerability to predators.
Small plastic fragments can be mistaken for food by seabirds, sea turtles, and other marine species, causing suffocation, starvation, and toxic contamination.
Microplastics, which are invisible to the naked eye, are easily consumed by wildlife and can adsorb up to one million times more toxic chemicals than the surrounding water. These toxins can then be transferred to the fatty tissues of organisms, leading to bioaccumulation in the food chain."
source
La plastique, c'est 475 millions de tonnes produites par an, avec une projection de 1200 t/an en 2060 si rien n'est fait (ce qui est le cas).
9% sont recyclé, 12% incinéré (pas souvent dans de bonnes conditions) et le reste est rejeté dans la nature après utilisation. Sans parler des "larmes de sirène", un "cauchemar environnemental"
Peut-être faut-il demander (avec respect bien évidemment) aux producteurs/pollueurs d'éduquer le bas peuple pour qu'il prenne son seau (en plastique) et aille ramasser les déchets sur les plages, non ?
* One chemical alone, BPA, was associated with 5.4 million cases of ischaemic heart disease and 346,000 cases of stroke in 2015, killing 237,000 and 194,000 people, respectively. BPA is one of 16,000 chemicals present in plastics.
PM2.5 emissions from plastic production were responsible for an estimated 158,000 premature deaths globally and health-related economic losses of more than $200 billion, the report found.
‘Plastics Crisis’ Costs Trillions, Kills Hundreds of Thousands Each Year
Dernière modification par Inso le 07 août 2025, 17:34, modifié 1 fois.
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
shisha a écrit : 07 août 2025, 17:21 Les riches enrichissent d'avantage les pauvres qu'ils ne les appauvrissent,

Alors quand la fortune des riches explose, celle des pauvres devrait aussi progresser, non ?
Oh, ce n'est pas le cas ! Pourquoi les riches s’enrichissent et les pauvres s'appauvrissent ? (correction : mis un lien en français)
Et quand ils tuent les pauvres par centaines de milliers ? (cf mon post ci-dessus)
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Quand on parle de socialisme, on regarde toutes les tendances, on ne se limite pas à ce qui t’arrange.shisha a écrit : 07 août 2025, 17:21 Le rapport c'est que tous les exemples de socialisme que je connais coexistent avec l'intervention de l'état. J'en conclus que c'est donc lié (à part si tu m'amènes un contre exemple). Dans un monde utopiste/dans le monde des idées, peut être que ce n'est pas lié mais dans les faits, oui.
Ce sont des cotisations, pas des dépenses publiques (même si l’État commence à y mettre son gros sabot avec la CSG et le RDS.Il y a déjà les dépenses publiques pour les salariés. Ce n'est pas rien.
Idem.C est bien plus que ceux qu ont touché les entreprises qui par la suite permettront (participent) de payer les fonctionnaires au passage.
Parce qu’ils se démerdent pour que les niches fiscales existent en leur faveur.Et cela ne l'est plus dès que légalement tu n'es pas obligé de payer.
Regarde la composition sociologique des représentants (sénateurs et députés), tu comprendras peut-être pourquoi.
N’importe quoi.Les riches enrichissent d'avantage les pauvres qu'ils ne les appauvrissent,

Tout ce que tu nous raconte, c’est du genre : « Merci, not’ bon maître. »
Je remarque que tu balaies l’évasion fiscale sous le tapis.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Nikola dit :
Inso dit :
En attendant les fortunes des riches correspondent à la valorisation financière des entreprises. Entreprises composées de travailleurs et donc rémunérations (= richesses), cotisations et impots pour participer à l'effort collectif (= richesse). De plus la concurrence et la prise de risque des investissement, favorisent l'augmentation du pouvoir d'achat des consommateurs (enrichissements).
Le lien que tu as fournis parle de fortunes et non de revenus ... rien de fifou
"
"
J'aurais plutôt tendance à penser que l'imaginaire permet d'aller vers ce qui nous arrange justement.Quand on parle de socialisme, on regarde toutes les tendances, on ne se limite pas à ce qui t’arrange.
Les cotisations se transforment en dépenses publiques (mais cela ne change rien au problème). C'est officiel. https://evaluation.securite-sociale.fr/ ... -la-s.htmlCe sont des cotisations, pas des dépenses publiques (même si l’État commence à y mettre son gros sabot avec la CSG et le RDS.
Déjà répondu 1001 une fois avec toi... Et déjà répondu dans mes précédants messages aussi.Je remarque que tu balaies l’évasion fiscale sous le tapis.
Inso dit :
Pas forcément, si tu as un état qui s'accapare de quasi tout, cela peut bien freiner.Alors quand la fortune des riches explose, celle des pauvres devrait aussi progresser, non ?
En attendant les fortunes des riches correspondent à la valorisation financière des entreprises. Entreprises composées de travailleurs et donc rémunérations (= richesses), cotisations et impots pour participer à l'effort collectif (= richesse). De plus la concurrence et la prise de risque des investissement, favorisent l'augmentation du pouvoir d'achat des consommateurs (enrichissements).
Le lien que tu as fournis parle de fortunes et non de revenus ... rien de fifou
Depuis le cours de LVMH a été divisé par deux. Donc en suivant ta logique, les pauvres ont du s'enrichir car le cours de la bourse de LVMH a été divisé par deux."n France, les entreprises du luxe, comme LVMH, qui s’adressent principalement aux populations les plus aisées, ont été assez peu touchées par la crise.

Mais oui on a compris, quand les entreprises créent la richesse, les propriétaires et dirigeants ne sont pas dutout responsables de la richesse créée (et donc tous les bénéfices pour la société/civilisation qui vont avec) mais quand ces richesses occasionnent des externalités négatives, ils sont responsables à 100% ... "Et quand ils tuent les pauvres par centaines de milliers ? (cf mon post ci-dessus)

Le JDD. Dix-huit mois après son élection, comment qualifieriez-vous les premiers résultats économiques de Javier Milei ?
Romain Dominati. Ces résultats sont même au-delà de toutes les espérances. Non seulement Javier Milei est parvenu à réduire la taille de l’État, à éliminer le déficit budgétaire et à freiner l’inflation [1,5 % en mai 2025 contre 25,5 % en décembre 2023 NDLR], mais les effets concrets sur la vie des Argentins se font déjà sentir. La pauvreté connaît une baisse spectaculaire : selon le dernier rapport de l’Unicef, 2,4 millions d’enfants en sont sortis. Le pouvoir d’achat s’améliore, porté par des salaires qui progressent désormais plus vite que l’inflation. Quant à la croissance économique, elle s’annonce, selon les dernières prévisions du FMI, comme la deuxième plus élevée au monde avec 7,6 % en 2025
Dernière modification par shisha le 07 août 2025, 19:04, modifié 1 fois.
Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Donc pour toi, il est tout à fait normal de voir quelques industriels continuer à détruire la planète et à tuer des centaines de milliers de personne par an le tout impunément ?shisha a écrit : 07 août 2025, 18:55Mais oui on a compris, quand les entreprises créent la richesse, les propriétaire et dirigeants ne sont pas dutout responsables de la richesse créée (et donc tous les bénéfices pour société/civilisations qui vont avec) mais quand ces richesses occasionnent des externalités négatives, ils sont responsables à 100% ... "Et quand ils tuent les pauvres par centaines de milliers ? (cf mon post ci-dessus)"
Ou bien admet-tu qu'il est nécessaire de contrôler les entreprises polluantes tant au niveau de leur production qu'au niveau de leur implication quant aux dégâts qu'ils ont causé ?
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Re: Pourrons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Donc pour moi quand on dit que les salariés participent à la création de richesses alors ils participent également à leurs externalités négatives de manière égale. Si on dit que les salariés sont ceux qui créé le plus de valeur dans une entreprise alors ce sont eux qui polluent le plus également. Donc ce ne sont pas les riches principalement qui tuent / polluent dans le cas présent mais la classe moyenne (les salariés).Donc pour toi, il est tout à fait normal de voir quelques industriels continuer à détruire la planète et à tuer des centaines de milliers de personne par an le tout impunément ?
Ou bien admet-tu qu'il est nécessaire de contrôler les entreprises polluantes tant au niveau de leur production qu'au niveau de leur implication quant aux dégâts qu'ils ont causé ?
Pour répondre à tes questions, comme pour les pesticides ou autre produits très nocifs, je préfèrerais qu'on interdise ce genre de produit. Mais cela ne serait pas sans conséquence, à savoir que notre pouvoir d'achat risquerait drastiquement de diminuer. Car les industriels n'ont souvent pas la solution technique qui permet à la fois de régler le problème santé/environnementale tout en gardant les mêmes rendements/coûts.
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