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Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 17:44
par Enola Gay
Peut-être que l'"ado" n'avait vraiment rien à foutre de l'athlétisme et que c'est Pantel qui le poussait

L'enfant faisait de la compétition déjà avant de rencontrer le couple Pantel.

Si c'était vrai ce que vous affirmez (Sans connaître rien de l'affaire), maintenant qu'il est adulte, libre d'esprit, et dans la mesure où vous me dites qu'on le forçait quand il était adolescent, pourquoi alors s'entraîne-t-il toujours, au jour d'aujourd'hui, pour concourir dans diverses compétitions de course à pied ?

Pourquoi n'a-il pas arrêter ?

Ps : on voit là votre grande connaissance en course à pied. On ne force pas un ado qui descend sans grande difficulté en dessous de 2 ' au 800 mètres à courir !

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 19:26
par Jean-Francois
Enola Gay a écrit :Si c'était vrai ce que vous affirmez (Sans connaître rien de l'affaire)
Je n'affirmais rien, je posais une question (moi, ça ne m'étonne pas a priori qu'on agisse illogiquement lors de l'adolescence). Et si je posais cette question, c'est devant votre présentation très tendancieuse des choses.

Vous savez, le linge sale de la famille Pantel ne m'intéresse pas plus qu'il faut. J'essaie surtout de dégager du plus objectif, sur ce que cela permet de dire sur les talents de "prestidigitateur" et de manipulateur de Pantel. .
Pourquoi n'a-il pas arrêter ?
En supposant que vous dites vrai, la bonne formulation est peut-être "pourquoi a-t-il repris l'entrainement"? Et je n'ai pas de réponse autre que de proposer: c'était peut-être une phase "ado"? Demandez-lui si vous savez le rejoindre.
on voit là votre grande connaissance en course à pied
Je n'ai pas prétendu m'y connaître en course à pied, vous êtes beaucoup plus fasciné que moi par le sujet et les capacités de "Brutus"* (ça vous rapproche certainement de Pantel). Mais, quel est votre argument exactement? Parce que qu'un ado qui ne veut pas ou plus s'entraîner, c'est le forcer** que de lui demander de s'entrainer, et ce même si il "descend sans grande difficulté en dessous de 2 ' au 800 mètres".

Jean-François

* "Niveau athlétisme, [il] stagne misérablement dans une grande médiocrité, se rattrapant, comme il peut, sur des courses sur route où le niveau est largement inférieur à ce qui se fait sur le tartan".
** Ça peut être pour son bien, je ne me prononce pas là-dessus.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 20:28
par ssirov
Chers amis c'est beau comme on construit les légendes (c'est tout à fait ce que disait Lucette quand elle voyait Pantel écrire sa vie) !

Si Pantel (qui a tout soufflé à Esperluette) a écrit sa vie comme il vient d'épancher la mienne il y a fort lieu de penser qu'au moins les 3/4 sont faux, pour ne pas dire 90%, et je vais donc rectifier tout ce qui vient d'être dit (je vais le faire en plusieurs messages car dès que j'écris trop longtemps je dois me reconnecter et le message que je viens d'écrire est effacé, je dois donc tout recommencer).

Vous comprendrez alors un peu mieux comment fonctionne l'espèce de dévalorisation perpétrée par Pantel pour ceux qui veulent bien l'écouter (Pantel critique systématiquement tout son petit monde bien qu'en face d'eux il n'en montre rien, intéressé qu'il est par leur amitié - serais-je donc le seul à avoir subi cette éducation à la dure, à subir ses foudres, ses remontrances etc., cela montre au moins son véritable intérêt pour moi, et c'est peut-être pourquoi il me voit aujourd'hui comme un immonde salopard).

Premièrement Esperluette qui se targue de connaître Pantel depuis 25 ans ne le fréquente en fait véritablement que depuis au mieux la seconde moitié des années 90, et je dois dire que je l'ai très peu vu durant ces années, donc il connaît vraiment peu de choses de moi. Et pourtant son exposé commence bien mal, en voulant toucher ce qu'il y a de plus sensible pour moi: la perte de ma mère à l'âge de tout juste 16 ans, et raconter ce qu'il n'a visiblement pas vécu (il dit "étoffé" son discours par une tierce personne, je dirai plutôt "dicté" par Pantel).

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 20:42
par ssirov
D'abord, une question: pourquoi m'insulter de la sorte ? Qu'ai-je dit de faux pour mériter un tel sort ?

Au lieu de m'insulter dîtes-moi ce que j'ai dit de faux ! Ne plus croire aux histoires de Pantel mérite-t-il d'être traité ainsi ?

Si j'avais menti sur quoi que ce soit vous n'auriez pas manqué de le dire; non, vous avez préféré les menaces et maintenant les insultes et le déballage mensonger !

Pantel ne peut-il admettre qu'on ait une opinion différente de la sienne ?

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 21:09
par Enola Gay
serais-je donc le seul à avoir subi cette éducation à la dure, à subir ses foudres, ses remontrances etc., en parlant de Pantel.
Faux : Votre jeunesse, vous l'avez passé grosso modo à contempler le cul des mouettes.
Premièrement Esperluette qui se targue de connaître Pantel depuis 25 ans ne le fréquente en fait véritablement que depuis au mieux la seconde moitié des années 90
Faux : Esperluette connaît Pantel depuis au moins les années 83-84.

Si j'étais vous, Ssirov, je ramperais sous le premier tapis venu pour épancher autant de saloperies sur des gens qui vous ont autant ouvert grand leur porte...

Ps : C'est vrai que l'âge du dècès de votre mère n'est pas le bon, et je m'en excuse car parler de ce genre d'événement est toujours délicat, mais tout le reste est véridique.

J'attends donc votre vision des choses avec grande impatience.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 21:45
par trouvésurlilith2
Là où ssirov a raison c'est qu'il parle de la technique de pantel qui usait à en abuser de cet art perfide à dévaloriser "ses" amis quand ceux-ci n'étaient pas présents. Ainsi devant lui nous étions ses fidèles, loin de lui nous devenions critiquables. Son expression favorite était : "il est trop dispersé". Que signifie cela? Ne pas suffisamment le servir? Pas assez attentifs à l'étude des textes? Pas assez acharnés à faire vivre sa comédie musicale? Lui que ne demande soi-disant rien trouvait que les choses n'allait pas assez vite et se trouvait agacé, voire énervé................. d'où de multiples disparitions et un retour soudain (quelques minutes ou plusieurs heures après), retour qui galvanisait ses "troupes" pour qu'il redevienne le centre d'intérêt essentiel après le "miracle accompli"... Une seule chose SA personne et SES textes, vous parlez d'un charisme. Concédons lui aussi d'autres textes qui étaient bien sûr passées par ses filtres et à l'aune de ses préférences et émotions bien entendues qualitatives et ceux de ses perverses entités. N'avait de valeur que son seul programme tout le reste ne comptant pas à ses yeux puisque non qualitatif. Est-ce du fascisme intellectuel et spirituel? Bon sang Vir... réveillez vous?

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 21:52
par ssirov
Rectifions donc ( je n'écris pas sur moi avec plaisir et je me doute que cela n'intéresse personne mais après ce qu'on a dit je me dois de rectifier) : ce n'est pas à 11 ans mais à presque 13 ans que je me suis inscrit au club d'athlé crée par Pantel et Reffray. Nous sommes en 1987. Ma mère n'est pas du tout mourante. Elle décèdera en 1991. Enola dit que peut-être à cet âge là je n'étais pas un fieffé salopard (personnellement je ne connais pas d'enfant que l'on pourrait qualifier ainsi, à cet âge on est plutôt irresponsable, je me décrirais plutôt comme réfractaire à l'autorité et indiscipliné, et je le suis toujours - si c'est ce qu'il appelle un fieffé salopard alors oui je l'étais et n'est pas changé).

Sainte Lucette est donc au chevet de cette pauvre femme malade et va donc recueillir son enfant. Comme c'est beau et légendaire ! Personnellement je ne l'ai jamais vu à son chevet ni à l'hôpital; ma mère qui m'accompagnait quelquefois à l'entraînement lui a sans doute confié ses problèmes de santé et sachant qu'elle ne vaincrait pas la maladie, me savant proche et apprécié par Lucette, elle lui a demandé de veiller sur moi. Lucette a fait cette promesse, promesse qu'elle n'a d'ailleurs pas tenue jusqu'au bout, puisque le jour où j'ai décidé de les quitter elle n'aura jamais rien fait pour me retenir ni pour me recontacter (mais bon, j'avais 25 ans, ce qui ne veut pas dire que je n'avais plus besoin de me sentir entouré et soutenu surtout après la déception - voire la trahison - que je vivais).

Dire que Lucette et Jean-Claude se sont occupés de moi comme leur enfant est un peu exagéré je trouve. Quelques mois après le décès de ma mère j'ai vécu à ma demande quelques mois chez eux, et en suis reparti me sentant finalement peu apprécié et quelque peu malmené. Il est vrai que mon père est plutôt effacé, n'ayant lui-même jamais eu de père, mais je n'ai jamais manqué de rien, ce qui ne veut pas dire que j'étais gâté, loin de là (il n'en avait pas les moyens de toute façon), et grâce à ma mère j'ai toujours eu conscience de la valeur des choses. Tout ce que j'avais je me l'achetais avec mon argent de poche que j'économisais (30 francs par semaine). De toute manière je n'ai jamais aimé que l'on s'occupe de moi, et je veux bien que l'on me perçoive comme un enfant terrible parce qu'indépendant et rebelle à l'autorité comme je l'ai dit. Toutefois je n'ai absolument pas mauvais fond, bien au contraire, et c'est pourquoi je ne me définis pas comme "enfant gâté".

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 21:54
par Enola Gay
Là où ssirov a raison c'est qu'il parle de la technique de pantel qui usait à en abuser de cet art perfide à dévaloriser "ses" amis quand ceux-ci n'étaient pas présents
Parce que vous y étiez présent, vous, et où et quand ?

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 21:59
par Enola Gay
je me décrirais plutôt comme réfractaire à l'autorité et indiscipliné, et je le suis toujours


Ah bon, et vous faites quoi dans la vie ?

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 22:22
par ssirov
Enola dit que je suis "nourri, logé, gâté comme un petit prince". Comme je viens de le dire je n'ai été logé que trois à quatre mois chez eux, que mon père leur donnait une somme d'argent en compensation et que j'arrivais chez eux (je passais le week-end en famille) le dimanche soir avec mes céréales pour le petit déjeuner.

Le soir en rentrant de l'école j'avais droit à une simple soupe et des restes; autant dire que je ne mangeais pas à ma faim, surtout quand on est en pleine croissance. Mes goûts musicaux n'étaient guère appréciés (rock que j'écoutais pourtant au casque) et si j'avais le malheur de passer un peu de temps devant la glace de la salle de bain Pantel ne manquait pas de m'en faire le reproche (se regarder dans le miroir c'est flatter son ego, pourtant lui ne manque pas de bien se préparer lorsqu'il doit sortir).

Pour suivre le fil de l'intervention d'Enola et répondre point par point à ce qu'il affirme, je dirai que oui je conteste la validité de leurs pensions d'invalides, ce n'est pas là être un fumier vu qu'eux-mêmes reconnaissent avoir eu la chance de saisir cette opportunité, et qu'ils sont en pleine capacité de travailler. Et je la conteste aussi moralement car de quel droit les autres devraient-ils travailler pour leur permettre d'avoir une vie de loisir ? Cela dit, je n'ai pas de rancune par rapport à cela, tant mieux pour eux.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 22:49
par ssirov
Ensuite, c'est vrai qu'en dehors de ce séjour prolongé chez eux, on était bien accueilli par Lucette et Jean-Claude, les jeunes profitaient de la piscine, on était souvent invité à déjeuner, Jean-Claude nous faisait part de sa vision des choses, on regardait des films, on jouait à des jeux (dés, cartes etc.), on courait ensemble, ou on faisait du vélo. Je ne peux rien leur reprocher de ce côté là et cela témoigne d'une vrai générosité (qui n'attend rien en retour). Pour "multiples cadeaux", je dirai plutôt que cela se limitait à un cadeau d'anniversaire et un cadeau de Noël. Par contre je n'ai jamais profité de voyages dans le nord de la France. Concernant l'anecdote de voisins venant me chercher pour m'emmener à la piscine municipale, j'avoue ne pas m'en rappeler, peut-être ai-je quelquefois accompagné la mère d'Esperluette qui allait nager à la piscine.

Mais au fil des années le comportement de Jean-Claude s'est fait sentir plus agacé de ce qu'il a fini par considérer comme le dit justement Trouvésurlilith un "dispersement", il fallait se comporter comme lui l'entendait, non que l'on se comportait mal mais je crois plutôt qu'il ne supportait plus notre présence, plus que se conformer à sa manière de voir (après tout il est chez lui) il y a eu à mon sens une dérive tyrannique souvent sans justification, d'où les disparitions d'objets personnels.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 23:10
par ssirov
Je conteste aussi le qualificatif de "sa majesté": je n'étais pas un enfant tyrannique ni capricieux, surtout après la mort de ma mère qui m'a plongé dans un mutisme et une attitude réservée et observatrice. L'anecdote concernant la licence d'athlétisme offerte me semble douteuse, il faudrait demander à mon père, et puis de toute façon je n'ai rien demandé, donc on ne peut rien me reprocher.

Cela me fait penser que finalement tous ces reproches discréditent le fait qu'il s'agissait d'une vraie générosité, c'est-à-dire qu'on attend bien quelque chose en retour. Mais bon cela ne me choque pas, je trouverai même cela normal, mais qu'on ne parle pas alors de générosité absolument désintéressée ou alors que ne fasse pas de reproches.

Que je ne me rende pas seul à l'entraînement c'est normal car je ne conduis pas, et encore une fois c'était la volonté de ceux qui géraient le club de passer prendre tous les jeunes pour les emmener au stade ou en compétition. Par contre je veux bien reconnaître que je n'avais pas le sérieux extrême que Pantel estimait compatible avec la pratique de l'athlétisme, je n'avais sans doute vu mon jeune âge pris conscience de cela et il est possible qu'ayant faim j'ai mangé peu de temps avant d'aller courir (de là à parler de pots de Nutella entiers et de "jemenfichisme" extrême c'est plus qu'exagéré). Enfin si je ne me lève pas aux aurores comme Pantel et Lucette c'est normal pour un ado qui a plus besoin de dormir, et mon rythme biologique n'est pas celui d'un lève-tôt, j'ai pourtant essayé et j'allais m'entraîner souvent avec eux le matin.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 16 oct. 2010, 23:42
par ssirov
Je reconnais que je n'ai jamais fait de zèle à l'école, étant réfractaire à l'autorité, mais mes résultats y étaient plus que corrects. Mais ce portrait que Pantel dresse est vraiment le reflet de son intolérance et de son incompréhension de ma personnalité: si je lui est paru bayer aux corneilles (et non "bailler": Esperluette, pour quelqu'un qui a une maîtrise de lettres modernes j'ai remarqué que vous faisiez souvent des fautes d'orthographe, serait-ce le signe d'un jemenfoutisme scolaire ?) et ne m'intéresser à rien c'est qu'après la mort de ma mère j'ai sombré dans une dépression.

Autre précision: je n'ai pas été champion de France de l'heure mais simplement champion de Provence des 45 minutes, Jean-Claude sur-estime (ou sous-estime) là encore beaucoup de choses, mais je le remercie de m'avoir motivé à réussir au moins cela. Et si Esperluette connaissait vraiment bien l'athlétisme il saurait que moins de 2 minutes au 800m il n'y a vraiment pas de quoi pavoiser. Je n'ai jamais été un jeune prometteur, j'ai peut-être quelques qualités pour le demi-fond mais rien qui ne corresponde de près ou de loin à un don ou à des potentialités au-dessus de la moyenne.

Quant à dire que j'étais un assisté complet c'est faux: j'ai certes manqué de constance mais j'ai toujours chercher à dépasser mes limites, je me faisais souvent mal à l'entraînement si bien que l'on ne comprenait pas que souvent je ne les finissais pas à cause de mes douleurs que l'on réduisait à du pur cinéma. Après avoir souffert des tendons d'Achille, je souffrais régulièrment du genou et j'ai pourtant persévérer jusqu'à la rupture de mon ligament lors d'une course en 1995, par la suite j'eus encore à souffrir (j'étais dans un autre club, celui de Pantel s'est arrêté en 1995 alors que ce dernier s'était déjà depuis un bon moment désengagé) non seulement du genou mais de périostites, et malgré cela je mis un point d'honneur à continuer à progresser et à enfin réussir à faire moins de 2 minutes au 800 (1'57"20), et pas du tout en présence de Lucette. Lucette était présente quelques années auparavant lorsque je suis passé de 2'08 à 2'02.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 00:13
par ssirov
Je ne bâclais donc pas mon entraînement, je ne pouvais tout simplement le finir à cause de mes douleurs.

Ensuite si j'ai adopté le régime végétarien (qui n'est en rien incompatible avec l'athlétisme !) ce n'est pas du tout parce que je "croyais rebondir sur des vélléités d'accomplissement personnel". C'est le résultat d'une vrai prise de conscience et d'une sensibilité: c'est plus qu'une vélléité car depuis ce moment où en 1994 j'ai vu à travers la vitre d'un train des vaches dans un pré je pris conscience qu'on les élevait à seule fin de les tuer pour nous en nourrir et que c'était injuste, je résolus de ne plus manger de viande, ce que je continue toujours à faire actuellement, et cela ne m'a pas empêché de continuer à progresser en sport. Le problème c'est que Jean-Claude n'étant pas végétarien ne pouvait admettre qu'on le soit étant donné que cela n'était pas une recommandation de sa part. C'est pourquoi il tenta de me décourager.

Comme l'a dit Trouvésurlilith, tout ce qui ne vient pas de lui ne peut avoir de valeur, comme le fait de s'être moqué de moi pour lui avoir fait part du fait que j'avais vécu des expériences de voyage astral (du moins un début). En outre je ne me suis jamais contenté d'une pomme journalière pour me nourrir (et quand bien même cela signifierait que je fais un effort sur moi-même et cela s'accorderait avec la philosophie des Textes, mais comme ce n'est pas la pratique de Jean-Claude alors ce n'est pas recommandé et c'est absurde). Pour la crème chantilly cela m'est peut-être arrivé une fois ou deux, je ne m'en rappelle vraiment pas (mais je trouve cela plutôt amusant et pas très grave, mais certes incompatible avec une ascèse sportive).

Ensuite lire Descartes et Kant est-ce incompatible avec le fait d'apprécier l'humour de "Papa Schultz" ? Pantel ne lit-il pas tous les soirs des bande-dessinées, ne passe-t-il pas beaucoup de temps à jouer au Tétris sur sa console de jeux ? (et je n'en dirai pas plus car il y aurait de quoi lui faire honte )

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 00:43
par ssirov
Il est vrai qu'au début ni Lucette ni Jean-Claude ne m'ont parlé d'ésotérisme, de voix, de phénomènes paranormaux etc. Mais il faut resituer les choses dans leur contexte. Du moment où je m'inscris au club (1987) jusqu'en 1992 Jean-Claude ne "reçoit" aucun Texte.

Je penserai en conséquence qu'il s'agit d'une période où il était équilibré et ces phénomènes et ces voix ne se manifestant plus dans sa vie il était naturel de n'en faire part à personne.

D'autre part nous étions très jeunes et venus pour faire de l'athlétisme, il aurait été malvenu de nous parler de cela, et sans doute bien mal perçu si cela était remonté aux oreilles des parents.

Dès lors que Jean-Claude s'est mis à réaliser une vidéo avec Jimmy Guieu alors des phénomènes paranormaux se sont mis à se produire quand les personnes concernées étaient présentes, et il y avait une espèce d'effervescence autour de tout cela, et je n'ai pas manqué d'assister à cela. Dès lors ils ont dû m'expliquer les choses, sans qu'on puisse parler effectivement d'endoctrinement, ce n'était pas nécessaire puisque j'accordai foi à leurs paroles. J'ai donc été voir les Textes en question, je m'y intéressais naturellement.

Ce n'est que le jour où j'ai découvert que dans un texte de 1992 on parlait de ma médiocrité que cela a été un choc pour moi. Il faut préciser que ce texte ne figurait pas dans le recueil de Jean-Claude, il avait été enlevé (n'en était-il peut-être pas fier ? Lucette lui avait-elle dit de l'enlever ?) mais il réapparut par la suite. Découverte s'il en est traumatisante pour un jeune de 17/18 ans. Vous y verrez peut-être la cause de ma sédition envers Pantel mais non car elle n'intervint en fait que 8 ans plus tard. Je m'étais résolus à l'époque à l'accepter et je continua à leur faire confiance et à étudier les Textes.

Aujourd'hui je comprends que ce sont ses déceptions qui ont produit ce Texte, comme l'atteste toutes ces révélations tronquées qu'il fait à travers les propos d'Enola.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 01:45
par ssirov
Et vous Enola ou Esperluette, votre jeunesse vous l'avez passée à quoi à part à être un skin-head des beaux quartiers de Marseille et à aimer les engins de guerre comme votre père (d'où le pseudo Enola Gay) ? Moi bien sûr je regardais le cul des mouettes (comme Pantel) mais en en bavant sur une piste d'athlé.

Vous connaissez Pantel depuis 83-84, soit. J'avais dit 25 ans je n'étais pas tombé loin. Mais si vous le connaissez c'est parce que votre père est son pianiste, non parce que vous le fréquentiez, parce qu'au club d'athlétisme on ne vous a jamais vu, et je ne vous ai pas vu dans son entourage jusqu'au milieu des années 90.

Ce qui vous a amené à lui ce sont les soi-disant phénomènes paranormaux. J'étais là la première fois que vous en avez vu (on dînait chez vos parents à l'époque où Jean-Claude tournait sa vidéo), des verres qui soit-disant se cassent par terre en traversant la table ou Pantel qui disparaît de la maison. Et il vous aura fallu encore du temps pour vraiment le fréquenter, c'est-à-dire au moment où vos parents ont acheté une villa près de chez lui.

Quant à ce que je fais maintenant cela ne vous regarde pas, vous voulez peut-être aussi mon numéro de téléphone et savoir où j'habite ? Vous en avez assez dit sur ma vie passée sans autorisation pour que je ne vous permette pas de salir ma vie actuelle.

C'est terrible cette volonté de tout vouloir contrôler et fliquer, c'est le reflet de votre pensée totalitaire.

La malédiction du Nutella

Publié : 17 oct. 2010, 02:12
par Raphaël
Enola Gay a écrit :Ainsi engloutit-t-il des pots de Nutella entiers à des heures où l’estomac ne peut assimiler une telle quantité de matière absolument indigeste
Je ne savais pas que c'était aussi grave de manger du Nutella. Quand je pense que j'en ai mangé beaucoup moi aussi à une certaine période de ma vie. Est-ce que je vais être damné pour l'éternité à cause de cela ?

Recentrer le débat

Publié : 17 oct. 2010, 04:50
par Denis

Salut ssirov,

Votre biographie détaillée, bien qu'intéressante et révélatrice du personnage Pantel, nous écarte du coeur du sujet pertinent à la thématique du forum, et que Jean-François a rappelé ici à Enola : les talents de prestidigitateur de Pantel.

De mon point de vue, tout thème éloigné de celui-là est un bruit, un brouillard, un obstacle à contourner si on veut avancer dans le débat principal.

Ici, vous venez d'évoquer les phénomènes "paranormaux" qui se produisaient en présence de Pantel.

Avez-vous personnellement assisté à des prodiges qui, à votre avis, ne pouvaient pas être truqués?

Inversement, avez-vous eu connaissance de cas truqués?

:) Denis

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 10:15
par Enola Gay
Il est vrai qu'au début ni Lucette ni Jean-Claude ne m'ont parlé d'ésotérisme, de voix, de phénomènes paranormaux etc. Mais il faut resituer les choses dans leur contexte. Du moment où je m'inscris au club (1987) jusqu'en 1992 Jean-Claude ne "reçoit" aucun Texte.
Archi faux : Les premiers textes sont arrivés en 1973 : 15 avant la date que vous affichez ! On voit vraiment que vous avez étudié les textes à fond ! oh ! là là ! Mais les épisodes de papa Schultz devaient être beaucoup plus attrayants.

De plus, il y avait déjà depuis les années 70 des phénomènes paranormaux, et des très violents ! Mais pas en votre présence.

Je maintiens que vous êtes un salopard de dégobiller sur des gens qui vous ont ouvert leur porte x fois ! Eux qui furent généreux avec vous, et pour aucun intérêt personnel en plus.

Quant au Texte sur votre médiocrité (Karzenstein 1992 si je ne m'abuse) il est exactement le reflet de votre biographie dont je viens d'esquisser quelques traits. Croire une seule seconde que Jean-Claude Pantel ait pu mettre un chat dans son micro onde, alors que vous avez assistez, je le sais, à l'amour qu'il portait aux animaux (Pollux, Castor, etc) ! C'est purement scandaleux et reflète le fait que vous voulez vous faite mousser pour compenser un échec de vie et un manque d'honnêteté par rapport à l'acceptation de vos limites avérées.

Ps : Encore une fois, si je connais tous ses détails, c'est que je suis un proche d'Esperluette. Mais je ne suis pas lui. Il prendra le relais à partir de dimanche prochain.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 10:21
par Enola Gay
Moi bien sûr je regardais le cul des mouettes (comme Pantel) mais en en bavant sur une piste d'athlé.

Encore un trait d'humour, là je suppose ?

Jean-Claude Pantel avait des entraînements de course à pied bien plus durs que les vôtres. Et bien plus réguliers. Quelque fois même en parcourant des distances séparant Marseille et la Sainte-Baume. Il finissait ses marathons complètement épuisés. Il a même couru sur des durées de 24 heures, même si des blessures le lui ont malheureusement fait écourter l'épreuve.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 10:30
par embtw
Donc ssirov écrit
ssirov a écrit :Il est vrai qu'au début ni Lucette ni Jean-Claude ne m'ont parlé d'ésotérisme, de voix, de phénomènes paranormaux etc. Mais il faut resituer les choses dans leur contexte. Du moment où je m'inscris au club (1987) jusqu'en 1992 Jean-Claude ne "reçoit" aucun Texte.
Donc, aucun texte entre 1987 et 1992 d'après ssirov :

De l'autre coté, super Troll écrit
Super Troll a écrit : Archi faux : Les premiers textes sont arrivés en 1973 : 15 avant la date que vous affichez ! On voit vraiment que vous avez étudié les textes à fond ! oh ! là là ! Mais les épisodes de papa Schultz devaient être beaucoup plus attrayants.
Non content d'être un troll, il est même pas foutu d'ordonner des dates correctement :

Allez, on va être gentil :

1973 < 1987 < 1992 selon un référentiel temporel.

Mais bien sûr, noyer le poisson, ça évite de s'intéresser au coeur du sujet, bon alors ces entités, c'est biologique, ça mange quoi ?

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 10:44
par Enola Gay
Du moment où je m'inscris au club (1987) jusqu'en 1992 Jean-Claude ne "reçoit" aucun Texte.

Réponse : Extrait de Rasmunssen Juin 1988 :

Question (J-CP) - Il vaut mieux pour le "révélé", si vous m’autorisez le terme, vivre la situation de Moïse qui semble avoir eu droit à une autre forme de "révélateur"...

Rasmunssen
- Là encore, il faut considérer la légende : Moïse, de par la culture institutionnalisée qu’il reçut, ne pouvait faire montre du sentiment d’humilité, surtout en ce qu’il avait à exprimer... Son passage à l’état d’esclave ne changea en rien le caractère seigneurial qu’il portait en lui, la soumission qu’il vécut pendant un temps doit se traduire par un rapport de force en fonction de la race qui était sienne, en le "redevable" à ses origines hébraïques, démultiplication du "redevable" à l’Absolu qui se manifesta plus tard à lui, et à son impossibilité du moment de combattre "Pharaon".

Donc, pour en revenir à ce que vous me demandez, je vais vous traduire ce qui se passa.

Moïse, après avoir gravi la montagne dans le but de s’isoler pour réfléchir à ce qu’il ressentait, à savoir la façon de permettre à son peuple de sortir de l’esclavage, s’égara quelque peu et dut de ce fait veiller, jeûner en cherchant son chemin. Il pénétra dans une grotte et, rompu par la fatigue et ses tourments, il s’endormit. Quand il se réveilla, un individu était assis auprès de lui et le contemplait. Moïse savait qu’il y avait des individus qui vivaient de la sorte, à l’écart, dans l’isolement ; la plupart du temps, il s’agissait là de "bannis", d’exclus et rares étaient ceux que l’on considérait, même à cette époque, comme des "sages". Etaient considérés comme "sages" les "patriarches" dans certains cas et quelques prêtres mais toujours, comme vous n’êtes pas sans le penser, en fonction de notions... L’ermite partagea sa maigre pitance avec Moïse et au fil d’une longue conversation, il fit comprendre à ce dernier, non sans l’avoir patiemment écouté, comment, à quelques nuances près dans les formes, il vivrait sa "vocation" de libérateur du peuple juif. Quand Moïse demanda à l’anachorète son nom, ce dernier lui dit qu’il n’était nul besoin d’un patronyme pour s’identifier et que lui savait, connaissait, pouvant les différencier, toutes les choses qui l’entouraient : végétaux, animaux, minéraux, sans avoir recours à un nom ; toutefois, il fit valoir à Moïse les qualités exceptionnelles d’une plante qui poussait aussi bien dans la roche que dans le sable et à laquelle il eût aimé s’identifier dans l’éventualité d’une autre vie après la mort.

En la révélation qui nous intéresse, la force d’échange devait, en le principe volume/Vide désuperposé, condamner l’un pour l’autre. Un orage éclata, la foudre tomba sur l’anachorète et matérialisa en cette forme de rupture l’accumulation de lumière passive de ce dernier.

Moïse demeura quelque temps dans la montagne après cela ; la chose, en sa forme, l’avait troublé mais il ne put se résoudre à confier à Josué et à ceux qui l’attendaient qu’il venait d’être révélé à lui-même par un simple ermite, son manque d’humilité évoqué précédemment en étant la cause : il préféra, peut-être pour son prestige, attribuer la révélation de sa vocation à la foudre "divine" tombée sur la fameuse plante qui devint à ce moment le "buisson ardent".

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 11:05
par ssirov
Veuillez m'excuser Denis que le débat soit ainsi détourné, mais c'est le fait d'Enola (et non le mien) qui évite ainsi de répondre aux questions qu'on lui pose et ne s'attache qu'à démasquer l'identité des gens pour mieux baver sa haine (voir encore ses deux succintes interventions). Sachez que je me serai bien passé d'écrire tout ceci qui n'a pas grand intérêt, qui n'a que l'intérêt de répondre uniquement à tout ce qu'à avancer Enola et de révéler les méthodes fascisantes employées pour discréditer la parole d'un homme. Tirez-en donc les leçons que l'on peut en tirer au-delà du récit que je fais.

Je n'étais venu que pour apporter mon témoignage et mon interprétation du cas Pantel afin d'éviter à certains de se leurrer, et comme je l'ai dit espérer faire parler certains (comme Trouvésurlilith) qui ont bien plus de choses à dire. Je termine donc le plus brièvement possible en espérant qu'Enola cessera d'attaquer ainsi pour masquer le fait qu'il n'a rien à rétorquer à tout ce qui est avancé. Je pense que vous en auriez fait de même si vous l'on vous décrivait publiquement comme un immonde et fieffé salopard. Ensuite je répondrai à vos questions.

Enola me discrédite concernant les études de philosophie que j'ai entreprises: en effet je ne me suis pas dans un premier temps présenté aux examens (mais Pantel peut-il me le reprocher lui qui a toujours fui face à ses échéances, sauf le jour où son père l'a accompagné jusque dans l'amphi pour passer le concours d'entrée à la sécurité sociale), ce qui ne veut pas dire que je n'ai rien appris au cours de mon passage à l'université, simplement j'avais, grâce à la dévalorisation pantélienne relayée jusque dans les Textes, perdu toute confiance en moi. En outre il est vrai que cet éminent penseur et scientifique qu'est Platania a eu l'occasion de m'aider pour deux dissertations dont la paternité je dois le reconnaître lui revenait quasi exclusivement: mais ses notes (un 9 et un 10 en première année de philo) ne sont pas révélatrices de la réputation qu'Enola fait de lui.

Peut-être ai-je émis des plaintes comme le souligne Enola face à cette espèce de démolition de l'individu qui s'opère quand Pantel n'a pas les résultats escomptés avec lui. Car pour prétendre m'avoir "choyé comme son propre fils" je dois dire que je n'ai jamais eu (Lucette mise à part) le moindre geste d'affection ou la moindre parole réconfortante. Je n'ai d'ailleurs jamais vu Jean-Claude affectueux ni tendre ou attentionné avec qui que ce soit (à part son chien), même pas avec sa femme. Cela dit, je ne dirai pas non plus que j'ai été martyrisé ou harcelé, loin de là.

J'ai donc décidé de me libérer des Pantel mais pas sans justifications: ce geste devait leur démontrer justement que je n'étais pas attaché à leur hospitalité et que si je les fréquentais ce n'était pas pour profiter d'eux comme ils me le reprochaient en permanence. La vérité comme je l'ai dit c'est que Pantel se montrait de plus en plus intolérant et Lucette avec lui de moins en moins amicale. C'est sur le prétexte qu'ils ont refusé de garder mon chien quelques heures (service que je ne leur avais jamais demandé - en outre je ne demandais jamais rien - on voit là les limites de leur générosité) que j'ai décidé de couper les ponts. Ils n'ont peut-être pas compris mon départ impromptu, car ils ne savaient pas ce que Dakis m'avait révélé.

J'ai pu par la suite quelque peu m'expliquer avec Lucette qui m'a confirmé que Pantel était bien un manipulateur, qu'il provoquait ces phénomènes - pas tous cependant selon ses dires - et qu'il était bien la cause de ces voix qui lui transmettait ces Textes, comme me l'avait dit Dakis. Je les revus encore quelques fois, mais Pantel qu'une seule fois car il commençait régulièrement à quitter le foyer pour fréquenter une autre femme.

Pour ce qui est de l'athlétisme affirmer que je stagne misérablement dans une grande médiocrité c'est faux: après ce départ j'ai continué à m'entraîner, j'ai battu tous mes records (en dehors du 800m où je n'ai fais que réaliser une performance 7 centièmes supérieure à mon record) malgré de nouvelles blessures à répétitions (entorse, ruptures de ménisques, déchirure musculaire), faisant des podiums régionaux, il y a deux ans j'ai couru en 33' la distance des 10 km (18 km/h de moyenne) et l'année dernière je figurais à une très honorable place aux championnats du monde de course de montagne. Je vous laisse seuls juges de la médiocrité dans laquelle je me vautre. Enola peut-il en dire autant lui qui semble-t-il n'y connaît vraiment pas grand chose en athlé malgré ce qu'il affirme ?

Je précise qu'avant de rencontrer les Pantel je ne faisais pas de compétition, j'ai décidé de quitter le foot pour un sport individuel, et n'ayant pas les moyens de me payer un vélo je me suis inscrit au club d'athlé (si j'avais été un peu plus riche j'aurai évité toute cette histoire - comme quoi tout tient à peu de choses). Et ce sont les propos tendancieux d'Enola qui laissent à penser que l'on me forçait: non, l'athlé constitue un vrai plaisir et une véritable exigence envers moi-même, sans doute Pantel me mettait la pression et me dévalorisait régulièrement mais ne forçait point. Sans doute que je me manifestais pas la constance qu'il attendait mais ce n'est qu'avec le temps et surtout en me déprenant de Pantel que j'ai pu prendre conscience des choses, me posséder moi-même et me construire en reprenant confiance en moi: c'est pourquoi j'ai persévérer en athlétisme comme dans les études de philosophie où cher Enola j'ai obtenu par mes propres moyens bien plus qu'un deug. Tout ce qu'Enola sait de moi ce sont les pitoyables recherches internet qu'il a dû effectuer (pour pouvoir s'en prendre à moi) et voir les quelques courses sur route régionales que j'ai dû gagner, d'un niveau modeste j'en conviens mais il serait bien incapable d'en faire autant, il est tout juste bon comme Pantel à dévaloriser les autres.

Enfin, qu'il sache que Lucette ne m'a jamais refusé net sa porte (qu'en sait-il puisque Pantel est séparé de Lucette ? ) car je ne m'y suis jamais présenté, que certes je lui ai écris une lettre lui demandant de s'expliquer sur cette histoire et qu'elle n'a jamais répondu, que je l'ai croisée trois fois ces dernières années, qu'elle m'a dit de passer la voir quand je voulais et m'a donné son numéro de téléphone à deux reprises (que j'ai perdu), qu'à chaque fois qu'elle croise mon père au marché du village elle lui dit de me dire que je peux venir quand bon me semble et que cela lui fera plaisir.

Voyez comme quoi vous êtes loin de la vérité, malgré ces merveilleux êtres qui parlent à Jean-Claude et qui pourtant ne lui apprennent pas grand chose et ne prédisent rien. Désolé Denis d'avoir été si long. :( Mais votre calvaire avec le mien s'achève là; en espérant encore une fois qu'Enola ne se disperse plus.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 11:41
par ssirov
Enola vous n'avez rien compris: je n'ai jamais dit que Pantel n'avait reçu aucun Texte avant 1992 (vous prenez les gens vraiment pour des débiles, j'ai lu les Textes avant vous), j'ai dit qu'entre 1987 (plus précisément juin 1988 pour le dernier Texte) et 1992 Jean-Claude n'a reçu aucun Texte. Apprenez donc à lire.

Deuxièmement je n'ai jamais dit que je croyais que Jean-Claude avait mis un chat dans un micro-onde. Certes il aimait son chien Pollux (qui ne mangeait pas de la vulgaire pâtée mais des bons steacks tous les soirs) qui comme lui et Lucette sont voués à la vie éternelle, mais qu'il n'a jamais apprécié Castor (la chatte de Lucette) car elle était trop sauvage bien que l'on pouvait la caresser. Demandez donc à Lucette si ce n'est pas vrai. Cependant je n'ai jamais vu lui faire de mal.

Dans ma phrase, "moi bien sûr je contemplais le cul des mouettes (comme Pantel) mais en en bavant sur la piste", le "mais" ne s'appliquait pas à Pantel mais à vous que l'on n'a jamais vu faire le moindre sport; en outre que Pantel contemple le cul des mouettes ne l'empêche pas par ailleurs de pratiquer intensément la course à pied sans toutefois non plus exceller.

On voit bien là toute votre mauvaise foi (doit-on continuer à perdre son temps avec vous après tout ce que vous avez démontré ?). Et je ne crache pas ma rancoeur sur Pantel, je ne fais qu'apporter mon témoignage et mon interprétation des choses (qui sont loin d'être isolés). Je ne prétends pas comme lui détenir la vérité. Du reste je ne regrette rien, je ne cris pas vengeance et suis bien reconnaissant à Lucette et Pantel pour les bonnes choses que j'ai vécu en leur compagnie, essentiellement la course à pied.

Mais comme vous avez pu le voir il n'y avait pas que des bonnes choses, et en premier lieu le fait qu'il fait passer pour vérité ce que j'estime être un mensonge, et je ne mérite pas pour cela d'être insulté en permanence comme vous le faites. Qu'il fasse la preuve de tout ce qu'il avance (et c'est mal parti: la convocation dans le laboratoire du professeur Broch n'est qu'un canular), qu'il réponde aux accusations, et alors je réviserai mon jugement.

Re: Le Cas Pantel

Publié : 17 oct. 2010, 15:29
par Jean-Francois
ssirov a écrit :Enola vous n'avez rien compris: je n'ai jamais dit que Pantel n'avait reçu aucun Texte avant 1992 (vous prenez les gens vraiment pour des débiles, j'ai lu les Textes avant vous), j'ai dit qu'entre 1987 (plus précisément juin 1988 pour le dernier Texte) et 1992 Jean-Claude n'a reçu aucun Texte. Apprenez donc à lire
Est-ce que cela correspond à un regain d'intérêt et d'efforts de Pantel pour le club? Parce que cela pourrait expliquer qu'il n'ait pas trouvé le temps d'écrire des textes. C'est d'ailleurs en lien avec une question que j'ai posée il y a longtemps: est-ce qu'il a déjà eu des manifestations pendant que Pantel courrait (ou se remettait d'une course)? J'en doute beaucoup, les entités devaient "curieusement" se tenir tranquilles pendant se temps-là... sauf si des comparses pouvaient le faire à la place de Pantel.

J'ai apprécié votre témoignage. Même si je n'accepte pas tout sans esprit critique, je vous trouve nettement plus crédible que l'enragé Enola. Lui fait beaucoup pour que le qualificatif de "salopard vomissant" lui reste accolé*. N'en tenez pas trop compte si vous le pouvez.

Vous dites avoir lu les textes mais avez-vous été témoin de "phénomènes" et/ou vous souvenez-vous de la réaction de Pantel lors d'un tel événement?

Jean-François

* Sans compter que s'il dit vrai, il ne fait que relayer les propos d'autrui. Ce serait donc un "salopard vomissant" sans volonté personnelle.