Re: L'avortement
Publié : 18 juil. 2017, 11:01
3 à 7% d'homosexuels en France suivant les études d' après Jacques Corraze in L'homosexualité; P.U.F., que sais-je.
eatsalad a écrit :Je suis d'accord avec toi, que les ordres de grandeur sont importants, et que mon pourcentage donné (avec un point d'interrogation) est loin du compte du nombre d'homosexuel vivant dans la société française.
Bien sûr que non. Mais penses-tu que cela change les ordres de grandeurs ?eatsalad a écrit :Ceci dit, (histoire de pinailler un peu quand même) pense tu que 100% des homosexuels souhaitent/veulent se marier ?
J'avoue essayer de gagner pitoyablement une virgule mais c'est pas gagnéCogite Stibon a écrit :Bien sûr que non. Mais penses-tu que cela change les ordres de grandeurs ?eatsalad a écrit :Ceci dit, (histoire de pinailler un peu quand même) pense tu que 100% des homosexuels souhaitent/veulent se marier ?
eatsalad a écrit :J'avoue essayer de gagner pitoyablement une virgule mais c'est pas gagné
Intéressant ! il est fort ce Fermi : estimer la force d'une explosion avec deux bouts de papier, il fallait y penser!Cogite Stibon a écrit :Pour aller plus loin sur les ordres de grandeurs : l'estimation de Fermi.
eatsalad a écrit :Intéressant ! il est fort ce Fermi : estimer la force d'une explosion avec deux bouts de papier, il fallait y penser!Cogite Stibon a écrit :Pour aller plus loin sur les ordres de grandeurs : l'estimation de Fermi.
Du coup, tu évalues à combien le nombre d'accordeurs de piano homosexuel souhaitant pouvoir se marier à Chicago ?
Bonjour, LoutredeMer .LoutredeMer a écrit : 27 déc. 2016, 14:17+1BeetleJuice a écrit : Évidement, aujourd'hui, c'est une vision moins explicite que par le passé, mais on retrouve toujours un peu cette peur du chaos féminin et de la dissolution de la famille dès qu'il y a un combat féministe et ça n'est pas pour rien que les féministes les plus virulentes sont régulièrement accusée d'hystérie et réveille le fantasme de la castration (métaphorique ou pas) des hommes (même s'il y a sans doute eu des minorités parmi les féministes qui ont réellement dû rêver d'un monde sans homme, parce qu'il y a des extrémistes dingo partout, malheureusement).
Sincèrement, as-tu un problème ou une anomalie sexuelle ?Eunuque a écrit : 16 août 2019, 11:18Bonjour, LoutredeMer .LoutredeMer a écrit : 27 déc. 2016, 14:17+1BeetleJuice a écrit : Évidement, aujourd'hui, c'est une vision moins explicite que par le passé, mais on retrouve toujours un peu cette peur du chaos féminin et de la dissolution de la famille dès qu'il y a un combat féministe et ça n'est pas pour rien que les féministes les plus virulentes sont régulièrement accusée d'hystérie et réveille le fantasme de la castration (métaphorique ou pas) des hommes (même s'il y a sans doute eu des minorités parmi les féministes qui ont réellement dû rêver d'un monde sans homme, parce qu'il y a des extrémistes dingo partout, malheureusement).![]()
Dans les sociétés, la castration physique des hommes a toujours été un excellent moyen pour maintenir ses structures dans ses bases étroites du mariage officiel ,me semble t'il ?
A un point tel qu'il y a eu de nombreuses sectes qui ont recommandé ouvertement la castration physique a leurs membres dés lors qu'ils avaient eu deux enfants .
Il y a "eu " de très nombreux adeptes a accepter joyeusement de se faire couper plus ou moins intégralement ce qui pendait entre leurs cuisses .
Les prêtres en faisaient de même ,afin de ne pas céder a l'appel de leurs instincts sexuels .
Dans le culte de Cybèle, pendant la fête ,les adeptes se dénudaient devant tout le monde pour se faire émasculer .(les décès par hémorragie ne devaient par être rares ?)
Avec l'esclavage, les soumis ne devaient pas avoir une sexualité acceptable,aussi la castration était indispensable ?
Dans les sociétés cannibales ,la castration des esclaves devait être probablement la première raison ,car,il devait y avoir trop d'hommes .
De plus ,l'eunuque est plus docile et adipeux que l'homme entier ?
La réalité est parfois difficile a regarder en face ?
Je veux surtout régler mes comptes .Curieux_ a écrit : 16 août 2019, 14:01Sincèrement, as-tu un problème ou une anomalie sexuelle ?Eunuque a écrit : 16 août 2019, 11:18 [...]
Édité par la modération : merci de ne pas faire de citation intégrale surtout pour une réponse si minimaliste
Es-tu réellement eunuque comme ton pseudo l'indique, ou as-tu un micro-pénis ?
Tu es un transsexuel opéré ?
Régler quels comptes ? avec qui ? et pourquoi ici ?
Une phrase à l'affirmative suivit d'un point d'interrogation est difficilement décodable.Eunuque a écrit : 16 août 2019, 11:18 ... les décès par hémorragie ne devaient par être rares ?
... aussi la castration était indispensable ?
... l'eunuque est plus docile et adipeux que l'homme entier ?
La réalité est parfois difficile a regarder en face ?
là, est-ce que tu affirme que quelqu'un pense que ton avis soit ce qui précède, tu lui en fais le reproche et lui demande de se justifier ?
Article qui résume bien la pensée de la moitié du peuple américain.
Cette remarque démontre bien que la valeur de la vie humaine aux États-Unis est moins importante qu'ailleurs comme dans plusieurs pays socialistes. Ce qui explique selon moi ces tueries à répétition qui sont devenues la norme.Traduction Google: Sauf que, bien sûr, c'est le cas. Les défenseurs des droits à l'avortement ont passé des décennies à souligner que ces soi-disant pro-vie ne semblent pas se soucier beaucoup de la "vie" une fois que leur bébé est né. Ils veulent réduire l'aide aux enfants nécessiteux et les soins de santé aux mères pauvres et aux femmes enceintes. Ils s'opposent à la contraception et à l'éducation sexuelle - les moyens les plus efficaces de réduire le taux d'avortement. Nombre d'entre eux continuent à soutenir un président qui sépare les enfants en bas âge de leurs parents et les maintient dans des cages sordides. Il semble que la «vie» ait peu à voir avec le fait d'être «pro-vie».
Except, of course, that it does. Abortion rights advocates have spent decades pointing out that these self-styled pro-lifers don’t seem to care much about “life” once a baby is born. They want to cut aid to needy children and healthcare to poor mothers and pregnant women. They oppose contraception and sex education – the most effective ways to reduce the abortion rate. Many of them continue to support a president who separates small children from their parents and keeps them in squalid cages. “Life,” it seems, has precious little to do with being “pro-life”.
Je serais bien curieux moi aussi de savoir de quels comptes vous voulez parler.
La logique de l’avortement, telle que présentée par certains sceptiques scientifiques, peut être comparée à ce paradoxe.DictionnairErroné a écrit : 22 août 2019, 17:23 Au minimum durant la période où l'embryon, le foetus ne peut survivre en dehors du corps de la femme, celui-ci lui appartient et est une partie intégrante du corps de la femme. Jusqu'à ce moment, je ne vois aucun problème avec l'avortement et la décision revient uniquement à la femme et non à l'homme puisque c'est la femme qui participe au processus de développement et non l'homme.
Embryon -> 0 à 8 semaines de grossesseDictionnairErroné a écrit : 22 août 2019, 17:23 Aussitôt qu'il y a conception, le processus de la vie est en action. Je ne sais pas si techniquement nous pouvons parler de symbiose entre l'embryon, le foetus et la femme durant la grossesse, mais le fait est qu'à un moment donné le développement du fœtus peut se poursuivre hors du corps de la femme, normalement à la grossesse mais pas uniquement grâce aux avancées médicales.
Donc votre "pas uniquement grâce aux avancées médicales" Bof. Les prématurés susceptibles de survivre sans accompagnement médical naissent après le 8ème mois de grossesse et c'est quand même dangereux de penser qu'ils n'ont pas besoin d'un suivi médical !extrait étude épipage a écrit :Après analyse, les données de 2011 montrent que plus les enfants sont prématurés, plus le taux de survie diminue. Ainsi, la survie atteint 99% à 32-34 semaines, 94% à 27-31 semaines, 60% à 25 semaines et moins de 1% avant 24 semaines.
Les enfants prématurés étant à haut risque de complications néonatales, cérébrales, respiratoires et digestives en particulier, les taux de survie sans pathologie néonatale grave sont plus faibles. Ils atteignent 97% à 32-34 semaines, 81% à 27-31 semaines, 30% à 25 semaines et 12% à 24 semaines.Etude complète
Symbiose est un terme signifiant « vivre ensemble ». Il décrit une relation écologique entre deux organismes d'espèces différentes qui sont en contact direct l'un avec l'autre.
Lisez le fil et vous trouverez toutes les références sur les délai et condition de l'IVG suivant les pays et les taux de recours à l'IVG en fonction de l'état de l'avancement de la grossesse. Comme déjà répété et répété : les recours tardifs sont soit illégaux, soit extrêmement rares lorsque la législation le permet et son en quasi exclusivité des IMG (interruption médicale de grossesse)DictionnairErroné a écrit : 22 août 2019, 17:23Au minimum durant la période où l'embryon, le foetus ne peut survivre en dehors du corps de la femme, celui-ci lui appartient et est une partie intégrante du corps de la femme. Jusqu'à ce moment, je ne vois aucun problème avec l'avortement et la décision revient uniquement à la femme et non à l'homme puisque c'est la femme qui participe au processus de développement et non l'homme.
Bémol nul et non avenu. De toutes façons si une femme veut avorter elle trouvera toujours moyen de le faire puis il y a toujours d'autres moyens de s'en débarasser.DictionnairErroné a écrit : 22 août 2019, 17:23Le bémol pour moi est lorsque le foetus a la possibilité de poursuivre son développement en dehors du corps de la femme. Techniquement, le fœtus n'est plus dépendant du corps de la femme, elle ne lui appartient plus, même si des techniques médicales sont nécessaires pour poursuivre le processus de développement jusqu'à l'autonomie. Tout comme les avancées médicales qui permettent aux humains de prolonger leur vie.
Taux d'avortements après la 20ème semaine a écrit :(extrait article) Quant au Canada, c’est le seul pays occidental où il n’y a pas de lois qui limitent ou encadrent les avortements tardifs7. Selon des études menées en 2010, les avortements après 20 semaines de grossesse représentent toutefois moins de 1 % des avortements au Québec, soit environ une centaine de cas par an.
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Vous pouvez retirer le conditionnel, la décision n'appartient qu'à la femme. Elle s'applique à toutes les unions parce que personne ne peut prétendre être à la place d'autrui et que si une femme décide de ne pas informer son conjoint c'est son droit : il n'y a aucune obligation, harmonie, respect mutuel ou pas. Si elle décide d'en parler elle en parle sinon elle n'en parle pas. La logique n'a rien à voir là-dedans.Concernant la décision unilatérale qui n’appartiendrait qu’a la femme, je trouve votre généralisation très hâtive, elle ne peut pas s’appliquer à tous les unions, à moins que vous pratiquiez une forme de prosélytisme qui prétend impossible l’harmonie et le respect mutuel au sein d’un couple Si un bébé se fait a 2, alors il me parait logique qu’il faut être d’accord a 2 pour s’en défaire, être a 2 ne signifie évidemment pas constituer un assemblage disparate d’individualismes infatués.
Et donc vous préconisez d'obliger les femmes à poursuivre une grossesse non désirée ? Entre avorter d'un paquet de cellules et éradiquer l'humanité y'a un monde non ? Vous trouvez que ça manque de gosses et de femmes malheureuses dans votre paysage social peut être ?Une autre question importante se pose, qui peut prédire l’avenir d’un embryon ? Personne évidement, face à un problème de grossesse non désirée, on se retrouve alors confrontés à 2 choix possibles, la vie ou la mort, il faut donc être conséquent dans ses choix, si la mort constitue la solution idéale aux problème des êtres humains, il faut préconiser la mise à mort généralisée de toutes les hommes qui peuplent notre planète, pour le bien de l’humanité évidemment, pour ceux qui choisissent la mort, une forme de perfection humaine serait alors atteinte.
Bémol parfaitement pertinent de la part de DictionnairErroné, vous bottez en touche devant une sous question, la femme veut-elle simplement se débarrasser de l’enfant ou le mettre à mort ?lau'jik a écrit : 22 août 2019, 20:08Bémol nul et non avenu. De toutes façons si une femme veut avorter elle trouvera toujours moyen de le faire puis il y a toujours d'autres moyens de s'en débarrasser.DictionnairErroné a écrit : 22 août 2019, 17:23Le bémol pour moi est lorsque le foetus a la possibilité de poursuivre son développement en dehors du corps de la femme. Techniquement, le fœtus n'est plus dépendant du corps de la femme, elle ne lui appartient plus, même si des techniques médicales sont nécessaires pour poursuivre le processus de développement jusqu'à l'autonomie. Tout comme les avancées médicales qui permettent aux humains de prolonger leur vie.![]()
Non, et j'ai répondu et sourcé ma réponse.Aggée a écrit : 22 août 2019, 20:43 Bémol parfaitement pertinent de la part de DictionnairErroné, vous bottez en touche devant une sous question, la femme veut-elle simplement se débarrasser de l’enfant ou le mettre à mort ?
Il pourrait se trouver des adoptants qui désireraient s’occuper de cet enfant.
Je vous signale que si un homme s’acharne réellement à se débarrasser de son voisin, il trouvera toujours un moyen pour y arriver lui aussi.
La réponse d'Aggée correspond bien à l'article que j'ai proposé. la cellule familiale avant tout ! La femme se doit d'être inféodée à ce schéma, avec tous les travers que cela peut induire. Il ne peut évidemment pas prendre en compte les cotés positifs de l'avortement légal (ne serai-ce que les ravages de l'avortement illégal*), car, dans ce genre de schéma de pensée, tout relativisation ou tout compromis, même minime, revient à un renoncement total de la foi. Impossible !lau'jik a écrit : 22 août 2019, 20:34.
Allez ! Encore un un ! Mais c'est pas croyable !
Où voyez-vous une promotion de l'avortement ? C'est un droit qui participe du droit à la maternité librement choisie. Doit-on en conclure que vous êtes pour l'avortement illégal et que des milliers de femmes restent sur le carreau ou finissent en prison ? A moins que l'infanticide ou la vente d'enfants soit plus votre crédo![]()
Puisque vous mélangez la morale, la conscience et le droit, nous allons nous réconcilier…lau'jik a écrit : 22 août 2019, 20:57 Quant à votre réthorique visant à assimiler avortement et meurtre elle est gerbatoire. Un avortement n'est pas un meurtre, une femme avorte d'un embryon ou au pire d'un foetus, une femme qui avorte n'est pas une criminelle : c'est son droit.