Re: Le mensonge vert
Publié : 19 oct. 2019, 12:20
Mais comment peut-on manger un truc pareil!
Mais comment peut-on manger un truc pareil!
D'après ce que vous dites vous-même, le "peuple" vient à peine de réaliser quelque chose. (Alors que la catastrophe est bel et bien en cours depuis plus de 30 ans. Pour le comprendre, il ne faut pas seulement considérer le réchauffement climatique mais l'ensemble des impacts humains sur la planète.)DictionnairErroné a écrit : 19 oct. 2019, 02:38Ça fait plus de 30 ans que les jappeux annoncent une catastrophe écologique, 30 ans pour que le peuple commence à réaliser le drame, ça vient fatiguant et XR en est la satire grotesque. Oui, le peuple sait qu'il faut agir, mais comment?
Ce n'est pas en caricaturant un groupe parmi d'autres que vous montrez que vous avez "réalisé le drame". Au contraire, ça donne plutôt l'impression d'une réaction lorsqu'on dénonce ce qui fait partie de vos habitudes.En se faisant écoeurer par des inspirés qui se croit en mission divine?
Ce ne sont pas les faits qui le démontrent mais le fatalisme. Les faits montrent au contraire que les mentalités peuvent se modifier même si c'est sans doute trop lentement.Les faits démontrent que les gouvernements n'y peuvent rien ou presque, voir même contre-productif à certain égard
Les climatologues ne sont qu'une partie de ces scientifiques que vous méprisez. Et quand on voit le nombre de personnes qui nient encore (pour diverses raisons) que l'humain joue un rôle dans le réchauffement climatique (autant nier que l'humain pollueCe n'est plus des scientifiques jappeux dont nous avons besoin, mais plutôt des personnes qui ont une capacité d'analyse multidisciplinaire. Les climatologues n'ont pas la compétence pour déterminer les changements nécessaires qui doivent être multiple
Allez, allez, n'ayez pas peur. Si vous restez bien enfoncé dans votre lazy-boy, vous ne craignez rien. Surtout pas qu'on vous demande un minimum d'effortsEt pendant ce temps nous avons toujours les jappeux qui nous bégayent, éternuement par éternuement, la même pleurnicherie... Oui, nous avons compris... Allez bande de pitous, couché! couché!
C'est exactement ce que je dis. Il est nécessaire de poursuivre avec une communauté multidisciplinaire provenant de tous les domaines.Jean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12 Pour le comprendre, il ne faut pas seulement considérer le réchauffement climatique mais l'ensemble des impacts humains sur la planète.)
Ben oui, votons une loi qui change la mentalité économique, votons une loi qui oblige la simplicité volontaire, votons une loi pour limiter les naissances, votons une loi pour réduire l'individualisme... Franchement, ce n'est que du vide, il n'y a rien du comment dans ces voeux pieux. J'ai proposé mieux que cela dans l'enfilade.Jean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12 Ma propre réponse au "mais comment?" serait, pour faire une histoire très courte: a) en adoptant une autre mentalité vis-à-vis de l'économie. Une mentalité moins axée sur la pro-pro-pro-ductivité et plus sur les besoins réels, b) en faisant décroitre la population humaine (ce que de nombreux jeunes ont saisi, au moins dans les pays riches), c) en acceptant que pour des réponses à des problèmes globaux, il faut accepter d'être moins "tribal" et plus planétaire.
Ce ne sont que vos impressions caricaturales de votre inconscient envers ce que vous ne saisissez pas. Vous croyez sincèrement qu'une Greta Thunberg qui rassemble plusieurs milliers de personnes avec un message clair et prometteur est aussi bénéfique que les baveux et baveuses de XR qui ne font qu’écœurer le peuple et par le fait même contre-productif à la cause climatique? Êtes-vous certain que vous n'êtes pas pour la destruction?Jean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12Ce n'est pas en caricaturant un groupe parmi d'autres que vous montrez que vous avez "réalisé le drame". Au contraire, ça donne plutôt l'impression d'une réaction lorsqu'on dénonce ce qui fait partie de vos habitudes.
Non, c'est exactement le contraire. Plus la vue s'élargie plus nous voyons les conneries.Jean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12D'ailleurs, votre mépris, il ne proviendrait pas en partie d'un manque de compréhension?
Je n'ai pas peur puisque cela ne m'affectera pas de mon vivant comme vous d'ailleurs et tous les participants de ce forum, du moins au canada. Ça devient une question de moral, d'éthique, de compassion, d'altruisme pour les générations futures et également pour le respect de la vie autres qu'humaines qui eux aussi ont le droit de vivre. Nous ne sommes pas seuls!Jean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12Allez, allez, n'ayez pas peur. Si vous restez bien enfoncé dans votre lazy-boy, vous ne craignez rien. Surtout pas qu'on vous demande un minimum d'efforts.
Et les "jappeux" de climatologues ne font pas partie de cette communauté disciplinaire? Vos propos semblent particulièrement confus.DictionnairErroné a écrit : 19 oct. 2019, 18:22C'est exactement ce que je dis. Il est nécessaire de poursuivre avec une communauté multidisciplinaire provenant de tous les domainesJean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12 Pour le comprendre, il ne faut pas seulement considérer le réchauffement climatique mais l'ensemble des impacts humains sur la planète.)
Vous êtes tellement bonJ'ai proposé mieux que cela dans l'enfilade
Vous faites de la projection. XR ne fait pas grand-chose de problématique si ce n'est bousculer quelques personnes et ce n'est pas en mettant l'emphase sur eux seuls (surtout au travers de jugements superficiels d'une seule de leur représentante) que vous lancez autre chose que du "vide".Ce ne sont que vos impressions caricaturales de votre inconscient envers ce que vous ne saisissez pas. [...] Êtes-vous certain que vous n'êtes pas pour la destruction?
À moins que vous ne considériez le grand-nord comme en-dehors du Canada, le réchauffement climatique nous affecte déjà fortement. Les problèmes écologiques nous épargnent plus que d'autres pays mais pourquoi attendre que ce soit le cas? Votre vue pourrait être un peu plus large.Je n'ai pas peur puisque cela ne m'affectera pas de mon vivant comme vous d'ailleurs et tous les participants de ce forum, du moins au canada
Je me moque surtout de votre indignation outrancière envers XR. Tant mieux si vous faites des efforts.Et qu'en savez-vous de mes efforts? Ça sort d'où ces projections de condamnation sans fondement?
Alors j'ai relu toute l'enfilade afin de reprendre vos propositions.
DictionnairErroné a écrit :
- il faudrait reformer l'aspect psychologique de la consommation. Consommé différemment, plus écologique, tout en gardant cette satisfaction et sens à la vie. Il faut changer de paradigme sur l'accumulation de biens et le compenser par autre chose.
- Pour étudier correctement la complexité des changements climatiques, sa source, sa solution, ça nécessite une étude multidisciplinaire. Des scientifiques de tout gabarit, dont des économistes, des psychologues, des philosophes, les sciences sociales, spirituelles, comportementales, etc... Parce que le changement climatique est causé par l'humain avant tout, il faut tenir compte de l'ensemble de l'être humain et non seulement de ses fractions.
- Par exemple, si au lieu d'acheter, nous louerions tout. Le coût serait moindre puisque les dépenses se feraient sur une plus longue période. Cela pourrait satisfaire la réalisation des désirs de la consommation. [...] C'est ici, il me semble qu'un think tank scientifique de toute nature devrait avoir pour tâche d'inclure, non seulement les données empiriques, mais également le facteur humain.
- Il faut en arriver à un équilibre où l’écosystème de la planète peut offrir un espace vivable pour la vie et le maintenir. [...] La consommation quantitative doit changer pour du qualitatif [...] C'est l'interaction entre l'écosystème écologique (naturel) et humain qu'il faut établir avant tout.
- L'écosystème industriel doit créer des regroupements industriels (parc industriel) où les matières premières, les déchets, le surplus, les résidus de productions puissent créer une symbiose entre eux. Modifier leur méthode de fabrication, le choix de produits chimiques, de matières premières, peuvent servir à leur micro-écosystème industriel (parc industriel) en partageant, en échangeant ce dont ils ont besoin.
- Plusieurs éléments de la culture boursière devront changer.
- La concurrence dans le marché de consommation pourra s'adapter en offrant des produits ayant une meilleure valeur qualitative ce qui fera baisser le coût de location puisque la pérennité de l'objet sera prolongée et générera plus de revenu, de profit, en relouant l'objet sur plusieurs générations. L'objet devra être retourné au fabricant, il devra le réparer, l'entretenir, et sera responsable de sa location, créant ainsi une boucle qui forcera le fabricant à ajouter de la valeur qualitative s'il veut maximiser ses profits.
- L'étude doit englober l'ensemble de l'écosystème y compris la psyché humaine, ses besoins, ses désirs, sa philosophie, sa capacité d'adaptation, sa spiritualité, etc.
- Je crois que oui avec certains préceptes comme une économie basée sur le qualitatif des objets de consommation au lieu de quantitatif.
- Il n'y a qu'un point commun ici et c'est la révolte, impossible de s'en sortir. Soyons réalistes, soyons la révolte! À vos drapeaux anarchistes.
- Alors j'élabore un peu plus ma pensée sur les facteurs de changement collectif par la pression sociale de la mauvaise conscience concernant l'écologie. En utilisant les facteurs d'apprentissage de la vie en société:
- La viande peut-elle sauver la planète? Un retour à la source, l'élevage de bétails dans des champs et non dans les parcs d'engraissement à haute densité chimique, l'agriculture régénérative pour faire moderne. Le problème soulevé par la production de viande n'est pas la viande elle-même, mais sa méthode de production actuelle au grand dam des véganes.
- Aucun changement bénéfique ne pourra se réaliser sans une expertise multidisciplinaire sous toutes ses formes. Pour le moment nous nageons dans l'ignorance la plus crasse.
- Il est nécessaire de poursuivre avec une communauté multidisciplinaire provenant de tous les domaines.
Vous avez toute une patiente, félicitations...Inso a écrit : 19 oct. 2019, 22:28 Alors j'ai relu toute l'enfilade afin de reprendre vos propositions.
En résumé, voici les deux principales :
- Faire des études multidisciplinaires pour comprendre et traiter le changement climatique.
- Reformer l'aspect psychologique de la consommation, changer de paradigme sur l'accumulation de biens. Grâce à un think tank scientifique de toute nature et en utilisant les facteurs d'apprentissage de la vie en société.
Ai-je loupé quelque chose ?
Sur ce point, j'avais poursuivi ma recherche. Certains textes démontrent plutôt que ce sont les rots qui émettent plus de méthane que les flatulences. D'autres prétendent que les antibiotiques augmentent le taux de méthanes émis. D'autres accusent la nourriture non naturelle pour les bovins. Pourtant, la problématique du méthane émis par les bovins est bien réelle.Inso a écrit : 19 oct. 2019, 22:28 (je passe sur quelques autres propositions du genre "allumer les pets des vaches à la sortie de leur cul pour réduire les émissions de méthane").
"Consommez vert!" Oxymoron?
Attendre des données supplémentaire parcequ'on n'est pas certain à 100% de ce qu'il va se passer est une méthode qui n'amène que l'immobilisme.DictionnairErroné a écrit : 20 oct. 2019, 00:03 Il nous est pratiquement impossible de saisir les conséquences des actions proposées, ainsi comment pouvoir appuyer une démarche ne sachant pas si elle est productive ou contre-productive. Il en va de même pour les voitures électriques avec de l'énergie fossile pour les recharger, les barrages hydroélectriques et ses conséquences géopolitiques au lieu du nucléaire.
Je ne vois pas comment il est possible de porter jugement sans connaissance, d'où des études multidisciplinaires rigoureuses. Pour le moment, c'est du n'importe quoi.
L'histoire (géologique) montre que oui (voir la grande oxydation par exemple)LePsychoSophe a écrit : 21 oct. 2019, 15:06 Peut-on dérégler un écosystème dont on fait partie et qui est à la base de ce que l'on est?
Il suffit participer à Extinction Rebellionmaxaler a écrit : 21 oct. 2019, 16:17 Bientôt 50 ans d'inaction politique, ça se fête!!!!!
Anne, ma sœur Anne, ne vois tu rien venir ?
Ou à des fondations comme celle de David Suzuki. Ce n'est pas qu'une question de dons, le bénévolat - activiste ou pas - est aussi encouragé.Inso a écrit : 21 oct. 2019, 18:12Il suffit participer à Extinction Rebellionmaxaler a écrit : 21 oct. 2019, 16:17 Bientôt 50 ans d'inaction politique, ça se fête!!!!!
Anne, ma sœur Anne, ne vois tu rien venir ?
Ben oui, et regardez ce que cela a donné!Inso a écrit : 21 oct. 2019, 18:05 Attendre des données supplémentaire parcequ'on n'est pas certain à 100% de ce qu'il va se passer est une méthode qui n'amène que l'immobilisme.
C'est une méthode qui empêche toute décision et qui est bannie de pratiquement tous les domaines (ex: en médecine, on n'oserait jamais sortir un nouveau médicament ou tenter une opération chirurgicale. Dans le domaine industriel, on ne ferait aucun investissement et on ne développerai aucun nouveau procédé. En marketing, on ne lancerai aucun nouveau produit...).
Non au contraire, je favorise le développement durable sous le principe du transfert de quantitatif vers le qualitatif. Vous êtes contre? Par qualitatif je ne parle pas uniquement de la qualité des produits, mais également de la qualité de vie, des transports, de la nourriture, de l'éducation, etc...Inso a écrit : 21 oct. 2019, 18:05 Ceci, plus toutes vos critiques (parfois féroces) de tout développement durable et de toute action pour le climat vous classe (pour moi) clairement parmi les climato-contraireux.
Vous avez au moins consulté leur site web? Ridicule et enfantin, aucune réflexion, aucune proposition. Croyez-vous que des hystériques ont les capacités mentales pour réfléchir adéquatement?
Ceci aura pour effet de réduire graduellement les investissements et l'augmentation du capital du secteur fossile vers de nouvelle orientation. Pour accélérer le processus, les gouvernements et les caisses de retraite (le peuple), devront désinvestir de ce secteur qui le rendra impropre à la consommation capitaliste.C'est un tournant majeur et nous commençons à voir des milliers de milliards de dollars d'actifs perdus dans le complexe mondial des énergies fossiles, souligne-t-il.
Les actifs perdus, ce sont les droits d'exploration (pétrolière et gazière) qui resteront inutilisés, tous les hydrocarbures qui ne seront jamais extraits, tous les pipelines qui seront abandonnés, les centrales électriques qui ne seront pas utilisées parce qu'elles ne seront jamais amorties.
Pour lui, le marché agit comme une force puissante dans cette évolution: 11 000 milliards de dollars se sont déjà rapidement détournés des énergies fossiles, les investisseurs ne voulant pas perdre leur mise, indique-t-il, relevant: la banque américaine Citigroup estime que nous pourrions voir 100 000 milliards d'actif perdus. C'est la plus grosse bulle de l'histoire économique.La «glocalisation»
https://www.journaldemontreal.com/2019/ ... ici-2028-1Avec ces infrastructures, des millions de personnes, d'associations, de petites entreprises pourront créer des coopératives pour leur énergie solaire et éolienne et réinjecter ce qu'elles n'utilisent pas dans un internet de l'énergie renouvelable de plus en plus numérisé qui pourra traverser les pays et même les continents. Exit donc la production d'énergie centralisée qui domine aujourd'hui.
Que ce passe t'il de si spécial depuis 30ans au juste? C'est depuis la domestication du feu que l'humains a un impact mangeur sur la planète, (et ce n'est même pas notre espèce qui l'a domestiqué)Jean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12
.... le "peuple" vient à peine de réaliser quelque chose. (Alors que la catastrophe est bel et bien en cours depuis plus de 30 ans. Pour le comprendre, il ne faut pas seulement considérer le réchauffement climatique mais l'ensemble des impacts humains sur la planète.)
L'économie humaine est basé sur la productivité depuis qu'on a aiguisé notre premier biface. Le progrès économique c'est précisément d'être capable de faire mieux avec moins tout simplement. En quoi cela est-il est problème selon vous?Ma propre réponse au "mais comment?" serait, pour faire une histoire très courte: a) en adoptant une autre mentalité vis-à-vis de l'économie. Une mentalité moins axée sur la pro-pro-pro-ductivité et plus sur les besoins réels,
La populophobie malthusienne habituel. Seul les non-démographe s'angoisse des prophétie de surpopulation global. Et les jeunes n'ont rien saisi, ont leur a rentré de force ses idées dans la tête avec 30 ans de propagande de pessimiste culturel beurré épais dans l'éduction national. Avez-vous le courage de rire comment vous souhaité instauré une tel dépopulation (épidémie? gouvernance mondial qui gère les naissances, stérilisation forcé?Jean-Francois a écrit : 19 oct. 2019, 15:12 b) en faisant décroitre la population humaine (ce que de nombreux jeunes ont saisi, au moins dans les pays riches),
Désoler de te dire cela JF mais je te lis depuis 15 ans et peut-etre que je me trompe mais je crois que tu commence à sombrer dans un boboisme de plus en plus ridicule depuis quelques temps.c) en acceptant que pour des réponses à des problèmes globaux, il faut accepter d'être moins "tribal" et plus planétaire.
Et on garde la banque ?Godfax a écrit : 21 oct. 2019, 10:32 J'ai vraiment beaucoup réfléchi à l'écologie et a ses implications politiquo-économique sur les prochains 500 ans et j'en suis venu à la ferme conviction qu'ont a simplement 2 choix face a cette idéologie, tout les autres vont mener à d'effroyable contradiction:
Le problème n’est pas là en fait, la productivité est devenu une idéologie basée sur un sophisme, le bonheur résulte d’une accumulation toujours croissante de richesses matérielles.Godfax a écrit : 22 oct. 2019, 03:08 L'économie humaine est basé sur la productivité depuis qu'on a aiguisé notre premier biface. Le progrès économique c'est précisément d'être capable de faire mieux avec moins tout simplement. En quoi cela est-il est problème selon vous?
Et ces mêmes pseudo-richesses aliénatoires finissent par nous posséder.Aggée a écrit : 22 oct. 2019, 12:15Le problème n’est pas là en fait, la productivité est devenu une idéologie basée sur un sophisme, le bonheur résulte d’une accumulation toujours croissante de richesses matérielles.Godfax a écrit : 22 oct. 2019, 03:08 L'économie humaine est basé sur la productivité depuis qu'on a aiguisé notre premier biface. Le progrès économique c'est précisément d'être capable de faire mieux avec moins tout simplement. En quoi cela est-il est problème selon vous?
Et on produit l'énergie comment? Avec du nucléaire...Lambert85 a écrit : 16 juil. 2019, 10:15 Tout à fait Denis.
Des lasers pourraient servir à réduire la radioactivité des déchets nucléaires.
Tu mélange les carottes avec les pommes. Le problème ici n'est pas la productivité mais bien la société de consommation: unique but de la civilisation occidental. C'est évidement un niaiserie épouvantable.Aggée a écrit : Le problème n’est pas là en fait, la productivité est devenu une idéologie basée sur un sophisme, le bonheur résulte d’une accumulation toujours croissante de richesses matérielles.
Le productivisme, intrinsèquement lié à la productivité, repose sur une quête exclusive et illusoire d’une production toujours plus grande, d’un pouvoir d’achat monétaire toujours plus élevé. Cet idéal à atteindre serait, pour un productiviste, le garant du bonheur de l’humanité, donc une meilleure productivité n’est pas obligatoirement synonyme d’un excès de productivité, cette dernière remarque pour reprendre votre exemple du silex mieux taillé, je ne mélange strictement rien du tout, désolé.Godfax a écrit : 22 oct. 2019, 19:48 Tu mélange les carottes avec les pommes. Le problème ici n'est pas la productivité mais bien la société de consommation: unique but de la civilisation occidental. C'est évidement un niaiserie épouvantable.