C'etait juste une tite boutade sur ton combat quotidien contre la misandrie.Kraepelin a écrit : Je n'ai jamais entendu parler de ça. Tu as une source un peu fiable?

C'etait juste une tite boutade sur ton combat quotidien contre la misandrie.Kraepelin a écrit : Je n'ai jamais entendu parler de ça. Tu as une source un peu fiable?
Pepejul a écrit : Je ne maîtrise pas assez l'anglais pour tout comprendre mais il semblerait en effet que la question des couvertures contaminées soit sujette à caution
+ 1 pour PardalisTraduction personnelle
Résumé
Dans cette analyse de la rhétorique de génocide employée au cours des années par Ward Churchill, un professeur d'études ethnique de l'Université du Colorado, une "douloureuse" conclusion est justifiée : Churchill commettait habituellement de nombreuses inconduites de recherche -- spécifiquement, la fabrication et la falsification. En reconnaissant "la politisation" du sujet et des données probantes d'autres atrocités commises contre des tribus amérindiennes autrefois, cette étude examine les versions différentes du récit de l'épisode "des couvertures de variole" publié par Churchill entre 1994 et 2003. "La prépondérance de preuves" suggère fortement que Churchill aurait fabriqué des événements qui ne seraient en réalité jamais arrivés à savoir: la distribution présumée par l'armée de terre des États-Unis des couvertures infestées par la variole aux Indiens Mandan en 1837. L'analyse révèle de plus que Churchill aurait falsifié les sources pour soutenir sa version fabriquée des événements et a aussi caché des données probantes dans les sources qu'il cite qui, en réalité, contredisent, plutôt que justifient, ses allégations de génocide.
Tous les historiens croient dans le respect de l'intégrité des sources historiques. Ils ne fabriquent pas de preuves. La contrefaçon et la fraude profanent la plupart des fondements de base sur lesquels les historiens construisent leurs interprétations du passé. Une contrefaçon non détectée sape non seulement les arguments historiques du faussaire, mais tout l'effort scientifique subséquent qui repose sur le travail du faussaire. Ceux qui inventent, changent, enlèvent, ou détruisent des preuves rendent difficile pour n'importe quel historien sérieux de ne jamais avoir complètement confiance de nouveau dans leur travail.
Déclaration de l'Association Historique américaine sur les Standards de Conduite Professionnelle. [1]
Ainsi, je remets un peu les choses en place. Mea-culpa. Ward Churchill, sur son récit des couvertures de variole. [2]
C'est moins la misandrie que les distorsions cognitives vers lesquelles certaines thèses féministes finissent parfois par débouler.spin-up a écrit : C'etait juste une tite boutade sur ton combat quotidien contre la misandrie.
Pour les guerres indiennes menées par les Américains (on parle ici de la moitié du XIXe siècle), je ne savais même pas que certains auteurs prétendaient faussement une guerre bactériologique. Ce que j'ai rapporté concerne la fin de la Guerre de 7 ans (XVIIIe siècle) avec Amherst (commandant britannique) qui a suggéré l'envoie de draps infectés aux Amérindiens rebelles de Pontiac en 1763. Personne ne sait si ce plan a fonctionné ou si il a été appliqué, la variole était déjà assez endémique chez les Amérindiens (The smallpox epidemic that had occurred during Pontiac's War spread to areas/groups such as the Lenni Lenape (Delaware) and Shawnee villages, killing as many as 400,000-500,000 Native Americans during and years after Pontiac's Rebellion.). Il n'y a avait pas d'observateur de l'ONU à l'époque...Pepejul a écrit :Merci pour la traduction très convaincante. Considérons donc que cet épisode des couvertures infestées volontairement n'est pas un fait? Je promets de ne plus le citer comme tel. Merci Kraepelin de m'avoir fait progresser dans ma connaissance de l'histoire de l’Amérique du Nord.
Donc, un colon, c'est un envahisseur plutôt qu'un immigré ?Pardalis a écrit :Vous essayez de les réduire à leur plus simple expression.unptitgab a écrit :N'ont ils pas migré d'un territoire vers un autre?
Un colon s'établit dans un territoire CONQUIS, il est incité pas son chef d'état, souvent monétairement, à établir une colonie qui a les mêmes lois que le pays colonisateur.
Peut-être parce que les "chrétiens noirs" peuvent difficilement être accusés de quoi que ce soit dans la période historique où ils étaient essentiellement des esclaves.Pardalis a écrit :Il a sciemment omit la contribution des colons Européens, et a accusé à tort les « Chrétiens blancs » de génocide. Il a précisé leur « race » blanche, comme si c'était un élément pertinent.
Le racisme est le racisme. Même connerie que ce soit contre les blanc ou les noirs. C'est une angle d'attaque pervers et dont il ne peut pas sortir quoi que ce soit de bon.Pardalis a écrit :Si le racisme contre les noirs existe, le racisme contre les blancs doit exister également.
N'importe quoi pour faire payer l'homme blanc pour la colonisation.Selon des courriels cités par le journal, le Centre pour étudiant-e-s ayant un handicap de la FÉUO s'inquiétait des «implications culturelles» d'un cours de yoga, une discipline créée par des peuples «qui ont expérimenté l'oppression, les génocides culturels et les exactions à cause du colonialisme et de la domination de l'Occident.»
Il y a la signification d'un mot et son usage. Voilà des dizaines d'années qu'on utilise le mot "racisme" pour désigner la haine ou le mépris appliqué à des personnes d'une autre couleur que celle majoritaire historiquement dans nos sociétés occidentales, donc de l'homme occidental blanc-caucasien vers les noirs, les asiatiques ou les maghrébins. l'expression "racisme anti-blancs" tient à marquer qu'ici le mot est utilisé à l'encontre d'une population qui n'est pas usuellement visée par ce mot.BeetleJuice a écrit :A part ça, c'est débile de parler de racisme anti-blanc, même si je sais que le terme fait fantasmer les extrémistes de droite. Le racisme tout court est un concept qui se suffit largement à lui même et qui peut être dirigé vers n'importe quel groupe désigné par un autre comme race.
Je pense surtout qu'il l'a précisé, d'abord parce que, comme le dit Jean7, ont peut difficilement parler de chrétien noir à cet époque et ensuite, parce qu'il est issus des USA, où les distinctions raciales sont assez courantes.Pardalis a écrit : Il a sciemment omit la contribution des colons Européens, et a accusé à tort les « Chrétiens blancs » de génocide. Il a précisé leur « race » blanche, comme si c'était un élément pertinent.
Je ne joue à aucun jeu. Le terme de racisme anti-blanc est un élément de langage de l'extrême-droite, sciemment inventé comme une parade à l'omniprésence de l'utilisation du terme racisme pour parler de la discrimination envers les noirs, de façon à en amoindrir la portée et à eux même se poser comme victime le cas échéant (en plus du sous-entendu authentiquement raciste qu'on peut y mettre).S'il vous plaît, ne jouez pas au petit jeu de Pepejul et de ses amis fascistes politically correct de lier quiconque qui parle de racisme anti-blancs à l'extrême droite. C'est une tactique pour étouffer le débat. On est sur un forum de sceptiques, c'est-à-dire de gens supposément adultes, sensés, et éduqués, on est capable de discuter de sujets tabous sans se faire traîter de nom.
Possible qu'il y ait une partie de ça, mais je pense que vous n'en faites pas la bonne interprétation. Derrière l'éventuelle "racialisation" de la question aux USA, il y a quand même un fond réel. Que les populations noirs fassent une généralisation abusive de leur problème pour trouver dans les blancs un bouc-émissaire n'enlève rien au fait que ces problèmes ont quand même une réalité qui, certes, n'est pas uniquement le fait d'un racisme qui existe néanmoins.Les émeutes raciales aux États-unis sont alimentées par une sentiment anti-blancss. Le mouvement Idle No More est alimenté par une sentiment anti-blancs.
Raciste, non, pas pour le moment. D'extrême-droite, ça se discute et ça dépend de la définition de l'extrême-droite selon les pays. En France, en tenant un tel discours, si vous seriez d'extrême-droite ou du moins dans la frange la plus conservatrice et radicale du parti de droite. Au Canada, je ne sais pas.Je ne dit rien de raciste ou « d'extrême droite » en affirmant cela.
Ca dépend grandement de la colonie et de l'époque. Le terme colonisation est polysémique et l'ensemble de ses sens n'ont en commun que la notion de migration d'un groupe détaché d'une métropole avec qui ils gardent un contact politique et/ou culturel. Mais ça ne compte que pour les primo-arrivant, ce qui advient de la colonie par la suite varie grandement selon les situation et toutes les colonies n'ont pas eu des situations de peuplement semblable.La majorité des habitants qui viennent par la suite proviennent de la même culture, du même empire colonial. Ils n'ont pas à s'intégrer, ils imposent leur culture et leurs lois déjà établies.
C'est une évidence. Cet argument ne joue pas en sa faveur, il a accentué une chose qui n'était pas utile de souligner.BeetleJuice a écrit :Je pense surtout qu'il l'a précisé, d'abord parce que, comme le dit Jean7, ont peut difficilement parler de chrétien noir à cet époque
Le racisme anti-blanc n'existe pas en dehors de ce contexte, selon vous?Je ne joue à aucun jeu. Le terme de racisme anti-blanc est un élément de langage de l'extrême-droite,
Je peux très certainement parler de racisme anti-blanc, et je ne devrais pas me faire accuser d'être d'extrême-droite pour cela.Et je ne vous accuse pas vous même d'être raciste, je vous dis simplement de faire gaffe aux termes que vous employez, parce qu'ils ont une histoire et un sens.
Vous ne lisez de toute évidence pas les médias américains.S'il y a pu avoir des appels à la suprématie noire ou à la vengeance contre les blancs, je n'ai pas l'impression que ça soit autre chose que marginal.
Encore une insinuation à la Pepejul. Je vous croyais plus intellectuellement honnête que ça.Raciste, non, pas pour le moment.
Quel discours?En France, en tenant un tel discours, si vous seriez d'extrême-droite ou du moins dans la frange la plus conservatrice et radicale du parti de
droite.
Et Michael Moore?Pour donner un point de vue que j'espère plus objectif, je dirais que l'extrémisme se caractérise d'abord par le refus plus ou moins complet du compromis, une vision essentialiste, voir fixiste de la société et un refus des nuances. Vous correspondez parfois au deux derniers points
Michael Moore parle des États-Unis, et il fait exprès de ne pas mentionner son passé colonial.BeetleJuice a écrit :Ca dépend grandement de la colonie et de l'époque.
Mes propos sont là, n'importe qui d'intelligent peut les lire et les comprendre correctement.Pepejul a écrit :Vous avez là la double opportunité de rectifier les mauvaises interprétations de vos propos
Votre question n'a aucun sens, est ennuyante, et n'a aucun rapport avec le sujet.Pepejul a écrit :Vous avez omis de répondre à cette question simple : de quoi pourraient être blâmés les colons blancs Nord Américains et qui ne serait pas interprété comme "racisme anti-blanc" ?
Non, c'est une question insipide, qui n'aucun lie avec les propos de Moore.Pepejul a écrit :C'est pourtant le cœur du sujet.
Voilà pourquoi je refuse de vous répondre. Vous mettez des mots dans ma bouche, des mots que je n'ai jamais prononcés.Si une critique des colons blancs apparaît illico presto comme du racisme anti-blanc
Effectivement, on ne peut pas discuter avec quelqu'un comme vous.il n'y a pas de discussion possible.
Oui, vous l'avez inféré.Pepejul a écrit :JE N'AI PAS DIT QUE VOUS L'AVIEZ DIT !
Vous n'êtes pas un interlocuteur honnête. Vous mentez, vous inventez, et vous ne vous excusez pas, refusez de voir vos torts.il faut vous calmer mon vieux.
A student at Columbia University is urging the school to inject more diversity into its required courses, claiming she suffered severe emotional trauma from reading too many books by and about white people [...]Aya attributed some of her academic troubles to the trauma of having to take Columbia’s current Core Curriculum, which requires students to take a series of six classes with a focus on the culture and history of Western, European civilization. Aya says this focus on the West was highly mentally stressful for her.
Et que voulez vous exprimer en donnant cet exemple?Pardalis a écrit :Un autre exemple aux État-Unis:
http://dailycaller.com/2015/11/20/colum ... te-people/
A student at Columbia University is urging the school to inject more diversity into its required courses, claiming she suffered severe emotional trauma from reading too many books by and about white people [...]Aya attributed some of her academic troubles to the trauma of having to take Columbia’s current Core Curriculum, which requires students to take a series of six classes with a focus on the culture and history of Western, European civilization. Aya says this focus on the West was highly mentally stressful for her.
Et si j'utilise l'expression "Grand Bon en Avant", allez-vous m'accuser d'être un maoïste?Pardalis a écrit :Je peux très certainement parler de racisme anti-blanc, et je ne devrais pas me faire accuser d'être d'extrême-droite pour cela.Et je ne vous accuse pas vous même d'être raciste, je vous dis simplement de faire gaffe aux termes que vous employez, parce qu'ils ont une histoire et un sens.
Non,Pardalis a écrit :Vous ne lisez de toute évidence pas les médias américains.
Le mouvement social «blacklives matter» est extrêmement raciste.
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit