On peut quand même nuancer ça. C'est principalement le salafisme qui pose problème en mettant l'accent sur tout ce qui est expansionniste et violent dans le Coran et en exportant bien sûr cette violence.uno a écrit :Non désolé mais on peut légitimement craindre l'Islam y compris la manière dont celle-ci semble être source d'instabilité sociale car favorisant la ségrégation culturelle et n'étant pas simplement une religion mais également bel et bien une idéologie politique.
D'accord pour dire que c'est pareil dans la Bible, question violence et que donc il n'y a pas de raison de stigmatiser les musulmans dans leur ensemble. Mais alors, il faudrait dans le même temps vraiment accuser ce qui doit l'être. Et malheureusement je ne vois que de timides critiques envers l'Arabie Saoudite et les Emirats, qui sont en train de polluer le monde entier en ralliant de plus en plus de musulmans (pas seulement, d'ailleurs) à leur cause mortifère.
Cette secte, soutenue par une masse de fric dont profitent un tas de corrompus en costards qui se disent fiers d'être laïcs, doit absolument être dénoncée, mais qui va le faire ?
A un moment, il faut avoir le courage d'accuser les vrais coupables et arrêter de continuellement repousser les limites d'un antiracisme qui ne veut déjà plus rien dire. Parce que là, on est encore et toujours dans la même rengaine qui consiste à montrer du doigt des "islamophobes" qui n'auraient aucun cœur face aux gentils humanistes (des humanistes soutenus et manipulés éventuellement par le pognon des Saoud, via des groupes de presse qui partagent toutes sortes d'intérêts financiers avec eux).
Malheureusement, c'est pas demain la veille que les journaleux vont inventer le terme de salafistophobie et de le légitimer auprès du public.
Maintenant, il existe évidemment d'autres groupes sectaires et politiques inquiétants dans l'Islam, comme les Frères Musulmans ou le Hezbollah, mais ils restent locaux. Seul la salafisme a un but essentiellement expansionniste déclaré et effectif. Allié à la puissance de l'argent et des médias, c'est imparable.