miteny80 a écrit : 10 avr. 2021, 16:02Non, je n'ai pas dit qu'il fallait autre chose pour avoir mal
S'il ne faut pas "autre chose", c'est que le corps suffit. Manifestation d'incohérence ou d'incompréhension de ce qu'autrui lui dit?
a priori, ce sont les processus biologiques mises en œuvre dans tout le corps par l’altération physique de ce dernier qui engendrent la douleur qu’une personne ressent lorsqu’elle se fait mal
C'est mal dit mais pas trop faux. Il ne lui reste plus qu'à comprendre comment on en est arrivé à cet "a priori". Ensuite, il lui faudra comprendre en quoi son expérience de pensée est foireuse et ne démontre absolument pas la nécessité d'ajouter des liens métaphysiques avec "dieu". Il lui faudra réaliser en quoi postuler de tels liens n'a rien à voir avec la science. Là, peut-être qu'il envisagera légèrement que l'existence de dieu n'est pas aussi évidente que le soleil.
Comme il encore prêt à radoter ce qui est déjà montré foireux au début de cette enfilade (montrant ainsi qu'il ne fait attention à rien), on s'enligne pour encore 30-40 ans d'incapacité à saisir ce que de nombreuses personnes lui disent depuis plus de 10 ans.
Pour changer de disque, il faudrait qu'il ne radote pas sottement:
"Es tu d'accord avec le fait que la prédiction A correspond au modèle matérialiste énoncé plus haut ?"
Mais qu'il se demande plutôt deux choses:
- ce qui lui permet de poser son hypothèse
- comment va-t-il vérifier que la personne frappée ressent de la douleur (ou pas).
Son expérience de pensée n'utilise
pas la méthode scientifique. Comme toute personne normalement constituée, les scientifiques disposent d'un moyen de vérifier l'hypothèse** que si on frappe une personne, cette personne va avoir mal: ils observent le résultat en enregistrant les signaux de douleur non-verbaux de la personne et en lui demandant si elle ressent de la douleur. Et, contrairement à Miteny, ils ne nient pas les résultats.
Non seulement l'expérience de pensée de Miteny ne tient pas compte des résultats mais, pire, elle se base sur une négation de ces résultats. Miteny refuse de tenir compte qu'on peut observer la douleur chez une autre personne sous le prétexte (stupide) qu'on ne la ressent pas exactement comme cette personne la ressent. Tant qu'il s'en tient à tenir sa prédiction pour vraie en faisant l'impasse sur le fait que l'on peut observer qu'une personne autre que nous souffre, il ne pourra assimiler à quel point son raisonnement est foireux.
En plus, contrairement aux scientifiques, Miteny refuse de soumettre ses idées
à l'expérimentation. Ce faisant, il montre qu'il est plus dogmatique que scientifique.
miteny80 a écrit : 10 avr. 2021, 16:10Jean-François a si peur de mon brillant raisonnement qu'il refuse tout dialogue maintenant
Ne pas accepter un raisonnement foireux en
démontrant en quoi il est foireux est avoir peur de ce raisonnement

La vérité est que je constate bien que Miteny définit "dialoguer" comme "répéter ce que Miteny dit, comme il le dit" car Miteny est totalement inapte à un véritable dialogue: il est incapable de comprendre et donc de tenir compte de ce que d'autres personnes lui disent.
Surtout que vous racontez effectivement n'importe quoi
Quelle prouesse dans l'argumentation... dommage qu'elle ne montre absolument pas comment le "brillant (dé)raisonnement mitenesque" ne pourrait être appliqué
à la vision voire à la vie intellectuelle des méduses.
[Ajout: si on suit la manière de (dé)raisonner de Miteny, on devrait penser que les optométristes sont incapables de prescrire de lunettes à leurs clients parce qu'ils ne voient pas exactement ce que leurs clients voient (i.e., comme s'ils avaient la conscience visuelle de leurs clients). Et on devrait trouver cette idée "brillante"

]
Jean-François
* Accepter que ça n'est qu'une hypothèse est déjà une grosse concession au raisonnement foireux
