Re: VIOLENCE FAITE AUX FEMMES: LA FIN DES MYTHES
Publié : 23 nov. 2020, 21:00
Paypal est relativement sûr même sans compte PP sinon, tu peux contacter JP Krivine en MP pour en parler.
Débattons sans nous battre !
https://forum-sceptique.com/
Jean7, pourrais-tu donner un coup d'oeil à la réaction de cette journaliste. Je ne sais pas si tu es du Québec, mais ''le Devoir'' est un journal prisé par les universitaires et très reconnu.Kraepelin a écrit : 23 nov. 2020, 19:46Et c'est bien ce qui s'est produit: Exemple particulièrement représentatifHorus a écrit : 23 nov. 2020, 07:55Le rapport de Bergeron sur les "violences sexuelles" dans les universités a été interprété comme si les universités étaient dangereuses pour les femmes. Les médias s'en sont fait l'écho, sans le critiquer ni voir les failles de sa "recherche".Cogite Stibon a écrit : 22 nov. 2020, 18:03 Bref, le rapport PIECES comporte de sérieuses limitations méthodologiques, qui limitent l'usage que l'on peut faire de ses résultats. Mais il n'y a pas non plus de quoi déchirer sa chemise et crier au complot féminazi.
Cogite
...
En parlant de doctrine, sur un site chrétien:Kraepelin a écrit : 22 nov. 2020, 23:59 Je savais que la plupart des sceptiques québécois étaient très critiques face à bien des points de "doctrine"...
... la Bible dit dans 1 Corinthiens 11 : 3 (LSG) « Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. » Clairement, Paul nous fait comprendre une certaine hiérarchie et la conduite à tenir en termes de soumission. En la respectant, il te sera moins difficile d’aimer ta femme, même si elle n’est pas encore soumise.
Oh! Que la condition féminine s'est améliorée avec l'éloignement de la religion! Mais il y a quand même des femmes qui tiennent mordicus à leur voile de soumission...Si avec l’arbre, il faut un peu de patience pour aboutir à le terrasser, avec ta femme il faut encore plus de ... pour saluer les faibles commencements. Dès que tu vas constater que ta femme commence par faire de petits pas, il faut redoubler d’ardeur dans l’action de ... et continuer ... pour elle. Rappelle-toi, Jésus-Christ a dit à Ses apôtres qu’il y a des démons qui ne sont chassés que par la ... donc il te faut un peu d’efforts comme dans le cas de l’abattage de l’arbre incommodant.
Je ne suis pas au Québec et je n'y suis pratiquement jamais allé.Phil_98 a écrit : 23 nov. 2020, 21:06Jean7, pourrais-tu donner un coup d'oeil à la réaction de cette journaliste. Je ne sais pas si tu es du Québec, mais ''le Devoir'' est un journal prisé par les universitaires et très reconnu.Kraepelin a écrit : 23 nov. 2020, 19:46Et c'est bien ce qui s'est produit: Exemple particulièrement représentatifHorus a écrit : 23 nov. 2020, 07:55Le rapport de Bergeron sur les "violences sexuelles" dans les universités a été interprété comme si les universités étaient dangereuses pour les femmes. Les médias s'en sont fait l'écho, sans le critiquer ni voir les failles de sa "recherche".
...
Merci. Mais, je ne comprends pas tout à fait. J'ai dit que le rapport de M. Bergeron était biaisé.jean7 a écrit : 25 nov. 2020, 02:33 ...
Bon, voilà, je n'en pense donc rien de bien extraordinaire, j'en ai peur.
Sur les biais du rapport, ma position était que, au vu des biais que j'ai vu "dénoncés" ici, il n'était pas très juste de parler de biais.Phil_98 a écrit : 25 nov. 2020, 03:01 J'ai dit que le rapport de M. Bergeron était biaisé.
Penses tu qu'il n'y a rien de bien extraordinaire dans ce rapport ?
Hummm! Pour un passé récent, tu as raison. La mise aux oubliettes de la religion a amélioré la condition de la femme. Sur un recul de mille ans, par contre, tu te trompes. Régine Pernoud a écrit plusieurs livres sur le sujet. Selon elle, le christianisme aurait représenté une avancé considérable pour les femmes en ce qui regarde leurs droits et leur statut.Horus a écrit : 25 nov. 2020, 01:17
Oh! Que la condition féminine s'est améliorée avec l'éloignement de la religion! Mais il y a quand même des femmes qui tiennent mordicus à leur voile de soumission...
C'est assez conforme aux idées de Saint Paul. Au Québec aussi ont entend encore parfois ce genre de chose dans les milieux fondamentalistes. L'hivers dernier, une amie (baptiste) de ma femme voyant qu'elle me contredisait sur un sujet anodin lui a conseillé d'obéir à son mari (moi) pour assurer la paix dans le foyer. J'ai trouvé ce conseil très drôle. Ma femme a eu une autre réaction ...Horus a écrit : 25 nov. 2020, 01:17 N.B.: J'ai enlevé certains mots pour donner au texte une coloration plus négative, mais vous conviendrez que la comparaison de la soumission de la femme à l'abattage d'un arbre...![]()
Franchement! C'est pas mal fort!![]()
Merci au webmestre!L’inconduite sexuelle : nouveau visage du moralisme sexuel occidental
Lors d’une conférence donnée le 5 décembre 2019 au Centre humaniste, la docteure Eve Seguin a abordé le problème du moralisme sexuel et des dérives engendrées par le renouveau du moralisme dans nos sociétés occidentales. Alors que l’objectif avoué de ce néo-moralisme et des campagnes de dénonciation des agressions sexuelles est de punir les agresseurs et de protéger les femmes, les effets réels sont plutôt de rendre le sexe dangereux, de masquer l’oppression systémique des femmes et de limiter leur liberté sexuelle. De plus, les codes de conduite développés dans la foulée de ces campagnes favorisent leur victimisation et leur infantilisation, alors que les femmes doivent plutôt apprendre à s’affirmer collectivement.
L’Université du Québec à Montréal (UQAM) vient d’adopter une des politiques les plus progressistes contre les violences sexuelles, qui comporte toutefois des reculs par rapport aux propositions d’un comité chargé de rédiger ce plan attendu depuis des années.
Des voix dissidentes soulignent toutefois que le document soumis au conseil d’administration de l’UQAM, mercredi soir, différait de la proposition faite par le comité
Et la meilleure pour la fin :Une grande demande des « survivantes » de violences sexuelles a ainsi été éliminée du document final : celui de divulguer les sanctions dont écopent les personnes fautives.... Des victimes d’agression ont souvent fait valoir que les sanctions imposées aux auteurs d’inconduite sexuelle font partie du processus de guérison.
C'est moi qui souligne.Quatre sièges ont été enlevés aux étudiants dans ce comité et confiés à des membres nommés par la direction. (« Étant donné toutes les responsabilités qui sont données à ce comité, on a jugé important qu’il comporte plus de membres de l’administration », explique Louis Baron, vice-recteur au développement humain et organisationnel de l’UQAM).
Le fléau de 2017... c'est ce qui a débuté toute cette affaire et c'est la fameuse enquête de Bergeron dans les universités. C'est encore elle qui a fait la dernière enquête dans les CEGEP. C'est donc une répétition.LoutredeMer a écrit : 25 nov. 2020, 14:47 Et voilà que vous ressortez encore cet article de 2017 sur le "fléau"... Kraepelin l'a sorti ici il y a trois ans... C'est le seul que vous avez? (et que les puritains et consorts veuillent s'emparer de l'affaire n'a rien de surprenant, evidemment, on enfonce des portes ouvertes).
1) Soulignons ici le mot survivantes... La majorité des violences dont parle le groupe de Bergeron sont mineures et non violentes: sifflements, regards, frolements. Mais celles qui les ont subi sont des survivantes.LoutredeMer a écrit : 25 nov. 2020, 14:47 Cela dit, la réalité récente est peut-être différente de ce que vous dénoncez et il serait bon de s'y attacher non?... Ici, un article du Devoir de 2019 :
Une grande demande des« survivantes » de violences sexuelles a ainsi été éliminée du document final : celui de divulguer les sanctions dont écopent les personnes fautives.... Des victimes d’agression ont souvent fait valoir que les sanctions imposées aux auteurs d’inconduite sexuelle font partie du processus de guérison.
C'est quoi le problème ici? Doit-on laisser des étudiantes déterminer les peines pour des agressions souvent mineures? Et les divulguer sur la place publique? Pour les agressions majeures, il y a les tribunaux...Quatre sièges ont été enlevés aux étudiants dans ce comité et confiés à des membres nommés par la direction. (« Étant donné toutes les responsabilités qui sont données à ce comité, on a jugé important qu’il comporte plus de membres de l’administration », explique Louis Baron, vice-recteur au développement humain et organisationnel de l’UQAM).
N'est-ce pas étrange que ce soit l'université où loge l'équipe de Bergeron qui a été la dernière à mettre en place sa politique? Possiblement parce qu'ils savent mieux que les autres universités jusqu'à quel point son enquête était bidon et jusqu'à quel point ses résultats étaient exagérés!L’UQAM est la dernière université à terminer cette tâche qui avait commencé en 2014, bien avant l’obligation légale faite aux universités.
Il faut aussi souligner l'amélioration de la condition féminine au début de l'Islam. Le prophète Muhammad avait mis fin aux exécutions des filles nouvelles-nées. Il avait aussi dit que les femmes ne pouvaient être battues que si les autres moyens ne fonctionnaient pas (ignorance et privation de sexe).Kraepelin a écrit : 25 nov. 2020, 06:19Hummm! Pour un passé récent, tu as raison. La mise aux oubliettes de la religion a amélioré la condition de la femme. Sur un recul de mille ans, par contre, tu te trompes. Régine Pernoud a écrit plusieurs livres sur le sujet. Selon elle, le christianisme aurait représenté une avancé considérable pour les femmes en ce qui regarde leurs droits et leur statut.Horus a écrit : 25 nov. 2020, 01:17
Oh! Que la condition féminine s'est améliorée avec l'éloignement de la religion! Mais il y a quand même des femmes qui tiennent mordicus à leur voile de soumission...
Bof.
Ces arguments étaient très à la mode il y a une vingtaine d'années pour promouvoir le côté "avancé" de l'islam par rapport à l'époque pré-islamique. Je me souviens aussi d'un article du "Monde" sur la curiosité orientaliste "exotique" du mariage provisoire en islam ou "mut'a": puisque les relations hors-mariage sont punies par la loi dans les pays musulmans (comment font les adolescents ?) les hommes peuvent contracter des mariages provisoires avec des femmes pour des relations sexuelles avec une naissance d'enfant possible qui héritera des parents. Ces mariages n'ont pas une nature juridique claire (il faut un contrat reconnu par un tribunal musulman pour que la femme puisse prouver que son enfant soit né dans le mariage et le futur mari doit apporter une dot). L'article mettait en avant le cadre souple du mariage entre l'homme et la femme pour un plaisir charnel immédiatement applicable.Horus a écrit : 25 nov. 2020, 15:51 Il faut aussi souligner l'amélioration de la condition féminine au début de l'Islam. Le prophète Muhammad avait mis fin aux exécutions des filles nouvelles-nées. Il avait aussi dit que les femmes ne pouvaient être battues que si les autres moyens ne fonctionnaient pas (ignorance et privation de sexe).
Mais ces améliorations sont aussi teintées d'épisodes sanglants, avec lapidation des femmes adultères et chasses aux sorcières.
Très pratiqué dans le chiisme, le mut'a est condamné en principe par les sunnites (déconseillé sur ce site de Hadith car pratiqué par les chiites) même s'il existe quand même en Arabie Saoudite. Depuis l'intervention des chiites en Syrie (Hesbollah libanais, milices iraniennes), le nombre de mut'a est en hausse et inquiète les assocations du droit des femmes selon cet article de "Libération" du 14 juillet 2018:Wikipédia a écrit :Cette pratique est souvent considérée comme une couverture pour la promiscuité ou la prostitution. Cette forme de mariage permet de contourner les interdits liés à l'acte sexuel hors mariage. L'association avec la prostitution est accentué par le fait que le temps de continence après un divorce peut facilement être supprimé dans le cas des mariages temporaires et la femme peut se remarier immédiatement.
D'autres articles sur ce qui est vu comme une oppression patriarcale ou pasLibération a écrit : Les «contrats de mariage de plaisir» fleurissent en Syrie
La mention «contrat de mariage de plaisir» figure bien en tête du document daté du 2 mars 2018 à Alep. Les noms des deux époux et leurs signatures en bas de la feuille ont été effacés au Tipp-Ex mais leurs dates de naissance (1988 pour l’homme et 1994 pour la femme) sont bien visibles. Conclu pour une durée de «15 jours» et contre «une dot de 100 000 livres syriennes» (160 Euros), l’union impliquant «l’ensemble des droits conjugaux» est visée par deux témoins, représentant respectivement chacun des époux.
La publication il y a dix jours par le site d’information syrien Horrya.net de la copie d’un acte de mariage temporaire conclu par une agence spécialisée à Alep a suscité un nouvel émoi autour de cette pratique. Appelée Sigheh en Iran et autorisée chez les chiites, cette union temporaire est strictement proscrite dans l’islam sunnite majoritaire qui l’assimile à la fornication (zina), car elle équivaut à autoriser les rapports sexuels hors mariage. La pratique s’est répandue ces dernières années dans plusieurs pays arabes, notamment en Irak et en Syrie, dans les zones sous l’influence des milices chiites iraniennes. Elle consiste à contracter un mariage musulman pour une durée déterminée convenue entre l’homme et la femme. Une union allant d’une heure minimum, à un jour, une semaine, et jusqu’à 99 ans au maximum, et pouvant être immédiatement consommée.
Bénéfices rapides
Les révélations de Horrya.net portent sur l’ouverture à Alep-Est de plusieurs agences matrimoniales dédiées au mariage temporaire. Dans les quartiers populaires de la ville du nord syrien reconquise par le régime de Bachar Al-Assad grâce aux forces de son allié iranien en décembre 2016, ces «bureaux» discrets sont parfois installés dans les locaux d’anciennes agences immobilières. Celles-ci se sont reconverties dans une activité plus adaptée aux circonstances et dégageant des bénéfices plus rapides à l’heure où le marché immobilier n’est pas florissant dans la ville dévastée. Elles sont gérées par les milices chiites du Hezbollah libanais ou irakiennes et bénéficient à leurs hommes. Les agences proposent sur-le-champ au nouveau couple la location d’appartements pour consommer le mariage.
Le marché s’est développé du fait des nombreuses jeunes femmes célibataires ou veuves dans le besoin, favorisant la multiplication de ces contrats depuis le début de l’année. Contre des sommes variant entre l’équivalent de 20 à 50 euros par jour, avec des tarifs dégressifs selon la durée du mariage, les Syriennes démunies acceptent un gain ponctuel. Car ce type de mariage ne donne aucun droit à un héritage ou à une pension. Et si théoriquement les enfants nés d’une telle union doivent être reconnus par le père, il est souvent difficile de retrouver ce dernier.
Certificat médical
Plus récente en Syrie, courante en Iran et au Liban parmi les chiites, la pratique est implantée depuis plusieurs années en Irak. «L’organisation de la route de la croyance», spécialisée dans le «mariage de plaisir», est une agence matrimoniale installée dans le quartier chiite de Kazymyah sur les bords du Tigre. Sur sa page Facebook qui présente l’adresse et la photo de son bureau, les «femmes volontaires sont appelées à s’inscrire sur la page ou à se rendre dans les locaux auprès de Mme Kawthar Al-Jabiri». Elles doivent fournir leur nom, âge, photo et numéro de téléphone ainsi qu’un certificat médical attestant qu’elles n’ont pas de maladies. Parmi les règles du mariage détaillées sur la page figurent les conditions pour une fille vierge, qui doit avoir l’assentiment de son «tuteur».
L’institutionnalisation du mariage de plaisir longtemps dénoncé pour des raisons religieuses et morales inquiète de plus en plus les défenseurs des droits des femmes dans les pays concernés. Elle est perçue comme une prostitution déguisée qui profite de la situation des femmes les plus vulnérables.
https://www.liberation.fr/planete/2018/ ... ie_1666412
Je ne me rappelle plus où, mais vous référiez aux nombres de places dans les refuges pour femmes par rapport à la violence et autres attributs. J'ai trouvé un rapport dans de 2014, rien de plus récent.
Statistique Canada fait un portrait des maisons d'hébergement de façon périodique, mais c'est vrai que ce n'est souvent pas facile à trouver et en plus Statiistiques Canada "archive" rapidement certains des ses rapports.DictionnairErroné a écrit : 24 mars 2021, 14:46
Je ne me rappelle plus où, mais vous référiez aux nombres de places dans les refuges pour femmes par rapport à la violence et autres attributs. J'ai trouvé un rapport dans de 2014, rien de plus récent.
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Je crois aussi que ce serait plus juste et plus clair de réserver les maisons d'hébergement aux femmes vraiment en "danger" et d'ouvris d'autres ressources pour les autres cas sociaux. Malheureusement, les maisons d'hébergement drainent vraiment beaucoup d'argent, de l'argent qui autrement serait orienté vers le logement social.DictionnairErroné a écrit : 24 mars 2021, 14:46
À première vue, les places réservés dans les refuges pour femmes ayant autre que la violence comme raison devrait plutôt être référée à l'organisme FRAPRU par exemple et augmenter ses subventions, logements sociaux, temporaires, etc. Ils sont le mieux placés pour le faire ayant les connaissances et l'expertise. Nous avons des organismes qui compétitionnent pour le même argent.
Durant des crises comme le covid où le confinement augmente la demande d'hébergements, pourquoi ne pas utiliser un service comme AIRbnb pour le court à moyen terme quand il n'y a plus de place nulle part. Il y en a partout du locatif temporaire, c'est plein! Nous ne savons même pas qu'elle est l'ampleur réelle. Les slogans comme arguments ça ne vaut strictement rien pour résoudre un problème.Kraepelin a écrit : 24 mars 2021, 15:05 Je crois aussi que ce serait plus juste et plus clair de réserver les maisons d'hébergement aux femmes vraiment en "danger" et d'ouvris d'autres ressources pour les autres cas sociaux. Malheureusement, les maisons d'hébergement drainent vraiment beaucoup d'argent, de l'argent qui autrement serait orienté vers le logement social.
Il y a aussi les Hotels et le Motel actuellement "désers" qui pourraient dépanner provisoirement. Ce serait quand même mieux que de gérer les morts ou des emprisonnement préventifs injustifiés.DictionnairErroné a écrit : 24 mars 2021, 15:25
Durant des crises comme le covid où le confinement augmente la demande d'hébergements, pourquoi ne pas utiliser un service comme AIRbnb pour le court à moyen terme quand il n'y a plus de place nulle part. Il y en a partout du locatif temporaire, c'est plein! Nous ne savons même pas qu'elle est l'ampleur réelle. Les slogans comme arguments ça ne vaut strictement rien pour résoudre un problème.
Par exemple à Montréal, je viens de faire une recherche, il y a 300 logements locatifs AIRbnb disponibles maintenant pour une semaine, un adulte et deux enfants.
Ce sont de bonnes suggestions. Mais à Québec, ça dort au gaz presque qu'à tous les niveaux. En enseignement primaire et secondaire, il n'y a aucun leadership. Zéro. Néant. Les profs ne savent pas où se garocher actuellement. Même si tout le monde est vacciné, la rentrée en septembre va être pénible pour nos jeunes avec le manque de profs à prévoir. Il y en a une bonne gang qui ne reviendra pas l'an prochain.Kraepelin a écrit : 24 mars 2021, 16:04Il y a aussi les Hotels et le Motel actuellement "désers" qui pourraient dépanner provisoirement. Ce serait quand même mieux que de gérer les morts ou des emprisonnement préventifs injustifiés.DictionnairErroné a écrit : 24 mars 2021, 15:25
Durant des crises comme le covid où le confinement augmente la demande d'hébergements, pourquoi ne pas utiliser un service comme AIRbnb pour le court à moyen terme quand il n'y a plus de place nulle part. Il y en a partout du locatif temporaire, c'est plein! Nous ne savons même pas qu'elle est l'ampleur réelle. Les slogans comme arguments ça ne vaut strictement rien pour résoudre un problème.
Par exemple à Montréal, je viens de faire une recherche, il y a 300 logements locatifs AIRbnb disponibles maintenant pour une semaine, un adulte et deux enfants.
Si nous regardons le salaire et la précarité des emplois des enseignants aux primaires et secondaires, ce n'est pas la panacée à moins d'atteindre un certain niveau d'ancienneté. Syndicalement parlant, ce n’est pas fort. Normalement, travail égal salaire égal ne s'applique pas, il y a semble-t-il 17 échelons salariaux pour atteindre le maximum. Ça devrait créer un effet d'injustice. Le statut précaire est tout de même très élevé, autour des 40% selon un autre article, ça n'aide sûrement pas. Les réformes?Christian a écrit : 24 mars 2021, 21:59 Ce sont de bonnes suggestions. Mais à Québec, ça dort au gaz presque qu'à tous les niveaux. En enseignement primaire et secondaire, il n'y a aucun leadership. Zéro. Néant. Les profs ne savent pas où se garocher actuellement. Même si tout le monde est vacciné, la rentrée en septembre va être pénible pour nos jeunes avec le manque de profs à prévoir. Il y en a une bonne gang qui ne reviendra pas l'an prochain.
Non.Kraepelin a écrit : 06 oct. 2021, 15:23 je remarque juste que cette hypothèse est plus facilement retenu lorsqu'il s'agit d'une femme que lorsqu'il s'agit d'un homme.
C'est un fait bien établie et pas juste pour l,alination mentale. À crime égal, presque toutes les peines sont moins sévères. Je croyais que tu le savais.
En cour Criminelle, être une femme c'est "winner". C'est même mieux qu'être blanc comme le montre les statistique comparativesPrésentant les résultats d’un examen des effets distincts du sexe, le tableau 4.8 indique que le sexe de l’accusé influe sur l’issue de diverses étapes du processus pénal. Premièrement, les résultats du modèle 3 montrent que, parmi les accusés, les hommes étaient plus souvent déclarés coupables à l’issue d’un procès que les femmes. En outre, selon les résultats du modèle 5, la probabilité globale de condamnation s’avérait plus élevée chez les hommes que chez les femmes, et, d’après le
modèle 6, les hommes étaient plus susceptibles que les femmes d’être trouvés coupables de meurtre au premier ou deuxième degré, les deux infractions les plus graves. Enfin, en examinant les résultats du modèle 7, on constate que les hommes recevaient plus souvent une peine de ressort fédéral. Par ailleurs, le sexe de la victime revêt également de l’importance à toutes les étapes du processus pénal, à une exception près. Tout d’abord, quand la victime était un homme, l’accusé était moins souvent accusé de meurtre au premier degré (modèle 1) et subissait moins souvent un procès (modèle 2), comparativement aux affaires où la victime était une femme. Ensuite, toujours dans les cas où l’on avait affaire à une victime de sexe masculin, on observe que, parmi les accusés acquittés (modèle 4), on comptait moins de personnes déclarées non criminellement responsables pour cause de troubles mentaux. En outre, les personnes accusées d’avoir tué un homme étaient globalement plus susceptibles d’être condamnées (modèle 5), mais risquaient moins d’être reconnues coupables de meurtre (modèle 6) que celles accusées d’avoir provoqué la mort d’une femme. Enfin, au chapitre de la détermination de la peine, les premières étaient moins nombreuses à être condamnées à
l’emprisonnement dans un établissement fédéral (modèle 7) et se voyaient imposer des peines plus courtes (modèle 8) que les secondes.
Il est donc clair, à la lumière de ces résultats, que le sexe de la victime et celui de l’accusé constitue
des facteurs déterminants dans le cadre du processus pénal.
En effet, ce n'est pas gogo non plus de passer des années en institution psychiatrique ! Mais, qu'est-ce que ça change à mon l'objet de mon affirmation? La perception est quand même différente à cause des préjugés!spin-up a écrit : 06 oct. 2021, 16:37 ... un verdict de non responsabilité criminelle pour troubles mentaux entraine en moyenne une détention plus longue qu'un verdict penal.
Tu ne parles pas de la meme chose...Kraepelin a écrit : 06 oct. 2021, 18:02 C'est un fait bien établie et pas juste pour l,alination mentale. À crime égal, presque toutes les peines sont moins sévères. Je croyais que tu le savais.
Bah ca change tout. Tu affirmes que les femmes ont un traitement de faveur, alors que ce n'en est pas un.Kraepelin a écrit : 06 oct. 2021, 18:02 En effet, ce n'est pas gogo non plus de passer des années en institution psychiatrique ! Mais, qu'est-ce que ça change à mon l'objet de mon affirmation? La perception est quand même différente à cause des préjugés!
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Si.