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Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 03 déc. 2012, 12:34
par glevesque
Salut
Perso, tout ce qu'il me faut pour soulager mon imagination au besoin, c'est d'imaginer qu'elle utilise la hasard pour fonctionner, car c'est bel et bien ce que je crois.
Tu utilise le mot hasard dans ta rhétorique comme simple racourcis ! Et je le concois, vut de la difficulter de comprendre tout les paramaitres cérébraux et neurologiques qui sont impliquer et qui sont encore en grande partie inconnu.

Mais l'imagination est une propriété associative émergente qui est sous l'emprise de la subjectivité, et non l'inverse. L'imagination conceptualise l'abstraction via les expériances subjectives autobiographique. Ce que tu décris comme hasard, ne serait en fait, qu'un mélange instinctif (automatisme hérité du couplage de réseaux de gène cérébraux de développement, et acquis de manière de renforcement électro-mécanique qui découle de l'adaptation évolutive), c'est-à-dire découlant des propriétés d'embranchement des réseaux et sous réseaux neuronnaux et des neuronnes entres eux, et ayant la capacité de faire des amalgames associatives et complexes d'encartages cérébrale (émergence de nouvelle image mentale élaborer par l'embranchement des différents cortex associatifs) !

Mais ici, cette propriété de rétroaction de controle sur certaines propriétés de connection seraient, selon toi, sous l'emprise de propriété émergente de la subjectivité qui se connait comme étant le sujet ! Une propriété émergante, pouvant rétroagire sur la mécaniciel électrochimique du cerveau, peut ici être retacher a une mécanique du hasard, mais ne peut être en même temps tributaire entièrement d'elle !

Ici, le hasard cache tout simplement notre incompréhension de tout ceci, mais il ne peut a lui seul expliquer la cohérence et la continuité du sentiment subjectif relié à la connaissance d'être et d'expérimenter ! L'imagination découle plus de la subjectivité abstraite, qui lui offre la mécanique électochimique du cerveau dans les différentes relation dynamique d'encartage cérébrale, et cette mécanique des possibles de base matériel en est les effets et non la cause, de ce qui va ensuite émerger de manière subjectif !

Ce n'est pas l'attribut matière qui est doté d'imagination, mais bien de l'un des attribus de ce qui a et va émerger ! Bien que la mécanique électrochimique de base, innées ou acquisent, en soi une propriété essentiel qui c'est développer au cours de notre évolution, et qui a été sélectionnés a cause des propriétés de relation croisée qu'elles favorisaient entres les différents cortex associatifs cérébrales (élaboration et sélection de nouveau type de comportement pouvant encadrer des mécanismes plus vieux d'ordre instinctif). Ce n'est pas le hasard (de dimention pure !!!!) qui a dicté tout cela, mais plutôt le fruit des comportements adaptifs qui ont été reliés aux possibilités offerts par l'amalgame des constituant face aux phénomènes environnemental variant de contingeance et d'aléatoire au cours du temps et dans les limites du possible et du permis selons les différentes propriétés intrécèques des constitutant (physique et électrochimique).

Une sorte de schéma possible sur la convergeance des affinités harmonieuses (états !) dans la co-évolutions de différentes structures en quelque sorte ! Et ceci, puisqu'elle a déjà aboutie dans notre espèce !

Gilles

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 03 déc. 2012, 13:48
par M'enfin...qui sait
Igor a écrit :Pensez-vous que tout existe pas hasard? (voyez-vous ça comme un accident)
Salut Igor,

HéHé, on était pas tout à fait sur la même longueur d'onde comme on dit, hein?

Je pense que notre imagination utilise le hasard pour fonctionner, le même genre de hasard qui provoque l'évolution des espèces, un hasard constructif. Pensez-y, comment fait-on pour improviser, sinon en procédant au hasard et en corrigeant au fur et à mesure? Ça change tout de considérer l'intelligence de cette manière, car l'imagination en fait partie. Ça rend entre autres un peu moins imbu de soi, parce que soi, c'est la pensée.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 03 déc. 2012, 18:13
par Igor
C'est pas grave si on est pas sur la même longueur d'onde, pis vaut mieux en rire.

D'ailleurs, j'me console à l'idée (parlant de raccourcis pis d'interprétations subjectives) qu'il y en a qui ont encore plus d'imagination que moi! http://www.lapresse.ca/international/ai ... ction_POS1

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 03 déc. 2012, 18:31
par M'enfin...qui sait
Igor a écrit :D'ailleurs, j'me console à l'idée (parlant de raccourcis pis d'interprétations subjectives) qu'il y en a qui ont encore plus d'imagination que moi! http://www.lapresse.ca/international/ai ... ction_POS1
On pourrait dire que l'imagination mène à tout, sauf à rien.... :roll:

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 03 déc. 2012, 18:48
par LiL'ShaO
M'enfin...qui sait a écrit :
LiL'ShaO a écrit : Et moi, je m’émerveille de ceci : comment cette richesse s'est-elle mise dans cette pauvreté ? »
Ça dépend du point de vue, si on est riche ou si on est pauvre.

Blague à part, vous croyez qu'on est fautifs d'avoir fait ça, d'avoir existé au lieu d'être restés rien?
C'était une citation de Jesus, je l'ai mise un peu au pif, apparemment t'aimes bien faire des liens y avait de grandes chances que t'arrives à en faire avec ça!
Fautif d'avoir existé? Drole de question. Fautif par rapport à qui? à quoi? Est ce que t'as vraiment choisi d'exister anyway? C'est un état de fait qu'on ne peut que constater. Y-a-t-il déjà eu un rien? Tu le sais toi? Y a un moment il faut accepter que certaines questions restent sans réponses. ;)

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 03 déc. 2012, 19:39
par M'enfin...qui sait
LiL'ShaO a écrit :C'était une citation de Jesus, je l'ai mise un peu au pif, apparemment t'aimes bien faire des liens y avait de grandes chances que t'arrives à en faire avec ça!
HéHé, j'ai tout de suite sauté sur la culpabilité au pif, sans savoir que tu parlais de Jésus, j'étais donc pas loin de la vérité. C'est parce que se «mettre dans la pauvreté» implique une certaine forme de volonté, sinon tu aurais dis «tomber dans la pauvreté». Habituellement, si on croit à Jésus, on croit à une cause existentielle unique. À mon avis, le principal effet de cette cause serait de se déculpabiliser de nos incongruités intellectuelles, entre autres quand on est pas gentils avec nos semblables alors que nos mots ont dépassé notre pensée par exemple. Se rabaisser le caquet de temps à autres en s'en remettant à Dieu, c'est très pratique, ça fonctionne vraiment. Mais pour expliquer l'existence...??? Y a toujours ben des limites à nos questions, comme tu dis!

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 04 déc. 2012, 13:49
par Gabriel C
M'enfin...qui sait a écrit :Ta recherche a-t-elle un lien avec le principe de culpabilité que Leibniz mettait de l'avant? J'ai tiré ceci de Wiki:

«Le terme de « théodicée » signifie étymologiquement « justice de Dieu » (du grec théos, Dieu, et dikè, justice), c’est un discours se proposant de « justifier la bonté de Dieu par la réfutation des arguments tirés de l’existence du mal dans ce monde, et par suite la réfutation des doctrines athées ou dualistes qui s'appuient sur ces arguments »7. Il est essentiel de souligner le principal enjeu de la théodicée leibnizienne. La question est d’abord : comment accorder l’existence du mal avec l’idée de la perfection générale de l’univers ? Mais, par delà les difficultés internes à la métaphysique leibnizienne, on trouve le problème suivant : comment accorder l’idée de la responsabilité ou de la culpabilité de l’homme dans le mal avec le sentiment que cet homme agit de la seule manière dont il était possible qu’il agît. La réponse de Leibniz au conflit entre nécessité et liberté est originale.»

Parce que si c'est le cas, j'ai une explication particulière à cette culpabilité que nous ressentons tous trop souvent.
Salut M'enfin, Il faut faire attention, théodicée est une commande. Elle est véritablement auto-censuré. Elle se veut une œuvre purement non polémiques. Enlève déjà le Dieu anthropomorphe qui crée le monde à moment donné, Leibniz a cesser de croire cela très tôt dans sa vie. Mais tout de même cette œuvre est la véritable pensé de Leibniz quant à l'idée centrale que nous vivons dans le meilleur des mondes possibles.

Mais le meilleur des mondes possibles donc parle réellement Leibniz, n'a rien à voir avec un point de vu moral, comme l'on pensé énormément de gens, c'est infiniment plus complexe et profond que ça. Je vais y revenir en détail plus tard quand je vais aborder le chapitre sur l'harmonie préétablie.

Cordialement

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 04 déc. 2012, 14:24
par Gabriel C
Mise aux claires avant de plonger dans la métaphysique pure

Calculs différentiels, débat infini, sur l’infini

Je vais ici commencer par remettre certaines choses dans leurs contextes pour que vous compreniez bien, la vision bien particulière de l’univers de Leibniz. Son jardin secret. Après réflexion, je crois que je ne peux pas faire autrement que de faire tout un chapitre sur son calcul différentiel, pour désamorcé quelque préjugé bien établie sur l’infini.

Je voulais parler de la conscience et de l'inconscient aujourd'hui. Mais c’est que lorsque Leibniz dit qu’il y a un rapport entre la conscience et l'inconscient qui en est un de différence à différences évanouissante, il se rapporte directement à sa méthode de calcul différentiel ; c'est mathématico-psychologique. Je doit donc commencer par ce sujet. C'est que le calcule différentielle de Leibniz est très très métaphysique. Par exemple, ce n’est plus considéré comme des « sciences » mathématiques aujourd’hui. Voilà pourquoi je dois vous expliquer certaines notions.

Comprenez que les mathématiques leibniziennes pures ce sont en gros arrêté avec Cantor et ses théories d’ensembles infinis.

Donc avant de plonger dans la métaphysique comme telle, je vais ici amener quelques explications fondamentales de cette discipline particulière de mathématique, qui est en faite aussi purement de la métaphysique. Tout cela concerne directement la théorie leibnizienne des singularités psychologiques.

Je vais tenter maintenant de vous expliquer clairement et de façon le plus concise l’idée du calcul différentiel de Leibniz.

C’est quoi le calcul différentiel ?

En géométrie, depuis au moins les Grecs jusqu'au 17ème siècle, il y a toujours eu fondamentalement deux types de problèmes de pavage.

1- Les problèmes où il est question de trouver des lignes droites et des formes rectilignes (fait de ligne droite)

La géométrie et l'algèbre classiques d'Euclide suffisent.

2- Les problèmes où il est question de déterminer des courbes et des formes curvilignes et les rapports entre surface rectiligne et curviligne (forme avec ligne courbe)

La géométrie et l'algèbre classiques d'Euclide ici sont insuffisantes.

Ont sait que des Grecs, jusqu’au moyen-âge, les mathématiciens ne vont pas cesser de se questionner sur ce problème précis ne serais-ce que pour des questions purement utilitaires. Mais en faite c’était la science fondamentale de cette époque.

Donc, le problème que l’humanité a eu longtemps, c’est que les méthodes classiques de la géométrie et de l'algèbre ne suffisent pas, elles sont imprécises avec toute forme curviligne et cela est un vaste problème surtout en architecture prioritairement.

Ce problème peut se résumer à une seule énigme bien célèbre celle de la quadrature du cercle, problème amené par Archimède qui a causé des milliards d’heures de nuit blanche aux mathématiciens. La longue spirale infinie, symbole ultime de la métaphysique.

Vous ne pouvez pas paver la surface d’un cercle avec la surface de quelconque polygones et obtenir une égalité. Elles ont, entre eux une sorte de rapport d’infini étrange qui a toujours bouleversé l'humanité.

Le problème plus compliqué est que si vous prenez une surface rectangulaire et que vous voulez la paver avec des cercles, vous ne la remplissez pas complètement, c’est impossible. Voila quelques choses de bien simples qui vont mené à bien des choses très très compliqué.

Le calcul différentiel vous permet de procéder à une comparaison directe de quantités de puissances différentes, c’est fondamental pour toute l’histoire de la physique et du développement de l’humanité. Le calcul différentiel trouve son niveau d’application quand vous vous trouvez devant des incomparables, c’est-à-dire devant des quantités à puissances différentes. Et ça rapporte toujours à l’infini.

On peut dire que depuis les mathématiques grecques des questions comme celles de l'infini opposé au fini sont apparues au centre de toutes les crises de mathématiques et de métaphysique.

Parenthèse de mise en contexte historique très importante


Il faut rappeler que le calcul infini décimal fut une véritable crise existentielle de l’histoire de la pensée de la civilisation occidentale. Ce fut de toutes les passions inimaginables.

Ce qui a beaucoup nuit à la réflexion libre c’est que ces problèmes d'infini ont été prit très, très au sérieux par les églises chrétiennes ce fut le centre de débat interminable tout au long du moyen age. En faite, aussitôt qu’il était question d’infini; mathématiques, philosophie, métaphysique et théologie étaient automatiquement totalement mélangées et c’était la cacophonie. Cela se terminait toujours avec des autorités religieuses qui tranchant arbitrairement. Y’a qu’à voir tout le débat incroyable qu'il y a eu autour du nombre d’or. C’est complètement hallucinant. Et d’une certaine manière, ce débat n’est toujours pas fini, loin de là.

Ce qu’il faut retenir à mon avis est que la théologie chrétienne, dans son orientation majoritaire, s'est entêté tout au long de ces diverses polémiques de montrer que l'infini– « l'être tel qu'on n'en saurait concevoir de plus grand » – ne pouvait définir que Dieu lui-même, objet de la foi, révélé dans les Saintes Écritures. On devait décodé par magie mystiques les Saintes Écritures pour d'autre s'était le petit et le Grand Albert. C’était une sorte de cage mentale. La schizophrénie de l’infini cacher dans les paroles de St-Jean, ou de la magie médiévale.

Dans ce contexte pratiquement paranoïaque, et surréaliste n’importe qui parlant d’infini ce faisais pointé du doigt, il fallait être extrêmement prudent. Rappelons que c’était une époque où la liberté de recherche et de publication n'existait nullement et surtout ce qui a attrait à l’infini.

Plusieurs historiens des sciences médiévale considèrent même que c’est le dogmatisme religieux lié à l’infini qui a ralenti le progrès des mathématiques au moyen-âge.(même si le moyen âge n’est pas l’age des ténèbres des mathématiques comme certains peuvent le croire, mais disons que ce n’est pas un age d’or sur ce domaine)

Cet arrière-fond ésotérique doit être absolument évoqué pour comprendre les
premiers développements du calcul infinitésimal.

À la renaissance, Descartes et Bruno avais clairement marqué les limites à ne jamais franchir: il est un domaine où les textes sacrés font autorité, ou dans lequel, au moins l'autorité appuie les textes sacrés.

Rappelons que l'exploration conceptuelle libre avais conduit le grand Giordano Bruno au bûcher qui lui estimait impossible d'assigner des limites à l'action créatrice de Dieu. Bruno croyait à un infini peuplé d’innombrables civilisations et religions par pure déduction rationnelle.

Donc à cette époque, trop de conceptualisation libre était synonyme de grand danger. Même ci elle était raisonnable.

Mais Leibniz et Newton avaient des avantages certains. Leibniz était un très fin diplomate et Newton était soutenue par toute une nébuleuse de sociétés secrètes très influente alors (Prieuré de Sion pour certains, corporations d’alchimistes et de magicien hermétique dur à identifier pour d'autres). *Je ne sais pas précisément et ne veut pas crée de polémique, mais il semble évident que Newton avait bien un vaste réseaux; qu’il étais extrêmement influent dans le monde de l'ésotérisme.

L’alchimie était tellement importante à ses yeux de Newton que l'Encyclopédie britannique a dit qu’il a donné autant de temps et l'énergie à l'alchimie qu’à la physique et aux mathématiques.

Les sociétés secrètes, qui étaient souvent simplement de puissantes guildes professionnelles ou occultistes, avaient beaucoup d’influence dans l’époque de la renaissance. C’est purement avéré, mais c’est tout un domaine d’étude fort complexe et difficile (vu leur fonctionnement secret) je m’y suis peu intéressé pour l’instant.

Leibniz avait peut être aussi, dans une certaine mesure, le soutien de la fameuse société des Rose Croix pour qui il avait travaillé durent deux ans dans sa courte période occultiste. Et avais beaucoup de sympathisant fort puissant ( D’innombrable savants, de puissant souverain comme Pierre Le Grand en Russie, Charles VI en Autriche), Sophie-Charlotte de Hanovre, avec qui il étais très intime pour ne nommer qu’eux.

Leibniz et Newton pouvaient donc prendre des risques démesuré et avoir beaucoup plus d’audace que le commun des savants de leurs époques (donc le pauvre Ferma). Ce fut essentiel, à mon avis, pour attaquer le grand domaine sacré des infinies.

Le débat interminable entre Newton et Leibniz était donc indirectement un mélange extrêmement bouillant de théologie, de mathématique et de métaphysique. C’était l’embrouille totale, mais certainement pas un débat scientifique comme on l’entend aujourd’hui.

Pour faire gros : Newton attaque Leibniz, le suspecte de plagiat et le ruine pratiquement (attaque tout de même légitime, car il avait des doutes *,mais en faite c’est Ferma qui c’est fait avoir), Leibniz contre-attaque avec ses puissants alliers en laissant planer un doute sur l'athéisme des positions newtoniennes et ses fréquentations douteuses de sorciers (coup en bas de la ceinture).*Leibniz croyait aussi que Newton lui avait volé ses travaux alors ça se comprend.

Mais Leibniz avais aussi beaucoup d’ennemies, car ça manie à fonder des Académies des sciences dans touts l’Europe avait semble t’il ruiner complètement certains apothicaires et alchimistes très puissants qui connaissant bien Newton et qui était très motivés. Leibniz se battait ouvertement dans le cercle des savant de Paris, de Berlin et de Moscou, pour une science hors du secret ésotérique et c’était mauvais pour les affaires de plusieurs. Et Newton rassembla facilement les ennemies de Leibniz, et Leibniz contre-attaqua en compliquant les intrigues politiques de l’Angleterre avec ses diverses influences rependues dans toute l’Europe monarchique dont surtout la maison des Hanovre.

Ce fut une véritable guerre de tranché, un enfantillage interminable et ultra sophistiqué mêlé de coup bas déloyale.

Mais ce fut un triste moment pour la science en général, au point même que tout l’empire Britanique s’isola complètement de l’Europe continentale dans plein de domaines scientifiques. Elle usa même d’une méthode de calcule différentielle différente de toute l’Europe durent plus 100 ans.

C’était l’orgueil de l’empire

***
Fin de la parenthèse de mise en contexte historique

Et, c’est quoi le calcul différentiel ?

Comme je disais, c’est à la base un simple problème de pavage; c’est de faire un lien géométrique entre des courbes et des formes curvilignes et des formes rectilignes. Le rapport différentiel entre la surface d’un cercle et celle d’un carré.

Les Grecs avaient déjà inventé une méthode spéciale qu'on a appelée méthode d'exhaustion, qui s’est perfectionnée en suite tout au long du moyen âge. La méthode d'exhaustion permet de déterminer les courbes et les surfaces curvilignes en tant qu'elle donne des équations de degrés variés, à la limite infinis. Mais elle est très imprécise. C’est une sorte de triche. C'est ces problèmes-là qui vont rendre nécessaire et qui vont inspirer la découverte du calcul différentiel, et la manière dont le calcul différentiel prend le relais de la vieille méthode d'exhaustion.

Un cercle est la limite d’une série infinie de polygones dont les côtés augmentent à l’infini. Une surface curviligne est d’une autre nature qu’une surface rectiligne, en mathématique on-dit qu’elle n’on pas la même puissance. Leurs rapports ne peuvent être que différentielle (en algèbre il vous donne un nombre infini un nombre dit irrationnel)

Face à cela, Leibniz développera l’analyse des points de vue, en mathématiques.
C'est-à-dire un rapport bien nouveau avec la singularité.

C’est quoi une singularité ?

Dans une courbe complexe on dit qu’au voisinage de la singularité quelque chose change : la courbe croît, ou elle décroît. Elle cesse d’être ordinaire.Toute courbe complexe possède une ou des singularités et du régulier, de l’ordinaire.

La singularité c’est les points de croissance ou de décroissance. L'ordinaire c'est la série, c'est ce qui est entre deux singularités; ça va du voisinage d'une singularité au voisinage d'une autre singularité.

Je dois absolument vous raconter tout cela parce que la théorie des singularités est pratiquement partout chez Leibniz.

C’est sa grande théorie du perspectivisme. C’est la théorie d’analyse infinie des points de vus. Cela l'a poussé aussitôt à tout remettre en question la métaphysique de Descarte (qui est fondamentalement Euclédien) et à la quel il adhérait. En effet, il est évident que les figures et le mouvement sous l'espèce rectiligne (qui est à la base du rationalisme Euclédien) ne peuvent rien expliquer du monde existant, ce n'est qu'un point de vus fixe. Le monde n’est que courbe différentielle, n’est que rapport de courbe complexe, n'est que mouvement et continuité.

L'ensemble des phénomènes de la nature étant finalement des phénomènes de type curviligne, Leibniz abandonna instantanément le cartésianisme et passa au perspectivisme, ça propre théorie métaphysique qui l’oublige littéralement à tout révolutionné sur son passage.

L'analyse infinie des points de vue de Leibniz remplit la condition suivante : elle apparaît dans la mesure où la continuité et les petites différences ou différences évanouissantes en entre-deux courbes complexe (deux ordres de puissance différente), deviennent des singularités; se substituent à une sorte d'identité dans la tendance du devenir.

C'est lorsque l'on procède par continuité et différences évanouissantes dans les lignes que l'analyse devient proprement analyse dite infinie. C’est comme si on analysait le point de vue de chaque ligne, de chaque notion du mouvement.
*Évidemment il faudrait des images, j’en ajouterai bientôt d'un ami mathématicien passionné par l'infini.

Donc, pour résumer le calcul différentiel n'a de sens que si vous vous trouvez devant une équation dont les termes sont à des puissances différentes.

Mais voilà, les équations physiques sont toutes par nature des équations différentielles.
Et pour Leibniz l’infini, c’est de l’actuel, il n’y a d’infini qu’en acte et en point de vue et il y a infini de classe d’infinis dans l’existant.

L’interprétation du calcul différentiel par les catégories évanouissantes, et l’observation des émergence de singularités, comme j’ai décrit (un peut confusément pas d’image c’est pas facile) c’est le propre de Leibniz.
Chez Newton, l’idée théorique est très différente, elle ressemble plus à une exhaustion modernisée, c’est la preuve qu’ils l’ont l’inventé en même temps sans ce plagier ni une ni l’autre, mais que celui de Leibniz est beaucoup plus sophistiqué.

En gros le calcule différentielle et intégrale, c’est de découvrir et classer des ordres d’infinis pour les harmoniser. Et concrètement cela sert dans pratiquement tous les domaines scientifique et technologique. C’est à la base de beaucoup de sciences, notamment la physique moderne (Il n’y a pas de physique sans équation différentielle) presque toutes les techniques et technologies modernes font un usage fondamental du calcul infinitésimal. Le calcul infinitésimal c’est carrément une part fondamentale de la civilisation moderne.

L’ infinitésimal aujourd’hui.

L’infinitésimal a aujourd’hui été axiomatisé totalement comme à l’époque médiévale par l’église. La méthode de calcul différentiel dite théorie libre des ensembles est très peu fréquente de nos jours. Elle est souvent vue comme une curiosité historique par bien des mathématiciens.

Mathématiquement, aujourd’hui, le calcul différentiel s’est purgé de toute considération de l’infini, et cela énormément à cause des travaux de Kant. C’est purement une décision métaphysique. L’occident ne veut plus rien avoir à faire à l’infini. C’est comme un vaste traumatisme pour elle. La science s’en est purgée.

Donc aujourd’hui, dans le calcul différentiel officiel, il n’est absolument plus question d’infini ou presque. C’est presque une sorte de tabou. Et ce qui a bouché la voie de l’infini, c'est clairement la révolution kantienne; c'est la révolution kantienne qui a imposé une certaine conception de l'indéfini et qui a mené la critique la plus absolue de l'infini actuel. Ça, c'est dû à Kant à mon avis.

L'infini aujourd’hui a complètement changé de sens, de nature et finalement a été complètement expulsé.

L'idée d'un devenir, l'idée d'une limite du devenir, l'idée d'une tendance à approcher de la limite, tout ça c'est considéré par les mathématiciens modernes comme des notions absolument métaphysiques, car impossible à rentrer de facon formel et fini dans un ordinateur. L'idée qu'il y a un devenir quantitatif, l'idée de la limite de ce devenir, l'idée qu'une infinité de petites quantités s'approchent de la limite, bref identifier une totalité relative émergente, tout ça c'est considéré comme des notions absolument impures par la docte kantienne qui est centrale dans la science d'aujourd’hui (en faite, tout ce qui n’est pas axiomatiques ou axiomatisables est non-officialisé c'est la règle absolue). Donc, dès le début, que ce soit chez Leibniz que ce soit chez Newton et les successeurs, l'idée du calcul différentiel abordé de façon rationnelle, n'est pas séparable et pas séparé d'un ensemble de notions jugées non rigoureuses et on scientifiques la MÉTAPHYSIQUE. Et cela sera toujours comme cela à mon avis.

Le calcul différentiel ou l'analyse infinitésimale a reçu un statut rigoureusement scientifique- axiomatique, mais en chassant toute références à l'idée d'infini. C'est le très grand mathématicien Karl Weierstrass qui a commencé tout ça. C’était un kantien assumé, la théorie de la fiabilité de l'analyse s’est signée Kant c'est évident.

On a fait du calcul différentiel une interprétation statique. C’est une forme d’aberration, Il n'y a plus aucun dynamisme dans le calcul différentiel moderne. On a une interprétation statique et ordinale du calcul. C'est des mathématiques morte.

*Pour plus de détail, lire le très sérieux "Philosophie de l'algèbre" du grand Jules Vuillemin.

Toute cette histoire d’infini et de calcul différentielle peut sembler or sujet, mais je crois que c’est fondamental pour bien suivre le reste de mes textes.

Le prochain texte sera sur la conscience, l’inconscient et la mort dans la métaphysique leibnizienne. Là, on va rentrer dans du sérieux, dans la vraie métaphysique pure.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 04 déc. 2012, 14:29
par M'enfin...qui sait
Gabriel C a écrit :La réponse de Leibniz au conflit entre nécessité et liberté est originale
Nécessité est ici synonyme de droit il me semble, c'est la difficile question des droits et libertés dont il serait question. Difficile de distinguer deux termes que l'on peut intervertir dans la même phrase. Si j'ai le droit de faire ci, j'en ai la liberté aussi. Pas clair du tout la vision que l'on a de ces concepts. Selon ma thèse, la liberté, c'est le temps dont nous disposons pour nous adapter au changement, et le droit, c'est l'accord sur lequel nous devons nous entendre pour ne pas nous entretuer durant ce temps.

Est-ce que Leibniz est arrivé aux mêmes conclusions que moi?

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 04 déc. 2012, 17:28
par Igor
Parlant d'énigme, de cercle pis de symbole, j'ai remarqué qu'il y a comme le symbole de Vénus sur le bras de Katy Perry dans ce vidéoclip dont j'vous ai parlé. (mais avec un coeur au lieu d'un cercle)

J'me demandais si cela ne pouvait pas résoudre l'énigme à savoir qui a fait ces taches sur le tableau? http://www.youtube.com/watch?v=OCKGJ1rjVAQ

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 04 déc. 2012, 18:04
par M'enfin...qui sait
Igor a écrit :J'me demandais si cela ne pouvait pas résoudre l'énigme à savoir qui a fait ces taches sur le tableau?
Je pense qu'elle veut créer un rapport entre le surnaturel, le sexe et le mal, voilà, mais vous n'êtes pas forcé de jouer son jeu, en tout cas moi je n'y vois pas de signification qui pourrait m'aider à vivre.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 04 déc. 2012, 19:09
par Pion
J'y ai vu de l'art.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 04 déc. 2012, 20:06
par M'enfin...qui sait
Pion a écrit :J'y ai vu de l'art.
Il y a effectivement une recherche graphique certaine mais, pour moi, la volonté de signification la supplante. Je ne crois pas à ce genre de choses, j'ai eu trop de misère à me débarrasser de la culpabilité de la religion, fini pour moi la culpabilité, sauf pour l'écarter quand j'essaye de préciser la nature de nos comportements.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 05 déc. 2012, 10:01
par Eve_en_Gilles
L'Organisation de Défense des Mouches va bientôt porter plainte contre ce topic pour sodomie de masse. :arrow:

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 06 déc. 2012, 23:29
par Greem
Jean-Francois a écrit :Greem, vous ne voyez pas que l'échange ne s'adresse pas à vous: pour bien apprécier, il faut "ressentir" plus que "comprendre" et, idéalement, avoir une vision des choses un peu brouillonne* à décliner en parallèle des propos de Gabriel. (En parallèle, car il s'agit plus de renchérir en suivant sa propre "musique" que d'harmoniser le tout ou préciser sérieusement quoi que ce soit.)
:mrgreen:
Gabriel C a écrit :Salut Greem, je prends note de votre remarque et tacherez d’être beaucoup plus claire et précis sur mes termes à l’avenir. Pour qui est de votre question antérieur « On est sensé comprendre ce que ça veux dire "réhabiliter le concept" ?» j’ai simplement cru qu’il s’agissait d’une faute de frape de ma part. ( réhabiliter le concept = réhabiliter ce concept )
Je suis pas plus avancé :roll:

Et je ne vois pas bien l'intérêt pour un prétendu athée de "réhabiliter le concept Dieu", quoi que vous entendiez par là. Si vous êtes croyant, dites-le, personne ici ne vous attaquera pour ça. En revanche si votre truc c'est de faire joujou avec les définitions pour faire rentrer des carrés dans des triangles... ça risque de poser quelques problèmes.

Comprenez bien que je suis un peu obligé d'interpréter ce que vous dites, faute de clarté de votre part.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 07 déc. 2012, 18:01
par glevesque
Salut Greem
Et je ne vois pas bien l'intérêt pour un prétendu athée de "réhabiliter le concept Dieu", quoi que vous entendiez par là. Si vous êtes croyant, dites-le, personne ici ne vous attaquera pour ça. En revanche si votre truc c'est de faire joujou avec les définitions pour faire rentrer des carrés dans des triangles... ça risque de poser quelques problèmes.
Il n'est pas question ici de "réhabiliter le concept Dieu", mais bien de "réhabiliter l'intuition méthaphysique du concept qui est relié à celui de Dieu". Il faut comprendre que ce concepte découle avant tout de la mystification de notre entendement rationnel qui fait face aux inconnu du monde dans son fort intérieur, et cela en étroite relation avec notre intuition sur la conduite des choses dela nature qui semble suivrent des prémisses de conduite évolutives et structurelles d'ordre harmonieux.

C'est le défit du rationnel face a la conduite du monde et de sa beauté évolutive face a notre entendement et de son questionnement sur l'idée de l'appréhension de sa connaissence intime du monde !

Mêmes les athéismes les plus convaincu ont de t'elle prémisses intuitif existanciel, qui est axé sur la perception du sentiment de soi-même face au monde extérieur et de sa connaissance expérimenté. Le premier objet de croyance, est celle de notre propre existance, et le questionnement du pourquoi de celle-ci, stipule automatiquement (immaginaire et intuition) des conceptions représentatives d'odre subjectives et donc purement méthaphysique en soi ! Et c'est a partir de cela que va partir toutes sortes de schéma conceptuel de représentation des croyances voulant unir ce qui nous est inconnu face à ce qui nous semble déjà connus !

Il s'agit de l'existance propre de la rationnalité face aux mystérieux (les limites de la représentation subjectives de nos connaissences), et non de la réalité propre et objective ou non de l'objet Divin !

Gilles

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 08:33
par glevesque
Salut

J'ai oublié ceci :
Il s'agit de l'existance propre de la rationnalité face aux mystérieux (les limites de la représentation subjectives de nos connaissences), et non de la réalité propre et objective ou non de l'objet Divin !
Pour les athéisme, ce schéma ou objet de croyance s'appel tout simplement : Hasard, Néant ou Panthéisme de Spinoza ! Il s'agit de concepte méthaphysique qui sont équivalant a celui du concepte de Dieu pour les croyances en une Déitée quelconques (naturel ou spirituel).

Gilles

Vingt fois sur le métier...

Publié : 08 déc. 2012, 11:28
par Cartaphilus
Bonjour glevesque.
glevesque a écrit :Pour les athéisme, ce schéma ou objet de croyance s'appel tout simplement : Hasard, Néant ou Panthéisme de Spinoza ! Il s'agit de concepte méthaphysique qui sont équivalant a celui du concepte de Dieu pour les croyances en une Déitée quelconques (naturel ou spirituel).
Faire du hasard un concept métaphysique à l'égal du grand T.RU.C (Tout Régissant Universellement le Cosmos), c'est lui attribuer la possibilité de tout réaliser, et en faire l'explication définitive et suffisante de tout questionnement. C'est aussi oublier la possibilité de modélisation mathématique qui le caractérise.

Et, pour mémoire, puisqu'il faut sans cesse le répéter, l'athéisme ne peut pas représenter une croyance, puisqu'il se définit avant tout comme une absence de croyance.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 12:26
par glevesque
Salut

Il y a un petit problême !!!!
l'athéisme ne peut pas représenter une croyance, puisqu'il se définit avant tout comme une absence de croyance.
Athéisme, agnostique, etc .....

L'absence d'une croyance, n'est-elle pas en elle même l'expression d'une croyance de l'absence !!!!

Croire en rien, n'est-il pas l'expression conceptualisée de la croyance de ce rien !!!

Gilles

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 12:58
par NEMROD34
Non c'est un constat:
http://www.linternaute.com/dictionnaire ... n/constat/
Sens 2 Fait de reconnaître un état des choses. Synonyme constatation

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 13:29
par glevesque
Salut

Constat de quoi (point d'intérogation)

Et de quelle absence (point d'intérogation)
c'est lui attribuer la possibilité de tout réaliser, et en faire l'explication définitive et suffisante de tout questionnement. C'est aussi oublier la possibilité de modélisation mathématique qui le caractérise.
Big Bang et autres ....

On appel cela un racourci !

Gilles

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 13:50
par M'enfin...qui sait
Cartaphilus a écrit :Et, pour mémoire, puisqu'il faut sans cesse le répéter, l'athéisme ne peut pas représenter une croyance, puisqu'il se définit avant tout comme une absence de croyance.
Salut Cart,

On a beau définir l'athéisme comme une absence de croyance, dire qu'on ne croit pas à quelque chose contient quand même le verbe croire. À mon avis , s'il n'y avait qu'une seule religion et que tous y adhéraient, personne ne la nommerait croyance, et le verbe croire n'existerait pas. Ce sont les autres qui nous traitent de croyants, les choses ne se définissent que par rapport à d'autres, et ce genre de définition ne peut venir que d'un unique point de vue. C'est pour cette raison qu'il est si difficile de féminiser les termes, et qu'il est impossible de porter les noms des deux parents à la fois plusieurs générations de suite. Jusqu'à maintenant, c'est le point de vue des hommes qui a primé dans la définition des termes, les français utilisent encore le mot Homme au lieu d'humanité d'ailleurs, mais je crois qu'ils seront appelés un jour ou l'autre à équilibrer les deux point de vue, comme nous. Dans ce sens, l'athéisme devrait se définir par rapport à Dieu, donc «La croyance selon laquelle il n'y aurait pas de Dieu». Je vais maintenant utiliser le verbe croire dans un sens particulier : vous croyez vraiment à tout ce qui est écrit dans les dictionnaires, vous? ;)

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 13:56
par NEMROD34
Constat d’absence d'un dieu quelconque, ou de dieux, juste des lois physiques qu'on comprends de mieux en mieux , et qui se vérifient.
Gilles aujourd'hui comme il y a quelques années, tu peux penser avoir trouvé un truc révolutionnaire, mais il faut qu'il résiste à l'épreuve des faits, qui ne s'expliquent pas par des lois déjà connues.
Imaginer ne suffit pas à révolutionner, tout le monde n'est pas le génie du siècle voire du millénaire.
Il ne suffit pas d'être seul contre tous pour avoir raison. Et il y a un moment où il faut savoir accepter qu'on a tort.

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 14:01
par glevesque
Salut
NEMROD34 a écrit :Gilles aujourd'hui comme il y a quelques années, tu peux penser avoir trouvé un truc révolutionnaire, mais il faut qu'il résiste à l'épreuve des faits,
Je suis tout a fait d'accorc avec toi, mais je n'est rien trouvé, juste interprété différament !
NEMROD34 a écrit :Et il y a un moment où il faut savoir accepter qu'on a tort.
Sur l'absence ou pas de Dieu, mais qui le peut vraiment !!!!

Gilles

Re: Voici la preuve métaphysique et rationnelle que Dieu exi

Publié : 08 déc. 2012, 14:34
par Gabriel C
Greem a écrit : Et je ne vois pas bien l'intérêt pour un prétendu athée de "réhabiliter le concept Dieu", quoi que vous entendiez par là. Si vous êtes croyant, dites-le, personne ici ne vous attaquera pour ça.
Ce que je veux dire par « réhabiliter le concept Dieu », c’est de rendre raison à l’existence de l’univers et de la conscience or point de vue. Bien des sceptiques ici le font sans arrêt, en discréditant ce que Dieu ne peut pas être raisonnablement, mais restent très discrets sur leurs opinions métaphysiques.

La métaphysique classique est le contraire de la foi. S’en remettre à la croyance pour rendre raison suffisante à l’existant, c'est exactement ce qu’un métaphysicien, digne de se nom, ne peut pas supporter.

Cherchez Dieu en métaphysique c’est ce demander pourquoi quelques choses plutôt que rien sans se raconter de contes de fées. C’est sonder les limites du possible par raison pure, dans les règles de la raison, de la logique (principe de non-contradiction, principe de continuité, principe de raison suffisante, etc)

Mais ce qui est clair pour moi c’est que les athées dits « fort » ont tout simplement abandonné quelconques idées de cherché une vérité qui pourrait exprimer le mieux la raison de l’existant.

C’est un hasard, c’est le Bigbang, c’est une question personnelle, c’est impossible d’y rendre raison, diront’ils, puisque la science dure ne le peut pas.

Moi, pour l’instant, je suis d’un tout autre sentiment; la métaphysique le peut selon moi. Elle ne peut pas nous donner d'absolue vérité comme la foi, mais elle peut nous faire quitter certaine errances, nous rapprocher de la vérité avec un grand V.

*La suite de mon fil viendra dans les prochains jours, j'aborderez de fond la problématique de la vérité.