Astaldo a écrit :Sinon, je me disais la même chose, cette discussion tourne en rond... C'est comme si je parlais avec Ghost...
Je ne suis toujours pas d'accord avec l'idée que l'éthique ne relève pas de la raison. L'argumentation, en matière d'éthique, tombe sous les mêmes principes que l'argumentation en tout autre domaine.
prémisse -> argumentation logique -> conclusion
Jamais je n'admettrai l'appel aux sentiments comme étant un argument valable, peu importe le domaine touché, comme devrait le faire toute personne rationnelle. Il peut à la rigueur pousser l'individu à se questionner sur la validité de ce sentiment, mais ça n'est même pas le début d'un argument valide.
Pouarrrrffff
Une simple réponse, toute simple, à ces paragraphes et cette sublime méli-mélo académique sur prémisses>conclusion... digne d'anthologie de la démo du plus fanfaron **, qui démontre vraiment le genre de débatteur que tu es:
Personne dans la discussion, et certainement pas moi, n'a énoncé ce que tu récuses là.
Le résumé que j'ai fait de ton spitch est ceci, et pas autre chose : l'éthique expliquée/justifiée (ou réduite) à l'utilité seule ou à l'utilitarisme.

L'Astaldo que j'observe sur sceptiques du québec est le même Astaldo, cabré sur des certitudes et toujours enclin à transformer les idées d'autrui - ce à la première objection de ses pédanteries si syntaxiquement bien/mal formulées, mais toujours aussi creuses et immatures.
Et comble du bonheur, un Astaldo qui copie-colle quasiment des extraits hors contexte de la mini-encyclopédie rédigée et publiée sur libresasnsdieu à l'intention des athées, à laquelle il a collaboré. Ouarfff.
CQFD
Astaldo a écrit :Jamais je n'admettrai l'appel aux sentiments comme étant un argument valable, peu importe le domaine touché, comme devrait le faire toute personne rationnelle. Il peut à la rigueur pousser l'individu à se questionner sur la validité de ce sentiment, mais ça n'est même pas le début d'un argument valide.
L'altruisme est un sentiment. Un sentiment qui s'exprime, par notre psychomotricité, en comportement. Comme tous les comportements.
Et comme toute élaboration (ou sous-produit) de notre intellect, dont nos émotions font aussi partie, il peut parfaitement être étudié et rationalisé. Difficile et ardu, mais déjà en cours d'étude, et très utile.
Il peut donc, en tant que produit de notre psy, ou en tant qu'origine d'un comportement si on veut le prendre par cette facette, être valable comme ARGUMENT dans un contexte qui s'y prête, andouille !
Un argument n'est qu'un élément d'argumentaire dans une discussion. Les émotions/sentiments
objectivés peuvent donc être aussi valables qu'un autre objet
dans un contexte de discussion qui s'y prête. Sous certaines conditions bien entendu.
C'est cela la rationalisation d'un sentiment/comportement, ce que
je viens de faire... et non pas ce que tu fais plus haut.
Si tu ne fais pas appel à ce comportement/inclinaison/sensation/émotion, (dont on discute ici RATIONNELLEMENT) peu importe comment tu l'appelles, il n'y a aucune discussion sur l'éthique possible, andouille !
Rien que la bioéthique, discutée rationnellement, sert à délimiter les limites [éthiques et pratiques], un cadre [éthique] dans la recherche, par exemple.
Astaldo a écrit :On est tous plus ou moins dégoûtés en voyant une usine d'abattage... Et puis ? Doit-on agir comme celui qui, dégoûté d'entendre de la musique heavy, annonce que c'est démoniaque, immorale et inhumain ?
Mais c'est n'importe quoi mon pauvre Astaldo !
Tu mélanges les orties et tes lanternes dans toute discussion : au premier abord, tes posts donnent une apparence de raisonnement, puis en seconde lecture on n'y lit que confusions puériles.
8) Allons, une discussion sur les conditions d'un asile du 3me âge en pays tropical à améliorer, ne se fait pas non plus selon la sensiblibilité aux odeurs. C'est pourtant une discussion qui porte sur l'
éthique , autant que l'hygiénique : on améliore leurs conditions de vie (éthique) par une meilllwure hygiène (actions pratiques concrètes).
On se croirait en maternelle avec Astaldo, à devoir lui segmenter les problématiques pour qu'il capte.
8) J'en reste là pour ce qui me concerne, n'ayant pas trop envie de tirer sur l'ambulance ni de jouer à touche-pipi avec toi.
** Explique à d'autres l'utilité contextuelle (ici ! dans ce topic) de cette algébrique explication.
