Position de jroche:
Dieu existe.
Mais il se montre incapable de le prouver en quoi que ce soit.
Il asticote cependant son monde en prétextant: prouvez-moi qu'il n'existe pas (qu'est-ce qu'il réclame comme factuel !).
Ce qui s'avère impossible, et pour cause.
Ce serait à ses interlocuteurs de produire le travail d'analyse par un processus d'inversion de la charge de la preuve.
Rien que ça, et c'est une constante dans ses interventions.
Ainsi, il ne remet jamais en cause ses croyances et reste confortablement installé dans sa dynamique : face, je gagne, pile, tu perds.
Le doute (l'esprit critique en action) lui est étranger.
Gwanelle a écrit :
Notamment je m'abstiens d'exiger des réponses à des questions privées auprès de personnages publics qui ont , de par la loi, autant droit à une vie privée que moi, sinon ça devient du harcèlement...
Ça ne doit pas monter jusqu'aux étages supérieurs, d'où l'incompréhension, plutôt l'incompétence notoire, d'apprécier le procès des harceleurs de Brigitte Macron.
Il suffit de remplacer Dieu, par bigfoot, Jean-Michel Trogneux aka Brigitte Macron, etc...
Ça fonctionne suivant le même principe.
Son argument suprême : "ça" doit exister puisqu'il y en a qui l'ont écrit !
Ce qui peut conduire, très vite, à des comportements tels que décrits dans le film "I... comme Icare", avec l'expérience de Stanley Milgram, très bien restituée par le réalisateur, Henri Verneuil.
https://m.youtube.com/watch?v=I7to2P8osl0
À 15' les conclusions font froid dans le dos.
La suite est inquiétante.
Cette situation est due, en grande partie, à la disparition de la cohérence hiérarchique pouvant surgir dans un système démocratique.
À 16’20’́, il serait bon de se poser des questions.
Il suffit de remplacer les chocs électriques par des actions de cyber-harcèlement, ou la caution que l'on apporte à ce cyber-harcèlement (avec fait de fréquenter assidûment des sites ouvertement complotistes qui renforce l’effet).
Tout est justifiable par la rhétorique du langage.
De quoi méditer...