Premièrement, je ne crois pas du tout à cette théorie du complot, mais je viens d'apprendre que plusieurs négationnistes croient à cette théorie depuis plusieurs décennies!

Lire section DÉMENTIS ET ACTIONS JUDICIAIRES
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Frank
À LIRE ABSOLUMENT: Rapport scientifique évoqué dans ce texte. Voir les références à la section 2.
http://www.annefrank.org/ImageVaultFile ... ons_fr.pdf
EN BREF, VOICI LA THÈSE DES NÉGATIONNISTES:
Dès leur arrivée dans leur cachette, les Frank,pour cacher
leur présence,installent des rideaux.(sic!)
Or, installer des rideaux à des fenêtres qui n'en possèdaient pas
jusqu'alors, n'est-ce pas le meilleur moyen de signaler
son arrivée ?
Pour ne pas trahir leur présence,les Frank brûlent leurs ordures.
Mais,ce faisant,ils signalent leur présence par la fumée
qui s'échappera du toit d'une demeure qui est censée être inhabitée !
On se demande ce qu'ils ont pu faire des ordures de 116 jours d'été.
Les apports de nourriture sont énormes.
En régime normal, les clandestins et leurs hôtes,consomment
chaque jour huit petits déjeuners et huit dîners.
On fabrique sur place des saucisses et des saucissons,
des conserves de fraises et des confitures en bocaux.
Eau-de-vie ou alcool,cognac,vins et cigarettes ne semblent pas
non plus manquer.
Le café est si peu rare qu'on ne comprend pas que l'auteur,
énumérant (23 juillet 43) ce que chacun voudra faire le jour
où il pourra quitter la cachette, dise que le voeux le plus cher
de Mme Frank sera d'avoir une tasse à café....
Il entre, à d'autres moments, des sacs de légumes pesant chacun....
25 kilos, ou encore un sac de 19 livres de pois frais (8 juillet 44).
Les livraisons sont faites par le "gentil marchand de légumes".
Et cela "toujours à l'heure du déjeuner" (11 avril 44).
C'est invraisemblable.Comment,dans une ville par ailleurs décrite
comme affamée,un marchand de légumes peut-il, en plein jour,
quitter sa boutique avec de pareils chargements pour aller
les déposer dans un immeuble situé dans un quartier animé ?
Pour les fêtes et les anniversaires des clandestins,les cadeaux abondent:
oeillets,pivoines,narcisses,jacinthes,pots de fleurs,gâteaux,livres,
sucreries, briquet,bijoux, nécessaires à raser,jeu de roulette,etc...
Signalons à ce propos une véritable prouesse réalisée par Elli.
Celle-ci trouve le moyen d'offrir des raisins le 23 juillet 1943.
Oui, des raisins, à Amsterdam, un 23 juillet, avec même le prix:5 florins le kg...