Critères d'admissibilité des théories sur divers diciplines
Critères d'admissibilité des théories sur divers diciplines
Re-salut en cette fin de journée,
Bon voila j'ai une question.
On entend souvent dire que les critères d'admissibilité d'une théorie et plus ou moins grande en fonction de la discipline.
Et je veux bien le croire.
Je voie aussi que ce genre d'argumentation peux être mal interprété.
Mais n'ayant aucune connaissances sur le sujet, je me demandait si on pouvais trouver des éléments faciles à intégrer sur ce sujet afin d'avoir, par exemple, une sorte de barème comparatif.
Et si possible accompagné de l'explication du pourquoi épistémologique.
Par exemple, il parait logique en physique, avec les maths, que le barème d'admissibilité d'une interprétation théorique sois ultra-rigoureuse.
Ça me parait logique que cela le sois "moins" en paléontologie par exemple, ou en écologie (ou l’étude du climat il y à 10 millions d'années etc).
Le temps ayant changé la donne des conditions et n’étant pas directement observable, contrairement à une notion de physique qui se vérifie à n'importe l’époque.
Voila, si vous pouvez éclairer mes lanternes, ça permettrais de confronter le niveau d'objectivité demandé dans différentes disciplines.
Si c'est bien le cas.
Merci.
++
Bon voila j'ai une question.
On entend souvent dire que les critères d'admissibilité d'une théorie et plus ou moins grande en fonction de la discipline.
Et je veux bien le croire.
Je voie aussi que ce genre d'argumentation peux être mal interprété.
Mais n'ayant aucune connaissances sur le sujet, je me demandait si on pouvais trouver des éléments faciles à intégrer sur ce sujet afin d'avoir, par exemple, une sorte de barème comparatif.
Et si possible accompagné de l'explication du pourquoi épistémologique.
Par exemple, il parait logique en physique, avec les maths, que le barème d'admissibilité d'une interprétation théorique sois ultra-rigoureuse.
Ça me parait logique que cela le sois "moins" en paléontologie par exemple, ou en écologie (ou l’étude du climat il y à 10 millions d'années etc).
Le temps ayant changé la donne des conditions et n’étant pas directement observable, contrairement à une notion de physique qui se vérifie à n'importe l’époque.
Voila, si vous pouvez éclairer mes lanternes, ça permettrais de confronter le niveau d'objectivité demandé dans différentes disciplines.
Si c'est bien le cas.
Merci.
++
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
Excellente question. personnellement je parlerais plus de critères d'exclusion que d'admissibilité. En l'absence de critères d'exclusion (contradiction avec les lois de la physique par exemple) on peut "raisonnablement" considérer qu'une théorie est plausible....
On a tort d'écrire tord ! Le prochain qui fait la faute je le tords !
- BeetleJuice
- Messages : 6568
- Inscription : 22 oct. 2008, 22:38
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
Ca dépend, c'est quoi exactement votre question ?Voila, si vous pouvez éclairer mes lanternes, ça permettrais de confronter le niveau d'objectivité demandé dans différentes disciplines.
J'ai pas bien compris en fait, vous voulez une liste des différentes exigences par disciplines ou c'est une question plus large sur ce qui fait la valeur d'une théorie en science ?
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
En faite, la question est asses large, et peut se poser sur plusieurs niveau. C'est vrai que j'ai du mal à exprimer le truc.
Vue que je ne sais pas trop si ça existe vraiment.
Je suis partie de cette réflexion :
1) D'un point de vue "épistémologique", une/des disciplines jouissent t'elle d'un niveau d'objectivité plus forte que d'autres ?
2) Et d'un point de vue méthodologique/pratique ya t'il donc des critères qui diffère a partir de la nature d'une discipline ?
Si oui, en pratique, comment cela pourrait se retrouver dans les interprétations des théories ?
Si oui, ya t'il parfois des différences notable d'admissibilité ou d’exclusion (comme dit Pepe) en fonction d'un barème entre deux disciplines ?
Est-ce que cela à t'il eu influence sur l’interprétation de la théorie (de l'une ou l'autre discipline) et/ou sur les méthodologies des disciplines ?
Peut t'on les comparer et donc juger si oui ou nom la physique (par exemple) est plus "solide" que des disciplines ou le temps et l'inaccessibilité de certaines données et observations directes joues sur les résultats et l’interprétation (des données) ; par exemple la paléontologie ou l’écologie.
Par exemple extrême, la physique et t'elle plus solide que l’étude du vivant ?
Si oui quelle en sont les raisons épistémologiques et les conséquences sur la méthodologie et le recul nécessaire dans les interprétation de ses théories issues de telle ou telle discipline.
Si non, peux t'on considérer chaque disciplines comme ayant la même rigueurs théorique et la même solidité interprétative/explicative ?
Vue que je ne sais pas trop si ça existe vraiment.
Je suis partie de cette réflexion :
1) D'un point de vue "épistémologique", une/des disciplines jouissent t'elle d'un niveau d'objectivité plus forte que d'autres ?
2) Et d'un point de vue méthodologique/pratique ya t'il donc des critères qui diffère a partir de la nature d'une discipline ?
Si oui, en pratique, comment cela pourrait se retrouver dans les interprétations des théories ?
Si oui, ya t'il parfois des différences notable d'admissibilité ou d’exclusion (comme dit Pepe) en fonction d'un barème entre deux disciplines ?
Est-ce que cela à t'il eu influence sur l’interprétation de la théorie (de l'une ou l'autre discipline) et/ou sur les méthodologies des disciplines ?
Peut t'on les comparer et donc juger si oui ou nom la physique (par exemple) est plus "solide" que des disciplines ou le temps et l'inaccessibilité de certaines données et observations directes joues sur les résultats et l’interprétation (des données) ; par exemple la paléontologie ou l’écologie.
Par exemple extrême, la physique et t'elle plus solide que l’étude du vivant ?
Si oui quelle en sont les raisons épistémologiques et les conséquences sur la méthodologie et le recul nécessaire dans les interprétation de ses théories issues de telle ou telle discipline.
Si non, peux t'on considérer chaque disciplines comme ayant la même rigueurs théorique et la même solidité interprétative/explicative ?
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
Salut Nico,
Si l'on prend les sciences « dures » (exactes~formelles), où tout ne relève que de la logique et de la déduction, ben tout n'est que « vrai/faux » sans qu'il n'y ait un continuum de « plus ou moins probable » entre ces deux valeurs. Et donc pas de place à l'interprétation. Mais les critères de base sont les mêmes : à savoir prédire de façon reproductible sous les mêmes conditions et par tout le monde. 1+1=2, p. ex., n'est pas une hypothèse de vraisemblance maximale où la résultante, d'un « faisceau de présomption » qui fait office de preuve à défaut de pouvoir prouver hors de tout doute, dans l'absolu, la résultante.
C'est indubitablement un fait (« vrai »).
Pour moi ta question n'a donc de sens (et d'intérêt) que pour les autres sciences, celles dites « molles » où, bien que les critères et la méthodologie soient identiques à la base, certains faits considérés comme « vrais » ou « preuves », ne le sont que parce qu'ils reposent sur des faisceaux de présomption (ou leurs absences) et donc sur des hypothèses de vraisemblance maximale. L'étude de l'Histoire en est le meilleur exemple à mon avis. Moi je vois une nuance dans le fait que ce n'est pas tant les « critères » (ou la méthodologie) qui changent, mais plutôt les éléments étudiée et les outils disponibles qui définissent ou affectent le degré de certitude, d'objectivité ou d'interprétation.
C'est sûr que lorsque le sujet d'étude est l'Humain (l’Homme) en psychologie sociale, p. ex., ben les 6 milliards « d'éléments » (d'hommes) qui peuvent être étudié sont tellement différents des uns des autres (culture, conditionnement, etc.) que la précision de ce que l'on pourra prédire sera moindre que ce qu'un physicien ou un chimiste pourra prédire, avec exactitude, sur l'action de 2 molécules identiques en certaines circonstances, par exemple. Donc pour certains domaines, on vas se « permettre » de généraliser des trucs même si l'on sait qu'on tombera forcément sur quelques « corbeaux blancs ». Mais l'important est que ça fonctionne dans la majorité des cas et plus qu'en fonction du hasard. On peut donc y voir une « baisse de critères » qui ne serait pas acceptable dans d'autres domaines, mais l'important est qu'on puisse en tirer quelque chose qui soit exploitable concrètement!
Peu importe les domaines, on en reviendra donc toujours au champ d'application concerné, au fait que ce soit exploitable ou non (reproductible), à la charge de la preuve, aux faisceaux de présomption et à hypothèse de vraisemblance maximale (réfutable), etc. Bref, les mêmes critères!
Je pense que c'est mal formulé. En ce sens que les bases de la méthodologie scientifique (et donc des critères) sont les mêmes (j'espère bien) peu importent les domaines, les sciences ou les « disciplines ». Par contre, la « largeur » du continuum entre ce qui est avéré, sans aucun doute possible à l'une des extrémités VS ce qui est le plus probable (hypothèse de vraisemblance maximale) de l'autre n'est pas la même pour chaque domaine. Et certains critères, comme la reproductibilité, ne sont pas nécessaires en certains domaines.Nicolas78 a écrit :On entend souvent dire que les critères d'admissibilité d'une théorie et plus ou moins grande en fonction de la discipline.
Il me semble évident que la réponse est oui.Nicolas78 a écrit : 1) D'un point de vue "épistémologique", une/des disciplines jouissent t'elle d'un niveau d'objectivité plus forte que d'autres ?
2) Et d'un point de vue méthodologique/pratique ya t'il donc des critères qui diffère a partir de la nature d'une discipline ?
Si l'on prend les sciences « dures » (exactes~formelles), où tout ne relève que de la logique et de la déduction, ben tout n'est que « vrai/faux » sans qu'il n'y ait un continuum de « plus ou moins probable » entre ces deux valeurs. Et donc pas de place à l'interprétation. Mais les critères de base sont les mêmes : à savoir prédire de façon reproductible sous les mêmes conditions et par tout le monde. 1+1=2, p. ex., n'est pas une hypothèse de vraisemblance maximale où la résultante, d'un « faisceau de présomption » qui fait office de preuve à défaut de pouvoir prouver hors de tout doute, dans l'absolu, la résultante.

Pour moi ta question n'a donc de sens (et d'intérêt) que pour les autres sciences, celles dites « molles » où, bien que les critères et la méthodologie soient identiques à la base, certains faits considérés comme « vrais » ou « preuves », ne le sont que parce qu'ils reposent sur des faisceaux de présomption (ou leurs absences) et donc sur des hypothèses de vraisemblance maximale. L'étude de l'Histoire en est le meilleur exemple à mon avis. Moi je vois une nuance dans le fait que ce n'est pas tant les « critères » (ou la méthodologie) qui changent, mais plutôt les éléments étudiée et les outils disponibles qui définissent ou affectent le degré de certitude, d'objectivité ou d'interprétation.
C'est sûr que lorsque le sujet d'étude est l'Humain (l’Homme) en psychologie sociale, p. ex., ben les 6 milliards « d'éléments » (d'hommes) qui peuvent être étudié sont tellement différents des uns des autres (culture, conditionnement, etc.) que la précision de ce que l'on pourra prédire sera moindre que ce qu'un physicien ou un chimiste pourra prédire, avec exactitude, sur l'action de 2 molécules identiques en certaines circonstances, par exemple. Donc pour certains domaines, on vas se « permettre » de généraliser des trucs même si l'on sait qu'on tombera forcément sur quelques « corbeaux blancs ». Mais l'important est que ça fonctionne dans la majorité des cas et plus qu'en fonction du hasard. On peut donc y voir une « baisse de critères » qui ne serait pas acceptable dans d'autres domaines, mais l'important est qu'on puisse en tirer quelque chose qui soit exploitable concrètement!
Peu importe les domaines, on en reviendra donc toujours au champ d'application concerné, au fait que ce soit exploitable ou non (reproductible), à la charge de la preuve, aux faisceaux de présomption et à hypothèse de vraisemblance maximale (réfutable), etc. Bref, les mêmes critères!
Ben c'est certain! Disons, non pas un anthropologue qui chercherait à expliquer (ou même anticiper) des comportements ou des moeurs, mais un historien ou un archéologue qui doit se prononcer sur l'existence ou l'inexistence d'un possible personnage ou d'un manuscrit d'ont nous n'avons aucune preuve directe. Ben ici, les aspects reproductible ou prédictif n'ont aucune incidence. Tout reposera donc uniquement sur le nombre d'indices concourants pour former un faisceau de présomption qui formera une hypothèse de vraisemblance maximale (pouvant être considéré alors comme une « preuve »). Comme on le fait pour savoir si quelqu'un est coupable d'un crime, par exemple. C'est sûr que cela ne prouve rien hors de tout doute, dans l'absolu, mais ce qui importe, en pratique, c'est hors de tout doute raisonnable! Parce qu'on ne sait faire mieux pour trancher ce genre de question. Baisse de critère? Pas vraiment, c'est plutôt une nécessité pratique définie par les éléments (ou le domaine) étudiés. Mais bon, dans l'absolu, ce sera toujours moins certain qu'une loi physique, c'est plus qu'évident!Nicolas78 a écrit : Peut t'on les comparer et donc juger si oui ou nom la physique (par exemple) est plus "solide" que des disciplines ou le temps et l'inaccessibilité de certaines données et observations directes joues sur les résultats et l’interprétation (des données) ; par exemple la paléontologie ou l’écologie.
Oui, parce que ce qui est étudié dans le domaine du vivant est beaucoup plus « dynamique » que ce qui est étudié en physique. Non pas que la physique soit « statique » ou simple, mais en physique, chaque « élément » est identique et réagit indubitablement de la même façon aux mêmes conditions alors que ce n'est pas toujours le cas avec ce qui est vivant. L’échelle étant plus petite en physique, cette dernière comporte moins d'interaction ou de complexité que l'échelle du vivant, qui, elle, si ce n'est qu'en plus de ses propres interactions, est aussi soumise à la physique par exemple, entre autres.Nicolas78 a écrit :Par exemple extrême, la physique et t'elle plus solide que l’étude du vivant ?
On ne peut pas comparer des pommes avec des oranges. Ce qui importe, c'est d'appliquer la méthodologie et la rigueur scientifique, peu importe ce qu'on observe, mais il est indéniable que certains domaines sont moins précis, tant dans leurs explications, leurs théories ou leurs prédictions, que d'autres. Ce ne sont pas tant les critères ou la rigueur qui différent, fondamentalement, je pense, mais surtout, et plutôt le degré de complexité et/ou d'interactions que comporte le domaine étudié (ainsi que les éléments disponibles pour trancher certaines questions, comme en Histoire, p. ex.).Nicolas78 a écrit :Si non, peux t'on considérer chaque disciplines comme ayant la même rigueurs théorique et la même solidité interprétative/explicative ?
Penser savoir est une chose, savoir penser en est une autre !
- Wooden Ali
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- Inscription : 09 déc. 2006, 21:31
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
Salut Dash
Mon point de vue est qu'une théorie n'est pas meilleure que les faits qui la supportent. Et là, toute les disciplines ne sont pas sur un pied d'égalité. En fait, c'est l'acquisition des faits qui les différencie. La possibilité d'expérimenter en contrôlant soigneusement un maximum de paramètres donne aux faits qui en découlent une grande solidité. C'est ce que le chercheur fait à chaque fois qu'il le peut. C'est le cas des sciences dites dures caractérisées par des faits solides et reproductibles.
Ce n'est évidemment pas le cas des sciences "historiques". Les faits peuvent y être un peu moins solides et surtout apparaitre de manière inopinée. Les théories sont donc susceptibles de facto d'être modifiées, révisées, amendées, plus souvent.
Amha, il ne s'agit que d'une nuance car je pense qu'un historien moderne est tout à fait capable de commenter judicieusement un protocole expérimental et un chimiste apporter sa pierre sur une découverte archéologique (si j'ose dire).
Toutes choses où un créas obtus est totalement désarmé.
D'accord avec ça : un historien d'aujourd'hui est très semblable à un physicien par une foule de choses dont la méthode qu'il utilise pour élaborer ses théories.Dash a écrit : En ce sens que les bases de la méthodologie scientifique (et donc des critères) sont les mêmes (j'espère bien) peu importent les domaines, les sciences ou les « disciplines ». Par contre, la « largeur » du continuum entre ce qui est avéré, sans aucun doute possible à l'une des extrémités VS ce qui est le plus probable (hypothèse de vraisemblance maximale) de l'autre n'est pas la même pour chaque domaine
Mon point de vue est qu'une théorie n'est pas meilleure que les faits qui la supportent. Et là, toute les disciplines ne sont pas sur un pied d'égalité. En fait, c'est l'acquisition des faits qui les différencie. La possibilité d'expérimenter en contrôlant soigneusement un maximum de paramètres donne aux faits qui en découlent une grande solidité. C'est ce que le chercheur fait à chaque fois qu'il le peut. C'est le cas des sciences dites dures caractérisées par des faits solides et reproductibles.
Ce n'est évidemment pas le cas des sciences "historiques". Les faits peuvent y être un peu moins solides et surtout apparaitre de manière inopinée. Les théories sont donc susceptibles de facto d'être modifiées, révisées, amendées, plus souvent.
Amha, il ne s'agit que d'une nuance car je pense qu'un historien moderne est tout à fait capable de commenter judicieusement un protocole expérimental et un chimiste apporter sa pierre sur une découverte archéologique (si j'ose dire).
Toutes choses où un créas obtus est totalement désarmé.
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances. Marcel Proust
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
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Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
Nicolas,
Tes questions sont intéressantes.
Dans l'ordre de rigueur je classerais les disciplines:
Mathématique
Chimie
Physique
Biologie
Médecine
Psychologie
Économie
Sociologie
Anthropologie
Historiographie
Tes questions sont intéressantes.
Oui! Mais cela ne tient pas de la rigueur des personnes qui la pratiquent, mais de la "docilité" de son objet. Il y a des objets d'étude qui se prêtent bien à l'objectivation et d'autres non.Nicolas78 a écrit : 1) D'un point de vue "épistémologique", une/des disciplines jouissent t'elle d'un niveau d'objectivité plus forte que d'autres ?
Dans l'ordre de rigueur je classerais les disciplines:
Mathématique
Chimie
Physique
Biologie
Médecine
Psychologie
Économie
Sociologie
Anthropologie
Historiographie
Dès que l'objet est l'être humain, les problèmes éthiques interdisent bien des formes d'expérimentation. Les facteurs sont aussi parfois trop complexes pour êtres isolés les uns des autres de manière efficace.Nicolas78 a écrit : 2) Et d'un point de vue méthodologique/pratique ya t'il donc des critères qui diffère a partir de la nature d'une discipline ?
Certainement pas!Nicolas78 a écrit : Si non, peux t'on considérer chaque disciplines comme ayant la même rigueurs théorique et la même solidité interprétative/explicative ?
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
Purée, j'avais oublié ce post...
J'ai eu vos réponses et elle sont pertinentes, ça confirme plus ou moins mes suspicions suite à la lecture de divers sujets sur différentes sciences et la façons "différente" d’aborder les faits et les preuves.
J'imagine qu'on pourrais approfondir le débat, mais pour le moment ça ma bien aidé.
Merci tout le monde
J'ai eu vos réponses et elle sont pertinentes, ça confirme plus ou moins mes suspicions suite à la lecture de divers sujets sur différentes sciences et la façons "différente" d’aborder les faits et les preuves.
J'imagine qu'on pourrais approfondir le débat, mais pour le moment ça ma bien aidé.
Merci tout le monde

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- Messages : 86
- Inscription : 21 janv. 2015, 09:44
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
A mon avis, faut éliminer christian.m qui ne respecte pas les règles les plus élémentaires du forum... Après ce que j'en dis...
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- Modérateur
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- Inscription : 03 sept. 2003, 08:39
Re: Critères d'admissibilité des théories sur divers dicipli
Quand vous observez ce genre de comportement, ignorez les messages. Si vous y tenez, envoyez un mp aux modérateurs pour les prévenir. Tout sera de toute façon nettoyé dès que possible.Jean-Marc milhaud a écrit :A mon avis, faut éliminer christian.m qui ne respecte pas les règles les plus élémentaires du forum... Après ce que j'en dis...
Ne perdez pas de temps à répondre ni même à commenter: après le nettoyage des messages qui ne concerne personne ça fait un peu bizarre.
Jean-François
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
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