http://www.huffingtonpost.fr/2014/06/30 ... 42863.html
http://www.huffingtonpost.fr/thomas-bou ... 90761.html
La question que je me pose est la suivante:
L'avantage sélectif est évident: pouvoir émettre un choc électrique conséquent ou avoir un "sonar électrique" permet de survivre et se développer.
Mais au début, quand les premières cellules mutantes ont commencées a émettre de l'électricité, comment les mutants ont-il pu survivre alors même:
- que l'électricité produite était beaucoup trop faible pour avoir un effet repoussant sur les prédateurs ( voir pour assommer une proie)
- qu'il n'y avait pas de déclenchement volontaire de cette décharge
- qu'il n'y avait pas de cellules sensibles a ce rayonnement pour permettre l'utilisation en "sonar électrique"
Des cellules électriques en petit nombre, au contraire, étaient un inconvénient sélectif puisque:
- elles permettaient d'être plus facilement détectées par le prédateur
Exemple du poisson chat dans le lien suivant:
"Une idée largement admise est que les émissions diphasiques sont moins détectables que les émissions monophasiques par les organes électro-sensibles des prédateurs tels que les poissons-chats. "
http://www.maxisciences.com/poisson/deu ... 30703.html
Même si l'on considère que les prédateurs de l'époque n'étaient pas équipés d'organes electro-sensible: la petite production d'électricité trahit la présence de la proie "au contact" alors même qu'elle peut rester camouflée sans ces cellules mutantes.
- elles "coûtent" de l'énergie a l'organisme sans bénéfice évident.
Voilà la question.
