Lambert85 a écrit : 16 mars 2021, 08:42
Selon le cardiologue Giancarlo Lavezzaro, le coeur d'Eddy Merckx battait à un rythme incroyable (aux alentours de 40 pulsations par minute).
Pour les films on utilise des cacadeurs qui planifient les moindres détails.
Avec de l'entraînement, et certaines prédispositions génétiques, du moins on le suppose, il n'y a rien d'étonnant.
Des coureurs cyclistes qui ont un rythme cardiaque au repos en-dessous de 40 plus/mn, il en existe. Comme des coureurs à pied.
Ce qui n'est pas le seul indicateur à retenir, puis qu'il est important de connaître le rythme cardiaque maximum.
Si on a un certain niveau dans une pratique sportive, où le facteur d'endurance est prédominant, il faut suivre une batterie de tests d'efforts qui vont déterminer la VMA disponible, et définir les plages cardiaques à travailler au cours des entraînements.
C'est un signe de bonne santé cardiaque, de l'état général aussi, mais pas de performance. Disons que ça aide pour soutenir un effort et récupérer par la suite.
A titre d'exemple, très restrictif, à considérer sur un plan anecdotique: au top de ma forme d'athlète (course à pied, triathlon), je disposais d'un pouls au repos d'un peu plus de 40 plus/mn, et autour de 192 pls/mn avec un effort maximal (protocole d'entraînement classique, basique, relevés avec un cardio-fréquencemètre Polar).
Sur le plan de la création, avec plusieurs années d'expériences en course à pied, et un peu en triathlon, je n'en sais rien, Après des heures de discussions, aucune idée. Nous étions en forme, sauf états de fatigue passagers, et c'est tout.Les répercussions sur le plan artistique sont trop aléatoires.
Le seul constat que je peux produire, c'est que si on veut disposer d'une bonne forme, il est nécessaire de s'entraîner, un minimum, pour l'entretenir et la conserver le plus longtemps possible. Éviter avec l'âge d'œuvrer comme un bourrin. Il y aura plus de casse qu'autre chose.
Ce ne sont que des impressions, personnelles, qui valent pour leur aspect anecdotique. On ne peut en tirer aucune généralité.
Ces considérations (trop longues...) pour arriver au fait, au thème de ce fil: quand on veut traiter de quelque chose, si on ne dispose pas de base de réflexion avec des données et des informations vérifiables, si on reste dans des considérations métaphysiques, on ne va nulle part, on reste dans les impressions très et trop) vagues pour en tirer quoi que ce soit d'exploitable. Quant à l'intuition à laquelle on pourrait recourir, on connaît les limites de l'exercice.