Du rififi chez les Esprits

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Musella_lasiocarpa
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Du rififi chez les Esprits

#1

Message par Musella_lasiocarpa » 28 juin 2005, 07:36

L'on dirait que les découvertes de plagiat dans les textes du Sire Pantel aient quelque peu troublé le petit monde qui gravitait autour de lui.
Pour preuve, le site du Docteur Jacques Louys http://www.jantel.net n'est plus disponible depuis peu, seule demeure la page d'acceuil de l'adresse http://www.jantel.com (cette dernière adresse appartenant ( voir http://www.domaine.fr ) en propre à Pantel qui, soit dit en passant s'y connaît certainement plus qu'il n'y paraît dans les rouages de la toile, puisqu'il a bien fallu qu'il effectue la transaction !

Puisse l'annonce de cette bienheureuse disparition faire un peu cogiter les faibles d'esprit à la Gattif et Ghost, pour leur plus grand bien.

La zététique franco-canadienne a donc marqué un grand coup en nous débarassant de ces improbables tissus de conn... bîîîp !! :lol:

Florence
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Re: Du rififi chez les Esprits

#2

Message par Florence » 28 juin 2005, 08:48

Musella_lasiocarpa a écrit :Puisse l'annonce de cette bienheureuse disparition faire un peu cogiter les faibles d'esprit à la Gattif et Ghost, pour leur plus grand bien.

C'est un site sceptique, ici, on n'est pas censés croire aux miracles !
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken

Gatti
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#3

Message par Gatti » 28 juin 2005, 13:06

Une taupe qui n'a même pas le courage de decliner son identité et qui s'est inventé un pseudo pour la circonstance uniquement Pour relancer en anonyme le dbat sur Pantel.Ceci me fait penser a celi qui s'es tdeja exprimé sur ce sujet avec une photo de boxeur.Comme si cete affaire se resumait a un reglement de comptes

L'affaire Pantel est et restera pour tres longtemps l'affaire du plus grand medium de tous les temps.

Ceci, même si le Plagiat etait demontré.

Pour ma part je donnerai mon avis constructif sur PANTEL dans l'editorial de http://perso.wanadoo.fr:casar/M143.htm

Sinon : No coment pour cet imbecile qui se derobe derriere l'anonymat en croyant regler ses compte avec des artifices de faux jeton.

Il y a ici une band ede salopards qui en definitive aura sa leçon car mes travaux scientifiques sous forme d etrois revendication prennent maintenant leur interet car ils sont cautionnable par les mathematiques.

Florence
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#4

Message par Florence » 28 juin 2005, 13:14

Gattif a écrit :UN taupe qui n'a même pas le courage de decliner son identité et qui s'est inventé un pseudo pour la circonstance.
l'affaire Pantel est et restera pour tres longtemps l'affaire du plus grand medium de tous les temps.

Ceci, même si le Plagiat etait demontré.

C'est tout Gatti, ça: battu, cocu, mais content ! :roll:
Il y a ici une band ede salopards qui en definitive aura sa leçon car mes travaux scientifiques sous forme d etrois revendication prennent maintenant leur interet car ils sont cautionnable par les mathematiques.
"Gatti, vous seriez totalement incapable de reconnaître une caution par les mathématiques, même si elle se peignait en mauve et dansait toute nue au sommet d'une harpe en chantant "C'est la saison des cautions"!"

(with apologies to Sir Edmund Blackadder)
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Gatti
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#5

Message par Gatti » 29 juin 2005, 07:43

Voici la caution qui danse touite nue qui danse au sommet d'une harpe .Que les scerptiques jugent la nature de ma caution qui est le resultat de 20 ans de recherches permettant d'affirmer la revendication N°1 de CASAR qui rejoint comme par enchantement le stravaux de Philippe VIOLA
QUE LES SCEPTIQUES HONNETES jugent s'ilsd sont assez intelligents pour comprendre.j'en appel ici au president des sceptiques du QUebec

FLORENCE "Gatti, vous seriez totalement incapable de reconnaître une caution par les mathématiques, même si elle se peignait en mauve et dansait toute nue au sommet d'une harpe en chantant "C'est la saison des cautions"!"




GATTI: Passons aux choses sérieuses !; voici notre correspondance (juin2005) avec Philippe VIOLA mathématicien de haut niveau cautionnant la revendication N°1 de CASAR :

------------------------

Pour en revenir à la décohérence, la différence essentielle entre ce programme et la bioquantique est déjà claire (enfin, pour les spécialistes, je veux dire) dans mes articles en ligne :
En décohérence, on reste dans le cadre traditionnel, où l'espace est déterministe et ce sont les systèmes physiques qui sont stochastiques. D'où prise de chou infernale avec le problème de la mesure.
Comme dans toutes les études épistémologiques sur les fondements de la théorie quantique, on tente de représenter l'espace au moyen de la notion de particule quantique. C'est donc la particule quantique qui est la donné fondamentale

En bioquantique, par contre, on se base sur "l'astuce de Prigogine": permuter cadre et système physiques. De ce fait, c'est maintenant l'espace qui contient en lui-même la stochasticité (l'espace est typiquement non-déterministe) et les systèmes redeviennent déterministes dans ce cadre. Et là, no more prise de chou with le problème of the mesure.En bioquantique, c'est l'inverse: l'espace est LA SEULE ET UNIQUE ENTITE PHYSIQUE FONDAMENTALE et tout ce qui existe dans l'Univers n'est que l'expression d'une certaine manifestation géométrique de l'espace. Par exemple, le rayonnement, c'est de la géométrie commutative; la matière, c'est de la géométrie anti-commutative; le vide, c'est de la géométrie purement statistique.
On a "retourné la chaussette". :-))
Alors, c'est vrai, j'ai vérifié, qu'en décohérence, le processus est irréversible. Mais pas en bioquantique, parce que l'irréversibilité n'est plus une propriété des SYSTEMES PHYSIQUES, mais du CADRE PHYSIQUE.
On peut donc "contourner" l'irréversibilité, comme on a "contourné" le principe d'incertitude, sans contredire aucunement la physique déjà existante.
Dans mon mail d'hier, j'ai dit que l'approche conventionnelle actuelle était d'essayer de représenter l'espace (et même le temps) au moyen du concept de particule quantique. C'est donc le graviton en RG et le boson de Higgs pour le vide, ok? Ca, tu le sais.
En bioquantique, j'ai dit que c'était exactement l'inverse. Par ailleurs, la RG y apparaît moins fondamentale. Ca veut dire que le graviton de spin 2 en RG est en fait un composite construit sur le couplage (corrélatif ou non, peu importe), soit d'un seul graviton de spin 1 avec lui-même (auto-couplage), soit de deux gravitons de spin 1. En fait, on se réconcilie avec les autres interactions fondamentales, parce qu'au lieu d'avoir un seul graviton de spin 2, alors que les trois autres interactions sont de spin 1, on se retrouve avec 4 interactions, toutes de spin 1. Et c'est beaucoup plus conforme à la construction en supersymétrie. On a donc 8 gravitons de spin 1 en bioquantique.
Si on prends le vide électromagnétique. Ce vide n'est qu'une spécialisation du vide gravitationnel originel. Comme ce dernier s'auto-polarise (proposition 4 de "Physical geometry of the synthetic bioquantum frame"), ses différentes spécialisations pourront toujours se polariser, soit spontanément, soit sous l'effet des autres interactions. Ca veut dire qu'un photon pourra toujours se matérialiser en une paire électron-positron comme conséquence de la polarisation (ou de l'auto-polarisation) du vide de QED. Ca, on le sait. En termes de géométrie maintenant, cette matérialisation revient à dire qu'une géométrie commutative (celle associée au photon) se transforme en une géométrie anti-commutative (celle associée à l'électron et au positron) et l'opposition de signes sur la charge électrique entre l'électron et le positron se traduit par une inversion du sens de la courbure (concave chez l'un, convexe chez l'autre). Qu'est-ce qui permet ce changement de nature de la géométrie? Bin, tout simplement, l'espace quantique, qui est courbe, double et auto-polarisable. Autrement dit, le processus de matérialisation est contenu DEPUIS LE DEPART dans les données géométriques de l'espace quantique. Ce n'est donc pas surprenant qu'il se produise... D'autre part, tout physicien théoricien te confirmera que la représentation en spineurs s'applique aussi bien à la matière (Fermi, Dirac) qu'au rayonnement, ce qui n'est pas le cas de la représentation en tenseurs (Maxwell, Einstein), qui ne s'applique qu'au rayonnement.Le processus inverse (annihilation du positronium) est évidemment possible, puisque les phénomènes physiques sont réversibles au niveau élémentaire (= non structuré). On aura donc une paire (électron-positron), soit deux géométries anti-commutatives similaires mais de courbures opposées, qui va se lier en un ensemble hydrogénoïde en un temps très court (10^-24 s), puis s'annihilier en un, deux ou trois photons. Les deux géométries vont donc se coupler pour redonner une géométrie commutative. Mais attention: le fait qu'elles soient de courbures opposées ne va pas forcément donner comme résultante une courbure nulle, c'est à dire un espace plat !Alors, maintenant, pourquoi y a-t-il du rayonnement et de la matière? Le rayonnement, c'est de l'énergie pure (ou libre), la matière, c'est de l'énergie condensée. Il y a donc une condensation qui se produit. Et elle se produit DES LE DEPART. Comment? La bioquantique dit: par confinement inertiel. Il se produit alors un changement d'état qui "gèle" l'énergie libre et la confine dans une région limitée de l'espace. Sur le plan géométrique, ça signifie qu'il y a tranfert d'informations (géométriques) entre la composante commutative (responsable du rayonnement) et la composante anti-commutative (responsable de la matière) via l'espace quantique, qui contient LES DEUX FORMES de géométries SIMULTANEMENT (supersymétrie !), et inversement, bien sûr. Donc, dans un sens, il y a matérialisation et dans l'autre, dématérialisation. Mais dans l'espace quantique total, rien ne change: on passe seulement d'une forme (ou manifestation) à une autre, c'est tout !Là où les théoriciens ont des problèmes, c'est quand ils s'attaquent à la complexité. Alors, là, ils se butent à l'irreversibilité. Pourquoi? Parce qu'ils raisonnent sur des SYSTEMES PHYSIQUES, en bon physiciens qu'ils sont, et non sur L'ESPACE PHYSIQUE, comme des mathématiciens. Si tu insères la complexité et, par conséquent, l'irréversibilité dans le cadre physique au lieu de la laisser dans la description des systèmes qui évoluent dans ce cadre, comme le préconisait Prigogine, plus de problèmes, parce qu'au lieu de raisonner avec des points, comme dans le cas élémentaire, tu raisonnes avec des objets "en bloc" de tailles non nulles, que tu apparentes à des "points". Tout simplement.
C'est pour ça que je disais dans mes deux livres que la téléportation d'objets macroscopiques et d'êtres vivants ne pouvait s'envisager "qu'en bloc", d'un seul tenant, avec des "tunnels quantiques" adaptés à la complexité. Sinon, si tu cherches à décomposer en particules, puis à recomposer à l'arrivée, à cause de l'irréversibilité inévitable et du phénomène d'hystérésis, c'est le scénario de la "Mouche", avec Jeff Goldblum: les décorrélations-recorrélations quantiques entre la mouche et lui dans le caisson lors de la téléportation recombinent tout, à commencer par l'ADN. Si, par contre, tu fais une téléportation en bloc par un tunnel quantique à l'échelle humaine, tu retrouves à l'arrivée exactement les mêmes qu'au début. :-)
Selon l'argument initial et central de Prigogine: pour qu'il y ait évolution, organisation et structure, il faut qu'il y ait chaos. Et quand il y a chaos, du fait des interactions entre les composantes à chaque échelle, la représentation en fonction d'onde n'est plus valable, d'une part, parce qu'elle s'avère instable et d'autre part, parce que l'information sur la phase de l'onde est perdue lors du fameux "collapse"... :-) Ca signifie, comme il le montre, que la description en termes de densité de probabilité de présence n'est équivalente à la description en termes de fonction d'onde qu'au niveau le plus élémentaire.
Dès qu'on passe à un niveau supérieur, l'assemblage matériel s'accompagne d'une interférence ondulatoire et, par conséquent, de corrélations statistiques. Il s'ensuit que la densité de proba n'est plus décomposable en le produit d'une fonction d'onde et de sa complexe conjuguée (la même fonction, où la phase est changée de signe) et c'est là l'expression mathématique du collapse.Il y a donc effectivement irréversibilité, mais DANS UN CADRE PHYSIQUE DETERMINISTE. En revanche, et c'est là la suggestion géniale de Prigo, si l'on passe dans un cadre physique ALEATOIRE, où le niveau de description de base est directement celui des probas, on se retrouve avec des systèmes DETERMINISTES et IL N'Y A PLUS, A PROPREMENT PARLER, "D'IRREVERSIBILITE": c'est du "néo-déterminisme", comme je l'explique dans "Les saines ecritures".
L'astuce de Prigogine consiste alors à dire que ces 2 descriptions (systèmes stochastiques dans un cadre déterministe et systèmes déterministes dans un cadre stochastique) sont formellement équivalentes. La différence, essentielle, réside dans la résolution des équations dynamiques, qui sont beaucoup plus compliquées à résoudre dans le cadre déterministe.
.

Gatti
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#6

Message par Gatti » 29 juin 2005, 08:41

Afin qu'aucune ambiguité ne subsiste Voici la revendication de casar que nous avançons comme une ouverture vers une grande decouverte.

Découverte de physique fondamentale (revendiquée par CASAR) résultant de 20ans d'étude comparative , collationnant les dossiers paranormaux avec la physique fondamentale

Revendication 1 :La décoherence quantique macroscopique est réversible contrairement a ce qu'affirment la science actuelle . Dans l'avenir des équipements de laboratoires sauront créer les conditions spécifiques permettant la re-coherence d'objets de grande taille en bloquant l'agitation thermique des particules
EXTRAIT DE http://perso.wanadoo.fr/casar/M140.htm

NB: La perruque ou la taupe qui a ouvert ce fil va la regretter amerement

Florence
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#7

Message par Florence » 29 juin 2005, 09:37

Gattif a écrit :Afin qu'aucune ambiguité ne subsiste Voici la revendication de casar que nous avançons comme une ouverture vers une grande decouverte.

Découverte de physique fondamentale (revendiquée par CASAR) résultant de 20ans d'étude comparative , collationnant les dossiers paranormaux avec la physique fondamentale

Revendication 1 :La décoherence quantique macroscopique est réversible contrairement a ce qu'affirment la science actuelle . Dans l'avenir des équipements de laboratoires sauront créer les conditions spécifiques permettant la re-coherence d'objets de grande taille en bloquant l'agitation thermique des particules
EXTRAIT DE http://perso.wanadoo.fr/casar/M140.htm

Pfff ! comme d'habitude, des pages et des pages de rodomondades truffées d'absurdités, sans le moindre élément mathématique pour les soutenir (comme si d'ailleurs c'était possible :roll: ).
NB: La perruque ou la taupe qui a ouvert ce fil va la regretter amerement
C'est ça, vous allez la faire décohérer macroquantiquement par Pantel :roll:
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Gatti
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#8

Message par Gatti » 29 juin 2005, 10:01

Je N'ai pas l'intention d e me laisser ecraser aussi legerement par une mal baisée!

Voici le debut de la demonstration en question sous sa forme mathematique la plus academique. Je Ne publierai pas les quarante pages qui lui sont consacrée pour des questions de copyreigt mais je les tiens a la disposition du president des sceptiques du QUebec QUE NOUS INTERPELLONS UNE NOUVELLE FOIS .Il ferait une tres bonne affaire publicitaire (vis a vis de toute la communauté scientifique travallant en recherche fondaentale) en faisant etudier de tres pres les equatons d ePhilippe VIOLA .


---------------

BIOQUANTUM THEORY

I

THEORY OF PSI FIELDS





Table of contents





Introduction

I - THE TOTAL UNIVERSE

I.1 - The external world
I.2 - The internal world
I.3 - The quantum world

II - PSI FIELDS AND WAVES

II.1 - PSI sources : charges and currents
II.2 - PSI fields
II.3 - PSI waves

III - PSI PROCESSES

III.1 - PSI interactions
III.2 - Propagation of PSI waves
III.3 - Emission of waves by PSI charges
III.4 - PSI radiation
III.5 - PSI scattering

IV - GRAVITATIONAL PSI FIELDS

IV.1 - Quantum gravity
IV.2 - Quantum biogravity

V - ELECTROMAGNETIC PSI FIELDS

V.1 - Quantum electrodynamics (QED)
V.2 - Quantum bioelectrodynamics (QBED)

VI - PSI-FLUIDS

VI.1 - Quantum hydrodynamics (QHD)
VI.2 - Quantum magnetohydrodynamics (QMHD)
VI.3 - Quantum biomagnetohydrodynamics (QBMHD)

VII - SUPERSYMETRIC PSI FIELDS

VII.1 - Bosonic and fermionic PSI fields. Supersymetrization
VII.2 - Supergravity and superbiogravity
VII.3 - Super-PSI-fluids
I

THE TOTAL UNIVERSE





I.1

The external world





In bioquantum theory, the elementary (i.e. non structured) external world is a complex Einstein manifold Z of complex dimension 4 endowed with a hermitian metric which locally writes :

(I.1) ds2 = gij*(z,z*)dzidz*j

where i,j run from 0 to 3 and * is the complex conjugaison, and which is solution of the Einstein equations on Z :

(I.2) Rij* - (1/2)R.gij* = (8G/c4)Tij* , DextiTij* = 0 , Dexti*Tij* = 0

where Dext , G and c are the covariant derivative on Z, Newton's gravitational constant and the velocity of light in the vaccum, respectively. Since :

(I.3) gij* = (gi*j)* (i,j = 0,1,2,3)

there exists a discrete unitary symmetry S, called the mirror symmetry, the left action of which exchanges Z and its complex conjugate Z* :

(I.4) S.Z = Z* , S.Z* = Z , S2 = 1

Thus, if one writes Z = X  iY, X is the symmetric part of Z and Y, its skew-symmetric part. Indeed, from (I.4), one can easily see that :

(I.5) S.X = X , S.Y = -Y

Z has therefore torsion and its local invariance group is the unitary Lie group SU(3,1) isomorphic toC(3,1)/Z2, where C(3,1) is the real conformal group. This shows that, up to the choice of sign, Z geometrically behaves as a real conformal Einstein manifold of dimension 4. However, if there exists a scalar function K(z,z*) such as :

(I.6) gij* = 2K/ziz*j (i,j = 0,1,2,3)

then Z is Kähler.If this is so, then Z is analytic and torsion-free.

The choice of Z as the elementary external world is much more convenient to treat matter and antimatter on a equal footing and to perform quantization with respect to the de Broglie duality, as we will see further.

For the time being, let us introduce structure into the geometry of Z. Let e be a real scale parameter and consider the probabilistic space B = (Z,T,P), where T is a Borel tribe and P is a probability law with parameter e. The space B can be viewed as a dense family of external worlds {Z(e)}e in R such that :

(I.7) Z(0) = Z , Z(e) (included in or equal to)Z(e') (0 e  e')

This amounts to go from a deterministic Einstein universe Z to a fractal one into which structures at all scales organize through a stochastic process with probability law P. So, at scale e, each point z(e) of the universe Z(e) writes :

(I.8) z(e) = <z(e)> +  , ||2 = i*i = e2

where <.> stands for the mean value and  is the fluctuating part or correlation length. Since the mean value is scale-independent, one has :

(I.9) <z(e)> = <z(0)> = z in Z for all e in R

which shows that <Z(e)> identifies with the elementary external world Z. However, the situation here is much more complicated than in conventional 3-space, for the value e = 0 now corresponds to a "light-like" fluctuation, as comes out from (I.8) and from the hyperbolic nature of the metric on Z. This type of fluctuation is singular in the sense that, despite that the length of the 4D vector i is indeed zero, that of the 3D spatial vector a (a = 1,2,3) is not, but equal to the length of the time-like component o :

(I.10) ||2 = a*a = |o|2 = o*o ≥ 0

So, there still remains spatial and time fluctuations, of the same amplitude.

The structure rule governing the coherent organization of sub-universes Z(e) from e = 0 to infinity is given as the general solution of a stochastic differential system of the form :

(I.11) dzi(e)/de = eFi(z,z*) , dz*i(e)/de = eF*i(z,z*) (i = 0,1,2,3)

For e = 0, this gives :

(I.12) dzi/de = 0 , dz*i/de = 0 (i = 0,1,2,3)

which indeed shows that z is scale-independent. For e  0, assuming the Ito conditions are satisfied, the universe Z(e) deduces from Z by means of the evolution group G(e) :

(I.13) Z(e) = G(e).Z , G(0) = 1

and the fractal nature of the structured external world is revealed by the scale invariance of G(e), which writes :

(I.14) dG(e)/de = 0

When non-reversibility occurs, this evolution group splitts into two semi-groups : G+(e), only defined for e ≥0 and G-(e), only defined for e  0 with a common connection at e = 0 (branching condition).

On the fractal external world Z(e), a trajectory is a non-regular curve (e) with the property of self-similarity (fractal curve). Assuming the curve (0) is C1 and smooth, that is, analytic on Z, the curve (e) can be built step by step applying the group action G(e) on the left, as in (I.13) :

(I.15) (e) = G(e).(0)

So, if one writes G(e) = exp(eH), where H is a stochastic operator, one gets the evolution equation :

(I.16) d(e)/de = - [H, (e)]

with [.,.] the usual Lie bracket, while eq. (I.14) becomes :

(I.17) [H, G(e)] = 0 for all e in R

When the probability law P is gaussian, its momenta are non zero up to the second order only, which corresponds to the fractal dimension 2. In this case, the total derivative d/de writes :

(I.18) d/de = /e + Re{(zi/e).(Dext)i} + e(Dext)i(Dext)*i

So, when P is gaussian, its density e(z,z*) = exp(|z|2/2e2) / e4 (with - if |z|2 is time-like and + if it is space-like) satifies the equation :

(I.19) e/e = e(Dext)i(Dext)*ie

However, at light-like points z of Z, that is, on the complex light cone, one finds e(z,z*) = 1/ e4. Such a singular situation does not appear in purely riemannian space for which the metric is elliptic. In the hyperbolic case, on the contrary, the probability density is everywhere the same on the whole surface of the light cone. At e = 0, one has a single light cone associated to all point of Z that may show light-like fluctuations and when e -> infinity , one gets a fractal complex light cone in place of the preceding one.

More generally, a classical field on Z(e) is a non-regular application :

(I.20)  : Z(e) -> Rn or Cn (n ≥ 1)

where z(e) is a stochastic variable. The total covariant derivative of  is d/de, where the operator d/de is given by (I.18) in fractal dimension 2. In the general case,  depends both on z(e) and on z*(e).

All results extend to the discrete case replacing differentials by finite differences, continuous curves and fields by their discrete counterparts and the Poisson bracket {.,.} on the cotangent vector bundle T*Z of Z by the Lie bracket [.,.]. Continuous spectrum of propagation and scattering are replaced by discrete spectrum of interactions and functions by their corresponding operators. So, one goes from commutative spaces and algebras to non-commutative ones. A typical and simple example of a discrete structured external world is the well-known Cantor set in which the elementary component (i.e. that at scale e = 0) is a full universe Z and the large-scale structure of the fractal external universe Z(e) when e -> infinitylooks like a discrete infinity of isomorphic non-interacting elementary external worlds of characteristic diameter zero, infinitely close to each other.

Let us say a word about gauge transformations in the structured external world. Such transformations are to be considered when studying couplings of a mechanical complex system with an external field.

Let us introduce the non-linear scale-dependent covariant derivative of z(e) :

(I.21) Dz/de = v + A(z,z*) , v = dz/de , v* = dz*/de

where the external field A may be complex-valued and consider the hermitian kinematical function :

(I.22) L(z,z*,v,v*,e) = (Dz/de)(Dz/de)*
= |v|2 + v.A*(z,z*) + v*.A(z,z*) + |A(z,z*)|2

If one introduces a scale transformation of the first kind of the form :

(I.23) z -> z' = z.ei(e) ,  real

The expression (I.21) above becomes :

(I.24) Dz'/de = (v + iD/de).ei + A{z.eiz*.e-i}

and, by complex conjugaison, one also gets :

(I.25) (Dz'/de)* = (v* - iD/de).e-i + A*{z.eiz*.e-i}

while the modulus of z remains unchanged. The L-function thus becomes :

(I.26) L(z',z'*,v',v'*,e) = |v|2 - i(v-v*)(D/de) + (D/de)2 +
+ A{z.eiz*.e-i}(v* - iD/de).e-i +
+ A*{z.eiz*.e-i}(v + iD/de).ei +
+ |A{z.eiz*.e-i}|2

This expression has to be equal to (I.22) in order to have scale-invariance. This implies a transformation of the second kind on the field A :

(I.27) A{z.eiz*.e-i} = ei.{A(z,z*) - iD/de}

to be performed simultaneously with (I.23).

Finally, let us examine the fractal geometry of the structured external world.

Florence
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#9

Message par Florence » 29 juin 2005, 10:28

Pfff, vous pouvez bien faire tous les copier-coller que vous voulez, vous-même n'y comprenez rien du tout* et Viola lui-même s'est distancé de vos "oeuvres" ... sans compter que la sienne n'a pas l'air d'impressionner outre mesure ses confrères.

Encore une fois, un coup dans l'eau.

* ni en maths, ni en anglais, LOL
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André
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#10

Message par André » 29 juin 2005, 11:53

Gattif
L'affaire Pantel est et restera pour tres longtemps l'affaire du plus grand medium de tous les temps.
Eh, bien ! Ça règle la question.
Si tel est le cas, ça démontre que toutes les histoires de médium, c'est de la boulechite.
...collationnant les dossiers paranormaux avec la physique fondamentale
Comme collation, c'est tout à fait indigeste. :mrgreen:
Dans l'avenir des équipements de laboratoires sauront créer les conditions spécifiques permettant la re-coherence d'objets de grande taille en bloquant l'agitation thermique des particules
On pourra peut-être envisager ça le jour où Gatti pourra mettre un peu de cohérence dans ses propos en bloquant l'agitation désordonnée de ses neurones, ce qui n'est pas demain la veille. :lol:

André

Gatti
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#11

Message par Gatti » 29 juin 2005, 11:55

Arrête ton char maintenant c'est clair .La representante officielle des sceptiques n'a qu"un argument a opposer a des gens qui travaillent depuis des decennies sur ces questions paranormales: Y SONT TOUS DES CONS!

je crois que j'avais dis MAL B.....Ce sera mon diagnostique de conclusion

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buissonland
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#12

Message par buissonland » 30 juin 2005, 14:34

Coucou...

Pour commencer, je voudrais simplement dire que les (longs) textes de Gatti me font penser aux Ecrits si critiqués des 'Frères Bogdanov' ... non ?

Ensuite, j'aimerai, puisque je n'ai malheureusement que BAC +2, qu'on m'explique un peu la relation entre ces théories quantique et l'affaire Pantel (il s'agit bien de matérialisation à partir de rien ou j'ai pas tout compris)... Mais j'avoue volontier être un novice en la matière...alors merci de m'éclairer la dessus avec des mots simples.

Maintenant, je vais donner mon sentiment a propos de votre travail, et plus particulierement de vos recherches sur Pantel.

A mon avis (mais je ne dois certainement pas etre le seul), vous vous acharnez à tenter de prouver par X ou Y (en développant même de nouvelles théories 'sur mesure') la réalités de faits non avérés.

En gros, et comme c'est souvent le cas, vous tentez de démontrer une chose qui n'existe pas. Vous auriez du dépenser votre temps et votre énergie a 'tester' Pantel avec des procédures scientifiques vérifiables, avec des gens compétants, afin de demasquer (ou pourquoi pas, d'infirmer) la moindre supercherie (aussi complexe soit-elle).

Je pense qu'en 20 ans de travaux appliqués dans ce domaine vous auriez au moins la certitude aujourd'hui d'avoir à faire a un tres bon prestidigitateur, ou (pour vous faire plaisir) a un 'authentique' cas paranormal.

Vous avez travaillé à l'envers..... et ca devient totalement grotesque et irrecupérable. Le seul moyen de 'tester' Pantel serait de reprendre le travil à zéro. Mais visiblement, Pantel à assez rigolé et se lasse un peu de sa plaisanterie. Car, qui ira lui faire payer les 20ans que vous avez gachés pour lui si c'est un imposteur ?

Bien à vous.

Y.

Jean-Francois
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#13

Message par Jean-Francois » 30 juin 2005, 15:49

buissonland a écrit :Ensuite, j'aimerai, puisque je n'ai malheureusement que BAC +2, qu'on m'explique un peu la relation entre ces théories quantique et l'affaire Pantel (il s'agit bien de matérialisation à partir de rien ou j'ai pas tout compris)...
Le problème des partisans du paranormal (au sens large, mais surtout du psi) est que non seulement les phénomènes dont ils sont partisans sont difficilement observables (et très facilement reproduits par supercherie), mais ils ne sont pas explicables par les connaissances scientifiques. Pour palier à ce second problème, de nombreux partisans invoquent (dans le sens mystique du terme: c'est une prière magique) la "physique quantique" comme "explication" potentielle à pas mal de phénomènes supposément paranormaux. Le but est de montrer qu'à défaut d'être observés dans des conditions contrôlées, ces phénomènes sont parfaitement possibles. C'est une forme d'argument par l'ignorance: on avance une explication qui ne repose sur rien (sinon sur des axiomes douteux et des présuposés gros comme le bras), et comme personne ne peut la démonter... on finit par la considérer juste.

Dans le cas de Pantel, invoquer la physique quantique pour expliquer les "matérialisations" et autres pantelonnades, c'est comme invoquer la 2e loi de la thermodynamique pour expliquer la crédulité volontaire de Gatti: ça n'a aucun rapport.
buissonland a écrit :Vous auriez du dépenser votre temps et votre énergie a 'tester' Pantel avec des procédures scientifiques vérifiables, avec des gens compétants, afin de demasquer (ou pourquoi pas, d'infirmer) la moindre supercherie (aussi complexe soit-elle)
Gatti refuse de voir la réalité en face: on lui a offert l'occasion d'effectuer ce "test" (au moins de manière minimale), et il a trouver des prétextes pour ne pas le faire. C'est une forme de déni: il a bien trop peur que la réalité ne soit pas à la hauteur de ses rêves. Je crois même, d'ailleurs, qu'il n'a jamais vu Pantel de sa vie... Les "manifestations paranormales" dont il se dit témoins sont des magouilles de téléphone facilement reproduites avec les double-lignes, appel conférence, etc.

Jean-François

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HerbeDeProvence
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#14

Message par HerbeDeProvence » 30 juin 2005, 19:38

buissonland a écrit : Mais visiblement, Pantel à assez rigolé et se lasse un peu de sa plaisanterie. Car, qui ira lui faire payer les 20ans que vous avez gachés pour lui si c'est un imposteur ?
Bon scénario pour une comédie dramatique ça....

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DarthBug
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#15

Message par DarthBug » 04 juil. 2005, 22:19

Dans le cas de Pantel, invoquer la physique quantique pour expliquer les "matérialisations" et autres pantelonnades, c'est comme invoquer la 2e loi de la thermodynamique pour expliquer la crédulité volontaire de Gatti: ça n'a aucun rapport.
Pas d'accord avec toi JF.... Je pense que l'entropie de ce forum augmente par la crédulité de Gatti.... :lol:
--Un coup de dés jamais n'abolira le hasard

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