Du temps et de la souffrance . Vous en pensez quoi ?
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"Pour comprendre la souffrance, nous devons comprendre véritablement la nature du temps et la structure de la pensée. Il faut que le temps s’arrête, sinon nous ne faisons que répéter l’information que nous avons accumulée, comme un cerveau électronique. Si le temps ne prend pas fin – ce qui suppose que prenne fin la pensée- tout n’est que répétition, adaptation, modification continuelle. Mais il n’y a jamais rien de neuf. Nous sommes, sous des apparences flatteuses, des cerveaux électroniques un peu plus indépendants peut être, mais, notre fonctionnement s’apparente à celui des machines… et comprendre le temps c’est comprendre la pensée. Les deux choses ne sont pas séparées. En comprenant le temps, on tombe sur la pensée et la compréhension de la pensée est l’abolition du temps et, par conséquent, la fin de la souffrance. "
C'est du charabia.
Ca avait sans doute un sens pour celui qui l'a écrit. Ceux qui le lisent peuvent aussi très facilement y trouver un sens, mais ce n'est que le sens qu'eux-même injectent dans le texte. Pas forcément le sens auquel pensait celui qui l'écrivait.
C'est le problème avec les grands concepts généraux et les affirmations bien globalisantes dans ce genre... « comprendre le temps », « comprendre la pensée », « l'abolition du temps », « l'abolition de la souffrance »... N'importe qui peut écrire ce genre de trucs, pire même, n'importe qui peut le lire et lui donner un sens, même avec des facultés intellectuelles très limitées (surtout dans ce cas d'ailleurs, ça donne au lecteur la fausse impression d'être très intelligent).
Malgré les références plus ou moins scientifiques (la comparaison du cerveau avec une machine) qui pourraient à première vue faire croire que l'auteur est plutôt matérialiste - sceptique, je ne serais pas étonné qu'en fait ce soit un mystique, car ce genre de raisonnements flous et généraux me semblent être typiques de la pensée zozote.
Ou alors un philosophe, après tout certains ont écrit des trucs bien pire dans le style (Hegel par exemple va beaucoup plus loin dans l'imposture intellectuelle).
Ca avait sans doute un sens pour celui qui l'a écrit. Ceux qui le lisent peuvent aussi très facilement y trouver un sens, mais ce n'est que le sens qu'eux-même injectent dans le texte. Pas forcément le sens auquel pensait celui qui l'écrivait.
C'est le problème avec les grands concepts généraux et les affirmations bien globalisantes dans ce genre... « comprendre le temps », « comprendre la pensée », « l'abolition du temps », « l'abolition de la souffrance »... N'importe qui peut écrire ce genre de trucs, pire même, n'importe qui peut le lire et lui donner un sens, même avec des facultés intellectuelles très limitées (surtout dans ce cas d'ailleurs, ça donne au lecteur la fausse impression d'être très intelligent).
Malgré les références plus ou moins scientifiques (la comparaison du cerveau avec une machine) qui pourraient à première vue faire croire que l'auteur est plutôt matérialiste - sceptique, je ne serais pas étonné qu'en fait ce soit un mystique, car ce genre de raisonnements flous et généraux me semblent être typiques de la pensée zozote.
Ou alors un philosophe, après tout certains ont écrit des trucs bien pire dans le style (Hegel par exemple va beaucoup plus loin dans l'imposture intellectuelle).
- le fugitif
- Messages : 945
- Inscription : 06 sept. 2003, 11:55
La citation, c'est du jean claude van damme ?
Quelques témoignages de ce grand penseur qu'Orphée ne pourra pas renier :
http://jeanclaudevandamme.free.fr/videos/aware.avi
http://jeanclaudevandamme.free.fr/videos/full_cycle.wmv
http://vandame.free.fr/videos/neutral.rm
http://jeanclaudevandame.free.fr/video/chiffres.mpeg
http://vandame.free.fr/videos/readIsDead2.mov
http://jeanclaudevandamme.free.fr/video ... inctif.wmv
Quelques témoignages de ce grand penseur qu'Orphée ne pourra pas renier :
http://jeanclaudevandamme.free.fr/videos/aware.avi
http://jeanclaudevandamme.free.fr/videos/full_cycle.wmv
http://vandame.free.fr/videos/neutral.rm
http://jeanclaudevandame.free.fr/video/chiffres.mpeg
http://vandame.free.fr/videos/readIsDead2.mov
http://jeanclaudevandamme.free.fr/video ... inctif.wmv
- le fugitif
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Tu m'as devancé, j'allais répondre exactement la même choseFugitif a écrit :Tu pourras nous sortir les noms des plus grands scientifiques ou philosophes ça ne changera rien à la nullité/incompréhensibilité de ce texte pris tel quel.

Enfin si ça venait d'un sceptique je serais quand même assez étonné, car le discours sur la souffrance fait un peu trop penser au bouddhisme. Mais ça pourrait être d'un scientifique qui aurait quelques vagues tendances agnostiques ou spirituelles, pourquoi pas - je voudrais même bien croire que l'auteur soit un prix nobel. Même des scientifiques de premier plan écrivent parfois n'importe quoi, on a bien vu des Bohm, Josephson ou Eccles produire des textes beaucoup plus risibles que la citation d'Orphée.
Heureusement que Gael est la pour nous informer quand les grands scientifiques disent des choses intelligentes et quand ils disent "n'importe quoi". Bien entendu ce qu'il considere comme du n'importe quoi n'est pas du tout ce qui va a l'encontre de ses propres croyances, Gael est bien plus ouvert que ca, quand il dit que c'est du n'importe quoi, c'est parce que lui connait la vérité et donc sait ou est le n'importe quoi.Gaël a écrit :. Même des scientifiques de premier plan écrivent parfois n'importe quoi, on a bien vu des Bohm, Josephson ou Eccles produire des textes beaucoup plus risibles que la citation d'Orphée.
Merci Gael de tes lumieres!
«Un présomptueux scepticisme, qui rejette les faits
sans examiner s'ils sont réels, est, à certains égards, plus blâmable que la crédulité irraisonnée.»
A. De Humboldt
sans examiner s'ils sont réels, est, à certains égards, plus blâmable que la crédulité irraisonnée.»
A. De Humboldt
Un scientifique quel que soit son niveau est compétent dans sa spécialité, pour le reste il ne vaut pas mieux que n'importe qui. En particulier quand il pense faire de la philosophie ou révéler des vérités "spirituelles". C'est une évidence.Lil'Shao a écrit :Heureusement que Gael est la pour nous informer quand les grands scientifiques disent des choses intelligentes et quand ils disent "n'importe quoi". Bien entendu ce qu'il considere comme du n'importe quoi n'est pas du tout ce qui va a l'encontre de ses propres croyances,
Si tu veux accorder à un scientifique une autorité dans un domaine autre que celui de sa spécialité, c'est ton problème, mais ne vient pas m'accuser moi de juger leurs propos en fonction de mes croyances alors que ce n'est que ton propre défaut. Si tu manque tant de neurones que tu prend au pied de la lettre sans réfléchir la première connerie dite par un scientifique pour peu qu'elle confirme tes croyances, je n'y peux rien.
Non moi je m'en contrefous que ca soit un scientifique, Jesus, Buddha un enfant de 4 ans ou un clochard qui est parlé, si j'entend la sagesse, quelquesoit la bouche dont elle sort, je l'écoute.
«Un présomptueux scepticisme, qui rejette les faits
sans examiner s'ils sont réels, est, à certains égards, plus blâmable que la crédulité irraisonnée.»
A. De Humboldt
sans examiner s'ils sont réels, est, à certains égards, plus blâmable que la crédulité irraisonnée.»
A. De Humboldt
Aux malades du scepticisme relatif, la suite ...
Cela fait deux mille ans que l’esprit chrétien est conditionné à croire en un Sauveur, à l’enfer, au paradis ; et en Orient, un conditionnement similaire s’est développé depuis des temps encore plus reculés. Nous croyons que le temps est nécessaire à tout ce que nous devons faire ou comprendre. Le temps devient donc un pesant fardeau ; il fait obstacle à la perception réelle ; il nous empêche de voir de manière immédiate la vérité d’une chose, parce que nous croyons que, pour y parvenir, il nous faut du temps.
Nous disons « demain ou dans deux ans je vais comprendre cette chose là avec une lucidité extraordinaire » . Dès l’instant ou nous admettons le temps, nous cultivons l’indolence, cette forme particulière de paresse qui nous empêche de voir immédiatement la chose telle qu’elle est en réalité.
Nous croyons avoir besoin de temps pour battre en brèche le conditionnement que la société –avec ses religions structurées, ses codes de moralité, ses dogmes, son arrogance et son esprit de compétition- a imposé à l’esprit.
Nous pensons en termes de temps parce que la pensée procède du temps…
La pensée étant la réponse de la mémoire, elle est, dans sa nature même, le produit du temps et le facteur de création du temps.
Nous disons « demain ou dans deux ans je vais comprendre cette chose là avec une lucidité extraordinaire » . Dès l’instant ou nous admettons le temps, nous cultivons l’indolence, cette forme particulière de paresse qui nous empêche de voir immédiatement la chose telle qu’elle est en réalité.
Nous croyons avoir besoin de temps pour battre en brèche le conditionnement que la société –avec ses religions structurées, ses codes de moralité, ses dogmes, son arrogance et son esprit de compétition- a imposé à l’esprit.
Nous pensons en termes de temps parce que la pensée procède du temps…
La pensée étant la réponse de la mémoire, elle est, dans sa nature même, le produit du temps et le facteur de création du temps.
Re: Du temps et de la souffrance . Vous en pensez quoi ?
À mon avis, ce texte a été composé par un gourou complètement déphasé.Orphée a écrit :"Pour comprendre la souffrance, nous devons comprendre véritablement la nature du temps et la structure de la pensée. Il faut que le temps s’arrête, sinon nous ne faisons que répéter l’information que nous avons accumulée, comme un cerveau électronique. Si le temps ne prend pas fin – ce qui suppose que prenne fin la pensée- tout n’est que répétition, adaptation, modification continuelle. Mais il n’y a jamais rien de neuf. Nous sommes, sous des apparences flatteuses, des cerveaux électroniques un peu plus indépendants peut être, mais, notre fonctionnement s’apparente à celui des machines… et comprendre le temps c’est comprendre la pensée. Les deux choses ne sont pas séparées. En comprenant le temps, on tombe sur la pensée et la compréhension de la pensée est l’abolition du temps et, par conséquent, la fin de la souffrance. "
Raphaël

Certainement pas, comment voudrais-tu qu'on soit sûrs de quoi que ce soit à partir de quelques simples citations ? Je le prend comme un jeu et je lance des hypothèses.Orphée a écrit :Vous êtes sûrs qu'il est bouddhiste ou chrétien ?
Ceci dit même sans adhérer à une religion particulière, et malgré le caractère plutôt anti-religieux de son discours, ça n'empêche pas forcément une influence possible d'une certaine pensée issue de la religion. Ta seconde citation est aussi insignifiante que la première, mais ce type des textes me fait par exemple penser aux écrits du philosophe Cioran, qui n'est pas tendre avec les religions (il est dans la lignée de Nietzche) et qui pourtant est très influencé par des considérations issues de certaines formes de mysticisme oriental et occidental.
Re: Du temps et de la souffrance . Vous en pensez quoi ?
C'est pas du J-CV. c'est pas "aware". Déja ce n'est ni jesus ni allah.... ou alors c'est une sacré prophétie. Cela pourrait etre du Bush qui veut faire son intelligent... Mais je vois bien de l'intelligence design derriere ce texte.Orphée a écrit :"Pour comprendre la souffrance, nous devons comprendre véritablement la nature du temps et la structure de la pensée. Il faut que le temps s’arrête, sinon nous ne faisons que répéter l’information que nous avons accumulée, comme un cerveau électronique. Si le temps ne prend pas fin – ce qui suppose que prenne fin la pensée- tout n’est que répétition, adaptation, modification continuelle. Mais il n’y a jamais rien de neuf. Nous sommes, sous des apparences flatteuses, des cerveaux électroniques un peu plus indépendants peut être, mais, notre fonctionnement s’apparente à celui des machines… et comprendre le temps c’est comprendre la pensée. Les deux choses ne sont pas séparées. En comprenant le temps, on tombe sur la pensée et la compréhension de la pensée est l’abolition du temps et, par conséquent, la fin de la souffrance. "
OU alors c'est du djamel...

SI quelqu'un peut m'expliquer ca:
Nous voila en face d'un sacré supposeur !Si le temps ne prend pas fin – ce qui suppose que prenne fin la pensée
mais ce n'est pas fini...
Une modification continuelle n'est jamais rien de neuf ?Si le temps ne prend pas fin – ce qui suppose que prenne fin la pensée- tout n’est que répétition, adaptation, modification continuelle. Mais il n’y a jamais rien de neuf


en plus d'etre un sacré supposeur il l est sacré "concluseur" !
L''apothéose arrive à la fin. Le bouquet final :
On dirait un verset ca veut strictement rien dire mais ca parrait logique donc credible mais pour resumer :En comprenant le temps, on tombe sur la pensée et la compréhension de la pensée est l’abolition du temps et, par conséquent, la fin de la souffrance
temps = pensée
pensée=abolition du temps
Abolition du temps = fin de la souffrance
c'est impressionnant de bétise...
En y repensant, je parierais que c'est de Cioran ou d'un penseur influencé par Cioran (j'y mettrais, disons, 70% au redico). J'ai ressorti plusieurs de ses livres pour les parcourir (autrefois, c'était un de mes auteurs favoris). On retrouve dans les citations d'Orphée tous les sujets favoris de Cioran : le temps, la souffrance, la pensée, le bouddhisme et le christianisme, la paresse... Même le style ressemble à celui de Cioran, un vernis poétique verbeux plaqué sur une pensée floue, mal organisée et exprimée de façon confuse, qui se croit philosophique.
Un extrait pour donner une idée :
« La sensibilité à l'égard du temps suit de l'incapacité à vivre dans le présent. On se rend compte à chaque instant du mouvement impitoyable du temps qui se substitue au dynamisme immédiat de la vie. On ne vit plus dans le temps, mais avec lui, parallèlement à lui.
En ne faisant plus qu'un avec la vie, on est soi-même le temps. En le vivant, on meurt avec lui, sans doutes ni tourments. [...]
Lorsqu'on sait continûment quel agent de destruction est le temps, des sentiments surgissent alentour pour tenter de le sauver par tous les moyens. La prophétie est l'actualité du futur, comme le regret est celle du passé. Ne pouvant demeurer dans le présent, nous transformons le passé et l'avenir en présences, en sorte que l'actuelle nullité du temps nous facilite l'accès à son infinité.»
(Cioran, Le crépuscule des pensées, p. 16)
Un extrait pour donner une idée :
« La sensibilité à l'égard du temps suit de l'incapacité à vivre dans le présent. On se rend compte à chaque instant du mouvement impitoyable du temps qui se substitue au dynamisme immédiat de la vie. On ne vit plus dans le temps, mais avec lui, parallèlement à lui.
En ne faisant plus qu'un avec la vie, on est soi-même le temps. En le vivant, on meurt avec lui, sans doutes ni tourments. [...]
Lorsqu'on sait continûment quel agent de destruction est le temps, des sentiments surgissent alentour pour tenter de le sauver par tous les moyens. La prophétie est l'actualité du futur, comme le regret est celle du passé. Ne pouvant demeurer dans le présent, nous transformons le passé et l'avenir en présences, en sorte que l'actuelle nullité du temps nous facilite l'accès à son infinité.»
(Cioran, Le crépuscule des pensées, p. 16)
Dernière modification par Gaël le 18 nov. 2005, 13:47, modifié 1 fois.
Re: Du temps et de la souffrance . Vous en pensez quoi ?
sansdec' a écrit : On dirait un verset ca veut strictement rien dire mais ca parrait logique donc credible mais pour resumer :
temps = pensée
pensée=abolition du temps
Abolition du temps = fin de la souffrance
c'est impressionnant de bétise...
c'est surtout impressionnant de vacuité ...

"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Je pense que vous êtes GRAVEMENT atteint de surdité.
En France on dit que c’est la masturbation qui en est la cause et ça s’appelle une « plaisanterie » mais, dans votre cas, il semble que cela soit parfaitement véridique d’où certains comportements déjà soulignés ailleurs.
Cet individu là –comme probablement des tas d’autres- vous y êtes autant attentifs et respectueux qu’avec tous les « zozos », les « scientifiques marginaux » et tous ceux qui sortent de votre petit cadre.
Outre le fait que vous exprimiez –même à travers des méthodes qui vous semblent logiques – la bêtise, l’orgueil, l’intolérance, ce même que vous reprochez à ceux que vous combattez avec le drapeau vertueux de « l’intelligence », de la « raison » et de « l’ouverture d’esprit », comment donc pourrais-je ne pas m’étonner de votre facilité à « concevoir » à sens unique. Vous êtes fantastiques et démontrez effectivement que l'irrationnel existe.
Faisons court malgré tout : ce monsieur là, dans ses illogismes apparents vaut largement tous vos petits discours d’auto-suffisance mais relevons néanmoins que pas un seul d’entre vous ne l’aura visiblement localisé si ce n’est par sa « famille » (les zozos-zézés ?) ce qui est bien confortable simple et puissant … pour vous !
Une remarque également: pas un seul des "zozos" ne s'est aventuré sur le terrain glissant.
Ce que j'y vois ? trois causes possibles :
1) Orphée étant de la famille mieux vaut ne pas faire de commentaire, le texte n'étant pas défendable. Dans ce cas ne craignez rien mes "frères", il l'est et bien plus que cela
2) le texte ne défend pas le "mysticisme". Ils y voient un danger.
3) ils connaissent ce genre de texte ou l'auteur même et ce genre de raisonnement ne les choque pas (ils ont l'habitude des contradictions
pourriez vous dire)
Probablement attendez-vous que je vous le livre en pâture, n’ayant pas trouvé l’élément crucial sur Internet, afin que, conformément à vos sacro-saintes habitudes ( !) , vous le disséquiez avec plaisir ?
Non, continuez donc, le spectacle de vos chants de victoire me satisfait amplement et comme je suis ici pour mon plaisir...
En France on dit que c’est la masturbation qui en est la cause et ça s’appelle une « plaisanterie » mais, dans votre cas, il semble que cela soit parfaitement véridique d’où certains comportements déjà soulignés ailleurs.
Cet individu là –comme probablement des tas d’autres- vous y êtes autant attentifs et respectueux qu’avec tous les « zozos », les « scientifiques marginaux » et tous ceux qui sortent de votre petit cadre.
Outre le fait que vous exprimiez –même à travers des méthodes qui vous semblent logiques – la bêtise, l’orgueil, l’intolérance, ce même que vous reprochez à ceux que vous combattez avec le drapeau vertueux de « l’intelligence », de la « raison » et de « l’ouverture d’esprit », comment donc pourrais-je ne pas m’étonner de votre facilité à « concevoir » à sens unique. Vous êtes fantastiques et démontrez effectivement que l'irrationnel existe.
Faisons court malgré tout : ce monsieur là, dans ses illogismes apparents vaut largement tous vos petits discours d’auto-suffisance mais relevons néanmoins que pas un seul d’entre vous ne l’aura visiblement localisé si ce n’est par sa « famille » (les zozos-zézés ?) ce qui est bien confortable simple et puissant … pour vous !
Une remarque également: pas un seul des "zozos" ne s'est aventuré sur le terrain glissant.
Ce que j'y vois ? trois causes possibles :
1) Orphée étant de la famille mieux vaut ne pas faire de commentaire, le texte n'étant pas défendable. Dans ce cas ne craignez rien mes "frères", il l'est et bien plus que cela

2) le texte ne défend pas le "mysticisme". Ils y voient un danger.
3) ils connaissent ce genre de texte ou l'auteur même et ce genre de raisonnement ne les choque pas (ils ont l'habitude des contradictions

Probablement attendez-vous que je vous le livre en pâture, n’ayant pas trouvé l’élément crucial sur Internet, afin que, conformément à vos sacro-saintes habitudes ( !) , vous le disséquiez avec plaisir ?
Non, continuez donc, le spectacle de vos chants de victoire me satisfait amplement et comme je suis ici pour mon plaisir...
Il vaut mieux lire ça qu'être sourd, comme disait Beethoven, qui l'était tant qu'il a cru toute sa vie faire de la peinture ... 

"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Oh, au fait, Orphée, tu m'excuseras si je passe mon temps à me demander de qui est ce texte, au lieu de continuer à commenter le texte en lui-même. Il est si vide qu'il ne mérite aucun commentaire. Et comme tu ne fais pas non plus d'efforts pour nous dire ce qu'il signifie selon toi, il n'y a pas de raisons pour que nous fassions nous même des efforts.
Plutôt que de nous dire de qui est ce texte, ou ce qu'il signifie pour toi, pourquoi tu le trouves intéressant, tu préfères te complaire dans de ridicules jérémiades pour te plaindre de notre bêtise. Tu préfères nous assurer que l'auteur est un grand homme et que ses écrits valent plus que tout nos discours, et "nananère il est super intelligent et vous êtes des cons à côté de lui et vous savez même pas qui c'est et je vous le dirais pas parce que ça m'amuse" (désolé" si je résume hein, c'est la substance de ton dernier message, ça donne l'impression que tu as 12 ans d'âge mental).
Enfin moi je juge d'après ce que je lis, et ce que tu en as cité pour le moment, ça me fait juste marrer, c'est tout. Si tu crois que ce gars a écrit des trucs vraiment bons, pourquoi ne cites-tu pas ces écrits si fabuleux, au lieu de nous livrer des morceaux de ses productions les plus médiocres ?
Plutôt que de nous dire de qui est ce texte, ou ce qu'il signifie pour toi, pourquoi tu le trouves intéressant, tu préfères te complaire dans de ridicules jérémiades pour te plaindre de notre bêtise. Tu préfères nous assurer que l'auteur est un grand homme et que ses écrits valent plus que tout nos discours, et "nananère il est super intelligent et vous êtes des cons à côté de lui et vous savez même pas qui c'est et je vous le dirais pas parce que ça m'amuse" (désolé" si je résume hein, c'est la substance de ton dernier message, ça donne l'impression que tu as 12 ans d'âge mental).
Enfin moi je juge d'après ce que je lis, et ce que tu en as cité pour le moment, ça me fait juste marrer, c'est tout. Si tu crois que ce gars a écrit des trucs vraiment bons, pourquoi ne cites-tu pas ces écrits si fabuleux, au lieu de nous livrer des morceaux de ses productions les plus médiocres ?
Peu importe l'auteur, le texte demeure un monument de vacuité grandiloquente.
Il est par ailleurs amusant de noter que la réaction d'orphée est quasiment identique à celle de Gatti dès lors que l'on ose critiquer la prose de l'un de ses témoins/mentors: un long hululement d'indignation, aussi incohérent que hargneux, face à l'offense supposément faite à l'intégrité de l'auteur ...
Il est par ailleurs amusant de noter que la réaction d'orphée est quasiment identique à celle de Gatti dès lors que l'on ose critiquer la prose de l'un de ses témoins/mentors: un long hululement d'indignation, aussi incohérent que hargneux, face à l'offense supposément faite à l'intégrité de l'auteur ...
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Un monument de vacuité grandiloquente
Salut Orphée,
Je suis du même avis que Florence qui a écrit : « Peu importe l'auteur, le texte demeure un monument de vacuité grandiloquente. »
J'ajoute qu'il me fait bigrement penser aux phrases au hasard dont j'ai un peu parlé ici.
Ça m'a aussi immunisé contre le style Orphée.Denis a écrit :Quand j'avais ~20 ans, j'ai longtemps joué à engendrer des phrases au hasard (les ordinateurs n'étaient pas encore dans le décor). La structure de la phrase était déterminée en promenant (au gré d'un dé) un pion dans un organigramme. Les noms, verbes, adjectifs, adverbes, etc. étaient tirés (toujours au dé) dans des listes de 200~300 mots. On faisait les accords (féminin~pluriel) à la mitaine.
On a vite remarqué que le vocabulaire concret (table, lune, manger) donne rarement de l'intéressant. Par contre, avec le vocabulaire de la psycho-philosophie, wow!
Un bon 20% des phrases produisaient un petit choc, une chatouille cognitive intéressante. Et les meilleures phrases parmi 100 étaient bien meilleures que les meilleures parmi 5.
Ça m'a complètement immunisé contre le style Karzenstein et, à toutes fins pratiques, contre le style Ghost.
Autre chose. Il y a 3 jours, tu as écrit :
Tu n'as tenu que deux jours. Faut croire que, tourner en rond, ça ne te déplaît pas tant que ça. Mais tu devrais aussi penser un peu aux autres. Il y en a à qui ça plaît moins qu'à toi.Sur ce je vous laisse continuer quelques temps car je m'ennuie quelque peu à tourner en rond.
Encore autre chose.
Je ne la "catche" pas. C'est l'anniversaire de quelqu'un?Orphée a écrit :Joyeux anniversaire, joyeux ann iversaire, joyeux annnnnn iversaire
Si c'est le cas, je joins mes voeux aux tiens.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
- le fugitif
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