La fumée ambiante du tabac
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- Inscription : 29 août 2006, 18:15
La fumée ambiante du tabac
Est-ce qu'il y a encore quelqu'un qui croit à la nocivité de la fumée de tabac ambiante ?
Après un an et demi de recherches personnelles intensives, je peux affirmer clairement qu'il s'agit d'une croyance propagée par l'industrie pharmaceutique qui veut le marché de la nicotine et les gouvernements qui cherchent à avilir les fumeurs pour justifier la surtaxation d'un segment social déjà plus pauvre et plus malade(entre autre par pauvreté).
Les actionnaires des compagnies de tabac ont probablement déplacé leurs billes et sont totalement discréditées de toute façon. Aucune réplique ne peut donc venir. Les quelques rares scientifique intègres qui l'osent le paient très cher. Mais il y en a.
Le tout ne s'appuie que sur une partie des études épidémiologiques existantes. Tirées de statistiques douteuses et soigneusement choisies, les antis appellent ça "overwhelming body of evidence". (Masse écrasante de preuves)
Ce qui m'a d'abord étonné c'est qu'on aie besoin d'une "masse écrasante".
Si un fait est clairement démontré on n'a pas besoin de le démontrer à répétition ni de façon "écrasante".
L'autre élément louche c'est qu'ils tentent d'étouffer le débat.
Il semble que les antis refusent systématiquement un débat qui dépasse les attaques personnelles et la rhétorique. (Vu et vécu.)
Quelqu'un veut-il débattre et tenter de défendre les prétentions des antis ?
Joël Demers
Communications francophones
C.A.G.E. (Citoyens Anti Gouvernement Envahissant)
http://www.cagequebec.ca
jdemers@cagequebec.ca
« Le danger croît avec l’ignorance et l’apathie » Visitez : http://www.cagequebec.ca
Après un an et demi de recherches personnelles intensives, je peux affirmer clairement qu'il s'agit d'une croyance propagée par l'industrie pharmaceutique qui veut le marché de la nicotine et les gouvernements qui cherchent à avilir les fumeurs pour justifier la surtaxation d'un segment social déjà plus pauvre et plus malade(entre autre par pauvreté).
Les actionnaires des compagnies de tabac ont probablement déplacé leurs billes et sont totalement discréditées de toute façon. Aucune réplique ne peut donc venir. Les quelques rares scientifique intègres qui l'osent le paient très cher. Mais il y en a.
Le tout ne s'appuie que sur une partie des études épidémiologiques existantes. Tirées de statistiques douteuses et soigneusement choisies, les antis appellent ça "overwhelming body of evidence". (Masse écrasante de preuves)
Ce qui m'a d'abord étonné c'est qu'on aie besoin d'une "masse écrasante".
Si un fait est clairement démontré on n'a pas besoin de le démontrer à répétition ni de façon "écrasante".
L'autre élément louche c'est qu'ils tentent d'étouffer le débat.
Il semble que les antis refusent systématiquement un débat qui dépasse les attaques personnelles et la rhétorique. (Vu et vécu.)
Quelqu'un veut-il débattre et tenter de défendre les prétentions des antis ?
Joël Demers
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Y croire, bien sûr que non. Mais je ne crois pas plus à l'inocuité de la fumée passive ni à sa bienfaisance.Est-ce qu'il y a encore quelqu'un qui croit à la nocivité de la fumée de tabac ambiante ?
Je suis étonné par tes phrases. Est-ce à dire que te recherches t'ont convaincu que la fumée passive ne serait pas nocive ?
Peux-tu nous décrire un peu tes recherches ?Joël a écrit :Après un an et demi de recherches personnelles intensives
anybody in the creation/evolution debate area knows that this is basically a spiritual war. The root of the problem is not a question of what is science or what is truth. [Laurence Tisdall]
Re: La fumée ambiante du tabac
Salut Joël,
Mais bon, quelque chose me dit que tu ne parles pas de ce type de nocivité. Comme Zwielicht, j'aimerais en entendre plus sur tes recherches.
Amicalement,
Phil
Moi. Même que les effets sont immédiats quand on tombe dans un environnement rempli de fumée : Maux de tête, odeur ambiante merdique, jaunissement des plafonds, sentiment que le niveau d'instruction moyen ambiant décroît ...etc.Joel Demers a écrit :Est-ce qu'il y a encore quelqu'un qui croit à la nocivité de la fumée de tabac ambiante ?
Mais bon, quelque chose me dit que tu ne parles pas de ce type de nocivité. Comme Zwielicht, j'aimerais en entendre plus sur tes recherches.
Amicalement,
Phil
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Salut,
Merci pour les commentaires.
Je dénote un certain scepticisme, ce qui est bien, et un certain mépris de ma position, ce qui est évidement l'objectif de la propagande antifumeur ambiante.
Je n'ai pas fait de «recherche» à proprement parler mais plutôt un travail intensif de lecture, de documentation et de comparaison entre les délarations d'un côté et de l'autre, ce qui est habituellement une bonne façon pour le profane de discerner la vérité. Je me crois un peu moins profane après environ 2500 heures de ce labeur. J'ai lu et parcouru la plupart des sites et une grande partie des études scientifiques (ou pseudo-scientifiques) et statistiques ainsi que des textes légaux ou de réflexion ou de propagande disponibles en français en anglais, en espagnol et en italien.
J'ai adressé des questions aux deux types d'intervenants:
Les pro-choix m'ont tous répondu sur la base de raisonnements et d'arguments plus ou moins acceptables; habituellement plus que moins mais il y a quelques fanatiques.
Les antis, même les instituts réputés ou les agences gouvernementales, lorsqu'ils m'ont répondu, m'ont invariablement renvoyé à des documents de propagande ou répété leurs affirmations sans égard à la question qui défiait poliment une ou plusieurs de leurs prétentions. Dialogue de sourds.
Les antis n'ont plus rien a voir avec un mouvement citoyen, ils forment aujourd'hui une véritable industrie disposant d'une puissante machine de propagande, dont le budget annuel, tiré des taxes sur le tabac, de dons «charitables» de l'industrie pharmaceutique et, du «Master Settlement Agreement» aux États-Unis équivaut dans plusieurs pays, au bénéfice net de l'industrie du tabac qu'on dépeint encore comme une grande puissance maléfique à abattre. (Maléfique ? -Oui, à mon avis, comme toute entreprise qui cherche le rendement sur les fonds propre avant l'intérêt de ses clients. Puissance ? -Plus grand'chose aujourd'hui devant la machine des «antis».)
Les groupes de défense des fumeurs sont essentiellement des indépendant libres-penseurs sans budget qui ont analysé, comme je l'ai fait aussi, les «preuves» brandies par les antis. Il y en a quelques uns qui émanent des compagnies de tabac et qui prennent surtout des positions non-confrontationnelles axées sur les libertés individuelles.
En somme, les antis affirment sans nuances que des dangers sont prouvés, alors qu'en fait, on ne peut distinguer que de vagues soupçons et en fermant l'oeil sur la majeure partie des études. Les autres s'emploient à détruire ces mythes sur une base rationnelle et analytique, ce qui n'est pas tres difficile.
Puisque les défenseurs des fumeurs n'ont pas de puissance de diffusion, les antis se contentent généralement de les ignorer et continuent de propager leurs prétentions qui, à force d'être répétées par des robes blanches et des services publics, finissent par être acceptées comme des vérités et extrapolées en nombre de cadavres.
Lorsque certains de leurs contradicteurs obtiennent une certaine écoute on les accuse systématiquement d'association avec l'industrie, de démence etc. mais sans jamais réfuter leurs arguments ou même y faire allusion. On compte pourtant des voix dissidentes même parmi des scientifiques réputés pour leur militantisme antitabac !
Ils demeurent convaincus de l'utilité de la lutte au tabagisme et soutiennent le droit des non-fumeurs à ne pas être exposés à la fumée s'ils ne le veulent pas (comme moi d'ailleurs) mais s'objectent a l'absolutisme des prohibitionistes (dominants) et s'insurgent devant la distorsion scientifique employée.
Les risques à long terme associés statistiquement au «tabagisme secondaire» sont trop infimes pour qu'on puisse écarter tous les autres éléments de causalité qu'ils ont en commun (alimentation, alcool, etc) et ne s'appliquent que dans le cas d'exposition intense, à vie, des sujets étudiés.
Le niveau d'augmentation du risque (illustré par une minorité des études) ne correspondrait qu'à 20 ou 30 % sur un risque de mortalité précoce des non-fumeurs qui est de l'ordre de 1% (ou moins) au départ !
Comparez ce 1% ou 1.3% (résultant) au risque de 50% attribué aux fumeurs et vous saisirez le ridicule de cette guerre à la FTA (fumée de tabac ambiante).
L'exposition des sujets dans leurs loisirs ne correspond en fait qu'à 5% du total (95% à la maison)
Les études réalisées sur les lieux de travail sont encore moins éloquentes.
Une fumée de tabac surabondante peut évidemment piquer les yeux, même des fumeurs, et même déplaire aux nez fins dont le nombre a beaucoup augmenté avec la propagande, mais les études réalisées auprès des asthmatiques ne dénote pas cet élément comme l'une des 20 principales causes de crise d'astme.
Le lien que les antis réussissent à faire est un croisement de statistiques trompeur qui illustre que les fumeurs et les gens qui les côtoient sont plus fréquemment asthmatiques que les autres. Cependant aucun lien de causalité n'est démontré.
En fait si l'on observe les courbes deouis 40 ou 50 ans on constate plutôt que les cas d'asthme et d'allergies augmentent concuremment et dans une proportion correspondante à la diminution du tabagisme et de l'exposition à la fumée secondaire qui en découle nécessairement.
Je connais d'ailleurs deux asthmatiques qui m'assurent qu'ils ont moins de crise dastme depuis qu'ils fument; ce qui tend à démontrer au moins que la fumée n'augmente pas l'asthme dans tous les cas. Est-ce une bonne raison de risquer un cancer ?
Ce n'est pas à moi d'en décider pour les autres.
C'est d'ailleurs là le point central de cette campagne imposée désormais par l'O.M.S. à qui les États-Nation ont cédé leur droit de décision en la matière lors de la signature de la «convention cadre de la lutte au tabagisme: le droit de choisir pour soi-même les riques vs les bénéfices de nos comportements
L'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) tire une grande partie de ses finances des entreprises pharmaceutiques et doit aussi être soupçonnée de collusion et de corruption à cet effet, surtout qu'elle fait peu de cas de ceux qui meurent en bas âge dans les pays moins riches et qui pourraient être facilement sauvés par une fraction du budget alloué à sa lutte au tabagisme qui ne peut essentiellement viser qu'a étirer la longévité de ges qui meurent déjà riches et vieux.
Le véritable enjeu qui est masqué par une apparence de débat sur la santé est celui de la liberté de choisir son mode de vie et de s'y adonner paisiblement une fois qu'on est informé du risque. L'État, et surtout un gouvernement supra-étatique non-élu ont-ils le droit de nous imposer ou de restreindre un mode de vie qui ne pose de danger que pour soi ?
On constate également que les interdictions de fumer ne sont pas aussi bénéfiques qu'on le dit pour la santé publique. C'est un peu comme la guerre aux drogues américaine, aujourd'hui exportée partout, l'État ne peut empêcher les citoyens de consommer au-delà d'un certain point. Il ne peut que contribuer à déterminer les circonstances dans lesquelles cette consommation se fait.
Or, dans le cas des interdiction de fumer dans les bars, outre les fermetures et pertes d'emplois, la consommation d'alcool nette per capita augmente systématiquement de même que les appels d'urgences alors que la consommation des produits du tabac ne diminue que temporairement pour remonter peu après. En déplaçant la consommation vers des résidences on ne fait que réduire la surveillance et le prix des consommations.
Je souhaite que les Français éviteront cette erreur historique nord-américaine d'interdire la consommation du tabac dans tous les lieux publics et qu'ils réussiront à obtenir une législation plus respectueuse de la sant publique et des préférences de chacun malgré l'emprise légale et idéologique de l'O.M.S. ainsi que des vendeurs de nicotine «propre» et d'antidépresseurs, sur leurs élus.
Je m'arrête ici mais je demeure ouvert au débat si quelqu'un veut tenter de défendre une position antitabac ou poser une question.
J'attends toujours...
Joël Demers
« Le danger croît avec l’ignorance et l’apathie »
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Merci pour les commentaires.
Je dénote un certain scepticisme, ce qui est bien, et un certain mépris de ma position, ce qui est évidement l'objectif de la propagande antifumeur ambiante.
Je n'ai pas fait de «recherche» à proprement parler mais plutôt un travail intensif de lecture, de documentation et de comparaison entre les délarations d'un côté et de l'autre, ce qui est habituellement une bonne façon pour le profane de discerner la vérité. Je me crois un peu moins profane après environ 2500 heures de ce labeur. J'ai lu et parcouru la plupart des sites et une grande partie des études scientifiques (ou pseudo-scientifiques) et statistiques ainsi que des textes légaux ou de réflexion ou de propagande disponibles en français en anglais, en espagnol et en italien.
J'ai adressé des questions aux deux types d'intervenants:
Les pro-choix m'ont tous répondu sur la base de raisonnements et d'arguments plus ou moins acceptables; habituellement plus que moins mais il y a quelques fanatiques.
Les antis, même les instituts réputés ou les agences gouvernementales, lorsqu'ils m'ont répondu, m'ont invariablement renvoyé à des documents de propagande ou répété leurs affirmations sans égard à la question qui défiait poliment une ou plusieurs de leurs prétentions. Dialogue de sourds.
Les antis n'ont plus rien a voir avec un mouvement citoyen, ils forment aujourd'hui une véritable industrie disposant d'une puissante machine de propagande, dont le budget annuel, tiré des taxes sur le tabac, de dons «charitables» de l'industrie pharmaceutique et, du «Master Settlement Agreement» aux États-Unis équivaut dans plusieurs pays, au bénéfice net de l'industrie du tabac qu'on dépeint encore comme une grande puissance maléfique à abattre. (Maléfique ? -Oui, à mon avis, comme toute entreprise qui cherche le rendement sur les fonds propre avant l'intérêt de ses clients. Puissance ? -Plus grand'chose aujourd'hui devant la machine des «antis».)
Les groupes de défense des fumeurs sont essentiellement des indépendant libres-penseurs sans budget qui ont analysé, comme je l'ai fait aussi, les «preuves» brandies par les antis. Il y en a quelques uns qui émanent des compagnies de tabac et qui prennent surtout des positions non-confrontationnelles axées sur les libertés individuelles.
En somme, les antis affirment sans nuances que des dangers sont prouvés, alors qu'en fait, on ne peut distinguer que de vagues soupçons et en fermant l'oeil sur la majeure partie des études. Les autres s'emploient à détruire ces mythes sur une base rationnelle et analytique, ce qui n'est pas tres difficile.
Puisque les défenseurs des fumeurs n'ont pas de puissance de diffusion, les antis se contentent généralement de les ignorer et continuent de propager leurs prétentions qui, à force d'être répétées par des robes blanches et des services publics, finissent par être acceptées comme des vérités et extrapolées en nombre de cadavres.
Lorsque certains de leurs contradicteurs obtiennent une certaine écoute on les accuse systématiquement d'association avec l'industrie, de démence etc. mais sans jamais réfuter leurs arguments ou même y faire allusion. On compte pourtant des voix dissidentes même parmi des scientifiques réputés pour leur militantisme antitabac !
Ils demeurent convaincus de l'utilité de la lutte au tabagisme et soutiennent le droit des non-fumeurs à ne pas être exposés à la fumée s'ils ne le veulent pas (comme moi d'ailleurs) mais s'objectent a l'absolutisme des prohibitionistes (dominants) et s'insurgent devant la distorsion scientifique employée.
Les risques à long terme associés statistiquement au «tabagisme secondaire» sont trop infimes pour qu'on puisse écarter tous les autres éléments de causalité qu'ils ont en commun (alimentation, alcool, etc) et ne s'appliquent que dans le cas d'exposition intense, à vie, des sujets étudiés.
Le niveau d'augmentation du risque (illustré par une minorité des études) ne correspondrait qu'à 20 ou 30 % sur un risque de mortalité précoce des non-fumeurs qui est de l'ordre de 1% (ou moins) au départ !
Comparez ce 1% ou 1.3% (résultant) au risque de 50% attribué aux fumeurs et vous saisirez le ridicule de cette guerre à la FTA (fumée de tabac ambiante).
L'exposition des sujets dans leurs loisirs ne correspond en fait qu'à 5% du total (95% à la maison)
Les études réalisées sur les lieux de travail sont encore moins éloquentes.
Une fumée de tabac surabondante peut évidemment piquer les yeux, même des fumeurs, et même déplaire aux nez fins dont le nombre a beaucoup augmenté avec la propagande, mais les études réalisées auprès des asthmatiques ne dénote pas cet élément comme l'une des 20 principales causes de crise d'astme.
Le lien que les antis réussissent à faire est un croisement de statistiques trompeur qui illustre que les fumeurs et les gens qui les côtoient sont plus fréquemment asthmatiques que les autres. Cependant aucun lien de causalité n'est démontré.
En fait si l'on observe les courbes deouis 40 ou 50 ans on constate plutôt que les cas d'asthme et d'allergies augmentent concuremment et dans une proportion correspondante à la diminution du tabagisme et de l'exposition à la fumée secondaire qui en découle nécessairement.
Je connais d'ailleurs deux asthmatiques qui m'assurent qu'ils ont moins de crise dastme depuis qu'ils fument; ce qui tend à démontrer au moins que la fumée n'augmente pas l'asthme dans tous les cas. Est-ce une bonne raison de risquer un cancer ?
Ce n'est pas à moi d'en décider pour les autres.
C'est d'ailleurs là le point central de cette campagne imposée désormais par l'O.M.S. à qui les États-Nation ont cédé leur droit de décision en la matière lors de la signature de la «convention cadre de la lutte au tabagisme: le droit de choisir pour soi-même les riques vs les bénéfices de nos comportements
L'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) tire une grande partie de ses finances des entreprises pharmaceutiques et doit aussi être soupçonnée de collusion et de corruption à cet effet, surtout qu'elle fait peu de cas de ceux qui meurent en bas âge dans les pays moins riches et qui pourraient être facilement sauvés par une fraction du budget alloué à sa lutte au tabagisme qui ne peut essentiellement viser qu'a étirer la longévité de ges qui meurent déjà riches et vieux.
Le véritable enjeu qui est masqué par une apparence de débat sur la santé est celui de la liberté de choisir son mode de vie et de s'y adonner paisiblement une fois qu'on est informé du risque. L'État, et surtout un gouvernement supra-étatique non-élu ont-ils le droit de nous imposer ou de restreindre un mode de vie qui ne pose de danger que pour soi ?
On constate également que les interdictions de fumer ne sont pas aussi bénéfiques qu'on le dit pour la santé publique. C'est un peu comme la guerre aux drogues américaine, aujourd'hui exportée partout, l'État ne peut empêcher les citoyens de consommer au-delà d'un certain point. Il ne peut que contribuer à déterminer les circonstances dans lesquelles cette consommation se fait.
Or, dans le cas des interdiction de fumer dans les bars, outre les fermetures et pertes d'emplois, la consommation d'alcool nette per capita augmente systématiquement de même que les appels d'urgences alors que la consommation des produits du tabac ne diminue que temporairement pour remonter peu après. En déplaçant la consommation vers des résidences on ne fait que réduire la surveillance et le prix des consommations.
Je souhaite que les Français éviteront cette erreur historique nord-américaine d'interdire la consommation du tabac dans tous les lieux publics et qu'ils réussiront à obtenir une législation plus respectueuse de la sant publique et des préférences de chacun malgré l'emprise légale et idéologique de l'O.M.S. ainsi que des vendeurs de nicotine «propre» et d'antidépresseurs, sur leurs élus.
Je m'arrête ici mais je demeure ouvert au débat si quelqu'un veut tenter de défendre une position antitabac ou poser une question.
J'attends toujours...
Joël Demers
« Le danger croît avec l’ignorance et l’apathie »
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Je reste ouvert à la possibilité que la fumée secondaire du tabac ne soit pas aussi nocive qu'on se le fait répéter... Encore qu'il me faudrait pour cela consulter moi-même les études et que ce n'est pas un sujets qui me préoccupe beaucoup (y'a un nombre d'heure limite que je peux consacrer à la lecture d'études, et faut choisir)
Je sais que moi j'ai de la difficulté avec la fumée... 15 minutes de fumée intense et mon moral est à zéro et j'ai les yeux fatigués, mes pensées commence à tourner uniquement autour d'une bonne rasade d'air frais. J'ai donc un peu de difficulté à admettre que ça puisse être non-nocif...
Quelques commentaires sur les arguments présentés :
Il y a dès le départ une tentative de donner un sens péjoratif à l'un des groupes... Parce qu'après tout, personne n'a (encore) décidé d'interdir aux fumeur de fumer... Seulement de le faire dans certains endroits, le choix de se démolir la santé et de puer la fumée reste disponible.
Et en fait, si les craintes et les sorties des propriétaires étaient nombreuses avant le passage de la loi, je n'ai rien vu passer depuis sur le sujet.
J'ajouterais que le liens entre la présumé descente de fréquentation des bars et les conséquences qui en sont tiré semble un peu exagérés. Je demande à voir une étude sérieuses effectuant un lien entre interdiction de fumée dans les bars et "appels aux urgences dû à la consommation d'alcool"...
Ni des taxes sur la cigarette, qui servent quand même pour une certaine tranche à payer les problèmes de santé des fumeurs eux-mêmes et qui sont ne serait-ce que pour ça justifés. Ne pas oublier que la santé engouffre la plus grosse tranche de nos finances public.
De toute façon, l'argument ad hominem ne vaut rien, et se renverse tout aussi bien sur les études inverses de l'industrie de la cigarette. Pauvre petite industrie sans le sous tellement préoccupé de la santé de ses clients qu'elle ne songerait certainement à payer quelques études un peu biaisés de firmes dites indépendantes.
Bref, ce genre d'argument ne mène nul part.
La pollution athmosphérique continue d'aller croissante malgré la chute du tabagisme, avec un smog de plus en plus marqué sur plusieurs villes. Ce n'est pas une raison pour en rajouter d'avantage !
Cette inférence est infiniment moins sérieuse et moins solide que celle qui fait un parallèle entre l'asthme et la présence du fumée secondaire dans une population donnée établie par les "anti". Je trouve que ça enlève beaucoup de crédibilité à la position dans son ensemble que de sortir quelque chose d'aussi faible.
Ceci dit, si l'argument est que, pour être rationnel, plus d'argent devrait être placé pour combattre les polluants atmosphériques et peut-être un peu moin pour la fumée secondaire en particulier, là je suis d'accord. Mais il aurait fallu le présenter ainsi...
Je sais que moi j'ai de la difficulté avec la fumée... 15 minutes de fumée intense et mon moral est à zéro et j'ai les yeux fatigués, mes pensées commence à tourner uniquement autour d'une bonne rasade d'air frais. J'ai donc un peu de difficulté à admettre que ça puisse être non-nocif...
Quelques commentaires sur les arguments présentés :
L'utilisation des termes pro-choix et anti-choix est dès le départ fallacieuse... Choix de quoi ? Choix d'aller au pub sans avoir le yeux qui pique et d'être obliger de mettre son manteau au lavage ? Choix de pas avoir à supporter la fumée malodorante du collègue de bureau ? Choix de fumer où l'on veut quand on veut ?Les pro-choix
Il y a dès le départ une tentative de donner un sens péjoratif à l'un des groupes... Parce qu'après tout, personne n'a (encore) décidé d'interdir aux fumeur de fumer... Seulement de le faire dans certains endroits, le choix de se démolir la santé et de puer la fumée reste disponible.
Sérieusement, j'ai des doutes. Je connais des gens qui ont commencé à sortir dans les bars quand l'air y est devenu plus agréable et plus respirable. Je n'ai entendu parlé d'aucun bar qui à fermé dans ma ville pour manque de clientelle.dans le cas des interdiction de fumer dans les bars, outre les fermetures et pertes d'emplois,
Et en fait, si les craintes et les sorties des propriétaires étaient nombreuses avant le passage de la loi, je n'ai rien vu passer depuis sur le sujet.
J'ajouterais que le liens entre la présumé descente de fréquentation des bars et les conséquences qui en sont tiré semble un peu exagérés. Je demande à voir une étude sérieuses effectuant un lien entre interdiction de fumée dans les bars et "appels aux urgences dû à la consommation d'alcool"...
J'ai pas trop suivis l'idée des dons charitables de l'industries pharmaceutique... Je ne vois pas ce que ça leur rapport que les gens ne puissent pas fumer dans les bars... Si les parles des patch et autres nicorette, je demande à ce qu'on me démontre que l'interdiction de fumée dans les lieux public à un impact notable.Les antis n'ont plus rien a voir avec un mouvement citoyen, ils forment aujourd'hui une véritable industrie disposant d'une puissante machine de propagande, dont le budget annuel, tiré des taxes sur le tabac, de dons «charitables» de l'industrie pharmaceutique
Ni des taxes sur la cigarette, qui servent quand même pour une certaine tranche à payer les problèmes de santé des fumeurs eux-mêmes et qui sont ne serait-ce que pour ça justifés. Ne pas oublier que la santé engouffre la plus grosse tranche de nos finances public.
De toute façon, l'argument ad hominem ne vaut rien, et se renverse tout aussi bien sur les études inverses de l'industrie de la cigarette. Pauvre petite industrie sans le sous tellement préoccupé de la santé de ses clients qu'elle ne songerait certainement à payer quelques études un peu biaisés de firmes dites indépendantes.
Bref, ce genre d'argument ne mène nul part.
Argument navrant... L'augmentation de l'asthme est causé pour une très large tranche à la présence de polluants athmosphériques, dont la fumée de tabac est un composant, mais certainement pas le seul...En fait si l'on observe les courbes depuis 40 ou 50 ans on constate plutôt que les cas d'asthme et d'allergies augmentent concuremment et dans une proportion correspondante à la diminution du tabagisme et de l'exposition à la fumée secondaire qui en découle nécessairement.
La pollution athmosphérique continue d'aller croissante malgré la chute du tabagisme, avec un smog de plus en plus marqué sur plusieurs villes. Ce n'est pas une raison pour en rajouter d'avantage !
Cette inférence est infiniment moins sérieuse et moins solide que celle qui fait un parallèle entre l'asthme et la présence du fumée secondaire dans une population donnée établie par les "anti". Je trouve que ça enlève beaucoup de crédibilité à la position dans son ensemble que de sortir quelque chose d'aussi faible.
Ceci dit, si l'argument est que, pour être rationnel, plus d'argent devrait être placé pour combattre les polluants atmosphériques et peut-être un peu moin pour la fumée secondaire en particulier, là je suis d'accord. Mais il aurait fallu le présenter ainsi...
Ça semble un tout petit chiffre... Mais puisque tu me dis que la fumée secondaire augmente mes chances de mourrir plus jeune de 2 à 3 sur mille, je te dirais que c'est suffisant pour l'interdir dans les lieux publics.Le niveau d'augmentation du risque (illustré par une minorité des études) ne correspondrait qu'à 20 ou 30 % sur un risque de mortalité précoce des non-fumeurs qui est de l'ordre de 1% (ou moins) au départ !
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- Modérateur
- Messages : 27997
- Inscription : 03 sept. 2003, 08:39
Là, vous engagez mal les possibilités de discussion (les trois messages ne montrent aucune trace de mépris). Ca laisse à penser que vous risquez de percevoir toute critique comme du "mépris de votre position" (voire de vous, ce qui ne serait pas le cas). Vous risquez de beaucoup interpréter de travers.Joel Demers a écrit :... et un certain mépris de ma position, ce qui est évidement l'objectif de la propagande antifumeur ambiante
A voir votre biais évident quant aux "pro-choix"*, j'ai du mal à trouver honnête votre présentation des choses. Pourtant, je suis non-fumeur et ai de la difficulté à trouver normal l'interdiction de fumée dans les bars (mais, il s'agit de placer une frontière très mouvante car j'apprécie que ce soit le cas - je peux retourner dans certains bars qui me plaisient mais étaient enfumés -, et j'apprécie l'absence de fumée dans d'autres lieux publics: restaurants, métro, lieux de travail, etc.).J'ai adressé des questions aux deux types d'intervenants
* Comme l'indique Astaldo, votre choix des termes montre une absence d'objectivité.
Vous dites (grandement à tort à mon avis) que l'OMS dépend beaucoup des compagnies pharmaceutiques, mais avez-vous envisagé que des organismes "pro-choix" puissent carrément être subventionnés (quand ce n'est pas créés) par des compagnies de tabac (.pdf)? Oui, mais vous en limitez la portée. Cela ne prouve rien en soi, mais demande qu'on prenne vos affirmations avec un regard d'autant plus critique.
C'est bizarre que vous disiez ça juste après avoir dabolisé les "compagnies pharmaceutiques". Pourtant, il me semble que vous étiez d'accord pour dire que la cigarette est cancérigène chez le fumeur. Croyez-vous que de vendre un produit cancérigène pour le profit indique un immense respect "de ses clients"?Maléfique ? -Oui, à mon avis, comme toute entreprise qui cherche le rendement sur les fonds propre avant l'intérêt de ses clients. Puissance ?
Vous pouvez en citer qui indiquent sérieusement que la fumée n'affectent pas les fumeurs passifs?En somme, les antis affirment sans nuances que des dangers sont prouvés, alors qu'en fait, on ne peut distinguer que de vagues soupçons et en fermant l'oeil sur la majeure partie des études
Ce qui n'est pas difficile c'est de lancer ce genre d'affirmation sans rien amener pour les soutenir. Vous parlez du "mythe des dangers de la fumée secondaire" mais vous reconnaissez vous-même qu'il ne s'agit pas d'un mythe puisque des études scientifiques montrent que ce danger existe. Et, contrairement à ce que votre présentation tendancieuse laisse entendre, la question est discutée ouvertement.Les autres s'emploient à détruire ces mythes sur une base rationnelle et analytique, ce qui n'est pas tres difficile
Affirmation qui n'est vraie que si on accepte d'ignorer que les compagnies de tabac sont aussi des "défenseurs des fumeurs". Disons que c'est un peu outré, non?Puisque les défenseurs des fumeurs n'ont pas de puissance de diffusion,...
Là-dessus, comme sur le reste du paragraphe, il faudrait des arguments sérieux et forts parce que vos affirmations sont graves. Mais, bon, ça serait un excellent moyen de détourner la discussion.L'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) tire une grande partie de ses finances des entreprises pharmaceutiques et doit aussi être soupçonnée de collusion et de corruption à cet effet...
Jean-François
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
Sources ?Joel Demers a écrit :L'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) tire une grande partie de ses finances des entreprises pharmaceutiques et doit aussi être soupçonnée de collusion et de corruption à cet effet...
En 2001 p.e., les financements par des organismes privés n'atteignaient même pas le 1 %.
Le budget de l'OMS est approuvé par une assemblée générale, pour deux ans, selon une échelle de quotas relative à la capacité des pays membres. Notamment, l'assemblée générale aveit voté en 1998 qu'aucun pays ne paierait plus de du 22 % ni moins du 0.001 % du total du budget, car c'était parfois le cas... Ceci pour donner une idée de qui paye quoi (USA, Japon et UE notamment).
L'OMS est financée par les contributions des états membres à plus de 98%.
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Oui. Moi. Et j'en ai eu la preuve lorsque j'ai interdit aux membres de ma famille et à mes amis de fumer à l'intérieur de la maison(8 personnes régulièrement et +). Ce fut la fin de mes bronchites et sinusites dont je n'arrivais pas à me débarasser malgré les nombreux antibiotiques. Depuis, plus aucune.Est-ce qu'il y a encore quelqu'un qui croit à la nocivité de la fumée de tabac ambiante ?
Comment peux-t-on nier que la fumée de tabac(ou autre) irritent les yeux et le nez donc aussi les poumons. Il suffit de passer une soirée dans un bar ou un bingo pour s'en rendre compte immédiatement.
Les fumeurs peuvent fumer ce qu'ils veulent, quand ils le veulent mais je refuserai toujours qu'on me fasse fumer de force. A ce compte, je trouve les junkies beaucoup moins dangereux: Ils ne m'obligent pas à consommer avec eux.
De nombreuses études ont démontré non seulement la toxicité de la fumée secondaire, mais aussi des résidus présents sur les vêtements, cheveux etc. Il existe un vaste réseau informatique du nom de Internet et qui permet d'avoir accès à de l'information de qualité (quand on cherche un peu plus loin que les sites zozos). Google scholar, par exemple, ou pubmed.
Quant aux "études personnelles intensives", ça a une valeur avoisinant le zéro.
Quant aux "études personnelles intensives", ça a une valeur avoisinant le zéro.
Je fume moi non plus...
Salut à tous,
La fumée toxique? CRISSE OUI!!!
Je fume, je pue, je tousse, je crache, je pogne des bîbîttes because mon système immunitaire est moins performant.
Par contre, faudrait pas capôter trop fort. Si j'avais dit à ma mère; "Aye la mère, va fumer dehors!" CLAC!!! Sa gueule, que je l'aurais eu...
Et puis qu'en est-il des gaz d'échappement des véhicules? Bien pire que tout! Du bon diesel mal brûlé...Mmmmh, quel bouquet santé. Les médias pourris n'en parlent pas...Ils sont pleins d'annonces de "chars", de VUS et autres bazous...Mais la Pub sur les cigs est interdite, alors ils parlent en mal du tabac!
L'hypocrisie est-elle toxique?
Santé, sécurité et air pur à volonté.
La fumée toxique? CRISSE OUI!!!
Je fume, je pue, je tousse, je crache, je pogne des bîbîttes because mon système immunitaire est moins performant.
Par contre, faudrait pas capôter trop fort. Si j'avais dit à ma mère; "Aye la mère, va fumer dehors!" CLAC!!! Sa gueule, que je l'aurais eu...
Et puis qu'en est-il des gaz d'échappement des véhicules? Bien pire que tout! Du bon diesel mal brûlé...Mmmmh, quel bouquet santé. Les médias pourris n'en parlent pas...Ils sont pleins d'annonces de "chars", de VUS et autres bazous...Mais la Pub sur les cigs est interdite, alors ils parlent en mal du tabac!
L'hypocrisie est-elle toxique?
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