Homosexualité et paraphilie
Homosexualité et paraphilie
préambule à K1
The etiology of anomalous sexual preferences in men.
Quinsey VL </pubmed?term=%22Quinsey%20VL%22%5BAuthor%5D>.
Psychology Department, Queen's University, Kingston, Ontario, K7L 3N6, Canada. quinsey@psyc.queensu.ca
Abstract
People discover rather than choose their sexual interests. The process of discovery typically begins before the onset of puberty and is associated with an increase in the secretion of sex hormones from the adrenal glands. However, the determinants of the direction of sexual interest, in the sense of preferences for the same or opposite sex, are earlier. These preferences, although not manifest until much later in development, appear to be caused by the neural organizational effects of intrauterine hormonal events. Variations in these hormonal events likely have several causes and two of these appear to have been identified for males. One cause is genetic and the other involves the sensitization of the maternal immune system to some aspect of the male fetus. It is presently unclear how these two causes relate to each other. The most important question for future research is whether preferences for particular-aged partners and parts of the male courtship sequence share causes similar to those of erotic gender orientation.
K1: Quinsey considère l'homosexualité comme une anormalité
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
Préambule à K2
http://www.blogg.org/blog-46373-themes- ... 93047.html
Un des buts prioritaires de ce nouveau mouvement concernait la suppression de l'homosexualité en tant que maladie du Manuel Diagnostic et Statistique des troubles mentaux (DSM), qui fournit la nosologie définitive de l'Association américaine de psychiatrie (APA)
K2: Le mouvement gay s'attribut la paternité du changement survenue dans le DSM.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
Préambule à K3 et K4:
http://www.jurivie.org/documents/articl ... n_homo.pdf
«Résumé
La quasi-totalité des études réalisées sur l'évolution des enfants élevés par des couples homosexuels ne démontre rien. Presque toutes (y compris celles réalisées en Espagne) manquent de la plus petite rigueur scientifique nécessaire pour pouvoir atteindre des conclusions d'un degré de validité acceptable. Les erreurs les plus habituelles de ces études sont : la taille de l'échantillon (en général trop petit), son manque d'aléa (les couples homosexuels ne sont pas sélectionnés de façon aléatoire, mais ils sont même choisis par d'autres personnes sélectionnées ou par des associations homosexuelles), l'usage de groupes de contrôle - couples homosexuels - inadéquats, ainsi que comparer des mères lesbiennes seules, avec des mères hétérosexuelles divorcées ou séparées, avec le fait que les enfants des mères hétérosexuelles ont un désavantage dû au traumatisme du divorce ou de la séparation.
Jusqu'à présent, il n'y a pas eu une seule étude suffisamment ample et bien réalisée pour en tirer des conclusions. On ne peut donc affirmer en aucun cas, contrairement à ce que l'on fait de nos jours, que les études scientifiques donnent leur aval à l'adoption par des personnes du même sexe.»
K3: Les auteurs du mémoire ont fait une revue sérieuse de la littérature
K: 95% D: ? Quivoudra: ?
K4: Les auteurs du mémoire estiment que les donnés scientifiques actuels ne permettent pas de dire qu'une famille homoparentale ne présente pas plus de risque d'une famille hétérosexuelle.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
K5: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs du chapitre estiment que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
K6: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs principaux du manuel estiment aussi que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
The etiology of anomalous sexual preferences in men.
Quinsey VL </pubmed?term=%22Quinsey%20VL%22%5BAuthor%5D>.
Psychology Department, Queen's University, Kingston, Ontario, K7L 3N6, Canada. quinsey@psyc.queensu.ca
Abstract
People discover rather than choose their sexual interests. The process of discovery typically begins before the onset of puberty and is associated with an increase in the secretion of sex hormones from the adrenal glands. However, the determinants of the direction of sexual interest, in the sense of preferences for the same or opposite sex, are earlier. These preferences, although not manifest until much later in development, appear to be caused by the neural organizational effects of intrauterine hormonal events. Variations in these hormonal events likely have several causes and two of these appear to have been identified for males. One cause is genetic and the other involves the sensitization of the maternal immune system to some aspect of the male fetus. It is presently unclear how these two causes relate to each other. The most important question for future research is whether preferences for particular-aged partners and parts of the male courtship sequence share causes similar to those of erotic gender orientation.
K1: Quinsey considère l'homosexualité comme une anormalité
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
Préambule à K2
http://www.blogg.org/blog-46373-themes- ... 93047.html
Un des buts prioritaires de ce nouveau mouvement concernait la suppression de l'homosexualité en tant que maladie du Manuel Diagnostic et Statistique des troubles mentaux (DSM), qui fournit la nosologie définitive de l'Association américaine de psychiatrie (APA)
K2: Le mouvement gay s'attribut la paternité du changement survenue dans le DSM.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
Préambule à K3 et K4:
http://www.jurivie.org/documents/articl ... n_homo.pdf
«Résumé
La quasi-totalité des études réalisées sur l'évolution des enfants élevés par des couples homosexuels ne démontre rien. Presque toutes (y compris celles réalisées en Espagne) manquent de la plus petite rigueur scientifique nécessaire pour pouvoir atteindre des conclusions d'un degré de validité acceptable. Les erreurs les plus habituelles de ces études sont : la taille de l'échantillon (en général trop petit), son manque d'aléa (les couples homosexuels ne sont pas sélectionnés de façon aléatoire, mais ils sont même choisis par d'autres personnes sélectionnées ou par des associations homosexuelles), l'usage de groupes de contrôle - couples homosexuels - inadéquats, ainsi que comparer des mères lesbiennes seules, avec des mères hétérosexuelles divorcées ou séparées, avec le fait que les enfants des mères hétérosexuelles ont un désavantage dû au traumatisme du divorce ou de la séparation.
Jusqu'à présent, il n'y a pas eu une seule étude suffisamment ample et bien réalisée pour en tirer des conclusions. On ne peut donc affirmer en aucun cas, contrairement à ce que l'on fait de nos jours, que les études scientifiques donnent leur aval à l'adoption par des personnes du même sexe.»
K3: Les auteurs du mémoire ont fait une revue sérieuse de la littérature
K: 95% D: ? Quivoudra: ?
K4: Les auteurs du mémoire estiment que les donnés scientifiques actuels ne permettent pas de dire qu'une famille homoparentale ne présente pas plus de risque d'une famille hétérosexuelle.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
K5: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs du chapitre estiment que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
K6: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs principaux du manuel estiment aussi que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? Quivoudra: ?
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: Homosexualité et paraphilie
Chouette un Redico! 
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préambule à K1
The etiology of anomalous sexual preferences in men.
Quinsey VL </pubmed?term=%22Quinsey%20VL%22%5BAuthor%5D>.
Psychology Department, Queen's University, Kingston, Ontario, K7L 3N6, Canada. quinsey@psyc.queensu.ca
Abstract
People discover rather than choose their sexual interests. The process of discovery typically begins before the onset of puberty and is associated with an increase in the secretion of sex hormones from the adrenal glands. However, the determinants of the direction of sexual interest, in the sense of preferences for the same or opposite sex, are earlier. These preferences, although not manifest until much later in development, appear to be caused by the neural organizational effects of intrauterine hormonal events. Variations in these hormonal events likely have several causes and two of these appear to have been identified for males. One cause is genetic and the other involves the sensitization of the maternal immune system to some aspect of the male fetus. It is presently unclear how these two causes relate to each other. The most important question for future research is whether preferences for particular-aged partners and parts of the male courtship sequence share causes similar to those of erotic gender orientation.
K1: Quinsey considère l'homosexualité comme une anormalité
K: 99% D: ? PKJ: 100%
Préambule à K2
http://www.blogg.org/blog-46373-themes- ... 93047.html
Un des buts prioritaires de ce nouveau mouvement concernait la suppression de l'homosexualité en tant que maladie du Manuel Diagnostic et Statistique des troubles mentaux (DSM), qui fournit la nosologie définitive de l'Association américaine de psychiatrie (APA)
K2: Le mouvement gay s'attribut la paternité du changement survenue dans le DSM.
K: 99% D: ? PKJ: 0%*
*Rien dans la source proposée n'indique que l'article est représentatif d'un tel mouvement.
Préambule à K3 et K4:
http://www.jurivie.org/documents/articl ... n_homo.pdf
«Résumé
La quasi-totalité des études réalisées sur l'évolution des enfants élevés par des couples homosexuels ne démontre rien. Presque toutes (y compris celles réalisées en Espagne) manquent de la plus petite rigueur scientifique nécessaire pour pouvoir atteindre des conclusions d'un degré de validité acceptable. Les erreurs les plus habituelles de ces études sont : la taille de l'échantillon (en général trop petit), son manque d'aléa (les couples homosexuels ne sont pas sélectionnés de façon aléatoire, mais ils sont même choisis par d'autres personnes sélectionnées ou par des associations homosexuelles), l'usage de groupes de contrôle - couples homosexuels - inadéquats, ainsi que comparer des mères lesbiennes seules, avec des mères hétérosexuelles divorcées ou séparées, avec le fait que les enfants des mères hétérosexuelles ont un désavantage dû au traumatisme du divorce ou de la séparation.
Jusqu'à présent, il n'y a pas eu une seule étude suffisamment ample et bien réalisée pour en tirer des conclusions. On ne peut donc affirmer en aucun cas, contrairement à ce que l'on fait de nos jours, que les études scientifiques donnent leur aval à l'adoption par des personnes du même sexe.»
K3: Les auteurs du mémoire ont fait une revue sérieuse de la littérature
K: 95% D: ? PKJ: ~0%*
*Ici également, rien dans la source proposée ne permet de l'affirmer.
K4: Les auteurs du mémoire estiment que les donnés scientifiques actuels ne permettent pas de dire qu'une famille homoparentale ne présente pas plus de risque d'une famille hétérosexuelle.
K: 99% D: ? PKJ: 100%
K5: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs du chapitre estiment que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0%
K6: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs principaux du manuel estiment aussi que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0%
XXXXSALVEXXXX
P1: La revue de littérature de Patterson (1994) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100%
P2: La revue de littérature scientifique de Tasker (2005) affirme qu'il n'y a pas de différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100%
P3: L'étude de Brewaeys et van Hall (1997) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles lesbiennes.
K: % D: ? PKJ: 100%
P4: Un humain mesurant 192cm est anormal.
K: % D: ? PKJ: 100%
P5: L'adoption par des couples homosexuels est un phénomène récent (moins de 10 ans).
K: % D: ? PKJ: 0%
P6: K va rejeter toutes les données scientifiques qui lui seront proposées dans ce Redico en se basant sur le mémoire mentionné dans K3 et K4.
K: % D: ? PKJ: 66%

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préambule à K1
The etiology of anomalous sexual preferences in men.
Quinsey VL </pubmed?term=%22Quinsey%20VL%22%5BAuthor%5D>.
Psychology Department, Queen's University, Kingston, Ontario, K7L 3N6, Canada. quinsey@psyc.queensu.ca
Abstract
People discover rather than choose their sexual interests. The process of discovery typically begins before the onset of puberty and is associated with an increase in the secretion of sex hormones from the adrenal glands. However, the determinants of the direction of sexual interest, in the sense of preferences for the same or opposite sex, are earlier. These preferences, although not manifest until much later in development, appear to be caused by the neural organizational effects of intrauterine hormonal events. Variations in these hormonal events likely have several causes and two of these appear to have been identified for males. One cause is genetic and the other involves the sensitization of the maternal immune system to some aspect of the male fetus. It is presently unclear how these two causes relate to each other. The most important question for future research is whether preferences for particular-aged partners and parts of the male courtship sequence share causes similar to those of erotic gender orientation.
K1: Quinsey considère l'homosexualité comme une anormalité
K: 99% D: ? PKJ: 100%
Préambule à K2
http://www.blogg.org/blog-46373-themes- ... 93047.html
Un des buts prioritaires de ce nouveau mouvement concernait la suppression de l'homosexualité en tant que maladie du Manuel Diagnostic et Statistique des troubles mentaux (DSM), qui fournit la nosologie définitive de l'Association américaine de psychiatrie (APA)
K2: Le mouvement gay s'attribut la paternité du changement survenue dans le DSM.
K: 99% D: ? PKJ: 0%*
*Rien dans la source proposée n'indique que l'article est représentatif d'un tel mouvement.
Préambule à K3 et K4:
http://www.jurivie.org/documents/articl ... n_homo.pdf
«Résumé
La quasi-totalité des études réalisées sur l'évolution des enfants élevés par des couples homosexuels ne démontre rien. Presque toutes (y compris celles réalisées en Espagne) manquent de la plus petite rigueur scientifique nécessaire pour pouvoir atteindre des conclusions d'un degré de validité acceptable. Les erreurs les plus habituelles de ces études sont : la taille de l'échantillon (en général trop petit), son manque d'aléa (les couples homosexuels ne sont pas sélectionnés de façon aléatoire, mais ils sont même choisis par d'autres personnes sélectionnées ou par des associations homosexuelles), l'usage de groupes de contrôle - couples homosexuels - inadéquats, ainsi que comparer des mères lesbiennes seules, avec des mères hétérosexuelles divorcées ou séparées, avec le fait que les enfants des mères hétérosexuelles ont un désavantage dû au traumatisme du divorce ou de la séparation.
Jusqu'à présent, il n'y a pas eu une seule étude suffisamment ample et bien réalisée pour en tirer des conclusions. On ne peut donc affirmer en aucun cas, contrairement à ce que l'on fait de nos jours, que les études scientifiques donnent leur aval à l'adoption par des personnes du même sexe.»
K3: Les auteurs du mémoire ont fait une revue sérieuse de la littérature
K: 95% D: ? PKJ: ~0%*
*Ici également, rien dans la source proposée ne permet de l'affirmer.
K4: Les auteurs du mémoire estiment que les donnés scientifiques actuels ne permettent pas de dire qu'une famille homoparentale ne présente pas plus de risque d'une famille hétérosexuelle.
K: 99% D: ? PKJ: 100%
K5: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs du chapitre estiment que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0%
K6: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs principaux du manuel estiment aussi que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0%
XXXXSALVEXXXX
P1: La revue de littérature de Patterson (1994) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100%
P2: La revue de littérature scientifique de Tasker (2005) affirme qu'il n'y a pas de différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100%
P3: L'étude de Brewaeys et van Hall (1997) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles lesbiennes.
K: % D: ? PKJ: 100%
P4: Un humain mesurant 192cm est anormal.
K: % D: ? PKJ: 100%
P5: L'adoption par des couples homosexuels est un phénomène récent (moins de 10 ans).
K: % D: ? PKJ: 0%
P6: K va rejeter toutes les données scientifiques qui lui seront proposées dans ce Redico en se basant sur le mémoire mentionné dans K3 et K4.
K: % D: ? PKJ: 66%
- Cartaphilus
- Modérateur
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- Inscription : 23 sept. 2008, 20:54
Re: Homosexualité et paraphilie
Ah ! Le (pour Denis) ou la (pour Hallucigenia) Redico magique ! Je suis médiocrement optimiste sur le résultat que pourra donner ici cette remarquable invention, d'autant plus que le sujet traité est double ; mais je vais quand même y participer, sans promettre de ne pas appliquer la loi 11 (abandon de la partie) si la poursuite devait demander trop de temps, et en recommandant aux participants de bien vouloir appliquer la loi 5 (nombre de propositions par salves) par la suite.
K1: Quinsey considère l'homosexualité comme une anormalité.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 50%*
*Seulement l'homosexualité masculine ; le titre indique clairement les « préférences sexuelles anormales de l'homme ».
K2: Le mouvement gay s'attribut la paternité du changement survenue dans le DSM.
K: 99% D: ? PKJ: 0%* C: ~0%**
*Rien dans la source proposée n'indique que l'article est représentatif d'un tel mouvement.
**D'accord avec PKJ ; en outre la page donnée en référence ne prétend pas ce qu'affirme K2.
K3: Les auteurs du mémoire ont fait une revue sérieuse de la littérature
K: 95% D: ? PKJ: ~0%* C: Abstention**
*Ici également, rien dans la source proposée ne permet de l'affirmer.
**Voir C1.
K4: Les auteurs du mémoire estiment que les donnés scientifiques actuels ne permettent pas de dire qu'une famille homoparentale ne présente pas plus de risque d'une famille hétérosexuelle.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*Formulation alambiquée.
K5: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs du chapitre estiment que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0% C: 0 %*
*Voir C2.
K6: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs principaux du manuel estiment aussi que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0% C: 0%
-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
P1: La revue de littérature de Patterson (1994) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1994.
P2: La revue de littérature scientifique de Tasker (2005) affirme qu'il n'y a pas de différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 95 %
P3: L'étude de Brewaeys et van Hall (1997) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles lesbiennes.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1997.
P4: Un humain mesurant 192cm est anormal.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 5%*
*Uniquement en cas de pathologie associée ou responsable de cette taille.
P5: L'adoption par des couples homosexuels est un phénomène récent (moins de 10 ans).
K: % D: ? PKJ: 0% C: 0%*
*La volonté d'adoption.
P6: K va rejeter toutes les données scientifiques qui lui seront proposées dans ce Redico en se basant sur le mémoire mentionné dans K3 et K4.
K: % D: ? PKJ: 66% C: 75%
-*-*-*- Salve -*-*-*-
C1: Il est difficile d'apprécier la pertinence des conclusions d'un article dont on ne possède que le résumé.
K: % D: ? PKJ: % C: 80%
Préambule à C2 : Dans le manuel de psychiatrie de Henri Ey, P. Bernard et Ch. Brisset, sixième publiée en 1989, aux éditions Masson, (Troisième partie, études des maladies mentales, chapitre VII « Homosexualité »), page 388, il est écrit :
« Une attitude moralisante conduit à définir les êtres humains selon une particularité de leurs relations sexuelles. L'homosexualité est alors définie en terme d'être, en tant qu'attribut d'identité comme si l'on pouvait réduire le sujet à son comportement sexuel favori (E. Kestemberg, 1984). Or l'homosexualité échappe au cadre des perversions dans la mesure où l'objet aimé par l'homosexuel est un objet total, alors que dans les perversions étudiées plus haut nous avons insisté sur les tendances à investir des objets partiels, les zones érogènes ou leurs substituts. C'est pourquoi beaucoup de cliniciens (F. Pasche, 1965) distinguent l'homosexualité des perversions tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C2 : Le texte précédent distingue clairement l'homosexualité des perversions sexuelles, ou paraphilies, celles-ci étant considérées comme des troubles mentaux..
K: % D: ? PKJ: % C: 99%
C3 : C2 est un contre-exemple à K5.
K: % D: ? PKJ: % C: 99%
C4 : Considérer un comportement comme pathologique implique l'indication d'un traitement (si celui-ci existe).
K: % D: ? PKJ: % C: 100%
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: % D: ? PKJ: % C: 90%
C6 : La décision de l'APA (Association américaine de psychiatrie) de retirer l'homosexualité du DSM en 1973 ne s'appuie sur aucune donnée scientifique.
K: % D: ? PKJ: % C: 0%
K1: Quinsey considère l'homosexualité comme une anormalité.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 50%*
*Seulement l'homosexualité masculine ; le titre indique clairement les « préférences sexuelles anormales de l'homme ».
K2: Le mouvement gay s'attribut la paternité du changement survenue dans le DSM.
K: 99% D: ? PKJ: 0%* C: ~0%**
*Rien dans la source proposée n'indique que l'article est représentatif d'un tel mouvement.
**D'accord avec PKJ ; en outre la page donnée en référence ne prétend pas ce qu'affirme K2.
K3: Les auteurs du mémoire ont fait une revue sérieuse de la littérature
K: 95% D: ? PKJ: ~0%* C: Abstention**
*Ici également, rien dans la source proposée ne permet de l'affirmer.
**Voir C1.
K4: Les auteurs du mémoire estiment que les donnés scientifiques actuels ne permettent pas de dire qu'une famille homoparentale ne présente pas plus de risque d'une famille hétérosexuelle.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*Formulation alambiquée.
K5: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs du chapitre estiment que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0% C: 0 %*
*Voir C2.
K6: Publier un chapitre de manuel de psychiatrie, dans la section psychopathologie, sur l'homosexualité implique que les auteurs principaux du manuel estiment aussi que l'homosexualité est une maladie.
K: 99% D: ? PKJ: 0% C: 0%
-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
P1: La revue de littérature de Patterson (1994) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1994.
P2: La revue de littérature scientifique de Tasker (2005) affirme qu'il n'y a pas de différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 95 %
P3: L'étude de Brewaeys et van Hall (1997) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles lesbiennes.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1997.
P4: Un humain mesurant 192cm est anormal.
K: % D: ? PKJ: 100% C: 5%*
*Uniquement en cas de pathologie associée ou responsable de cette taille.
P5: L'adoption par des couples homosexuels est un phénomène récent (moins de 10 ans).
K: % D: ? PKJ: 0% C: 0%*
*La volonté d'adoption.
P6: K va rejeter toutes les données scientifiques qui lui seront proposées dans ce Redico en se basant sur le mémoire mentionné dans K3 et K4.
K: % D: ? PKJ: 66% C: 75%
-*-*-*- Salve -*-*-*-
C1: Il est difficile d'apprécier la pertinence des conclusions d'un article dont on ne possède que le résumé.
K: % D: ? PKJ: % C: 80%
Préambule à C2 : Dans le manuel de psychiatrie de Henri Ey, P. Bernard et Ch. Brisset, sixième publiée en 1989, aux éditions Masson, (Troisième partie, études des maladies mentales, chapitre VII « Homosexualité »), page 388, il est écrit :
« Une attitude moralisante conduit à définir les êtres humains selon une particularité de leurs relations sexuelles. L'homosexualité est alors définie en terme d'être, en tant qu'attribut d'identité comme si l'on pouvait réduire le sujet à son comportement sexuel favori (E. Kestemberg, 1984). Or l'homosexualité échappe au cadre des perversions dans la mesure où l'objet aimé par l'homosexuel est un objet total, alors que dans les perversions étudiées plus haut nous avons insisté sur les tendances à investir des objets partiels, les zones érogènes ou leurs substituts. C'est pourquoi beaucoup de cliniciens (F. Pasche, 1965) distinguent l'homosexualité des perversions tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C2 : Le texte précédent distingue clairement l'homosexualité des perversions sexuelles, ou paraphilies, celles-ci étant considérées comme des troubles mentaux..
K: % D: ? PKJ: % C: 99%
C3 : C2 est un contre-exemple à K5.
K: % D: ? PKJ: % C: 99%
C4 : Considérer un comportement comme pathologique implique l'indication d'un traitement (si celui-ci existe).
K: % D: ? PKJ: % C: 100%
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: % D: ? PKJ: % C: 90%
C6 : La décision de l'APA (Association américaine de psychiatrie) de retirer l'homosexualité du DSM en 1973 ne s'appuie sur aucune donnée scientifique.
K: % D: ? PKJ: % C: 0%
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: Homosexualité et paraphilie
J'ai des problèmes à mettre le lien. Je vais essayer de nouveaux
http://www.jurivie.org/documents/articl ... n_homo.pdf
Bon, ca semble marcher!
Milles excuses!
http://www.jurivie.org/documents/articl ... n_homo.pdf
Bon, ca semble marcher!
Milles excuses!
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: Homosexualité et paraphilie
J'attendais Denis, mais un ordinateur en réparation, ça peut être .long à revenir. J'enchaine donc. Il nous rattrappera bien à son retour.
P1: La revue de littérature de Patterson (1994) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1994.
P2: La revue de littérature scientifique de Tasker (2005) affirme qu'il n'y a pas de différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: 10%* D: ? PKJ: 100% C: 95 %
*La conclusion de l'article est plutôt ; «les résultats de recherches suggèrent que les enfants élevés par des parents lesbiennes ou gais sont comparables avec des enfants avec élevés par des parents hétérosexuels en ce qui regarde des indices clefs de développement psychosocial» Après, je crois comprendre que le texte tarabiscoté parle à demi-mots de différences mesurés, ici et là, et que les auteurs recensés attribut aux caractéristiques formelles des familles homoparentales ou à l'homophobie.
P3: L'étude de Brewaeys et van Hall (1997) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles lesbiennes.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1997.
P4: Un humain mesurant 192cm est anormal.
K: 99%** D: ? PKJ: 100% C: 5%*
*Uniquement en cas de pathologie associée ou responsable de cette taille.
** J'imagine que tu veux dire "normalité statistique", c'est à dire, en dehors de deux "écarts types" de la moyenne.
P5: L'adoption par des couples homosexuels est un phénomène récent (moins de 10 ans).
K: abs** D: ? PKJ: 0% C: 0%*
*La volonté d'adoption.
** Il y avait quelques cas déguisés en adoption par un "parent célibataire" mais je ne connais pas les statistiques à ce sujet. je ne crois même pas qu'ils en existe. En auriez-vous trouvé?
P6: K va rejeter toutes les données scientifiques qui lui seront proposées dans ce Redico en se basant sur le mémoire mentionné dans K3 et K4.
K: 1% D: ? PKJ: 66% C: 75%
C1: Il est difficile d'apprécier la pertinence des conclusions d'un article dont on ne possède que le résumé.
K: 90%* D: ? PKJ: % C: 80%
*Il suffisait recopier l'adresse dans votre ligne d'adresse. De toute façon je vous ai redonné l'adresse avec accès en un "clic".
Préambule à C2 : Dans le manuel de psychiatrie de Henri Ey, P. Bernard et Ch. Brisset, sixième publiée en 1989, aux éditions Masson, (Troisième partie, études des maladies mentales, chapitre VII « Homosexualité »), page 388, il est écrit :
« Une attitude moralisante conduit à définir les êtres humains selon une particularité de leurs relations sexuelles. L'homosexualité est alors définie en terme d'être, en tant qu'attribut d'identité comme si l'on pouvait réduire le sujet à son comportement sexuel favori (E. Kestemberg, 1984). Or l'homosexualité échappe au cadre des perversions dans la mesure où l'objet aimé par l'homosexuel est un objet total, alors que dans les perversions étudiées plus haut nous avons insisté sur les tendances à investir des objets partiels, les zones érogènes ou leurs substituts. C'est pourquoi beaucoup de cliniciens (F. Pasche, 1965) distinguent l'homosexualité des perversions tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C2 : Le texte précédent distingue clairement l'homosexualité des perversions sexuelles, ou paraphilies, celles-ci étant considérées comme des troubles mentaux..
K: 80%* D: ? PKJ: % C: 99%
En gros, oui! Mais il y a des petites subtilités qui semblent vous avoir échappées. Par exemple, que veux dire d'après-vous «tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C3 : C2 est un contre-exemple à K5.
K: 95%* D: ? PKJ: % C: 99%
*Plutôt un contre-argument "clinico-théorique" d'origine psychanalytique. C'est d'ailleurs le meilleur qui existe à mes yeux. Mais est-ce celui évoqué par APA? QUE NINI !
En passant, je trouve amusant que vous puisiez dans la théorie psychanalytique quand ça fait votre affaire...
C4 : Considérer un comportement comme pathologique implique l'indication d'un traitement (si celui-ci existe).
K: 5%* D: ? PKJ: % C: 100%
*Pas en psychiatrie
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: 25%* D: ? PKJ: % C: 90%
*Un argument bien relatif! Des recherches analogues montrent qu'il est difficile de distinguer les psychopathes des personnes en bonne santé mentale. Le Rorschach et le TAT ont des limites importantes dans l'évaluation de certaines maladies mentales et de certains profils de personnalité. L'homosexualité n'est pas le seul cas.
C6 : La décision de l'APA (Association américaine de psychiatrie) de retirer l'homosexualité du DSM en 1973 ne s'appuie sur aucune donnée scientifique.
K: 5%* D: ? PKJ: % C: 0%[/quote]
* Si tu avais dit aucune donnés "sérieuses" j'aurais écrit 99%
***************
K7 : En quelques mots, Cartaphilus va dire quel type de preuve pourrait le convaincre que l'APA a retiré l'homosexualité pour des raisons politiques.
K: 95% D: ? PKJ: ? C: ?
K8 : En autant de mots qu'il voudra, Cartaphilus va étaler ici les recherches empiriques et/ou les raisonnements théoriques (sérieux: aux yeux de l'APA et à ses propres yeux) qui auraient (d'après lui) inspiré scientifiquement le retrait de l'homosexualité du DSM en 1973.
K: 3% D: ? PKJ: ? C: ?
P1: La revue de littérature de Patterson (1994) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1994.
P2: La revue de littérature scientifique de Tasker (2005) affirme qu'il n'y a pas de différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles hétérosexuelles.
K: 10%* D: ? PKJ: 100% C: 95 %
*La conclusion de l'article est plutôt ; «les résultats de recherches suggèrent que les enfants élevés par des parents lesbiennes ou gais sont comparables avec des enfants avec élevés par des parents hétérosexuels en ce qui regarde des indices clefs de développement psychosocial» Après, je crois comprendre que le texte tarabiscoté parle à demi-mots de différences mesurés, ici et là, et que les auteurs recensés attribut aux caractéristiques formelles des familles homoparentales ou à l'homophobie.
P3: L'étude de Brewaeys et van Hall (1997) affirme affirme que rien pour l'instant permet d'affirmer qu'il y aurait une différence significative entre les enfants de familles homosexuelles et les enfants de familles lesbiennes.
K: 99% D: ? PKJ: 100% C: 100%*
*En 1997.
P4: Un humain mesurant 192cm est anormal.
K: 99%** D: ? PKJ: 100% C: 5%*
*Uniquement en cas de pathologie associée ou responsable de cette taille.
** J'imagine que tu veux dire "normalité statistique", c'est à dire, en dehors de deux "écarts types" de la moyenne.
P5: L'adoption par des couples homosexuels est un phénomène récent (moins de 10 ans).
K: abs** D: ? PKJ: 0% C: 0%*
*La volonté d'adoption.
** Il y avait quelques cas déguisés en adoption par un "parent célibataire" mais je ne connais pas les statistiques à ce sujet. je ne crois même pas qu'ils en existe. En auriez-vous trouvé?
P6: K va rejeter toutes les données scientifiques qui lui seront proposées dans ce Redico en se basant sur le mémoire mentionné dans K3 et K4.
K: 1% D: ? PKJ: 66% C: 75%
C1: Il est difficile d'apprécier la pertinence des conclusions d'un article dont on ne possède que le résumé.
K: 90%* D: ? PKJ: % C: 80%
*Il suffisait recopier l'adresse dans votre ligne d'adresse. De toute façon je vous ai redonné l'adresse avec accès en un "clic".
Préambule à C2 : Dans le manuel de psychiatrie de Henri Ey, P. Bernard et Ch. Brisset, sixième publiée en 1989, aux éditions Masson, (Troisième partie, études des maladies mentales, chapitre VII « Homosexualité »), page 388, il est écrit :
« Une attitude moralisante conduit à définir les êtres humains selon une particularité de leurs relations sexuelles. L'homosexualité est alors définie en terme d'être, en tant qu'attribut d'identité comme si l'on pouvait réduire le sujet à son comportement sexuel favori (E. Kestemberg, 1984). Or l'homosexualité échappe au cadre des perversions dans la mesure où l'objet aimé par l'homosexuel est un objet total, alors que dans les perversions étudiées plus haut nous avons insisté sur les tendances à investir des objets partiels, les zones érogènes ou leurs substituts. C'est pourquoi beaucoup de cliniciens (F. Pasche, 1965) distinguent l'homosexualité des perversions tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C2 : Le texte précédent distingue clairement l'homosexualité des perversions sexuelles, ou paraphilies, celles-ci étant considérées comme des troubles mentaux..
K: 80%* D: ? PKJ: % C: 99%
En gros, oui! Mais il y a des petites subtilités qui semblent vous avoir échappées. Par exemple, que veux dire d'après-vous «tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »

C3 : C2 est un contre-exemple à K5.
K: 95%* D: ? PKJ: % C: 99%
*Plutôt un contre-argument "clinico-théorique" d'origine psychanalytique. C'est d'ailleurs le meilleur qui existe à mes yeux. Mais est-ce celui évoqué par APA? QUE NINI !
En passant, je trouve amusant que vous puisiez dans la théorie psychanalytique quand ça fait votre affaire...

C4 : Considérer un comportement comme pathologique implique l'indication d'un traitement (si celui-ci existe).
K: 5%* D: ? PKJ: % C: 100%
*Pas en psychiatrie
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: 25%* D: ? PKJ: % C: 90%
*Un argument bien relatif! Des recherches analogues montrent qu'il est difficile de distinguer les psychopathes des personnes en bonne santé mentale. Le Rorschach et le TAT ont des limites importantes dans l'évaluation de certaines maladies mentales et de certains profils de personnalité. L'homosexualité n'est pas le seul cas.
C6 : La décision de l'APA (Association américaine de psychiatrie) de retirer l'homosexualité du DSM en 1973 ne s'appuie sur aucune donnée scientifique.
K: 5%* D: ? PKJ: % C: 0%[/quote]
* Si tu avais dit aucune donnés "sérieuses" j'aurais écrit 99%
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K7 : En quelques mots, Cartaphilus va dire quel type de preuve pourrait le convaincre que l'APA a retiré l'homosexualité pour des raisons politiques.
K: 95% D: ? PKJ: ? C: ?
K8 : En autant de mots qu'il voudra, Cartaphilus va étaler ici les recherches empiriques et/ou les raisonnements théoriques (sérieux: aux yeux de l'APA et à ses propres yeux) qui auraient (d'après lui) inspiré scientifiquement le retrait de l'homosexualité du DSM en 1973.
K: 3% D: ? PKJ: ? C: ?
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: Homosexualité et paraphilie
Je vais attendre Denis pour salver. J'évalue tout de même les propositions qui sont sur la table.
********
C1: Il est difficile d'apprécier la pertinence des conclusions d'un article dont on ne possède que le résumé.
K: 90%* D: ? PKJ: 199% C: 80%
*Il suffisait recopier l'adresse dans votre ligne d'adresse. De toute façon je vous ai redonné l'adresse avec accès en un "clic".
Préambule à C2 : Dans le manuel de psychiatrie de Henri Ey, P. Bernard et Ch. Brisset, sixième publiée en 1989, aux éditions Masson, (Troisième partie, études des maladies mentales, chapitre VII « Homosexualité »), page 388, il est écrit :
« Une attitude moralisante conduit à définir les êtres humains selon une particularité de leurs relations sexuelles. L'homosexualité est alors définie en terme d'être, en tant qu'attribut d'identité comme si l'on pouvait réduire le sujet à son comportement sexuel favori (E. Kestemberg, 1984). Or l'homosexualité échappe au cadre des perversions dans la mesure où l'objet aimé par l'homosexuel est un objet total, alors que dans les perversions étudiées plus haut nous avons insisté sur les tendances à investir des objets partiels, les zones érogènes ou leurs substituts. C'est pourquoi beaucoup de cliniciens (F. Pasche, 1965) distinguent l'homosexualité des perversions tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C2 : Le texte précédent distingue clairement l'homosexualité des perversions sexuelles, ou paraphilies, celles-ci étant considérées comme des troubles mentaux..
K: 80%* D: ? PKJ: 99% C: 99%
En gros, oui! Mais il y a des petites subtilités qui semblent vous avoir échappées. Par exemple, que veux dire d'après-vous «tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C3 : C2 est un contre-exemple à K5.
K: 95%* D: ? PKJ: 99% C: 99%
*Plutôt un contre-argument "clinico-théorique" d'origine psychanalytique. C'est d'ailleurs le meilleur qui existe à mes yeux. Mais est-ce celui évoqué par APA? QUE NINI !
En passant, je trouve amusant que vous puisiez dans la théorie psychanalytique quand ça fait votre affaire...
C4 : Considérer un comportement comme pathologique implique l'indication d'un traitement (si celui-ci existe).
K: 5%* D: ? PKJ: 100%** C: 100%
*Pas en psychiatrie
**J'ai évalué en me basant surtout sur le "si celui-ci existe".
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: 25%* D: ? PKJ: % C: 90%
*Un argument bien relatif! Des recherches analogues montrent qu'il est difficile de distinguer les psychopathes des personnes en bonne santé mentale. Le Rorschach et le TAT ont des limites importantes dans l'évaluation de certaines maladies mentales et de certains profils de personnalité. L'homosexualité n'est pas le seul cas.
C6 : La décision de l'APA (Association américaine de psychiatrie) de retirer l'homosexualité du DSM en 1973 ne s'appuie sur aucune donnée scientifique.
K: 5%* D: ? PKJ: 0% C: 0%
* Si tu avais dit aucune donnés "sérieuses" j'aurais écrit 99%
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K7 : En quelques mots, Cartaphilus va dire quel type de preuve pourrait le convaincre que l'APA a retiré l'homosexualité pour des raisons politiques.
K: 95% D: ? PKJ: 50% C: ?
K8 : En autant de mots qu'il voudra, Cartaphilus va étaler ici les recherches empiriques et/ou les raisonnements théoriques (sérieux: aux yeux de l'APA et à ses propres yeux) qui auraient (d'après lui) inspiré scientifiquement le retrait de l'homosexualité du DSM en 1973.
K: 3% D: ? PKJ: 50% C: ?
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C1: Il est difficile d'apprécier la pertinence des conclusions d'un article dont on ne possède que le résumé.
K: 90%* D: ? PKJ: 199% C: 80%
*Il suffisait recopier l'adresse dans votre ligne d'adresse. De toute façon je vous ai redonné l'adresse avec accès en un "clic".
Préambule à C2 : Dans le manuel de psychiatrie de Henri Ey, P. Bernard et Ch. Brisset, sixième publiée en 1989, aux éditions Masson, (Troisième partie, études des maladies mentales, chapitre VII « Homosexualité »), page 388, il est écrit :
« Une attitude moralisante conduit à définir les êtres humains selon une particularité de leurs relations sexuelles. L'homosexualité est alors définie en terme d'être, en tant qu'attribut d'identité comme si l'on pouvait réduire le sujet à son comportement sexuel favori (E. Kestemberg, 1984). Or l'homosexualité échappe au cadre des perversions dans la mesure où l'objet aimé par l'homosexuel est un objet total, alors que dans les perversions étudiées plus haut nous avons insisté sur les tendances à investir des objets partiels, les zones érogènes ou leurs substituts. C'est pourquoi beaucoup de cliniciens (F. Pasche, 1965) distinguent l'homosexualité des perversions tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
C2 : Le texte précédent distingue clairement l'homosexualité des perversions sexuelles, ou paraphilies, celles-ci étant considérées comme des troubles mentaux..
K: 80%* D: ? PKJ: 99% C: 99%
En gros, oui! Mais il y a des petites subtilités qui semblent vous avoir échappées. Par exemple, que veux dire d'après-vous «tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »

C3 : C2 est un contre-exemple à K5.
K: 95%* D: ? PKJ: 99% C: 99%
*Plutôt un contre-argument "clinico-théorique" d'origine psychanalytique. C'est d'ailleurs le meilleur qui existe à mes yeux. Mais est-ce celui évoqué par APA? QUE NINI !
En passant, je trouve amusant que vous puisiez dans la théorie psychanalytique quand ça fait votre affaire...

C4 : Considérer un comportement comme pathologique implique l'indication d'un traitement (si celui-ci existe).
K: 5%* D: ? PKJ: 100%** C: 100%
*Pas en psychiatrie
**J'ai évalué en me basant surtout sur le "si celui-ci existe".
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: 25%* D: ? PKJ: % C: 90%
*Un argument bien relatif! Des recherches analogues montrent qu'il est difficile de distinguer les psychopathes des personnes en bonne santé mentale. Le Rorschach et le TAT ont des limites importantes dans l'évaluation de certaines maladies mentales et de certains profils de personnalité. L'homosexualité n'est pas le seul cas.
C6 : La décision de l'APA (Association américaine de psychiatrie) de retirer l'homosexualité du DSM en 1973 ne s'appuie sur aucune donnée scientifique.
K: 5%* D: ? PKJ: 0% C: 0%
* Si tu avais dit aucune donnés "sérieuses" j'aurais écrit 99%
***************
K7 : En quelques mots, Cartaphilus va dire quel type de preuve pourrait le convaincre que l'APA a retiré l'homosexualité pour des raisons politiques.
K: 95% D: ? PKJ: 50% C: ?
K8 : En autant de mots qu'il voudra, Cartaphilus va étaler ici les recherches empiriques et/ou les raisonnements théoriques (sérieux: aux yeux de l'APA et à ses propres yeux) qui auraient (d'après lui) inspiré scientifiquement le retrait de l'homosexualité du DSM en 1973.
K: 3% D: ? PKJ: 50% C: ?
- Cartaphilus
- Modérateur
- Messages : 7587
- Inscription : 23 sept. 2008, 20:54
Re: Homosexualité et paraphilie
Quelques remarques sur les commentaires de Kraepelin.
Rappelons que cet extrait constitue un contre-exemple à K5, (l'existence d'un chapitre sur l"homosexualité dans un manuel de psychiatrie rend compte de la nature pathologique de cette préférence sexuelle), et non l'illustration de l'ensemble de ma conviction sur le sujet.
Quant à vos nouvelles propositions, je trouve étrange cette forme d'injonction, que je vois plus comme un moyen censé m'embarrasser et qui pervertit (!) la notion de Redico ; vous qui attachez tant d'importance aux « arguments factuels », j'attendais de votre part plus de références, d'articles ou de sources fiables à évaluer, plutôt ce questionnement par la bande ; mais il est vrai que je me suis risqué à évaluer P6 à 75 %.
K7 : En quelques mots, Cartaphilus va dire quel type de preuve pourrait le convaincre que l'APA a retiré l'homosexualité pour des raisons politiques.
K: 95% D: ? PKJ: 50% C: 99%*
*Pas 100% car un peu plus que « quelques mots » (?) : des preuves précises (pas une citation au détour d'un article traitant d'un tout autre sujet), crédibles (c'est bien le moins) et, si possible, accessibles.
K8 : En autant de mots qu'il voudra, Cartaphilus va étaler ici les recherches empiriques et/ou les raisonnements théoriques (sérieux: aux yeux de l'APA et à ses propres yeux) qui auraient (d'après lui) inspiré scientifiquement le retrait de l'homosexualité du DSM en 1973.
K: 3% D: ? PKJ: 50% C: 100%*
*Je peux « étaler » à Kraepelin ici et ailleurs tout (en rapport avec le sujet...) ce qu'il voudra et me prêter à un exercice qui me semble sortir du Redico, mais cela ne revient-il pas à un nouveau débat en style « libre » (Loi 1 et caractéristique 9) ?
Quoi qu'il en soit, je complèterai un peu plus tard K8* ; peut-être que GOD (alias du Grand Ordonnateur Denis !) pourrait nous donner son avis.
À noter que PKJ n'a pas évalué C5.
*Et, s'il vous plaît Kraepelin, n'allez pas tout de suite crier à la dérobade de ma part...
Heureusement que vous êtes là, Kraepelin, pour illuminer ma maigre compréhension des ouvrages de ma bibliothèque personnelle, à propos d'une citation que j'ai donnée en prenant le soin de ne pas la tronquer ; mais passons sur le ton supérieur qui, décidément, empreint vos messages dès que la contestation de votre opinion s'appuie sur un argument recevable.Concernant la citation du manuel de psychiatrie de Henri Ey et coll., Kraepelin a écrit :En gros, oui! Mais il y a des petites subtilités qui semblent vous avoir échappées. Par exemple, que veux dire d'après-vous «tout en admettant qu'elle est souvent le cadre de perversions. »
Rappelons que cet extrait constitue un contre-exemple à K5, (l'existence d'un chapitre sur l"homosexualité dans un manuel de psychiatrie rend compte de la nature pathologique de cette préférence sexuelle), et non l'illustration de l'ensemble de ma conviction sur le sujet.
Même réponse que ci-dessus ; trouvez-vous « amusant » que l'on puisse lire et connaître des ouvrages sans forcément porter allégeance à leurs auteurs ?Kraepelin a écrit :En passant, je trouve amusant que vous puisiez dans la théorie psychanalytique quand ça fait votre affaire...
Quant à vos nouvelles propositions, je trouve étrange cette forme d'injonction, que je vois plus comme un moyen censé m'embarrasser et qui pervertit (!) la notion de Redico ; vous qui attachez tant d'importance aux « arguments factuels », j'attendais de votre part plus de références, d'articles ou de sources fiables à évaluer, plutôt ce questionnement par la bande ; mais il est vrai que je me suis risqué à évaluer P6 à 75 %.
K7 : En quelques mots, Cartaphilus va dire quel type de preuve pourrait le convaincre que l'APA a retiré l'homosexualité pour des raisons politiques.
K: 95% D: ? PKJ: 50% C: 99%*
*Pas 100% car un peu plus que « quelques mots » (?) : des preuves précises (pas une citation au détour d'un article traitant d'un tout autre sujet), crédibles (c'est bien le moins) et, si possible, accessibles.
K8 : En autant de mots qu'il voudra, Cartaphilus va étaler ici les recherches empiriques et/ou les raisonnements théoriques (sérieux: aux yeux de l'APA et à ses propres yeux) qui auraient (d'après lui) inspiré scientifiquement le retrait de l'homosexualité du DSM en 1973.
K: 3% D: ? PKJ: 50% C: 100%*
*Je peux « étaler » à Kraepelin ici et ailleurs tout (en rapport avec le sujet...) ce qu'il voudra et me prêter à un exercice qui me semble sortir du Redico, mais cela ne revient-il pas à un nouveau débat en style « libre » (Loi 1 et caractéristique 9) ?
Quoi qu'il en soit, je complèterai un peu plus tard K8* ; peut-être que GOD (alias du Grand Ordonnateur Denis !) pourrait nous donner son avis.
À noter que PKJ n'a pas évalué C5.
*Et, s'il vous plaît Kraepelin, n'allez pas tout de suite crier à la dérobade de ma part...
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: Homosexualité et paraphilie
C'est à Denis à salver!
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Calcul de vos écarts-moyens
Salut surtout à Kraepelin, à PKJ et à Cartaphilus,
Désolé de ne pas entrer dans votre partie. Pour plusieurs raisons, dont :Kraepelin a écrit :C'est à Denis à salver!
1) Ça me prendrait trop de temps, en particulier pour rassembler les morceaux dans un tableau potable.
2) Votre thème ne me passionne pas beaucoup. Si j'ordonnais selon l'intérêt qu'ils m'inspirent (en deux colonnes) TOUS les thèmes possibles et imaginables, le vôtre ne serait probablement pas dans la première colonne.
3) L'abandon de Kraepelin dans cette partie m'a un peu démotivé. Refera-t-il la même chose dès que la partie commencera à lever ?
Je vous ai quand même bricolé un calcul d'écarts-moyens.
- Entre Kraepelin et Cartaphilus : E-M = 50.1% (18/20) ; 6 D , 2 d , 2 O , 1 a , 7 A .
Code D sur K2, K5, K6, P4, C4, K8.
Code d sur P2, P6.
Code O sur K1, C5.
Entre Kraepelin et PKJ : E-M = 43.1% (18/20) ; 6 D , 0 d , 3 O , 1 a , 8 A .
Code D sur K2, K3, K5, K6, P2, C4.
Code O sur P6, K7, K8.
Entre PKJ et Cartaphilus : E-M = 15.4% (18/20) ; 1 D , 0 d , 3 O , 1 a , 13 A .
Code D sur P4.
Code O sur K1, K7, K8.
J'ai interprété le 199% donné par PKJ à C1 comme étant un 99% "mal écrit".
PKJ a oublié d'évaluer C5.
Si vous poursuivez votre partie, je vous fournirai de temps en temps un petit support technique comme celui du présent message, mais je ne suis pas suffisamment motivé pour y entrer de plein pied.
Désolé.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
Re: Homosexualité et paraphilie
Oupsie!
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: 25%* D: ? PKJ: 95% C: 90%
*Un argument bien relatif! Des recherches analogues montrent qu'il est difficile de distinguer les psychopathes des personnes en bonne santé mentale. Le Rorschach et le TAT ont des limites importantes dans l'évaluation de certaines maladies mentales et de certains profils de personnalité. L'homosexualité n'est pas le seul cas.
C5 : Cette étude d'Evelyn Hooker (résumé en anglais ici), paru en 1957, est un argument scientifique pour « démédicaliser » l'homosexualité.
K: 25%* D: ? PKJ: 95% C: 90%
*Un argument bien relatif! Des recherches analogues montrent qu'il est difficile de distinguer les psychopathes des personnes en bonne santé mentale. Le Rorschach et le TAT ont des limites importantes dans l'évaluation de certaines maladies mentales et de certains profils de personnalité. L'homosexualité n'est pas le seul cas.
Re: Homosexualité et paraphilie
Et voici mes salves, elles étaient fraichement conservées et n'ont rien perdu de leur saveur:
Préambule à P7: "Une hypothèse ne peut donc pas être confirmée, elle peut seulement être rejetée. Philosophiquement parlant, nous sommes certains de ce qui est faux, mais nous sommes toujours incertains de la vérité. Comme il est impossible de confirmer une hypothèse, nous allons rejeter son hypothèse contraire, que nous appelons l'« hypothèse nulle ». " (source)
P7: Une des hypothèses au centre de ce débat Redico peut être minimalement exprimée par l'énoncé qui suit: "l'homoparentalité a des conséquences fâcheuses de le développement de l'enfant."
K: % | P: 95% | C: %
P8: L'hypothèse nulle correspondant à l'hypothèse mentionnée dans P7 est "l'homoparentalité n'est pas significativement différente de l'hétéroparentalité".
K: % | P: 95% | C: %
Préambule à P9:
L'extrait ci-bas se retrouve tel quel à la page 298 de Parenting , Hamner et Turner, un manuel universitaire de psychologie de la famille rédigé il y a environ 15 ans.
"Little research has been conducted on children in gay and lesbian families. Existing studies have used small samples, most often restricted to particular geographic area. Therefore, few generalizations can be made. However, the evidence to date suggests that children reared by homosexual parents are little different from children reared by heterosexual parents and are no more likely than other children of being gay".
P9: L'extrait ci-haut ne permet pas de rejeter l'hypothèse nulle.
K: % | P: 99% | C: %
Préambule à P10:
"One possible approach to findings like the ones described above might be to shrug them off by reiterating the familiar adage that “one cannot prove the null hypothesis.” To respond in this way, however, is to miss the central point of these studies. Whether or not any measurable impact of parental sexual orientation on children's development is ever demonstrated, the main conclusions from research to date remain clear: Whatever correlations between child outcomes and parental sexual orientation may exist, they are less important than those between child outcomes and the qualities of family relationships." Patterson (2006), Texte complet disponible au http://cdp.sagepub.com/content/15/5/241.full
P10: L'extrait de Patterson affirme que l'hypothèse (voir P7) est fausse, et par conséquent il faut conserver l'hypothèse nulle (voir P8).
K: % | P: 100% | C: %
Edit: j'ai corrigé le lien en haut.
Préambule à P7: "Une hypothèse ne peut donc pas être confirmée, elle peut seulement être rejetée. Philosophiquement parlant, nous sommes certains de ce qui est faux, mais nous sommes toujours incertains de la vérité. Comme il est impossible de confirmer une hypothèse, nous allons rejeter son hypothèse contraire, que nous appelons l'« hypothèse nulle ». " (source)
P7: Une des hypothèses au centre de ce débat Redico peut être minimalement exprimée par l'énoncé qui suit: "l'homoparentalité a des conséquences fâcheuses de le développement de l'enfant."
K: % | P: 95% | C: %
P8: L'hypothèse nulle correspondant à l'hypothèse mentionnée dans P7 est "l'homoparentalité n'est pas significativement différente de l'hétéroparentalité".
K: % | P: 95% | C: %
Préambule à P9:
L'extrait ci-bas se retrouve tel quel à la page 298 de Parenting , Hamner et Turner, un manuel universitaire de psychologie de la famille rédigé il y a environ 15 ans.
"Little research has been conducted on children in gay and lesbian families. Existing studies have used small samples, most often restricted to particular geographic area. Therefore, few generalizations can be made. However, the evidence to date suggests that children reared by homosexual parents are little different from children reared by heterosexual parents and are no more likely than other children of being gay".
P9: L'extrait ci-haut ne permet pas de rejeter l'hypothèse nulle.
K: % | P: 99% | C: %
Préambule à P10:
"One possible approach to findings like the ones described above might be to shrug them off by reiterating the familiar adage that “one cannot prove the null hypothesis.” To respond in this way, however, is to miss the central point of these studies. Whether or not any measurable impact of parental sexual orientation on children's development is ever demonstrated, the main conclusions from research to date remain clear: Whatever correlations between child outcomes and parental sexual orientation may exist, they are less important than those between child outcomes and the qualities of family relationships." Patterson (2006), Texte complet disponible au http://cdp.sagepub.com/content/15/5/241.full
P10: L'extrait de Patterson affirme que l'hypothèse (voir P7) est fausse, et par conséquent il faut conserver l'hypothèse nulle (voir P8).
K: % | P: 100% | C: %
Edit: j'ai corrigé le lien en haut.
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Re: Homosexualité et paraphilie
Salut à tous.
Merci à Denis pour son travail ; il me paraissait peu probable de le voir embarquer sur ce sujet : il n'en a que plus de mérite à nous accorder sa présence tutélaire.
Avant de dévaluer les propositions de PKJ, je demande une courte pause pouraller dormir lire l'article cité en P10 ; le lien donné exige une souscription, mais je pense qu'on peut le lire ici (Charlotte J. Patterson; Children of Lesbian and Gay Parents. Current Directions in Psychological Science, Octobre 2006 15: 241-244).
Par ailleurs, je n'oublie pas que je dois également fournir les arguments réclamés en K8 ; à bientôt.
Merci à Denis pour son travail ; il me paraissait peu probable de le voir embarquer sur ce sujet : il n'en a que plus de mérite à nous accorder sa présence tutélaire.
Avant de dévaluer les propositions de PKJ, je demande une courte pause pour
Par ailleurs, je n'oublie pas que je dois également fournir les arguments réclamés en K8 ; à bientôt.
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: Homosexualité et paraphilie
Pourquoi pas faire un vrai REDICO? Si Denis accepte d'arbitrer j'accepterais de participer.[/quote]Kraepelin a écrit : PKJ a écrit:
Je résume le tout sous forme de REDICO (tu n'es pas obligé d'embarquer dans une partie)
P1: Dans le manuel Psychiatrie clinique de Lalonde et al., il est expliqué que l'homosexualité est réellement une paraphilie, mais qu'on ne peut plus la considérer ainsi à cause de pressions de la gauche libérale.
PKJ: 0% | K: ?
Sans Denis le redico tombe à l'eau pour moi.Kraepelin a écrit :J'aimerais bien ça. C'est exactement ce que je proposais plus haut (à PJK je crois). Un vrai REDICO avec Denis comme arbitre! Il faut te donner ça, même lorsque tu participe à un REDICO épineux, tu es toujours parfaitement intègre.Denis a écrit :Salut surtout à Kraepelin, Cartaphilus et PKJ.
Pourquoi ne montez-vous pas en mode Redico ?Kraepelin a écrit :C'est bien dommage! Mais je ne suis pas surpris. Chercher à répondre à cette question serait catastrophique pour vous.
Tout le monde pourrait profiter de ses caractéristiques 1, 2, 4 et 6.
Je vous fournirais volontiers un support technique et même, si vous êtes 3 ou moins, entrer dans votre partie et me détordre les idées avec vous.
Denis
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
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Re: Homosexualité et paraphilie
Hum... Ce (cette) Redico ma paraît mal parti pour aller très loin.
Mais comme PKJ s'est donné la peine de formuler des propositions aegumentées, je les évaluerai tout de même.
P7: Une des hypothèses au centre de ce débat Redico peut être minimalement exprimée par l'énoncé qui suit: "l'homoparentalité a des conséquences fâcheuses [pour] le développement de l'enfant."
K: % | P: 95% | C: 90%
P8: L'hypothèse nulle correspondant à l'hypothèse mentionnée dans P7 est "l'homoparentalité n'est pas significativement différente de l'hétéroparentalité".
K: % | P: 95% | C: 80%
P9: L'extrait ci-haut ne permet pas de rejeter l'hypothèse nulle.
K: % | P: 99% | C: 99%
P10: L'extrait de Patterson affirme que l'hypothèse (voir P7) est fausse, et par conséquent il faut conserver l'hypothèse nulle (voir P8).
K: % | P: 100% | C: 90%
Pas de nouvelle salve de ma part, puisque Kraepelin semble ne pas vouloir poursuivre la partie.
-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
Il me reste à commenter K8 : comme la réponse est longue (# 75 Ko), et peut-être un peu éloignée des sujets du forum que je crains de polluer, je la donne en pièces jointes :
1 - Un rappel historique suivi des références de 11 articles précédant la fameuse décision de 1973 (APA1973.doc), avec les sources ;
2 - Les résumés des 11 articles (références.doc).
Bonne lecture aux courageux.
Mais comme PKJ s'est donné la peine de formuler des propositions aegumentées, je les évaluerai tout de même.
P7: Une des hypothèses au centre de ce débat Redico peut être minimalement exprimée par l'énoncé qui suit: "l'homoparentalité a des conséquences fâcheuses [pour] le développement de l'enfant."
K: % | P: 95% | C: 90%
P8: L'hypothèse nulle correspondant à l'hypothèse mentionnée dans P7 est "l'homoparentalité n'est pas significativement différente de l'hétéroparentalité".
K: % | P: 95% | C: 80%
P9: L'extrait ci-haut ne permet pas de rejeter l'hypothèse nulle.
K: % | P: 99% | C: 99%
P10: L'extrait de Patterson affirme que l'hypothèse (voir P7) est fausse, et par conséquent il faut conserver l'hypothèse nulle (voir P8).
K: % | P: 100% | C: 90%
Pas de nouvelle salve de ma part, puisque Kraepelin semble ne pas vouloir poursuivre la partie.
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Il me reste à commenter K8 : comme la réponse est longue (# 75 Ko), et peut-être un peu éloignée des sujets du forum que je crains de polluer, je la donne en pièces jointes :
1 - Un rappel historique suivi des références de 11 articles précédant la fameuse décision de 1973 (APA1973.doc), avec les sources ;
2 - Les résumés des 11 articles (références.doc).
Bonne lecture aux courageux.
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
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