Sommes tous aussi heureux les uns que les autres?

[Hibou]

Bonjour.

Une question me travaille depuis bien longtemps: est ce que nous sommes tous aussi heureux les uns que les autres?
Il me semble que non, alors je me demande pourquoi les actes de certains les font souffrir?

Voilà, si vous pouvez m'éclairer.
Merci.

[Rotor]

aussi heureux

Etre heureux pour moi, c'est prendre conscience que je me sent présentement bien, en bonne santé, et que j'ai encore les ressources me permettant d'agir pour que l'entropie soit perdante.

[Hibou]

Le chat qui passe son temps à dormir, à ronronner et à manger, sans jamais travailler, est très heureux. Mais je suis plus heureux que lui.
Le fainéant qui passe sa journée à traîner devant sa télé à boire des bières est certainement très heureux, mais je suis plus heureux que lui.
la scatophile qui mange ses excréments est certainement très heureux mais je suis plus heureux que lui.

Comment le prouver?

[Denis]

Salut Hibou,

Tu demandes :

Comment le prouver?

Si c'est objectivement vrai, ça sera plus facile à prouver que si c'est objectivement faux.

Puisque tu l'affirmes (même 3 fois), j'en déduis que tu considères que c'est vrai.

A priori, j'ai un gros doute. Je n'ai aucune raison de supposer que, côté bonheur, tu es dans la meilleure moitié des êtres vivants.

Toi, qu'est-ce qui te fait supposer ça?

Faudrait voir si les autres pensent comme toi. Plus ils seront nombreux, moins ton hypothèse aura de chances d'être objectivement vraie.

Dans un tel cas, la preuve qui te manque risque de te manquer longtemps.

Denis

[Rotor]

Il me semble que nous sommes de l'ordre nous mêmes, "moléculairement" parlant, êtes vous d'accord ?

Peut-on dire qu'un individu ayant un comportement où l'entropie est faible, serait de fait "plus heureux" que lorsque celle-ci est élevée, puisque celui-ci agirait dans le sens de son propre fondement ?

[Hibou]

Salut Hibou,
Dans un tel cas, la preuve qui te manque risque de te manquer longtemps.

Denis

Oui, c'est impossible à prouver, à quantifier, heureusement. Comment c'est impossible de quantifier l'amour de quelqu'un pour une autre personne, pour une activité.

[Élucubration]

J'ai proposé plus haut un point de référence pour déterminer le niveau d'évolution: le niveau de bonheur. Je sais que ça ne se mesure pas, mais je suis persuadé que j'ai plus de bonheur qu'une bactérie, qu'un cafard, qu'un singe, qu'un pédophile ou un zoophile.
Je pense aussi qu'à partir d'un certain point, nous sommes tous au même niveau de bonheur, chacun à sa façon.

Le chat qui passe son temps à dormir, à ronronner et à manger, sans jamais travailler, est très heureux. Mais je suis plus heureux que lui.
Le fainéant qui passe sa journée à traîner devant sa télé à boire des bières est certainement très heureux, mais je suis plus heureux que lui.
la scatophile qui mange ses excréments est certainement très heureux mais je suis plus heureux que lui.

Comment le prouver?

Votre tentative de prouver que vous êtes plus évolué qu'une personne souffrant de scatophilie parce que vous êtes objectivement plus heureux que lui me semble tout à fait absurde, délirante.

Considérez-vous qu'une mère malheureuse d'avoir perdu son enfant soit "moins évoluée" que vous?

[Rotor]

De plus la volonté de vouloir se comparer traduit pour moi le doute d'etre dans le bonheur.

[Hibou]

Si vous estimez être aussi heureux qu'un scatophile, un zoophile qui aime forniquer avec des chèvres ou un pédophile qui se régale à violer régulièrement des petits enfants, alors il vaut mieux arrêter de discuter, on n'avancera pas.
Je sais pas vous, mais en tout cas moi je m'estime plus heureux que ces gens là, plus évolués qu'eux.

Et concernant mon bonheur, je suis comme beaucoup d'entre nous, je me bats et je travaille tous les jours pour bien vivre. Et comme tout le monde je rencontre des obstacles, les petits soucis et les grands.

Cordialement.

[Élucubration]

Bonjour Hibou,

Si vous estimez être aussi heureux qu'un scatophile, un zoophile qui aime forniquer avec des chèvres ou un pédophile qui se régale à violer régulièrement des petits enfants, alors il vaut mieux arrêter de discuter, on n'avancera pas.
Je sais pas vous, mais en tout cas moi je m'estime plus heureux que ces gens là, plus évolués qu'eux.

Ce n'est pas "l'évolution" ou le sentiment d'être heureux qui me distinguent d'un scatophile, d'un zoophile ou d'un pédophile.

C'est le fait que je ne sois attiré ni par les excréments, ni par les animaux, ni par les enfants.

Ça n'a rien à voir avec le fait d'être heureux ou évolué. Une personne malheureuse n'est pas objectivement inférieure ("moins évoluée") aux autres. Les "déviants" ne sont pas nécessairement moins heureux que moi ou vous-même.

[Ildefonse]

Quel est le rapport entre le bonheur personnel et les déviances sexuelles ?

Quel est le rapport entre le bonheur personnel et la place dans l'arbre du vivant ?

Quel est votre méthode, en dehors d'une conviction intime, pour décider que vous êtes plus heureux qu'un fainéant qui a les moyens de son mode de vie ?

[Hibou]

Merci pour ses questions qui m'aident à préciser ce problème que j'ai depuis longtemps.

Quel est le rapport entre le bonheur personnel et la place dans l'arbre du vivant?

Aucun, je voulais juste tenter d'établir une comparaison entre les humains. Parce qu'on n'est pas tous aussi heureux les uns que les autres: il y a donc différents degrés de bonheur. Comme il y a différents degrés dans l'amour qu'on porte aux gens: on aime pas notre femme, comme on aime nos parents, ou notre directeur, ou son voisin abruti.

Quel est le rapport entre le bonheur personnel et les déviances sexuelles ?

Il me semble que le niveau de bonheur dépend de l'état de santé physique et mentale. Parce que les sensations qu'on peut avoir viennent d'abord du corps, donc un corps en bonne santé est déjà un fort atout pour être heureux. Un scatophile ne peut pas être en bonne santé à cause de son "régime alimentaire", ce qui handicape sérieusement son accès au bonheur.

Le bonheur est aussi la conséquence d'une tête qui fonctionne bien. Or tout est lié: si on a des déviances sexuelles ou autres, ça touche l'ensemble de notre attitude. Je ne nie pas le fait qu'un scatophile, pédophile, soient heureux. Mais je peux assurer qu'ils sont moins heureux que nous.

Quel estvotre méthode, en dehors d'une conviction intime, pour décider que vous êtes plus heureux qu'un fainéant qui a les moyens de son mode de vie ?

Le bonheur est le fruit du travail, pas de la paresse.
Quand à vous proposer une méthode, je n'en n'ai pas et c'est là raison du débat que j'ai lancé: y aurait t'il une méthode pour valider cette idée (sommes nous aussi heureux les uns que les autres), ou il n'y en n'a pas. Ou cette idée est fausse.

[Fair]

Bonjour,

Le bonheur est un concept différent pour chaque personne (on s'en aperçoit rapidement en lisant le fil). Une fois nos besoins de base (sécurité, nourriture, etc...) sont remplis, le bonheur dépend de notre philosophie de vie personnelle et de nos attentes.

Premièrement, il n'y a aucun lien entre paraphilies ou fétichisme et le fait d'être heureux. La scatophilie, comme les autres paraphilies, peut n'être qu'un bénin fétiche. Je n'ai pas de mal à imaginer un scatophile ayant atteint ses buts dans la vie et étant plus heureux que moi (un autre exemple pouvant être différent d'une personne à l'autre, avoir des buts à atteindre pour être heureux).

Vous dites: "Le bonheur est le fruit du travail, pas de la paresse". Ça c'est la conception américaine moralisatrice du travail. Nos "pères" babyboomers avait cette conception du travail. "Il faut travailler pour être heureux même si vous n'êtes pas heureux dans votre travail", "la paresse c'est mal". Tous ne partageront pas cet avis et seront plus heureux que vous à "paresser" sur les plages pendant que vous travaillez (s'ils ont les moyens de ce style de vie comme disait Ildefonse).

Un autre exemple est la question: que feriez vous si vous n'aviez plus qu'un an à vivre? La grande majorité me réponde: "voyager". Beaucoup de personnes aiment ou aimeraient voyager, découvrir d'autres pays, cela les rendraient heureux. Pour ma part, cela ne m'intéresse pas du tout. Je serais malheureux si on me forçait à voyager à travers le monde dans ma dernière année de vie!

Ma conclusion est donc la même que mon introduction: le bonheur est un concept différent pour chaque personne. Donc difficilement quantifiable en se comparant puisque nos "besoins" et attentes sont différents.

[Feel O'Zof]

Résumons le «raisonnement» de Hibou :
- Hibou a une conception du monde en forme de hiérarchie unilinéaire, semblable à celle du Moyen-Âge;
- Hibou veut être au sommet de la Création (seul ou avec d'autres, l'important c'est qu'il soit parmi les «supérieurs»);
- Hibou veut que certains êtres qui le révulsent intuitivement (les déviants sexuels et les méchantes personnes) ou qu'il veut pouvoir exploiter sans remords (les animaux) lui soit inférieurs;
- Alors il choisit arbitrairement le bonheur comme critère de «supériorité»;
- Alors il décrète arbitrairement être plus heureux que tout ceux qu'il veut inférieurs à lui.

Pas de raisonnement. Une simple rationalisation de désirs irrationnels et d'une conception du monde obsolète.

[Hibou]

Résumons le «raisonnement» de Hibou :
- Hibou a une conception du monde en forme de hiérarchie unilinéaire, semblable à celle du Moyen-Âge;
- Hibou veut être au sommet de la Création (seul ou avec d'autres, l'important c'est qu'il soit parmi les «supérieurs»);
- Hibou veut que certains êtres qui le révulsent intuitivement (les déviants sexuels et les méchantes personnes) ou qu'il veut pouvoir exploiter sans remords (les animaux) lui soit inférieurs;
- Alors il choisit arbitrairement le bonheur comme critère de «supériorité»;
- Alors il décrète arbitrairement être plus heureux que tout ceux qu'il veut inférieurs à lui.
Pas de raisonnement. Une simple rationalisation de désirs irrationnels et d'une conception du monde obsolète.

Pas exactement Feelozof, si j'ai lancé ce débat c'est parce que cette question me travaille et je voulais avoir l'avis d'autres personnes.
Je ne me sens pas supérieur aux autres, mais supérieurs à certains, oui ça j'en suis sûr.
Personne ne me révulse, ni les scatophiles, ni les pédophiles: c'est leur problème. Mais je m'estime supérieur à eux, plus intelligent, plus heureux. J'ai expliqué pourquoi: un scatophile se rend malade en mangeant des excréments, et quand on est malade...on souffre, on n'est pas heureux. Alors qu'avec une alimentation saine, on est en bonne santé, base du bonheur.

[Hibou]

Merci pour cet apport. Je précise que je ne cherche pas à imposer mes idées, mais à en discuter avec d'autres personnes pour savoir si elles sont justes ou fausses.

Bonjour,Le bonheur est un concept différent pour chaque personne (on s'en aperçoit rapidement en lisant le fil). Une fois nos besoins de base (sécurité, nourriture, etc...) sont remplis, le bonheur dépend de notre philosophie de vie personnelle et de nos attentes..

Chacun atteint le bonheur a sa façon, mais pour tout le monde le bonheur est la même sentiment: bien être, plaisir, paix. Et il y a une "échelle du bonheur": certaines actions nous donnent plus de bonheur que d'autres. On peut donc penser que c'est pareil pour tous les humains, les actions de certains les mènent à plus de bonheur que d'autres.

Premièrement, il n'y a aucun lien entre paraphilies ou fétichisme et le fait d'être heureux. La scatophilie, comme les autres paraphilies, peut n'être qu'un bénin fétiche. Je n'ai pas de mal à imaginer un scatophile ayant atteint ses buts dans la vie et étant plus heureux que moi.

Bien sûr qu'il y a un lien: un scatophile se détraque la santé en mangeant des excréments, ce qui le fera souffrir tôt ou tard.

Vous dites: "Le bonheur est le fruit du travail, pas de la paresse". Ça c'est la conception américaine moralisatrice du travail. Nos "pères" babyboomers avait cette conception du travail. "Il faut travailler pour être heureux même si vous n'êtes pas heureux dans votre travail", "la paresse c'est mal". Tous ne partageront pas cet avis et seront plus heureux que vous à "paresser" sur les plages pendant que vous travaillez

. Rien à voir avec la morale. Le bonheur est le fruit du travail, c'est logique: ceux qui paressent cet été sur la plage, méritent ce moment de détente parce qu'ils ont travaillé pour ça.

[Ildefonse]

Vous êtes une vraie boite à fantasme, ce qui, si on s'en réfère à votre propre système de pensée, doit nuire à votre bonheur (une mauvaise santé mentale nuit au bonheur).

Vous êtes donc moins heureux que moi.

[Élucubration]

Je ne me sens pas supérieur aux autres, mais supérieurs à certains, oui ça j'en suis sûr. [...] J'ai expliqué pourquoi: [...] quand on est malade...on souffre, on n'est pas heureux.

Puisque votre critère de supériorité se base sur le bonheur, le sentiment d'être heureux, vous devriez alors vous considérer supérieur à la plupart des personnes :
- souffrant de dépression
- sans-abris (sdf)
- addictent à certaines drogues
- souffrant de schizophrénie
- atteintes du cancer en phase terminal
- veuves
- dont un être cher est décédé récemment
- qui sont en burn-out
- qui vivent une période difficile (ça nous arrive à tous)

Je suis convaincu que ce n'est pas le cas.

Hiérarchiser la valeur des êtres humains n'a selon moi rien de bénéfique, ni pour vous, ni pour les autres.

[Hibou]

Hiérarchiser la valeur des êtres humains n'a selon moi rien de bénéfique, ni pour vous, ni pour les autres.

Une personne qui travaille dur tout le temps pour donner une vie correcte à sa famille, pour participer à la vie de la société a pour moi plus de valeur que le fainéant qui ne fait rien de ses journées.
Mais libre à vous de penser comme vous voulez.

[Fair]

Une personne qui travaille dur tout le temps pour donner une vie correcte à sa famille, pour participer à la vie de la société a pour moi plus de valeur que le fainéant qui ne fait rien de ses journées.

Vous parlez ici de votre valeur donnée au travail et non du bonheur. Et que pensez vous des personnes qui travaille dur tout le temps pour donner une "vie correct" à leur famille, tellement qu'ils n'ont plus de temps à donner à leurs enfants? Le bonheur est dans le travail seulement si c'est votre philosophie de vie. Est-ce si difficile d'imaginer que cela puisse être différent pour une autre personne que vous? Participer à la vie de la société n'est pas une fin en soi. On peut donner de son temps à un organisme de charité tout en était une "canaille", un mauvais citoyen et en étant malheureux.

Bien sûr qu'il y a un lien: un scatophile se détraque la santé en mangeant des excréments, ce qui le fera souffrir tôt ou tard.

Vous avez une piètre connaissance de la scatophilie. Les scatophiles ne mangent pas tous leurs excréments et ceux qui le font, ce n'est pas à titre de "repas" matin, midi et soir.

En accord avec Ildefonse, il est évident que vous n'êtes pas ouvert à la question et que vous vous basez uniquement sur votre propre système de pensée.

[Ildefonse]

Hiérarchiser la valeur des êtres humains n'a selon moi rien de bénéfique, ni pour vous, ni pour les autres.

Une personne qui travaille dur tout le temps pour donner une vie correcte à sa famille, pour participer à la vie de la société a pour moi plus de valeur que le fainéant qui ne fait rien de ses journées.
Mais libre à vous de penser comme vous voulez.

Vous avez changé de sujet ?

[Hibou]

Hiérarchiser la valeur des êtres humains n'a selon moi rien de bénéfique, ni pour vous, ni pour les autres.

Une personne qui travaille dur tout le temps pour donner une vie correcte à sa famille, pour participer à la vie de la société a pour moi plus de valeur que le fainéant qui ne fait rien de ses journées.
Mais libre à vous de penser comme vous voulez.

Vous avez changé de sujet ?

Non, c'est Elucubration en disant que "hierarchiser la valeur des êtres humains n'a rien de bénéfique". Je vous ai prouvé ensuite qu'il y a bien une hiérarchie entre les humains.

[Hibou]

Le bonheur est dans le travail seulement si c'est votre philosophie de vie. Est-ce si difficile d'imaginer que cela puisse être différent pour une autre personne que vous? .

J'ai jamais jamais dis ça. Le travail est un des éléments nécessaire au bonheur, et c'est loin d'être le seul. Et je ne parle pas que du travail physique mais aussi du travail sur son attitude.

Vous avez une piètre connaissance de la scatophilie. Les scatophiles ne mangent pas tous leurs excréments et ceux qui le font, ce n'est pas à titre de "repas" matin, midi et soir.

Admettons, mais même si c'est pas tout les jours, croyez vous que c'est sans influence sur la santé.

En accord avec Ildefonse, il est évident que vous n'êtes pas ouvert à la question et que vous vous basez uniquement sur votre propre système de pensée.

Encore heureux que je me base sur mon système de pensée et non pas celui des autres. Mais je reste ouvert à de nouvelles idées et prêt à changer mes idées. C'est pour ça que je suis sur ce site.

On ne va pas discuter sur la scatophilie car je connais pas vraiment le sujet. Mais alors que pensez vous du bonheur des pédophiles qui violent des enfants, leurs laissant parfois de graves séquelles à vie. Pensez vous que leur bonheur vaut celui d'une personne qui ne fait pas de mal aux autres?
Encore une fois, j'essaye pas d'imposer mes idées, mais à avoir des idées plus claires sur la question.

[Ildefonse]

Je vous ai prouvé ensuite qu'il y a bien une hiérarchie entre les humains.

Ah bon ? Ce n'est pas le sentiment que j'ai eu en vous lisant. A quel moment avez-vous apporté cette preuve, en quelles valeurs consistent cette hiérarchie et qu'est ce que ça a à voir avec le bonheur ?

[Fair]

Le bonheur est dans le travail seulement si c'est votre philosophie de vie. Est-ce si difficile d'imaginer que cela puisse être différent pour une autre personne que vous? .

J'ai jamais jamais dis ça. Le travail est un des éléments nécessaire au bonheur, et c'est loin d'être le seul. Et je ne parle pas que du travail physique mais aussi du travail sur son attitude.

Ma phrase a été mal comprise C'est dans le sens de "seulement si le travail fait parti de votre philosophie de vie qu'il est important pour votre bonheur". Sinon je ne vois pas le travail comme nécessaire au bonheur (sauf pour la rémunération qui nous permet de survivre). Heureux sont les personnes qui aiment leur travail, mais bien d'autres sont confinés à des emplois ingrats...

Mais alors que pensez vous du bonheur des pédophiles qui violent des enfants, leurs laissant parfois de graves séquelles à vie. Pensez vous que leur bonheur vaut celui d'une personne qui ne fait pas de mal aux autres?

Bien sûr qu'une personnes qui a des pulsions sexuels pour des enfants, qui n'arrivent pas à avoir des relations normales avec un/une partenaire adulte et qui doit faire face à la justice est plus malheureux que vous et moi. Mais comme le disait Elucubration, à ce train là on doit aussi compter les personnes:

- souffrant de dépression
- sans-abris (sdf)
- addictent à certaines drogues
- souffrant de schizophrénie
- atteintes du cancer en phase terminal
- veuves
- dont un être cher est décédé récemment
- qui sont en burn-out
- qui vivent une période difficile (ça nous arrive à tous)

A+