Le coran etc....
Le coran etc....
Bonjour,
Je m’appelle Jacques, je suis français et habite en Allemagne. En plus je suis en retraite et mon hobby est les VELOSOLEX. Voilà qui est presque tout dit.
Par contre, j’ai un texte qui convint très spectaculaire :
Etude analytique ( en partie )
L’islam est ainsi devenu, avant toute chose, la religion des peuples guerriers. Elle n’a strictement rien d’attrayant pour des nations pacifiques et évoluées.
Pour les musulmans, la guerre de conquête est indissociable de la religion, conquérir étant dans l'islam un acte religieux. Mahomet a donné l’exemple en menant lui-même dix-sept campagnes militaires au nom du « djihad ». Aujourd’hui encore, c’est au nom du djihad et au cri d’Allah Akbar que les musulmans font la guerre à tous ceux qui refusent de se soumettre à leurs principes archaïques et théocratiques, donc anti-démocratiques, et à leur vision islamique du monde.
Le monde vivra dans la hantise de la guerre aussi longtemps que Jérusalem sera la pomme de discorde qui oppose les « religions du désert ». La meilleure chose qui puisse arriver à l’humanité serait qu’un tremblement de terre rase, une fois pour toutes, cette ville maudite. L’idéal serait que ce tremblement de terre rase aussi La Mekke et Médine. On peut toujours rêver, non ?
Sur ce plan de la vieille ville de Jérusalem, on peut situer les différents quartiers et les différents sites religieux qui se situent essentiellement dans le secteur de la « colline du Temple ». Notons que la mosquée d’Omar a été construite à l’emplacement présumé du temple de Salomon. Les musulmans ont aussi rasé l’ancienne église du Saint Sépulcre. Dans la pratique, ils ont toujours tenté de récupérer les « lieux saints » au seul profit de l’islam et d’effacer les traces des autres religions. C’est d'ailleurs ce que firent les talibans en Afghanistan avec les Boudha géants de Bamyan. L’intolérance n’est pas un vain mot chez les musulmans !
La branche chiite de l’islam découle du premier schisme qui a secoué cette religion, opposant entre eux les parents et les principaux « lieutenants » de Mahomet. Ce sont les partisans de son gendre Ali (époux de sa fille unique Fatima) qui fondèrent le rite chiite qui possède son clergé, les ayatollahs. Les chiites demeurent cependant minoritaires au sein du monde musulman, la plupart des adeptes de l’islam étant des « sunnites ».
C'est une religion fondée sur la passion mystique. Pour comprendre le chiisme, il faut remonter loin dans l'histoire de l'Islam. A la mort de Mahomet (632), les partisans d'Ali, le gendre du prophète, estiment que la succession ne peut être assurée que par lui. Ce qui ne fut pas le cas. On lui préféra un autre calife. Quelques assassinats plus tard, Ali est porté au pouvoir par son clan. Il s'ensuit une guerre civile de 5 ans. Ali est tué par ses rivaux, le clan d'Aïcha, une des femmes du Prophète (qu'il avait épousée alors qu'elle n'avait que six ans). C'est la grande scission. Les fidèles d'Ali prennent alors le nom de chiites (Chi'at Ali, parti d'Ali). Ils se considèrent comme légitimistes par opposition aux sunnites qui, eux affirment respecter la sunna, c'est à dire la tradition de Mahomet. Ce sont tous de profonds Musulmans. Mais ces deux conceptions du pouvoir spirituel et temporel vont se heurter pendant des siècles.
Aujourd'hui, les sunnites représentent près de 90 % des musulmans. Ils sont considérés comme des orthodoxes de l'Islam, surtout grâce à leur poids démographique.
Le chiisme est mystique et passionné. C'est une religion fondée sur le mystère et le martyre. A l'exemple d'Ali et de ses deux fils assassinés. Le plus jeune s'appelait Hussein. Il se fait tuer avec toute sa caravane, sur la route de Kerbala en Irak. Les chiites ne s'en sont jamais remis. Toutes leurs villes saintes célèbrent des martyrs. De là vient l'exaltation que l'on retrouve dans nombre d'actions violentes au Proche et Moyen-Orient.
Si, dans ces régions, les chiites sont globalement minoritaires, ils représentent 90 % des Iraniens et 60 % des Irakiens. Ce qui explique leur tentation du pouvoir. Ils sont également très présents à Oman, au Liban, au Pakistan et en Afghanistan.
Autre point, très important, les chiites ne reconnaissent que l'autorité des imams, descendants d'Ali, à qui aurait été transmis le Coran par Mahomet. Tous les fidèles doivent se référer à ces guides spirituels, ce qui explique l'importance de leurs prêches. Enfin, pour les chiites, Mahomet n'est pas le dernier prophète. Ils attendent toujours l'ultime, le « Mahadi » (inspiré de Dieu). Pour eux, la « Révélation » n'est donc pas achevée. (apparemment, Michel Potay ne serait donc pas ce prophète successeur de Mahomet comme il l'affirme dans son livre, « La révélation d'Arès »)
Le musulman, surtout s’il est Arabe, a toujours rêvé de conquérir le monde. C’est un guerrier, un conquérant, avant d’être un « homme de dieu ». Allah lui sert d’alibi lorsqu’il doit se justifier, expliquer son comportement. Et nous savons qu’à plusieurs reprises, les armées de l’islam ont tenté d’envahir l’Europe occidentale et centrale. L’Espagne fut le seul pays d’Europe qui eut à subir une longue domination musulmane mais il s’en fallut de peu que les armées ottomanes n’envahissent l’Autriche après avoir fait main basse sur l’Europe balkanique. Et nous savons ce qu’il est advenu de la domination musulmane dans les Balkans. Islamisées de force, les populations d’Albanie et de l’ex-Yougoslavie n’ont plus cessé de s’entre déchirer. Les guerres récentes de Serbie, de Bosnie et du Kosovo ne sont rien d’autre que la triste conséquence de l’islamisation forcée des peuples qui furent dominés par les armées de la « Sublime Porte ».
Le coran, tel qu’il nous est parvenu, est un ouvrage pervers qui autorise les interprétations les plus malsaines et les plus dangereuses qui soient. Avec l’omma – qui en est le prolongement socio-politique – il est le reflet d’un type de société qui aurait dû disparaître depuis très longtemps déjà. La société musulmane est une survivance du Moyen Age en plein XXIe siècle. En cela, elle diffère des sociétés dites « primitives » (indiens d’Amazonie, bochimans d’Australie,…) par le fait que son anachronisme est volontaire et ne résulte pas d’un isolement géographique. Les musulmans sont « passéistes » parce qu’ils sont nostalgiques du passé et ne veulent pas vivre dans le présent.
S’il avait pu être adapté, si les musulmans avaient accepté de reconnaître le caractère anachronique du coran et de la sunna (comme l’on fait la plupart des Chrétiens pour les textes bibliques), l’islam ne serait pas aujourd’hui une religion dangereusement obsolète. Il aurait notamment fallut admettre que les sourates dites « de Médine » n’ont rien de « sacré » mais constituent un simple code « de bonne conduite » et un recueil de coutumes qui n’a plus qu’une valeur historique.
Ramené à sa seule dimension théologique, épuré de ses appels à l’intolérance et à la guerre sainte, débarrassé de ses éléments anachroniques, le coran serait un livre acceptable (pour qui accepte la notion de monothéisme), un livre « politiquement correct ». Mais pour les « bons musulmans », il ne serait plus le coran. Pour les Arabes conquérants et revanchards, le coran est un alibi bien commode pour justifier tous les mauvais coups (idem pour les Juifs de Palestine). Ils n’ont donc aucun intérêt à le modifier, à le « moderniser ». Une fois « épuré » de ses appels aux meurtres, le coran ne serait plus un alibi pour les terroristes !
Le problème paraît donc insoluble et, vu le caractère criminogène du coran, il ne reste qu’une solution : en interdire la vente, la diffusion et l’enseignement sur le territoire des pays appartenant à l’Union européenne. Il suffit pour cela de démontrer – et c'est ce qui est fait dans l'étude analytique – que le coran est dangereux pour la santé mentale. Dès lors, en vertu de l’article 130 R du Traité de l’Union européenne, il devient possible de déposer plainte auprès des instances juridiques de l’Union. C’est une application, parmi d’autres, du principe de précaution et du principe de la correction à la source.
Une telle revendication implique, outre l’interdiction du coran dans sa version actuelle, de fermer les « écoles » coraniques car celles-ci ne sont que des centres de « lavage de cerveau » où l'on doit apprendre par cœur le coran dans sa version arabe. Ces mesures devront être maintenues jusqu'à parution d'une version civilisée du « livre inimitable » ayant abandonné ses versets criminogènes et archaïques car il ne peut y avoir un « islam de France » (et à fortiori un « islam d'Europe ») que s'il y a d'abord un « coran de France », même si cela peut sembler à priori contradictoire et incompatible avec la nature même du coran et de l'islam. Une contradiction de plus ou de moins ne devrait pas être insurmontable pour une religion qui en accumule autant depuis si longtemps.
La notion même d’ « islam modéré » n’a aucun sens pour un musulman pratiquant pour qui le coran est le coran, l’islam est l’islam, un point c’est tout. Dès que l’on postule que le coran est la parole inaltérable et immuable de dieu, parler de « modération » est un non-sens. La profession de foi (chahâda) qui est exigée de tout « bon musulman » constitue une négation de la « modération » dans le sens où les Européens l’entendent habituellement. La chahâda implique, rappelons-le une fois encore, une totale soumission à un dieu supposé tout-puissant et à sa « parole révélée », le coran. On est là aux antipodes de la modération !
Un musulman peut être un honnête homme ou une vulgaire crapule. Mais il ne peut pas être « modéré ». S’il est modéré, au sens où nous l’entendons, c’est qu’il n’est pas un « bon musulman ». Il y a eu d'honnêtes membres du parti nazi (certains sont même reconnus « Justes parmi les nations » par l'Etat d'Israël) et d'autres furent de vulgaires crapules mais croire qu'il puisse exister un « nazisme modéré » sans référence à Hitler ni à l'antisémitisme est aussi absurde que de croire qu'il puisse exister un « islam modéré ». Autant chercher la quadrature du cercle
Le verset 67 de la sourate VI est l’un de ceux qui impose aux musulmans de ne jamais discuter avec les « incrédules ». Il dit : « Lorsque tu vois les incrédules entamer la conversation sur nos enseignements, éloigne-toi d’eux jusqu’à ce qu’ils entament une autre matière… ». C’est un exemple, parmi d’autres de l’intolérance de la pensée mahométane et de l’impossibilité d’entamer un dialogue honnête et sincère avec un « bon musulman ».
En outre, le coran impose aux croyants de n’entretenir aucune forme d’amitié avec les « infidèles ». Voyez ce que dit, par exemple, le verset 56 de la sourate V : « O, croyants ! Ne prenez point pour amis les Juifs et les chrétiens. Ils sont amis les uns des autres. Celui qui les prendra pour amis finira par leur ressembler et dieu ne sera point le guide des pervers » !
On nage là dans l’intolérance la plus totale. Mahomet était-il à ce point convaincu de la faiblesse de ses « révélations divines » qu’il avait ainsi cru utile d’éloigner ses « fidèles » de ceux qui auraient pu en faire la démonstration ? Car lorsque l’on est certain de la justesse de ses propos, on ne craint pas de les confronter aux critiques de ses adversaires. Le musulman qui se retire derrière le coran pour refuser, comme le voulait Mahomet, de discuter du bien fondé de ses convictions est un homme faible et pour tout dire un lâche. Mais, comme il a été dit plus haut, il n’est pas impossible du tout que certains versets – comme celui qui vient d’être évoqué – aient été introduits dans le coran par la volonté du khalîfe Othman.
Cela aussi, il faut le dire haut et fort bien que ce soit une évidence, est l’une des faiblesses majeures de l’islam. Un musulman qui serait véritablement « modéré » accepterait de s’asseoir à la même table que des juifs, des chrétiens et des athées. Il serait prêt à défendre ses convictions mais aussi à entendre les critiques, à les analyser et, le cas échéant, à les prendre en considération. Mais, une fois encore, il sera regardé par les « bons musulmans » comme un traître. Et comme tel, il sera exclu de sa communauté, si ce n’est pire.
Si l’on considère l’histoire du monde musulman, toutes les tentatives visant à « adoucir » les mœurs islamiques – autrement dit à les humaniser et à les moderniser – ont été vouées à l’échec. L’une des plus connues fut celle de l’empereur indien Akbar qui fit construire Djami Masdjid, grande mosquée (terminée en 1575). C’est dans cet immense édifice qu’il prononça son fameux « sermon sur la tolérance universelle » (en 1579). Ce souverain humaniste et cultivé avait tenté de faire la synthèse de l’islam et de l’hindouisme. Mais il ne tarda pas à être déclaré hérétique par les autorités islamiques. Cet exemple démontre que même un empereur musulman n’a pas la capacité de réformer cette religion archi conservatrice. Comment pourrait-on, dès lors, croire que les autorités laïques des pays de l’Union européenne pourraient influer, d’une manière ou d’une autre, sur le cours des choses ?
Soyons sérieux et regardons les choses en face !
Comme il vient d’être dit, en islam le « bon musulman » c’est celui qui est de stricte observance, celui qui vénère le coran (42) – le « livre inimitable » -, celui qui se soumet totalement aux ordres de ceux qui parlent au nom d’Allah. Mais il existe des tas de nuances très subtiles que les non musulmans ont parfois bien des difficultés à discerner. C’est ainsi que pour un Saoudien, le « bon musulman » est celui qui respecte à la lettre les lois coraniques inhumaines qu’impose le wahhabisme, l’une des interprétations parmi les plus anachroniques et les plus abusives du coran.
L’Européen naïf aurait tendance à penser, à prime abord, qu’un « bon musulman » est un « musulman bon », autrement dit un homme pieux qui fait le bien et qui désire la paix. En réalité, un tel homme serait, au regard de l’enseignement coranique, un « mauvais musulman ». En terre d’islam, l’ « homme pieu » est celui qui est toujours prêt à se battre pour « la gloire d’Allah » (43), autrement dit pour défendre et promouvoir la religion musulmane et ses principes surannés.
Ne nous voilons pas la face (laissons ça aux musulmanes !), Nous sommes bel et bien confrontés à une invasion islamique de l’Europe, une invasion « en douceur » (comme, en fait, l'immense majorité des invasions historiques) mais bien réelle qui se fait avec la complicité active de ceux- là mêmes qui sont l’objet de l’invasion ! Nous allons jusqu’à payer les envahisseurs par le biais des allocations sociales que nous leurs allouons généreusement. C’est comme si les Indiens d’Amérique du Nord avaient accordé des RMI, des Minimex ou des allocations familiales aux colons européens venus les dépouiller de leurs terres et les assassiner ! Cette comparaison n’a rien d’excessive. Elle illustre bien la réalité des faits. Car c’est souvent avec l’argent des « aides sociales et culturelles » que les nouveaux envahisseurs parviennent à s’organiser au nez et à la barbe des « autorités ». ce n’est que dans un second temps, lorsqu’ils sont déjà organisés et implantés, que des aides « extérieures » (notamment celles qui émanent des mouvements islamistes saoudiens) leurs sont attribuées.
Car tel est leur plan, leur objectif . Se rendre maîtres du territoire européen par une infiltration insidieuse et prendre le pouvoir « légalement » en infiltrant peu à peu les institutions. C’est ce que firent Adolf Hitler et ses « nazis » entre 1920 et 1933 !
Il est donc de notre devoir de combattre les arabo-musulmans (et leurs complices) comme nos pères et nos grands-pères combattirent le fascisme, le nazisme, le pétainisme, le rexisme, le franquisme et le stalinisme. C’est un devoir que nous devons à leur mémoire mais c’est aussi un devoir que nous avons vis-à-vis des générations futures.
Pour mémoire, l’islam n’est une religion « autochtone » qu’en Arabie. Partout ailleurs, c’est une religion « importée » et même « imposée » par le fait de la conquête arabe. C’est le cas en Afrique du Nord et dans une partie de l’Afrique noire. Contrairement à ce que pensent la plupart des Européens, les Maghrébins ne sont pas des « Arabes ». La plupart d’entre eux sont d’origine Berbère mais les populations d’Afrique du Nord ont été fortement métissées du fait des invasions et des colonisations. En Algérie, on trouve aussi des Kabyles tandis que les Touaregs peuplent une bonne partie du Sahara. Les Tunisiens ont de lointaines racines phéniciennes. Pour les populations d’Afrique, l’islam n’est rien d’autre que la religion de leurs anciens « maîtres » arabes.
Nous l’avons dit et nous ne cesserons de le redire : nous sommes des démocrates et des pacifistes. Mais nous ne voulons pas d’une « Europe pluriculturelle » où les musulmans viendraient nous imposer leurs prétendues « traditions » et leurs principes de vie dangereusement rétrogrades. Nous voulons une Europe laïque – authentiquement laïque -, démocratique – authentiquement démocratique -, une Europe ouverte au progrès et aux lumières de la science. L’islam n’a pas sa place dans une telle Europe et si les musulmans ne veulent pas le comprendre et l’admettre de plein gré, il faudra bien que nous leur fassions comprendre – par la force s’il le faut – qu’ils doivent se plier à « nos » principes ou … retourner appliquer leurs principes coraniques dans leurs déserts !
Les islamistes n’ont jamais été à une contradiction près. En cela, ils sont le parfait reflet de leur « livre sacré », ce coran qui est lui-même bourré de contradictions.
Le coran est typique du double langage pratiqué par les Arabes. C’est ainsi que le verset 35 de la sourate 17 dit : « Ne tuez point l’homme, car dieu vous l’a défendu… » mais ajoute aussi sec : « …sauf pour une cause juste » ! Le même verset précise que l’héritier de celui qui a été tué injustement a le pouvoir d’exiger « une satisfaction » (sic) mais sans avoir le droit de tuer le meurtrier « car il est déjà assisté par la loi ». Les héritiers des innocentes victimes de l’islamisme sont donc, en vertu de la loi coranique, en droit d’exiger réparation mais à la condition de ne pas réclamer la mort des meurtriers. Le système islamique, qui lapide les femmes adultères et coupe les mains des (petits) voleurs sans la moindre hésitation, est curieusement clément avec les assassins et la voyoucratie royale !
C’est parce qu’il est farci d’inepties et de contradictions que les dirigeants islamistes ont décrété que le coran ne pouvait pas être discuté ou interprété. Nous avons analysé les 114 sourates et nous avons été effarés par la stupidité générale qui se dégage du texte. Si ce livre était vraiment « la parole de dieu », alors le monde aurait été créé par un sinistre imbécile !
Une chose est en tous cas certaine : il y a à présent près de 1000 ans que les Européens font les frais des querelles intestines qui opposent les « fidèles » des trois grandes religions monothéistes, la juive et ses deux dérivées (chrétiens et musulmans). Ces querelles de clochers et de minarets ont causé la mort de millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Elles ont engendré les Croisades aussi bien que la lutte fratricide que se livrent, depuis un demi-siècle, les Israéliens et les Arabes.
Pour nous, Européens, la farce a assez duré et nous disons : Basta !
Nous en avons marre de vos querelles à base de bondieuseries !
Nous en avons marre de vos fanatiques !
Nous en avons marre de vous !
Nous étions tolérants, trop tolérants sans nul doute. Mais nous allons cesser de l’être pour vous traiter dorénavant comme vous le méritez. Vous vous dites « élus de dieu » mais vous n’êtes que des immatures, des individus indignes d’entrer dans le troisième millénaire. D’ailleurs, les musulmans en sont encore loin, eux qui ont cru utile de faire redémarrer leur calendrier à zéro en l’an 622.
Sachez que nous n’en avons « rien à foutre » de vos vieilles rivalités et de vos bouts de déserts. Si vous voulez continuer à vous entretuer, si vous êtes incapables de vous comporter comme des êtres humains normaux, eh bien continuez à vous faire la guerre dans vos déserts d’Arabie, du Sahara ou d’ailleurs.
Mais foutez-nous la paix !
Depuis un bon demi siècle, les Européens sont enfin parvenus à faire la paix entre eux. Les seuls européens qui continuent à se faire la guerre sont des chrétiens qui s’entretuent au nom d’un même « dieu unique et miséricordieux ». Ceux-là ne valent pas mieux que vous et nous ne les plaindront pas. Ces quelques « exceptions » mises à part, nous avons retrouvé la paix grâce aux louables efforts des nations européennes. Et nous ne laisserons pas des « fouteurs de merde », juifs, musulmans ou autres, menacer cette œuvre de paix avec leurs conneries !
Battez-vous si vous ne savez rien faire d’autre, mais battez-vous chez vous. Il n’y a pas de place en Europe pour des gens de votre espèce.
Ne renouvelons pas les erreurs des années 20 et 30 du siècle passé, celles qui permirent au fascisme et au nazisme de prospérer, de prendre le pouvoir et de mettre le monde à feu et à sang. Les islamistes, radicaux ou prétendument « modérés » ne valent pas mieux que les sbires d’Hitler, de Mussolini ou de Franco. Car il y eut aussi, dans les rangs fascistes et nazis, des hommes et des femmes qui n’étaient pas des tortionnaires. De simples « suiveurs modérés » comme le sont la plupart des musulmans d’Europe.
Envoyons paître les « bien pensants » et les naïfs. Laissons bêler les imbéciles avec le troupeau, qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre. Prenons notre destin en mains et assumons nos responsabilités pendant que nous pouvons encore le faire. Ne nous laissons pas duper par les propos des bureaucrates européens qui veulent nous imposer leurs vues et celles des affairistes qui ne voient pas plus loin que leur compte en banque. Et s’il le faut (mais seulement s’il le faut !), débarrassons-nous, manu militari, des indésirables que nos sociétés assoupies ne savent pas (ou ne savent plus) éliminer. Nos parents et nos grands-parents ont agi de la sorte pour se débarrasser de la vermine nazie. Et nous les avons glorifiés comme il se doit. Serions-nous moins courageux qu’eux ?
Mais avant de devoir en arriver à de telles extrémités, nous devons jouer nos dernières cartes politiques. L’Union européenne peut, éventuellement, admettre trois ou quatre partenaires supplémentaires. Pas plus. Elle ne peut admettre que des nations strictement européennes et parfaitement laïques et, de toute façon, toute nouvelle candidature devrait être soumise au suffrage de l’ensemble des citoyens de l’Union, non point pays par pays mais dans le cadre d’un referendum unique. La candidature de la Turquie – pays qui n’est pas européen (49) et qui n’offre aucune garantie sur le plan politique (50) – doit être rejetée.
(49) La Turquie est, certes, à cheval sur l’Europe et l’Asie mais, pour une superficie totale 779.452 km², la Turquie d’Asie représente 755.688 km². Sa population totale est d’environ 70 millions d’habitants dont plus des ¾ vivent en zone asiatique. Ce pays doit donc être considéré comme un pays d’Asie mineure et non comme un pays européen. De ce fait, il ne peut adhérer à l’Union européenne. Le « problème turc » n’existe pas. Il n’a même pas à être discuté. Sur les cartes, on voit que la « Turquie d’Europe » (au nord de l’axe Bosphore-Dardanelles) ne représente rien par rapport à la Turquie d’Asie.
Admettre la Turquie au sein de l’Union européenne équivaudrait à faire entrer un premier loup musulman dans la bergerie européenne.
Article paru dans le numéro du 17 octobre 2003 de l’hebdomadaire « Télépro »
…Dans une école en feu de La Mecque, 15 jeunes filles sont mortes parce que les gardiens de l'établissement, membres de cette police religieuse, n'ont pas voulu laisser entrer les sauveteurs : ceux-ci auraient pu lever les yeux sur les Jeunes filles dévoilées...
Des guerres très meurtrières et sans fin sont ainsi menées contre les chrétiens ou les hindouistes par des mouvements islamiques armés. Le cas de la Tchétchénie est l’un des plus fragrants. Il ne s’agit pas, comme on pourrait le croire, d’une « guerre d’indépendance » mais bel et bien d’une guerre religieuse, d’une djihad menée contre la Russie par des terroristes armés par les pays arabes. On a vu, lors de la dramatique prise d’otage de Moscou, à quel point ces terroristes sont déterminés à faire périr des innocents pour la « gloire d’Allah ». Pour un « bon musulman », la vie terrestre est sans grande importance. Il méprise sa propre vie et donc aussi, hélas, celle des autres !
Le mépris de l’opinion et de la vie d’autrui est une constante de l’islam. Elle conditionne le comportement quotidien du musulman, conformément aux prescriptions du coran (voir l'étude analytique de ce texte). Le « bon musulman » doit être hermétique aux opinions d’autrui et à tout ce qui va à l’encontre de ses convictions religieuses. C’est ce refus systématique du dialogue qui rend illusoire les tentatives de « conciliation » et de « consensus » auxquels certains occidentaux veulent encore se raccrocher. En cela, ils démontrent qu’ils sont incapables de se mettre « à la place de l’autre », autrement dit de raisonner comme un musulman.
Il n’y a guère que la méthode trotskyste qui puisse s’opposer valablement à la pensée musulmane car elle impose, précisément, d’être en mesure de raisonner à la manière de l’adversaire et de le combattre avec ses propres armes
Pour combattre efficacement l’islamisme, il faut donc connaître la mentalité musulmane, l’histoire de la conquête arabo-musulmane et, bien évidemment, le coran. Ce n’est qu’après avoir acquis les connaissances nécessaires que l’on peut s’attaquer, à armes égales, à ces redoutables adversaires que sont les musulmans.
Une chose est en tous cas certaine : aussi longtemps que des systèmes politiques seront fondés sur la violence, sur l’intolérance et sur la volonté de domination, il se trouvera toujours des individus prêts à répondre à cette violence et à cette intransigeance par un fanatisme inconditionnel et aveugle. Et ces fanatiques, recrutés au sein de populations endoctrinées ou n’ayant rien à perdre, trouveront toujours le moyen de déjouer les systèmes de sécurité les plus « sophistiqués », surtout dans un monde qui évolue dans le sens de la « mondialisation », autrement dit dans le sens d’une ouverture toujours plus grande des marchés et d’une circulation toujours plus importante des biens et des personnes. Car la « mondialisation du terrorisme » est une conséquence directe et inévitable de la mondialisation de l’économie.
Nous devons éliminer l’islamisme et les islamistes comme nos parents et nos grands-parents ont éliminé le nazisme et les nazis. Car il n’y a pas de différences entre les « fous d’Allah » et les disciples d’Adolf Hitler, entre les fanatiques qui brandissaient « Mein Kampf » et ceux qui brandissent le coran, entre les troupes d’Himmler et celles de Ben Laden. Et s’il existe des musulmans respectueux des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, ils doivent participer activement et ouvertement à la lutte contre l’islamisme, exactement comme le firent les humanistes allemands qui luttèrent courageusement contre les nazis. Quant à ceux, parmi les musulmans, qui hésiteraient à se « compromettre » vis-à-vis de leurs prétendus « frères en religion », qu’ils ne s’étonnent pas si, un jour, ils se retrouvent traités comme de vulgaires « collabos ». Exactement comme tous ces Allemands qui, sans être de vrais nazis, refusèrent de condamner ouvertement le national-socialisme ou se firent les complices indirects du régime hitlérien.
Si la plupart des religions portent en elles un potentiel criminogène, c’est certainement l’islam qui demeure, pour l’instant, la plus criminogène de toutes les religions connues à ce jour. D’aucuns ont parlé de « réforme » de l’islam mais l’on voit mal comment il serait possible de réformer l’islam sunnite qui n’a pas de clergé et qui permet, à n’importe quel individu à l’esprit dérangé de se proclamer « saint homme » et d’enseigner sa propre interprétation d’un texte qui, quoi que l’on puisse dire, a été rédigé, il y a près de 1500 ans, par un personnage violent, sectaire et malsain. Quant à l’islam chiite, il n’est pas plus susceptible de réformes malgré l’existence d’un clergé. Pour réformer l’islam, il faudrait expurger le coran de ses principes datant du lointain Moyen-Age et de ses idées belliqueuses. Un programme quasiment irréalisable dans un système religieux qui se fonde, précisément, sur le caractère « intouchable » des « écrits du prophète ».
Il n’y a pas à dire, de toutes les inventions de l’homme, dieu est sans conteste la pire de toutes. C’est un fléau qui a tué des centaines de millions d’hommes, de femmes et d’enfants. C’est un fléau apparemment indestructible, qui perdure depuis des millénaires et qui renaît de ses cendres à la moindre occasion, tel l’oiseau Phœnix.
Aussi longtemps que les chimères divines hanteront l’esprit humain, l’humanité sera la proie des guerres et des atrocités. Les dieux ne sont sans doute pas les seules causes de conflits mais ils sont certainement à l’origine des conflits les plus meurtriers et, en tous cas, des conflits les plus stupides. On peut comprendre que l’homme puisse combattre pour se protéger ou parce qu’il a faim mais il est inadmissible, en ce début du XXIe siècle, qu’il puisse encore tuer ou asservir d’autres hommes au nom d’une chimère, au nom d’un dieu qu’il n’a jamais vu et qu’il ne verra jamais. Plus que jamais, l’homme demeure un loup pour l’homme. Mais c’est un loup lâche et hypocrite qui se retranche derrière les alibis religieux pour commettre ses crimes les plus odieux. Telle est, sans doute, la principale leçon que l’on puisse, à ce jour, tirer des évènements de ce septembre très noir.
Pas plus que les textes sacrés des Hébreux ou la bible catholique, le coran n’a rien d’un « livre révélé ». C’est une énorme imposture qui fut inspirée par le clan de bédouins auquel appartenait le prétendu « prophète ». Il ne s’agit, comme cela est démontré dans l'étude analytique, que d’un mauvais plagiat de la Thora juive, cette « loi » que Moïse était supposé tenir de dieu lui-même.
Nous avons aussi rappelé que les « prophètes », tant ceux de jadis que ceux d'aujourd’hui, prennent toujours bien soin de s’isoler du « vulgaire » pour recevoir les « ordres divins ». C’est pratique lorsqu’il s’agit de berner son monde et nous attendons toujours que « dieu » s’adresse à ses ouailles sans passer par des intermédiaires douteux. Pourquoi donc ce dieu - que l’on nous dit si puissant - demeure-t-il incapable de « communiquer » lui-même avec ses « créatures » ? N’est-il pas capable de prendre le contrôle des ondes hertziennes ou d’Internet et de parler aux humains par le biais des « médias » ? Pourquoi le dernier des imbéciles est-il en mesure de parler au monde entier et pas « dieu le père » ?
Cette banale réflexion permet, une fois de plus, d’émettre la seule conclusion logique : dieu n’existe pas plus que le diable ! Et, du même coup, nous devons admettre que le paradis et l’enfer n’existent pas non plus. Ce sont de pures inventions humaines.
Quoi qu’il en soit - et même s’il est aisé de démontrer que les textes dits « sacrés » des trois grandes religions monothéistes ne pouvaient s’appliquer qu’aux populations nomades du Moyen-Orient, telles qu’elles vivaient à l’époque où il furent rédigés – il faut bien admettre que ces religions n’ont cessé, depuis lors, de semer la zizanie au sein de l’humanité, générant guerres, génocides et crimes en tous genres.
Quand donc l’humanité sera-t-elle débarrassée de cette chienlit ? Quand donc l’homme s’affranchira-t-il des chimères qui, en lui promettant un paradis que personne n’a jamais vu et ne verra jamais, lui font commettre les pires atrocités sur terre ou supporter les pires injustices ? Quand donc les religions trouveront-elles leur juste place : en tête de la liste des drogues dures et des stupéfiants à n'utiliser que pour soigner les malades incurables ?
Comment les hommes et les femmes d’aujourd’hui peuvent-ils encore croire que la bible ou le coran (entr’autres) puissent avoir été dictés par un dieu quelconque ? Un dieu qui ne se serait adressé qu’à des bédouins incultes ? Un dieu dont, fort curieusement, les manifestations ont diminué au fur et à mesure que la science devenait à même de démasquer les imposteurs et de soigner les fous ? Quel est donc l'intérêt d'un dieu qui n’a jamais fourni la recette du bonheur sur la terre et de la paix entre les hommes ? Dieu, bien au contraire, a toujours manifesté de la violence, soit par des colères soit par des menaces, particulièrement dans le coran, du moins quand il ne s’y attarde pas sur des détails sans la moindre importance (comme la longueur de la barde des « fidèles » et autres balivernes du même genre qui parsèment les sourates).
Une fois encore, tout cela est dû au fait que les Occidentaux n’entendent rien aux réalités de l’islam et à ce coran qui est aux islamistes ce que « Mein Kampf » était aux nazis. Car, au risque de nous répéter, il faut s’imprégner du fait que l’islamisme radical présente de très nombreuses similitudes avec le nazisme. Dénoncer le coran, ramener Muhammad ibn Abd-Allah ibn el-Mottalib, dit « Mahomet », à sa dimension réelle (celle d’un malade, d’un pervers et d’un imposteur) et lutter activement contre l’hégémonie islamique, tels sont les axes majeurs de ce que doit être le combat des hommes libres contre le fascisme vert.
Il nous faut donc lire et relire le coran. Il nous faut étudier sans relâche la vie de ce prophète de pacotille qui demeure sans conteste l’un des personnages parmi les plus malsains de l’histoire de notre humanité. Il nous faut connaître l’adversaire mieux qu’il ne se connaît lui-même. Alors - et alors seulement - nous pourrons espérer le battre sur son propre terrain, le contraindre à admettre ses erreurs, lui faire déposer les armes et restaurer la paix durablement.
On y trouve des ordonnances fiscales et militaires mais aussi et surtout des appels à la guerre et tout un fatras de lois civiles régissant l’homicide, le vol, l’usure, le mariage, l’adultère, les héritages et la pratique de l’esclavage. Ces lois s’inspiraient très visiblement de celles qui étaient imposées par la théocratie juive, tout comme la plupart des rites musulmans (comme le jeûne du Ramadan qui copie celui des Juifs ou encore les rituels relatifs à l’abattage des animaux destinés à être consommés). C’est sans nul doute sous cet aspect que le coran apparaît le plus nettement comme un mauvais plagiat des textes religieux propres au judaïsme.
On continue donc à tourner en rond. Réformer l’islam relève de la mission impossible.
L'ancien vice-Premier ministre iranien, Abbas Amir-Entezam, qui a osé réclamer un référendum sur l'avenir politique du pays et les lois islamiques, a été expédié en prison pour cela.
On sait ce qu’il est advenu à Hachem Aghajari, cet intellectuel iranien qui avait osé affirmer que les musulmans n’étaient pas des singes qui devaient suivre aveuglément un chef religieux et qui plaidait pour un « protestantisme islamique ». Il fut immédiatement condamné à mort (le 6 novembre 2002) par les ayatollahs, lesquels n’ont accepté une révision en appel de la sentence coranique que pour des raisons relevant de la diplomatie internationale. Notons, en passant, qu’avant d’être mis à mort, Aghajari aurait dû subir une « peine annexe » de 74 coups de fouet !
Voilà bien la « grande richesse culturelle » de l’Islam, n’en déplaise aux propagandistes du Centre islamique de Genève !
Intransigeants et intolérants chez eux, les musulmans voudraient que les Européens - qu’ils prennent, trop souvent avec raison, pour des c… - soient, tout au contraire, pleins de « bienveillance » et de « tolérance » à leur égard. Ben voyons !
C’est ainsi que dans l’éditorial du bulletin du « Centre islamique de Genève » (n°5 – mai 1997), on peut lire que : « Tous ceux qui défendent les valeurs de l’islam sont frappés par le contraste qui existe entre la richesse de la culture musulmane et la pauvreté de la perception qu’en ont un grand nombre d’occidentaux… ».
S’il est vrai que les Arabo-musulmans de la « grande époque » furent les promoteurs d’un certain « courant culturel et artistique » (notamment dans le domaine de l’architecture), on ne peut pas s’extasier sur une prétendue « richesse de la culture musulmane » puisque cette culture est, par son essence religieuse rétrograde et théocratique, une culture figée. Dans le domaine littéraire et dans les arts dits « classiques » (musique, danse, peinture, théâtre, sculpture…) la pauvreté des contributions islamiques est flagrante. Si les Occidentaux perçoivent la culture musulmane comme étant « pauvre », ce n’est pas par méconnaissance de cette culture (comme essayent de le faire croire les « centres islamiques ») mais par la réalité de ses lacunes et de son anachronisme.
On cherchera en vain un Mozart ou un Michel-Ange musulman...
Dans le cas des chrétiens, vis-à-vis desquels il ne nourrissait pas une haine aussi profonde que vis-à-vis des Juifs, Mahomet a voulu se montrer relativement « compréhensif », tout en ravalant Josuah (Jésus), fils de Myriam (Marie), au rang de simple apôtre puisque, selon sa profession de foi, le dieu unique n’avait pas enfanté. Il rejeta également la thèse de la crucifixion en affirmant que les Juifs avaient fait crucifier un homme qui ressemblait à Jésus, non Jésus lui-même ! Il mettra ainsi pas mal d’acharnement à nier les dogmes qui voulaient faire de Jésus le fils de dieu. En cela, il ne faisait que perpétuer la vieille polémique qui opposait Juifs et chrétiens. Il cherchait même à l’envenimer pour en tirer avantage. Pour Mahomet, qui avait reçu des rudiments d’enseignement religieux basés sur l’Ancien testament, Jésus était un concurrent. Il fallait donc le faire passer pour un imposteur.
Les similitudes qui existent entre l’Ancien testament et le coran sont nombreuses. Mais elles ne peuvent apparaître qu’après avoir lu les deux textes, ce que les musulmans ne font jamais puisque être musulman c'est admettre que le coran est le seul livre qu'il faut connaître...
S’ils prenaient la peine de le faire, ils s’apercevraient que Mahomet n’a pas inventé grand-chose et que son « livre sacré » n’a rien d’une révélation divine mais tout d'une mauvaise copie.
A ce fond hérité de l’Ancien testament, Mahomet a superposé toute une série de coutumes préislamiques comme le pèlerinage à la Mekke, le culte de la pierre noire, la croyance aux « Génies » (ou « Djinns », une croyance toujours vivace chez certains arabo-musulmans) ainsi que les traditions des populations d’Ad et de Thamoud. Il a assaisonné le tout de quelques considérations propres à son clan ou strictement personnelles. Ainsi naquit la doctrine islamique.
Cette doctrine, bien que n’ayant rien de « divine », s’est imposée au monde arabe qui l’a ensuite imposée ou « revendue » à d’autres peuples. Car les Sémites ont toujours été d'excellents commerçants capables de vendre n’importe quelle camelote comme s’il s’agissait de l’or du Pérou !
La doctrine islamique est dangereuse dans le sens où elle ne laisse place à aucune spontanéité dans les rapports que l’homme prétend avoir avec son dieu. Pour les musulmans, imprégnés du fatalisme arabe, les révélations du coran s’interposent entre le « créateur » et sa « créature ». Discuter ces révélations est un blasphème. Les critiquer est un crime. Allah est, en outre, une entité abstraite, non humaine, qui n’admet pas d’hypostases. En cela, il est typiquement sémite, inabordable, incompréhensible et tout puissant. Bien plus encore que le Yahvé des Hébreux, Allah est un dieu de colère dont l’homme doit s’interdire de comprendre et de juger les desseins. C’est l’aboutissement d’une vision fataliste du monde qui est propre aux peuples des régions désertiques ou peu favorisées par la nature. Astreints à de dures conditions de vie ou aux calamités naturelles, ces peuples sont naturellement enclins à croire que l’homme n’a aucun pouvoir réel sur le cours des choses et sur ses propres actions. C’est de ce fond de fatalisme arabe que découle la vieille rengaine des musulmans : Inch'Allah, Si Allah le veut ! C’est une forme de servilité et d’incapacité à prendre son destin en main.
Et pourtant, on trouve, dans le verset 27 de la sourate XXX, une phrase qui dit : « C’est ainsi que nous exposons nos enseignements aux hommes doués d’intelligence ». Cette phrase, isolée de son contexte, a fait dire à d’aucuns que la doctrine coranique n’est pas aussi fataliste qu’on ne voudrait le dire. Il existe même différentes traductions de cette phrase qui permettent d’accentuer cette impression. L’une d’elles dit « Ainsi nous exposons intelligiblement nos signes (c’est-à-dire les révélations de Mahomet) à un peuple capable de raisonnement ». Toutefois, si l’on resitue cette phrase dans le contexte du verset 27 et de la sourate XXX, on ne lui trouve aucune signification indiquant que Mahomet a voulu permettre à ses disciples de « raisonner ». L’islam est bel et bien une religion de soumission totale à des dictats religieux. C’est une religion qui correspond au tempérament sémite et qui n’a donc strictement rien d’universelle.
Conçu pour des esprits simples et frustres, traditionnellement fatalistes, le coran était destiné à les persuader du fait que les choses de ce monde sont secondaires, qu’il faut se soumettre aux ordres et aux lois d’ici-bas tout en se préparant à accéder à un paradis doré sur tranche mais purement virtuel, aussi virtuel que nos très modernes jeux vidéos.
Comme il est facile de promettre quand on sait que l’on ne devra pas tenir ses promesses !
On observera, en outre, que le bouddhisme n’est pas une religion mais une philosophie. Jamais le Bouddha ne s’est posé en dieu. Jamais il n’a parlé au nom d’une divinité. Il fut un sage parmi les sages, non un « prophète ». S’il est vrai que le bouddhisme est souvent regardé comme une religion, c’est en vertu du comportement des adeptes et non en fonction du prince Siddhârta, celui-là même qui allait devenir le Gautama Bouddha (Gautama est son nom d’ascète, Bouddha signifiant littéralement « L’Eveillé », celui qui a atteint l’éveil suprême ou « bodhi »). Issu d’une famille d’essence royale, Siddhârta était né en l’an 563 avant notre ère, à Kapilavastu (Inde) à une centaine de kilomètres de la frontière du Tibet. Dans bon nombre de pays, le bouddhisme s’est amalgamé avec des rituels plus anciens
Même pour un pur athée, le bouddhisme est regardé comme une expression spirituelle positive et profondément pacifiste. Les bouddhistes ne font pas de prosélytisme et ne cherchent pas à concurrencer les autres formes de spiritualité. Le bouddhisme est une spiritualité que l’on pourrait qualifier de « femelle » tandis que je judaïsme et l’islam sont de type « mâle ». Cela se traduit par l’attitude des prêtres et des dirigeants religieux. Les Rabbins et les ayatollahs (et autres mollahs et imams) sont barbus, souvent hirsutes et peu soignés. Ils adoptent des attitudes et des vêtements de couleurs sombres et froides qui inspirent la crainte et la peur (les prêtres chrétiens ont abandonné la soutane noire, hormis les Traditionalistes). A l’inverse, les moines bouddhistes sont entièrement rasés, ils adoptent des attitudes faites de compassion, de bonté et de sérénité, ils portent des vêtements simples, de couleurs claires et chaudes
Dans une « école » coranique, l’enseignement se fait à coups de trique (al-falqa). Dans un monastère bouddhiste, les jeunes moinillons apprennent à leur rythme, sans brutalités ni contraintes. Ils rient et ils chantent comme tous les enfants tandis que les jeunes musulmans apprennent à vivre sous la contrainte et à semer la terreur au nom d’Allah
Le bouddhisme, c’est la lumière, le soleil, le jour, le positif, la tolérance et la paix.
L’islam c’est l’obscurité, la lune, la nuit, le négatif, l’intolérance et la guerre.
Mahomet, il est vrai, a réussi à imposer - par coran interposé - des réformes sociales relativement positives. Il a favorisé l’émancipation des esclaves, il a obtenu l’abolition des sacrifices humains et de l’élimination des filles à la naissance et quelques autres réformes moins importantes. C’est ce qui le rendit populaire chez les « petites gens ».
Mais il ne faut pas, pour autant, ignorer les nombreux aspects négatifs du coran comme les incitations à la guerre sainte et à la haine des « impies » et des « infidèles ».
Et, de toute façon, les réformes « positives » du VIIe siècle n’ont plus aujourd’hui le moindre intérêt, si ce n’est purement historique. Elles sont totalement dépassées et très en retard par rapport au droit international.
On trouvera des allusions aux traditions des populations d’Ad et de Thamoud dans les sourates suivantes :
14, 17, 22, 26, 27, 29, 38, 40, 41, 50, 51, 53 et 54.
Selon le Qoran, les prophètes et les « martyrs » bénéficient d’un accès direct au paradis. Tous les autres morts ressusciteraient le jour du jugement dernier, lequel verrait aussi apparaître le « Madhi » (le « bien dirigé ») d’Allah ou « vrai messie ». Il chasserait le faux messie qui se serait manifesté entre l’Iraq et la Syrie et serait tué par Jésus. Un vrai roman de salle de gare !
La vision coranique du paradis est véritablement féerique. C’est Dysneyland et Dysneyworld à la puissance mille. On n’attrape évidemment pas les mouches avec du vinaigre mais l’on se demande comment des gens supposés intelligents peuvent encore croire à de telles balivernes !
Globalement, le coran – en mélangeant les domaines du dogme religieux, des rituels, des pratiques sociales et des lois – n’a fait qu’imiter, très mal, ses sources principales : la Thora et le Talmud.
La tradition coranique veut que le coran soit lu et commenté dans la langue du prophète. Il n’en est rien dans la pratique puisque Mahomet parlait un dialecte arabe qui est assez différent de l’Arabe classique, langue qui sert actuellement pour l’enseignement du coran. Il a été dit, par ailleurs, que ses « révélations » furent transcrites en caractères koufiques. Ce n’est qu’ultérieurement que les transcriptions furent adaptées à l’Arabe classique, ce qui dut entraîner de nombreuses altérations de sens. Ce sont les Turcs qui, les premiers, décidèrent de transgresser la tradition en traduisant le coran dans leur langue. Mais dans de très nombreuses régions du monde, l'enseignement du coran se fait dans des « écoles coraniques » où imams et marabouts s’obstinent à faire étudier le coran dans sa version arabe à de jeunes enfants qui ne connaissent absolument pas cette langue. Ils peuvent ainsi commenter le texte à leur manière puisque leurs élèves sont dans l’impossibilité de traduire eux-mêmes le texte de base.
Dans la réalité concrète, le coran a été traduit dans presque toutes les langues. Les traductions françaises sont de qualité variable. Il ne faut toutefois pas ergoter sur certains détails de traduction puisque, de toute façon, nous ne disposons pas des textes originaux. C’est le sens global des versets qui importe, pas leur traduction littérale. En général, les bons traducteurs ont eu la bonne idée d’indiquer, par des renvois de bas de page, les nuances qui pouvaient exister entre la traduction littérale et le sens usuel de certains mots.
Outre sa division en sourates et versets, le coran est aussi divisé en 30 sections nommées « djaz’ » (aucun rapport avec le rit « menblouze », soit dit en passant) et 60 autres appelées « Hïbz ». Ces subdivisions n’ont qu’un intérêt pratique. Elles constituent des « blocs » que les croyants mémorisent en vue de les réciter en les psalmodiant (83), à la mosquée ou lors des cérémonies familiales. La récitation complète du coran, ou « khatm », est une véritable prouesse de mémorisation. Lorsqu’un musulman parvient à ce stade de connaissance du coran, il est supposé avoir atteint une sorte d’ « état de grâce » lui valant la considération de ses coreligionnaires qui voient là une preuve de très grande dévotion (mais ne serait-ce pas simplement, et surtout, une preuve de bonne mémoire ?)
Le mode d’enseignement du coran diffère donc assez radicalement de celui de la bible. On retrouve la volonté de faire réciter le texte (d’où son nom) sans qu’il y ait nécessité de le comprendre. Si la bible raconte des histoires plus ou moins fabuleuses dont le chrétien doit tirer les leçons qui s’imposent, le coran, lui, par ses versets courts et rythmés, permet un enseignement du type « bourrage de crâne ». C’est le principe du marteau et du clou. La psalmodie des versets permet, à la longue, de faire entrer le clou dans la tête. Et quand il est bien enfoncé, il devient souvent impossible de l’en retirer !
Comme le coran lui-même, le mode d'enseignement utilisé dans les écoles coraniques est dangereux pour la santé mentale. C’est celui que, de tous temps, on a utilisé pour former les fanatiques. Dans le bouddhisme, la récitation incantatoire s’accompagne d’une pratique de la méditation destinée justement à compenser les effets hypnotiques. Ce n'est pas le cas pour les musulmans. Chez les Tibétains, la récitation lancinante des mantras est aussi compensée par la méditation et, en outre, les mantras sont des incitations à la rectitude et à la modération (84), pas des appels à l’intolérance et au meurtre.
En Afghanistan, si les sinistres talibans ont fait détruire les magnifiques Bouddhas de Bamyan, ce n’est pas tant parce qu’il s’agissait d’ « idoles » mais parce que ces immenses statues inspiraient une sérénité et un appel à la paix qui ne pouvait que heurter des individus bornés et violents.
Les musulmans ne veulent pas s’intégrer à l’Europe, ils veulent intégrer l’Europe au sein de l’islam !
Notons enfin que les musulmans prétendent pouvoir fournir des « preuves de l’essence divine » du coran. Elles sont de deux types, les preuves dites « historiques » et les preuves dites « scientifiques ». Dans les deux cas, elles sont d’une pauvreté confondante. Il faut faire preuve d’une crédulité véritablement abyssale pour avaliser de telles inepties.
Les preuves dites « historiques » ne sont rien d’autres que les « hâdiths » qui sont à la base des sunnas. Ce sont des propos recueillis auprès de ceux qui auraient connus Mahomet de son vivant. Ils ne prouvent strictement rien, d’autant que pas mal de ces « témoignages » sont de pures inventions, des histoires imaginées longtemps après la mort de Mahomet. C’est un peu comme les évangiles des chrétiens, lesquels sont en partie apocryphe et ne prouvent aucunement, ni la divinité de Jésus, ni celle de l’ancien testament.
Quant aux « preuves » dites « scientifiques », elles feraient sourire un enfant de dix ans dans nos écoles occidentales ! Elles consistent en un petit nombre de versets du coran qui « prouveraient » que Mahomet ne pouvait pas tenir ses prétendues révélations d'autre chose que de son dieu unique (via l'archange Gabriel), les connaissances exprimées dans ces versets n'ayant pu être comprises que récemment (par les musulmans...). Ces versets sont passés en revue dans l'étude analytique du coran et l’on verra que tout cela ne tient pas la route une seule seconde. C'est l'un de ces versets [le n°55 de la sourate XXV (25), version de Kasimirski] qui a donné naissance à la fameuse « rumeur Cousteau ».
Comme nous en avons fait la démonstration dans les différents chapitres de la présente étude, le coran, tel qu’il nous est parvenu est un rare condensé d’intolérance, de haine et d’incitation à la guerre. C’est un recueil d’élucubrations qui ne peuvent être nées que dans l’esprit d’un malade mental. Mais cet ouvrage fait l’objet d’un enseignement systématique dans de très nombreux pays du monde. Dans les pays fortement islamisés, il est même regardé comme le « livre par excellence », le seul que l’homme devrait posséder !
Le coran est donc, bel et bien, le livre le plus dangereux du monde, un livre à proscrire, un livre à interdire dans les pays où le respect des droits de l’homme et de la femme constituent les fondements de la société, un livre à interdire dans tous les pays qui veulent continuer à vivre en paix !
Le coran est une menace pour la paix mondiale et pour les droits de l’être humain, c’est un fait évident. C’est aussi une réelle menace pour la santé mentale d’un grand nombre d’individus. Et à ce titre, il devrait être interdit en Europe conformément aux prescriptions de l’article 130 R de l’Union européenne, lequel a instauré le principe dit « de précaution » et ses deux corollaires (dont le principe de la correction à la source).
C’est ainsi que le verset 20 de la sourate IV peut se traduire ainsi : « Si deux individus parmi vous commettent une action infâme, punissez-les tous les deux. Mais s’ils se repentent et s’amendent, laissez-les tranquilles car dieu aime à pardonner et il est miséricordieux ». Compte tenu du verset qui précède, « si vos femmes commettent l'action infâme, l'adultère,... », l’ « action infâme » dont parle le coran n’est autre qu'un adultère entre deux personnes mais sans qu'aucune femme n'y participe, donc un adultère entre hommes seulement, c'est à dire soit l'homosexualité soit la pédérastie. Et l’on voit que pour les hommes, les recommandations sont beaucoup, beaucoup plus que clémentes en cette matière car le verset 19 (celui qui précède) recommande, pour les femmes adultères… de les enfermer dans des maisons jusqu’à ce que la mort les visite (ou que dieu leur procure un moyen de salut) ! ! !
Il est un fait que l’avilissement de la femme avait, sur la société musulmane, de très fâcheuses répercussions, notamment en matière de mœurs. Dans les « Mille et une nuits » - ce grand classique de la littérature arabe, la femme est désignée comme l’ennemi. Elle est la cible d’une forme particulière de misogynie née de la guerre des sexes imposée par l’islam. Sous le règne des khâlifes Hâroun ar-Rachid et Al-Amine (fils du précédent), les homosexuels tiennent carrément le haut du pavé. Ils se commettent au vu et au su de tout le monde en compagnie des « ghilmân » et les poètes adressent leurs vers à des éphèbes encore imberbes. Car l’homosexualité islamique se teinte souvent de pédophilie, exemple du prophète oblige, lui qui avait pris parmi ses épouses une fillette de six ans !
Selon le droit islamique, la société se décompose en plusieurs classes sociales dictées, comme on s’en doute, par des considérations strictement religieuses. En premier, viennent les musulmans, libres ou esclaves. En seconde place, on trouve les « gens du livre », non musulmans « tributaires » (payant tribu. Le terme moderne est : « rackettés ») qui bénéficient du statut de « dhimmi ». Ce sont des Juifs et des chrétiens qui acceptent de se soumettre à la domination musulmane et jouissent, de ce fait, du « privilège »... de ne pas être tués. Du fait de leurs compétences, ils peuvent occuper une position assez enviable dans la vie sociale, mais ils sont cependant considérés comme des inférieurs par les musulmans. On les retrouve fréquemment dans l’administration, les finances ou les professions que l’on qualifie aujourd’hui de « libérales ». Bien que détestés sur le plan théologique, les Juifs furent souvent épargnés du fait de ce statut et de leurs aptitudes pour le commerce, le droit et les affaires d’argent. C’est ainsi que la tradition veut que ce soit un Juif nommé Isaac qui servit d’interprète lors de la rencontre qui eut lieu, en 797, entre l’ambassade de l’empereur Charlemagne et le khalife Hâroun ar-Rachîd. C’est lui qui, toujours selon la tradition, aurait ramené à Aix-la-Chapelle l’éléphant offert par le calife, ses chefs étant morts en cours de route.
L’histoire nous enseigne même qu’en Egypte, de 1044 à 1047, le vizir n’était autre que le Juif Ben Sahl, favori de la mère du sultan. Ce qui fera dire à un satiriste de l’époque : « Egyptiens ! Ecoutez le conseil que je vous donne : devenez Juifs car le ciel lui-même est devenu Juif ! ».
De tels exemples de « réussite sociale » demeurent cependant exceptionnels. Les dhimmis, ces Juifs et ces Chrétiens qui avaient refusé de se convertir à l’islam, formaient surtout le gros des populations paysannes car les Arabes (les vrais, pas les peuples « arabisés ») ont, de tous temps, été réfractaires aux travaux agricoles. Ce sont des guerriers nomades – à la rigueur des commerçants – mais pas des agriculteurs(86), qu'ils méprisent.
En attendant, une cinquantaine d’exécutions capitales ont eu lieu au pays de ben Laden en 2002. Toutes ont été prononcées en vertu de la « charia », parfois pour des délits mineurs. Plusieurs de ces condamnations concernaient des ventes de drogue. Mais la charia ne s’applique pas à tout le monde. Elle ne s’appliquait pas à Mahomet et à ses successeurs (les califes). Elle ne s’applique pas, non plus, aux roitelets du désert. Elle ne s’applique qu’aux petits, aux sans grade. Ca, c’est une chose que l’on n’apprend pas dans les « écoles » coraniques. Les petits musulmans ne savent pas que si on leur impose une totale soumission aux « lois coraniques », leurs dirigeants, eux, se fichent de la charia comme de leur premier thé à la menthe
Dans nos écoles à nous, on nous enseigne une fable de Jean de la Fontaine. Une fable qui dit « Selon que tu seras puissant ou misérable, etc., etc… ». Nous, au moins, on est prévenu !
Nous avons également souligné que si le coran interdit aux musulmans de se voler entre eux, il n’interdit nullement aux mahométans de voler les « infidèles ». Pour pas mal d’entre eux, c’est même devenu une sorte de sport. Et c’est finalement en vertu des « lois coraniques » que des musulmans trouvent « normal » de tuer les « incroyants », de voler les non musulmans (et même les musulmans qui n’appartiennent pas à la même branche de l’islam), de pratiquer la traite des être humains (esclavage, prostitution,…), de s’adonner aux trafics de drogues, etc… Il est bien pratique ce coran, non ?
L'islam, le coran et Mahomet en 20 questions
et 20 réponses.
1. Le coran est-il d'origine « divine » ?
Une lecture attentive de ce livre démontre qu'il est d'origine purement humaine. Il regroupe les prétendues « révélations » de Mahomet « arrangées » par ses successeurs et notamment par le calife Othman.
Bien loin d'être un « livre saint », le coran est l'un des livres les plus malsains qui ait été rédigé depuis l'invention de l'écriture par les Phéniciens. Il est comparable au « Mein Kampf » d'Adolf Hitler sur de nombreux points mais bien plus dangereux.
2. Mahomet était-il un « saint homme » ?
Les sources historiques, y compris musulmanes, qui existent à propos de ce personnage prouvent qu'il était tout le contraire d'un « saint homme » au sens Occidental du terme. Au sens islamique du terme, Mahomet était un « Saint homme » uniquement parce que la définition musulmane d'un « Saint homme » c'est d'être comme Mahomet.
Intéressé, vaniteux, belliqueux, colérique, violent, cruel, retors et pervers, Mahomet n'est certainement pas un « beau modèle » pour l'humanité, contrairement à ce qu'affirment les musulmans. Bien plus proche d'Adolf Hitler et de Joseph Staline que de Martin Luther King ou de Gandhi, Mahomet est en fait l'opposé du personnage de Jésus Christ, tant dans les actes que dans les intentions.
Véritable obsédé sexuel, Mahomet s'est rendu coupable de pédophilie, un comportement dont on cherchera en vain l'équivalent chez le Christ (à moins d'avoir la mauvaise foi d'interpréter son "laissez venir à moi les petits enfants" comme une tentative de détournement de mineurs !). Les victimes des « guerres de conquête » de Mahomet se comptent par milliers et il est indirectement responsable de la totalité des meurtres commis au nom de la « guerre sainte » dont il fut l'instigateur. Cela justifie sa place dans la galerie des plus grands criminels de toute l'histoire de l'humanité.
Mahomet était sans doute affecté de déséquilibres mentaux profonds, du genre de ceux qui prédisposent au « mysticisme aberrant ». Il conviendrait cependant que cet individu soit jugé, à titre posthume, pour les crimes qu'il a commis et pour ceux qui ont été commis, et se commettent encore, en son nom.
3. Qu'est qu'un musulman ?
Le mot « musulman » vient de « muslim » que l'on traduit usuellement par « soumis à dieu ».
Le musulman est un homme qui accepte de se soumettre à la dictature coranique et mahométane, soit sous la pression de sa famille ou de sa communauté, soit spontanément (dans le cas des « convertis »). Le musulman se plie à la notion d' « oumma » qui implique la prédominance de la religion en toutes choses, et notamment dans le domaine juridique et politique.
Par définition, le musulman doit croire dur comme fer que le coran est la parole de dieu au sens « son des mots prononcés de la bouche même de Dieu », sons répétés par l'ange Gabriel à Mahomet, puis sons répétés à son tour par Mahomet. L'ensemble de ces sons forment le coran, mot qui signifie littéralement "récitation".
Pour le musulman, Mahomet est le dernier des prophètes. Le musulman doit respecter les principes coraniques à la lettre, sans jamais les discuter, en parfait « soumis ». Par définition, le musulman renonce à son libre arbitre et à sa faculté de compréhension dans les domaines régis par l'islam, c'est à dire en fait dans tous les domaines.
4. Qu'est-ce que l' « oumma » ?
C'est la « communauté » au sens musulman du terme. Elle recouvre l'ensemble des activités humaines, qu'elles soient familiales, sociales, juridiques, politiques, militaires etc...
Pour les musulmans, il n'existe pas de séparation entre la vie de tous les jours et la religion. La religion se mêle de tout et intervient à tous moments dans la vie des « croyants ». Prétendre que le religion musulmane peut être « apolitique » est un mensonge grossier puisque, par définition et par son application dans le principe de l' « oumma », l'islam régit nécessairement et obligatoirement le domaine
5. Qu'est-ce que la « charia » ?
La « charia » - ou « loi coranique » - est la transposition, sur le plan juridique, des prétendues révélations de Mahomet.
Pour les musulmans, par définition, le coran doit être la seule source d'inspiration dans tous les domaines, y compris dans le domaine juridique. Il en résulte que les pays soumis à l'islam sont régis par des lois qui se fondent sur les coutumes sauvages des Arabes du VIIe siècle de notre ère, la plus emblématique de ces coutumes barbares étant de tuer des personnes, surtout des femmes, à coups de cailloux (lapidation) sous des prétextes futiles.
La loi coranique est, en outre, fondée sur la discrimination sexiste puisque, selon le coran, la femme est inférieure à l'homme.
Concrètement, la charia est souvent appliquée « à la tête du client » par de prétendus « juges » ou « docteurs de la foi » qui ne sont généralement que des « savants » incultes, le terme savant étant pris ici selon son sens musulman qui signifie "qui sait au sujet du coran, de Mahomet et de l'islam". Ces religieux peuvent émettre des « avis » (fatwa) qui sont assimilés à des jugements et qui peuvent aller jusqu'à l'appel au meurtre. Tout musulman à le droit et, s'il en a la possibilité, le devoir de s'ériger en meurtrier au service de l'islam afin d'éliminer tous ceux et celles qui sont condamnés, individuellement ou collectivement, par la loi coranique (impies, incroyants, idolâtres, homosexuels, apostats etc...).
La charia est la survivance d'une vision moyenâgeuse et féodale de la justice. C'est l'un des pires archaïsmes qui puisse se concevoir en ce début du IIIe millénaire.
6. Qu'est-ce qu'une « école coranique » ?
L'école coranique n'a d'école que le nom. On n'y enseigne que la récitation en arabe phonétique du coran et tout ce qui en découle. Les sciences modernes n'y ont pas cours, surtout lorsqu'elles contredisent les « révélations » de Mahomet. De même, l'enseignement de l'histoire y est « adapté » aux impératifs de l'islam.
Les méthodes pédagogiques mises en oeuvre dans les écoles coraniques relèvent du lavage de cerveau et du bourrage de crâne tels qu'ils sont pratiqués par les sectes. Le coran est enseigné phonétiquement à des enfants qui ne comprennent pas l'Arabe : ils ne font qu'apprendre à répéter les sons des mots censés avoir été prononcés « de la bouche même de Dieu », sons supposés répétés par l'ange Gabriel à Mahomet, puis sons théoriquement répétés à son tour par Mahomet. Les châtiments corporels y sont monnaie courante.
Les écoles coraniques sont des centres d'endoctrinement par rabâchage et non des écoles au sens occidental du terme. Elles sont, avec les mosquées au sein desquelles on les trouve le plus souvent, les principaux foyers de propagation de l'islam.
7. Qu'est-ce que l' « islamisme » ?
On peut indifféremment parler de « religion musulmane », de « religion mahométane », d' « islam » ou d' « islamisme ». Ces dénominations sont strictement synonymes. Il n'y a pas, comme on voudrait le laisser croire, de « bons musulmans » et de « méchants islamistes » : Il n'y a que, d'un côté, les musulmans à qui le droit laïque et démocratique ambiant interdit de mettre en application CERTAINS préceptes de l'islam et, de l'autre côté, les musulmans qui ont, s'arrogent ou tentent d'obtenir légalement, le droit d'appliquer TOUS les préceptes de ce MÊME islam.
Le terme « islam » désigne à la fois la doctrine des musulmans et l'ensemble des territoires conquis par eux. L'islam a une vocation planétaire et doit s'imposer partout dans le monde.
8. Qu'est-ce qu'un « bon musulman » ?
C'est un musulman qui applique toutes les prescriptions coraniques. Les « bons musulmans » sont donc les éléments les plus dangereux de l'islam.
9. Qu'est-ce qu'une mosquée ?
C'est un endroit où les musulmans pratiquent leur rituel de démonstration publique et collective de soumission par prosternations, rituel improprement appelé « prière ».
C'est dans les mosquées que les prédicateurs (imams) viennent prêcher, essentiellement lors de la grande prière du vendredi. Il faut insister sur le fait que la « prière » musulmane n'a rien de commun avec celle des juifs ou des chrétiens. La « prière » musulmane est une gymnastique corporelle de soumission devant « Allah-Dieu » et devant l'« Oumma », non une formulation de souhait ou une demande, sens occidental du terme « prière ».
Pour concrétiser cette soumission totale à une entité « divine » et à ses coreligionnaires, le musulman se prosterne, face contre terre, en direction de la Mekke. Il faut cependant savoir que, du temps de Mahomet, les cinq « prières » se faisaient en direction de Jérusalem (Kotz pour les Arabes), ville « sainte » des trois religions « du livre » (la Bible dont Mahomet s'est inspiré).
C'est parce que les Juifs ont finalement refusé de le reconnaître comme prophète, malgré ses tentatives de séduction, que Mahomet à ordonné à ses adeptes, en représailles, de se tourner désormais en direction de la Ka’Ba de la Mekke et non plus en direction de Jérusalem.
Ce n'est qu'après la mort de Mahomet que le fétichisme de la pierre noire de la Mekke a petit à petit supplanté celui du « rocher » qui était jadis inclus dans le temple des Hébreux, rocher à présent inclus dans la mosquée dite d'« Omar » (ou « coupole du rocher »).
Les imams ne sont pas des prêtres mais des « directeurs de prière » qui s'imposent d'eux-mêmes : l'accession à la fonction d'imam est similaire à celle de chef de tribu, comme cela se passait chez les bédouins d'Arabie du temps de Mahomet, au VII siècle. Il n'y a pas de prêtres chez les musulmans sunnites (les plus nombreux). On ne trouve un clergé organisé que dans la branche chiite de l'islam.
Selon les sectes et les régions, les chefs musulmans sont nommés « ayatollahs » ou « mollahs ». En Arabie Saoudite, les « docteurs de la foi » sont nommés « oulémas ».
Parmi les imams et les mollahs, on trouve des propagandistes itinérants qui vont de mosquée en mosquée. Bon nombre d'agitateurs professionnels s'érigent en imams pour aller prêcher le « bon islam », autrement dit l'intolérance, la discrimination, le refus de l'intégration et la « guerre sainte » contre les non-musulmans et les « mauvais » musulmans.
En Europe occidentale, les mosquées sont les principaux foyers de sédition et de recrutement pour le terrorisme islamique. Nombreuses sont celles qui sont financées par des capitaux plus que « douteux » (notamment wahhabites et salafistes). Ces mosquées devraient être fermées et rasées, d'autant que ces constructions ne font pas partie de notre patrimoine, déprécient les quartiers où elles s'enkystent et qu'il n'existe aucune réciprocité de la part des musulmans : il est interdit de construire une église ou une synagogue en Arabie Saoudite et dans les pays islamiques.
10. Qu'est-ce que le « Djihad » ?
C'est la « guerre sainte » qui fut entamée dès les premières années de l'islam, sous la direction de Mahomet. Cette guerre est une guerre de conquête, non seulement militaire mais aussi politique et religieuse. D'abord limitée à l'Arabie et aux territoires environnants, elle est vite devenue planétaire.
Les musulmans, qui prétendent servir la « vraie foi », veulent éliminer tous les « incroyants », « impies » et autres « idolâtres ». Au nom de Mahomet et de son coran, ils ambitionnent de faire régner l'obscurantisme musulman et la loi coranique dans le monde entier. Tel est le but ultime du « Djihad ».
Depuis le VIIe siècle, le Djihad a fait des dizaines de millions de victimes. C'est une forme particulièrement insidieuse et sournoise de génocide fondé sur la discrimination religieuse.
Le Djihad n'a rien d'une guerre « conventionnelle ». C'est d'abord un engagement personnel pour tous les « bons musulmans », et les actions terroristes commises au nom de l'islam, et de son coran, peuvent être le fait de très petits groupes, voire même d'individus agissant isolément (voir aussi la question n°19). La lutte contre le Djihad relève donc de l'anti-terrorisme bien plus que de la guerre au sens où nous l'entendons habituellement. Les armées occidentales « modernes » sont impuissantes contre ce type de conflit qui découle des antiques méthodes guerrières des bédouins arabes (razzias).
Tous les musulmans qui se réclament du Djihad, ou qui prônent cette guerre odieuse, doivent être considérés, non comme des criminels de droit commun mais comme des criminels de guerre. Ils doivent être traités comme tels, en commençant par les dirigeants de l'Arabie Saoudite ainsi que les oulémas wahhabites et salafistes.
11. Qu'est-ce qu'un « dhimmi » ?
Pour les musulmans, le « dhimmi » est un adepte d'une « religion du livre » (Bible) autre que l'islam. C'est donc un juif ou un chrétien.
Dans un pays soumis à l'islam, les « dhimmis » sont supposés pouvoir continuer à pratiquer leur culte et à exercer une activité sociale mais à la condition de « payer tribu », autrement dit de se soumettre au racket organisé par les musulmans. Pour échapper à cette extorsion de fonds, ils doivent s'exiler ou se convertir à l'islam. Ceux qui n'acceptent pas la dhimmitude (c'est à dire la condition de dhimmi) sont mis à mort, tout comme les dhimmis soupçonnés de prosélytisme religieux ou de menées anti-islamiques.
Les hommes et les femmes qui ne sont pas « gens du livre » (comme les athées, les bouddhistes, les hindouistes, les animistes, etc...), ne peuvent pas devenir dhimmis, il n'existe pour eux que deux alternatives : la conversion à l'islam ou la peine de mort.
12. Quels sont les « piliers » de l'islam ?
On nomme « piliers de l'islam » les obligations imposées à tous les musulmans.
Ces piliers sont au nombre de cinq, plus un :
1. La shahada ou profession de foi : « J’atteste qu’il n’y a de dieu qu'Allah et que Mahomet est le prophète d'Allah »
2. les cinq prières quotidiennes
3. le jeune du ramadan
4. l'aumône
5. le pèlerinage à la Mekke
1.-la guerre sainte (ou Djihad)
Ce dernier pilier, non avoué et non comptabilisé officiellement, est dit « le pilier secret ».
13. Que sont les « maisons de l'islam » ?
Les « maisons de l'islam » sont :
1. Dar el Sulh, la « maison de la trêve »
2. Dar al Harb, la « maison de la guerre »
3. Dar al Islam, la « maison de l'islam »
La « maison de la trêve » désigne les territoires où les musulmans doivent agir « avec réserve » pour ne pas trop attirer l'attention du pouvoir en place.
La « maison de la guerre » concerne les pays où les musulmans se sentent assez forts pour engager une guerre ouverte contre la civilisation en place.
La « maison de l'islam » regroupe les territoires conquis et soumis à l'islam.
Les maisons connues sont la « maison de la guerre » et la « maison de l'islam ». Dar el soulh, la « maison de la trêve », est la « maison inavouée » ou « maison secrète », à l'instar du pilier caché.
14. Existe-t-il un « islam tolérant » ?
La notion de « tolérance », telle que nous l'entendons en Occident, est inexistante dans le « bon » islam.
Il ne peut y avoir de tolérance dans une religion qui se fonde sur l'application d'un livre, le coran, et d'un modèle de comportement, la vie de Mahomet, qui sont tous deux des anthologies de l'intolérance, de la négation de l'humanisme et de l'incitation au crime. Il suffit de savoir lire et de n'être pas musulman pour s'en rendre compte par soi-même.
Les musulmans qui peuvent apparaître comme « tolérants » appartiennent à la catégorie des « moutons passifs » ou à celle des agents d'infiltration qui jouent un double jeu. C'est notamment le cas, pour ceux qui sont chargés d'infiltrer la « maison de la trêve » (voir la question précédente).
15. Le port d'un voile, ou de tout autre vêtement, est-il prescrit par le coran ?
Le coran ne parle du port du voile que pour les « femmes du prophète ».
Mahomet était très jaloux et il avait voulu, sous prétexte de « révélations divines », soustraire ses femmes à la convoitise des autres hommes en leur imposant sur le visage le port d'un voile de type « rideau portatif ». On sait d'ailleurs que la plus jeune de ses épouses (Aïcha, épousée alors qu'elle n'avait que neuf ans tandis que Mahomet avait passé la cinquantaine) fut soupçonnée d'adultère et que Mahomet, selon son habitude, fit intervenir providentiellement une « révélation d'Allah » afin de mettre fin aux rumeurs qui circulaient à ce propos.
Dans de nombreux pays musulmans, les femmes ne sont pas voilées. Chez les Touaregs, c'est l'homme qui dissimule ses traits, pas la femme. Dans les régions où le voile était porté, ce vêtement servait à se protéger contre les tempêtes de sable. Et nous savons que ces tempêtes sont plutôt rares en Europe occidentale, surtout dans les écoles.
Le prétendu « voile islamique » n'est qu'un alibi pour maris jaloux, parents despotes et « grands frères » tyranniques, alibi qui peut se justifier pleinement en se basant sur la vie de Mahomet le « beau modèle ». C'est aussi une façon, pour les musulmans, d'afficher leur différence et de manifester leur mépris pour ceux et celles qui ne pensent pas et n'agissent pas comme eux. C'est une manifestation évidente de la discrimination sexiste des mahométans et de leur volonté de non-intégration.
On notera par ailleurs que le fait de se soustraire à un contrôle d'identité (par le refus d'ôter un voile, par exemple) est un délit pénal qui doit être réprimé comme tel. Il justifie l'arrestation immédiate, la mise en garde à vue et l'inculpation. En cas de récidive, des mesures administratives d'interdiction de séjour devraient être prises.
Le prétendu « problème du voile » est un faux problème. C'est l'arbre qui cache la forêt.
16. La Turquie a-t-elle sa place dans l'Europe ?
Sans la menace d'instauration d'une dictature qu'y fait planer l'armée en cas d'islamisation trop ostensible du pouvoir politique, la Turquie deviendrait illico une république islamique. Tant que la Turquie sera majoritairement musulmane, la menace militaire sous-jacente sera nécessaire pour en assurer la stabilité. Une telle situation est incompatible avec les critères démocratiques et laïques de l'Union Européenne.
La Turquie n'appartient d'ailleurs même pas au continent européen et ce seul fait, évident et incontournable, permet déjà de justifier valablement le rejet de sa candidature.
Il ne faut pas non plus négliger le fait que l'adhésion de la Turquie à l'Union Européenne serait une sorte de « cheval de Troie » pour les « bons » musulmans. Elle ferait passer la proportion de musulmans, en Europe occidentale, de moins de 10% à plus de 20% de la population globale. Et compte tenu des prévisions démographiques, leur importance numérique ne ferait que croître au cours des prochaines décennies. Très rapidement, les Turcs seraient majoritaires en Europe, alors même que leur rôle dans la construction Européenne ne fut jamais moteur. Les musulmans comptent d'ailleurs beaucoup sur la démographie pour s'imposer dans le monde. C'est en grande partie pour cette raison qu'ils tiennent tant à perpétuer les « coutumes » liées à la polygamie.
17. Qu'est-ce que le wahhabisme et le salafisme ?
C'est l'une des formes parmi les plus pures de l'islam. Les wahhabites sont parmi les « meilleurs » musulmans. Le wahhabisme est né en Arabie au XVIIIe siècle et c'est la doctrine officielle de l'Arabie saoudite. La secte musulmane wahhabite finance de nombreuses « écoles » coraniques et mosquées, ainsi que de prétendus « centres culturels » qui ne sont rien d'autre que des foyers de propagande. On y recrute les futurs terroristes et on y organise la « guerre sainte ». La plupart des terroristes qui participèrent aux attentats du 11 septembre 2001 étaient des saoudiens wahhabites, comme leur leader Ussama ben Laden et ses principaux lieutenants.
Le « salafisme » (salafyia) est une doctrine concurrente du wahhabisme. Elle est aussi dangereuse que la doctrine des Saoudiens et prône la guerre à outrance contre l'Occident. Le salafisme, né au XIXe siècle, est plus récent que le wahhabisme. Il se réclame des « pieux ancêtres » (salaf) pour revivifier un « islam en stagnation » face à un Occident dynamique et puissant. C'est surtout le nationaliste arabe Rachid Ridâ (mort en 1935) qui a propagé le salafisme dans le monde arabo-musulman.
Rappelons qu'il n'existe pas un islam mais des islams, et que l'islam n'est en fait qu'un conglomérat de sectes et de sous-sectes dont le seul point commun est d'avoir le coran comme doctrine, Mahomet comme modèle ainsi que d'adhérer aux « piliers de l'islam » (voir question 12). L'islam n'est, en fait, rien de plus qu'une « méta secte » internationale dont les branches principales sont le « sunnisme » et le « chiisme ». Le nom de l'une des sectes, de la branche dite « ismaélienne », est associée aux nombreux meurtres commis par ses adeptes. C'est la secte « des Assassins » dont le chef était nommé « Vieux de la montagne ». Ussama Ben Laden semble s'être inspiré des méthodes d'organisation et d'action de cette secte.
18. Islam et idolâtrie. Qu'en est-il ?
Les musulmans se prétendent farouchement opposés à l'idolâtrie mais une part importante de leur culte repose sur une idole préislamique, la « pierre noire » qui fait l'objet de l'adoration des pèlerins de la Mekke. Il s'agit d'un fétiche associé au culte des pierres et des astres qui avait cours en Arabie avant la fondation de l'islam par Mahomet. Les Arabes, comme tous les Sémites, adoraient d'abord le « rocher sacré » de Jérusalem (voir question N°9). Le culte des pierres, commun a presque tous les peuples dans les temps préhistoriques, ne survit plus qu'à Jérusalem et à la Mekke.
De même, la couleur verte, honorée en tant que symbole de l'islam, est une forme de fétichisme. Il s'agit, en fait, de la couleur préférée de Mahomet. La véritable couleur de l'islam est le noir, couleur des ténèbres et de l'obscurantisme. C'est la couleur de la pierre de la Kaaba (et du drap qui recouvre l'édifice) ainsi que des vêtements portés par les ayatollahs et autres mollahs. Ce fut, de tous temps, la couleur favorite des zélateurs de la barbarie. Souvenons-nous des sinistres uniformes noirs de l'« ordre SS » d'Heinrich Himmler et des chemises noires des fascistes de tous poils.
L'un des symboles majeurs de l'islam n'est-il pas le croissant lunaire que l'on associera bien évidemment à la nuit et à l'absence de lumière ?
Un autre symbole important (qui figure sur le drapeau de l'Arabie saoudite) est le sabre des conquérants arabes, ce « sabre du prophète » qui a fait tomber tant de têtes au nom d'Allah. On ne peut que sourire quand l'islam se prétend une « religion de paix et de tolérance » !
19. L'islam représente-t-il un danger pour l'Occident ?
Depuis le VIIe siècle de notre ère, l'islam n'a cessé de relancer sa « guerre sainte » (Djihad) contre tous ceux et toutes celles qui ne sont pas soumis aux lois iniques, archaïques et antidémocratiques inspirées par le coran.
Depuis quelques décennies, l'Arabie saoudite et les émirats arabes se servent de leurs revenus pétroliers pour financer l'enseignement coranique et les mosquées afin de se créer un vivier où puiser des forces pour le Djihad.
Cette nouvelle relance de la « guerre sainte » a ceci de particulier qu'elle bénéficie des énormes moyens financiers issus du pétrole et qu'elle peut en plus maintenant aisément s'étendre à l'ensemble de la planète par le fait des facilités de communication, ce qui n'était pas le cas autrefois.
L'islam est d'autant plus dangereux que ses adeptes sont incités à s'engager personnellement dans le Djihad, soit à titre individuel, soit par le biais des innombrables sectes et sous-sectes qui constituent la nébuleuse islamique. De très petits groupes terroristes, agissant sans aucune concertation et disséminés un peu partout dans le monde, peuvent donc, en imitation de leur « beau modèle » Mahomet et conformément à son coran, engager la guerre et tuer ceux qu'ils considèrent comme les ennemis de l'islam, les « infidèles », c'est à dire essentiellement les Occidentaux.
20. Que faut-il faire ?
Il faut, tout d'abord, informer le plus largement possible les non-musulmans afin qu'ils sachent ce qui est écrit noir sur blanc dans le coran, afin qu'ils sachent ce que fut réellement la vie de Mahomet et afin qu'ils sachent en conséquence ce qu'est vraiment l'islam. Il faut ensuite interdire l'enseignement coranique et fermer les mosquées. Il ne restera plus qu'à interdire la vente et la diffusion du coran puis à déclarer l'islam hors la loi.
Vaste programme...
C'est un programme qui n'a pu être appliqué vis à vis d'une doctrine totalitaire similaire, le nazisme, qu'a l'issue d'une guerre mondiale sanglante ayant abouti à l'utilisation de la bombe atomique.
De façon subsidiaire, il faut prendre des mesures répressives à l'encontre des musulmans qui refusent ostensiblement de s'intégrer ou qui prêchent la non intégration. Cela peut aller de la suppression progressive des avantages sociaux jusqu'à l'expulsion du territoire de l'Union Européenne (vers le pays musulman de leur choix, on restera humain !).
Il faut, par ailleurs, faire juger - comme criminels de guerre et par des tribunaux militaires - toute personne se revendiquant du Djihad et prônant la « guerre sainte » contre l'Occident.
Enfin, il faut traduire, à titre posthume, le dénommé Mahomet devant le tribunal de l'histoire et ce, afin de le faire condamner pour ses crimes.
Toutes ces bonnes intentions se heurtent au fait que les pays musulmans tiennent l'Occident « par les couilles » avec le pétrole dont nous sommes stupidement devenus totalement dépendants. Il serait urgent de consacrer un maximum d'effort au développement de toutes les technologies, et elles sont nombreuses, qui peuvent permettre de s'affranchir rapidement des importations de pétrole. Par delà, ces technologies doivent nous permettre de priver de leurs revenus les vaniteux « roitelets du pétrole » afin de les remettre à leur juste place : dans le désert, sous la tente et au moyen-âge, comme Mahomet leur « beau modèle ».
De tout ce qui a été dit précédemment, il résulte également qu’aucun crédit ne doit être accordé à ceux qui prêchent pour un « islam d’Europe ». L’Union Européenne n’est certainement pas un « club chrétien » (elle ne l’a d’ailleurs jamais été) mais elle est – et doit demeurer – un « club laïque », résolument et strictement laïque. Cette condition sine qua non de l’unité européenne ne permet pas d’intégrer l’islam, pas plus que d'autres religions d'ailleurs, dans les structures de l’Union Européenne. Au risque de nous répéter, nous insisterons sur le fait que l’islam est, par sa nature même, une doctrine « anti-laïque ». Un musulman est incapable de concevoir la notion de laïcité et s’il est capable de la concevoir – et de la respecter – c’est qu’il n’est pas musulman, ou qu'il attend son heure pour abattre la laïcité quand il en aura la possibilité.
De tout ce qui a été dit précédemment, il résulte également qu’aucun crédit ne doit être accordé à ceux qui prêchent pour un « islam d’Europe ». L’Union Européenne n’est certainement pas un « club chrétien » (elle ne l’a d’ailleurs jamais été) mais elle est – et doit demeurer – un « club laïque », résolument et strictement laïque. Cette condition sine qua non de l’unité européenne ne permet pas d’intégrer l’islam, pas plus que d'autres religions d'ailleurs, dans les structures de l’Union Européenne. Au risque de nous répéter, nous insisterons sur le fait que l’islam est, par sa nature même, une doctrine « anti-laïque ». Un musulman est incapable de concevoir la notion de laïcité et s’il est capable de la concevoir – et de la respecter – c’est qu’il n’est pas musulman, ou qu'il attend son heure pour abattre la laïcité quand il en aura la possibilité.
Il ne peut y avoir de paix au Proche-Orient puisque les « hommes de Dieu » (rabbins, imams, ayatollahs,…) ne cessent de prêcher la « guerre sainte » et de s’enfoncer dans l’intolérance. Sur ce plan là, les « juifs orthodoxes » ne valent pas mieux que les « islamistes intégristes ». C’est ainsi qu’en 1994 fut mis en service le premier « bus kasher » comportant une séparation entre les hommes et les femmes. Il répondait aux exigences des orthodoxes qui se plaignaient de devoir « côtoyer des femmes légèrement vêtues » !
Il ne peut y avoir de paix au Proche-Orient puisque les « hommes de Dieu » (rabbins, imams, ayatollahs,…) ne cessent de prêcher la « guerre sainte » et de s’enfoncer dans l’intolérance. Sur ce plan là, les « juifs orthodoxes » ne valent pas mieux que les « islamistes intégristes ». C’est ainsi qu’en 1994 fut mis en service le premier « bus kasher » comportant une séparation entre les hommes et les femmes. Il répondait aux exigences des orthodoxes qui se plaignaient de devoir « côtoyer des femmes légèrement vêtues » !
Comment peut-on espérer faire la paix avec de tels fous furieux ?
Je m’appelle Jacques, je suis français et habite en Allemagne. En plus je suis en retraite et mon hobby est les VELOSOLEX. Voilà qui est presque tout dit.
Par contre, j’ai un texte qui convint très spectaculaire :
Etude analytique ( en partie )
L’islam est ainsi devenu, avant toute chose, la religion des peuples guerriers. Elle n’a strictement rien d’attrayant pour des nations pacifiques et évoluées.
Pour les musulmans, la guerre de conquête est indissociable de la religion, conquérir étant dans l'islam un acte religieux. Mahomet a donné l’exemple en menant lui-même dix-sept campagnes militaires au nom du « djihad ». Aujourd’hui encore, c’est au nom du djihad et au cri d’Allah Akbar que les musulmans font la guerre à tous ceux qui refusent de se soumettre à leurs principes archaïques et théocratiques, donc anti-démocratiques, et à leur vision islamique du monde.
Le monde vivra dans la hantise de la guerre aussi longtemps que Jérusalem sera la pomme de discorde qui oppose les « religions du désert ». La meilleure chose qui puisse arriver à l’humanité serait qu’un tremblement de terre rase, une fois pour toutes, cette ville maudite. L’idéal serait que ce tremblement de terre rase aussi La Mekke et Médine. On peut toujours rêver, non ?
Sur ce plan de la vieille ville de Jérusalem, on peut situer les différents quartiers et les différents sites religieux qui se situent essentiellement dans le secteur de la « colline du Temple ». Notons que la mosquée d’Omar a été construite à l’emplacement présumé du temple de Salomon. Les musulmans ont aussi rasé l’ancienne église du Saint Sépulcre. Dans la pratique, ils ont toujours tenté de récupérer les « lieux saints » au seul profit de l’islam et d’effacer les traces des autres religions. C’est d'ailleurs ce que firent les talibans en Afghanistan avec les Boudha géants de Bamyan. L’intolérance n’est pas un vain mot chez les musulmans !
La branche chiite de l’islam découle du premier schisme qui a secoué cette religion, opposant entre eux les parents et les principaux « lieutenants » de Mahomet. Ce sont les partisans de son gendre Ali (époux de sa fille unique Fatima) qui fondèrent le rite chiite qui possède son clergé, les ayatollahs. Les chiites demeurent cependant minoritaires au sein du monde musulman, la plupart des adeptes de l’islam étant des « sunnites ».
C'est une religion fondée sur la passion mystique. Pour comprendre le chiisme, il faut remonter loin dans l'histoire de l'Islam. A la mort de Mahomet (632), les partisans d'Ali, le gendre du prophète, estiment que la succession ne peut être assurée que par lui. Ce qui ne fut pas le cas. On lui préféra un autre calife. Quelques assassinats plus tard, Ali est porté au pouvoir par son clan. Il s'ensuit une guerre civile de 5 ans. Ali est tué par ses rivaux, le clan d'Aïcha, une des femmes du Prophète (qu'il avait épousée alors qu'elle n'avait que six ans). C'est la grande scission. Les fidèles d'Ali prennent alors le nom de chiites (Chi'at Ali, parti d'Ali). Ils se considèrent comme légitimistes par opposition aux sunnites qui, eux affirment respecter la sunna, c'est à dire la tradition de Mahomet. Ce sont tous de profonds Musulmans. Mais ces deux conceptions du pouvoir spirituel et temporel vont se heurter pendant des siècles.
Aujourd'hui, les sunnites représentent près de 90 % des musulmans. Ils sont considérés comme des orthodoxes de l'Islam, surtout grâce à leur poids démographique.
Le chiisme est mystique et passionné. C'est une religion fondée sur le mystère et le martyre. A l'exemple d'Ali et de ses deux fils assassinés. Le plus jeune s'appelait Hussein. Il se fait tuer avec toute sa caravane, sur la route de Kerbala en Irak. Les chiites ne s'en sont jamais remis. Toutes leurs villes saintes célèbrent des martyrs. De là vient l'exaltation que l'on retrouve dans nombre d'actions violentes au Proche et Moyen-Orient.
Si, dans ces régions, les chiites sont globalement minoritaires, ils représentent 90 % des Iraniens et 60 % des Irakiens. Ce qui explique leur tentation du pouvoir. Ils sont également très présents à Oman, au Liban, au Pakistan et en Afghanistan.
Autre point, très important, les chiites ne reconnaissent que l'autorité des imams, descendants d'Ali, à qui aurait été transmis le Coran par Mahomet. Tous les fidèles doivent se référer à ces guides spirituels, ce qui explique l'importance de leurs prêches. Enfin, pour les chiites, Mahomet n'est pas le dernier prophète. Ils attendent toujours l'ultime, le « Mahadi » (inspiré de Dieu). Pour eux, la « Révélation » n'est donc pas achevée. (apparemment, Michel Potay ne serait donc pas ce prophète successeur de Mahomet comme il l'affirme dans son livre, « La révélation d'Arès »)
Le musulman, surtout s’il est Arabe, a toujours rêvé de conquérir le monde. C’est un guerrier, un conquérant, avant d’être un « homme de dieu ». Allah lui sert d’alibi lorsqu’il doit se justifier, expliquer son comportement. Et nous savons qu’à plusieurs reprises, les armées de l’islam ont tenté d’envahir l’Europe occidentale et centrale. L’Espagne fut le seul pays d’Europe qui eut à subir une longue domination musulmane mais il s’en fallut de peu que les armées ottomanes n’envahissent l’Autriche après avoir fait main basse sur l’Europe balkanique. Et nous savons ce qu’il est advenu de la domination musulmane dans les Balkans. Islamisées de force, les populations d’Albanie et de l’ex-Yougoslavie n’ont plus cessé de s’entre déchirer. Les guerres récentes de Serbie, de Bosnie et du Kosovo ne sont rien d’autre que la triste conséquence de l’islamisation forcée des peuples qui furent dominés par les armées de la « Sublime Porte ».
Le coran, tel qu’il nous est parvenu, est un ouvrage pervers qui autorise les interprétations les plus malsaines et les plus dangereuses qui soient. Avec l’omma – qui en est le prolongement socio-politique – il est le reflet d’un type de société qui aurait dû disparaître depuis très longtemps déjà. La société musulmane est une survivance du Moyen Age en plein XXIe siècle. En cela, elle diffère des sociétés dites « primitives » (indiens d’Amazonie, bochimans d’Australie,…) par le fait que son anachronisme est volontaire et ne résulte pas d’un isolement géographique. Les musulmans sont « passéistes » parce qu’ils sont nostalgiques du passé et ne veulent pas vivre dans le présent.
S’il avait pu être adapté, si les musulmans avaient accepté de reconnaître le caractère anachronique du coran et de la sunna (comme l’on fait la plupart des Chrétiens pour les textes bibliques), l’islam ne serait pas aujourd’hui une religion dangereusement obsolète. Il aurait notamment fallut admettre que les sourates dites « de Médine » n’ont rien de « sacré » mais constituent un simple code « de bonne conduite » et un recueil de coutumes qui n’a plus qu’une valeur historique.
Ramené à sa seule dimension théologique, épuré de ses appels à l’intolérance et à la guerre sainte, débarrassé de ses éléments anachroniques, le coran serait un livre acceptable (pour qui accepte la notion de monothéisme), un livre « politiquement correct ». Mais pour les « bons musulmans », il ne serait plus le coran. Pour les Arabes conquérants et revanchards, le coran est un alibi bien commode pour justifier tous les mauvais coups (idem pour les Juifs de Palestine). Ils n’ont donc aucun intérêt à le modifier, à le « moderniser ». Une fois « épuré » de ses appels aux meurtres, le coran ne serait plus un alibi pour les terroristes !
Le problème paraît donc insoluble et, vu le caractère criminogène du coran, il ne reste qu’une solution : en interdire la vente, la diffusion et l’enseignement sur le territoire des pays appartenant à l’Union européenne. Il suffit pour cela de démontrer – et c'est ce qui est fait dans l'étude analytique – que le coran est dangereux pour la santé mentale. Dès lors, en vertu de l’article 130 R du Traité de l’Union européenne, il devient possible de déposer plainte auprès des instances juridiques de l’Union. C’est une application, parmi d’autres, du principe de précaution et du principe de la correction à la source.
Une telle revendication implique, outre l’interdiction du coran dans sa version actuelle, de fermer les « écoles » coraniques car celles-ci ne sont que des centres de « lavage de cerveau » où l'on doit apprendre par cœur le coran dans sa version arabe. Ces mesures devront être maintenues jusqu'à parution d'une version civilisée du « livre inimitable » ayant abandonné ses versets criminogènes et archaïques car il ne peut y avoir un « islam de France » (et à fortiori un « islam d'Europe ») que s'il y a d'abord un « coran de France », même si cela peut sembler à priori contradictoire et incompatible avec la nature même du coran et de l'islam. Une contradiction de plus ou de moins ne devrait pas être insurmontable pour une religion qui en accumule autant depuis si longtemps.
La notion même d’ « islam modéré » n’a aucun sens pour un musulman pratiquant pour qui le coran est le coran, l’islam est l’islam, un point c’est tout. Dès que l’on postule que le coran est la parole inaltérable et immuable de dieu, parler de « modération » est un non-sens. La profession de foi (chahâda) qui est exigée de tout « bon musulman » constitue une négation de la « modération » dans le sens où les Européens l’entendent habituellement. La chahâda implique, rappelons-le une fois encore, une totale soumission à un dieu supposé tout-puissant et à sa « parole révélée », le coran. On est là aux antipodes de la modération !
Un musulman peut être un honnête homme ou une vulgaire crapule. Mais il ne peut pas être « modéré ». S’il est modéré, au sens où nous l’entendons, c’est qu’il n’est pas un « bon musulman ». Il y a eu d'honnêtes membres du parti nazi (certains sont même reconnus « Justes parmi les nations » par l'Etat d'Israël) et d'autres furent de vulgaires crapules mais croire qu'il puisse exister un « nazisme modéré » sans référence à Hitler ni à l'antisémitisme est aussi absurde que de croire qu'il puisse exister un « islam modéré ». Autant chercher la quadrature du cercle
Le verset 67 de la sourate VI est l’un de ceux qui impose aux musulmans de ne jamais discuter avec les « incrédules ». Il dit : « Lorsque tu vois les incrédules entamer la conversation sur nos enseignements, éloigne-toi d’eux jusqu’à ce qu’ils entament une autre matière… ». C’est un exemple, parmi d’autres de l’intolérance de la pensée mahométane et de l’impossibilité d’entamer un dialogue honnête et sincère avec un « bon musulman ».
En outre, le coran impose aux croyants de n’entretenir aucune forme d’amitié avec les « infidèles ». Voyez ce que dit, par exemple, le verset 56 de la sourate V : « O, croyants ! Ne prenez point pour amis les Juifs et les chrétiens. Ils sont amis les uns des autres. Celui qui les prendra pour amis finira par leur ressembler et dieu ne sera point le guide des pervers » !
On nage là dans l’intolérance la plus totale. Mahomet était-il à ce point convaincu de la faiblesse de ses « révélations divines » qu’il avait ainsi cru utile d’éloigner ses « fidèles » de ceux qui auraient pu en faire la démonstration ? Car lorsque l’on est certain de la justesse de ses propos, on ne craint pas de les confronter aux critiques de ses adversaires. Le musulman qui se retire derrière le coran pour refuser, comme le voulait Mahomet, de discuter du bien fondé de ses convictions est un homme faible et pour tout dire un lâche. Mais, comme il a été dit plus haut, il n’est pas impossible du tout que certains versets – comme celui qui vient d’être évoqué – aient été introduits dans le coran par la volonté du khalîfe Othman.
Cela aussi, il faut le dire haut et fort bien que ce soit une évidence, est l’une des faiblesses majeures de l’islam. Un musulman qui serait véritablement « modéré » accepterait de s’asseoir à la même table que des juifs, des chrétiens et des athées. Il serait prêt à défendre ses convictions mais aussi à entendre les critiques, à les analyser et, le cas échéant, à les prendre en considération. Mais, une fois encore, il sera regardé par les « bons musulmans » comme un traître. Et comme tel, il sera exclu de sa communauté, si ce n’est pire.
Si l’on considère l’histoire du monde musulman, toutes les tentatives visant à « adoucir » les mœurs islamiques – autrement dit à les humaniser et à les moderniser – ont été vouées à l’échec. L’une des plus connues fut celle de l’empereur indien Akbar qui fit construire Djami Masdjid, grande mosquée (terminée en 1575). C’est dans cet immense édifice qu’il prononça son fameux « sermon sur la tolérance universelle » (en 1579). Ce souverain humaniste et cultivé avait tenté de faire la synthèse de l’islam et de l’hindouisme. Mais il ne tarda pas à être déclaré hérétique par les autorités islamiques. Cet exemple démontre que même un empereur musulman n’a pas la capacité de réformer cette religion archi conservatrice. Comment pourrait-on, dès lors, croire que les autorités laïques des pays de l’Union européenne pourraient influer, d’une manière ou d’une autre, sur le cours des choses ?
Soyons sérieux et regardons les choses en face !
Comme il vient d’être dit, en islam le « bon musulman » c’est celui qui est de stricte observance, celui qui vénère le coran (42) – le « livre inimitable » -, celui qui se soumet totalement aux ordres de ceux qui parlent au nom d’Allah. Mais il existe des tas de nuances très subtiles que les non musulmans ont parfois bien des difficultés à discerner. C’est ainsi que pour un Saoudien, le « bon musulman » est celui qui respecte à la lettre les lois coraniques inhumaines qu’impose le wahhabisme, l’une des interprétations parmi les plus anachroniques et les plus abusives du coran.
L’Européen naïf aurait tendance à penser, à prime abord, qu’un « bon musulman » est un « musulman bon », autrement dit un homme pieux qui fait le bien et qui désire la paix. En réalité, un tel homme serait, au regard de l’enseignement coranique, un « mauvais musulman ». En terre d’islam, l’ « homme pieu » est celui qui est toujours prêt à se battre pour « la gloire d’Allah » (43), autrement dit pour défendre et promouvoir la religion musulmane et ses principes surannés.
Ne nous voilons pas la face (laissons ça aux musulmanes !), Nous sommes bel et bien confrontés à une invasion islamique de l’Europe, une invasion « en douceur » (comme, en fait, l'immense majorité des invasions historiques) mais bien réelle qui se fait avec la complicité active de ceux- là mêmes qui sont l’objet de l’invasion ! Nous allons jusqu’à payer les envahisseurs par le biais des allocations sociales que nous leurs allouons généreusement. C’est comme si les Indiens d’Amérique du Nord avaient accordé des RMI, des Minimex ou des allocations familiales aux colons européens venus les dépouiller de leurs terres et les assassiner ! Cette comparaison n’a rien d’excessive. Elle illustre bien la réalité des faits. Car c’est souvent avec l’argent des « aides sociales et culturelles » que les nouveaux envahisseurs parviennent à s’organiser au nez et à la barbe des « autorités ». ce n’est que dans un second temps, lorsqu’ils sont déjà organisés et implantés, que des aides « extérieures » (notamment celles qui émanent des mouvements islamistes saoudiens) leurs sont attribuées.
Car tel est leur plan, leur objectif . Se rendre maîtres du territoire européen par une infiltration insidieuse et prendre le pouvoir « légalement » en infiltrant peu à peu les institutions. C’est ce que firent Adolf Hitler et ses « nazis » entre 1920 et 1933 !
Il est donc de notre devoir de combattre les arabo-musulmans (et leurs complices) comme nos pères et nos grands-pères combattirent le fascisme, le nazisme, le pétainisme, le rexisme, le franquisme et le stalinisme. C’est un devoir que nous devons à leur mémoire mais c’est aussi un devoir que nous avons vis-à-vis des générations futures.
Pour mémoire, l’islam n’est une religion « autochtone » qu’en Arabie. Partout ailleurs, c’est une religion « importée » et même « imposée » par le fait de la conquête arabe. C’est le cas en Afrique du Nord et dans une partie de l’Afrique noire. Contrairement à ce que pensent la plupart des Européens, les Maghrébins ne sont pas des « Arabes ». La plupart d’entre eux sont d’origine Berbère mais les populations d’Afrique du Nord ont été fortement métissées du fait des invasions et des colonisations. En Algérie, on trouve aussi des Kabyles tandis que les Touaregs peuplent une bonne partie du Sahara. Les Tunisiens ont de lointaines racines phéniciennes. Pour les populations d’Afrique, l’islam n’est rien d’autre que la religion de leurs anciens « maîtres » arabes.
Nous l’avons dit et nous ne cesserons de le redire : nous sommes des démocrates et des pacifistes. Mais nous ne voulons pas d’une « Europe pluriculturelle » où les musulmans viendraient nous imposer leurs prétendues « traditions » et leurs principes de vie dangereusement rétrogrades. Nous voulons une Europe laïque – authentiquement laïque -, démocratique – authentiquement démocratique -, une Europe ouverte au progrès et aux lumières de la science. L’islam n’a pas sa place dans une telle Europe et si les musulmans ne veulent pas le comprendre et l’admettre de plein gré, il faudra bien que nous leur fassions comprendre – par la force s’il le faut – qu’ils doivent se plier à « nos » principes ou … retourner appliquer leurs principes coraniques dans leurs déserts !
Les islamistes n’ont jamais été à une contradiction près. En cela, ils sont le parfait reflet de leur « livre sacré », ce coran qui est lui-même bourré de contradictions.
Le coran est typique du double langage pratiqué par les Arabes. C’est ainsi que le verset 35 de la sourate 17 dit : « Ne tuez point l’homme, car dieu vous l’a défendu… » mais ajoute aussi sec : « …sauf pour une cause juste » ! Le même verset précise que l’héritier de celui qui a été tué injustement a le pouvoir d’exiger « une satisfaction » (sic) mais sans avoir le droit de tuer le meurtrier « car il est déjà assisté par la loi ». Les héritiers des innocentes victimes de l’islamisme sont donc, en vertu de la loi coranique, en droit d’exiger réparation mais à la condition de ne pas réclamer la mort des meurtriers. Le système islamique, qui lapide les femmes adultères et coupe les mains des (petits) voleurs sans la moindre hésitation, est curieusement clément avec les assassins et la voyoucratie royale !
C’est parce qu’il est farci d’inepties et de contradictions que les dirigeants islamistes ont décrété que le coran ne pouvait pas être discuté ou interprété. Nous avons analysé les 114 sourates et nous avons été effarés par la stupidité générale qui se dégage du texte. Si ce livre était vraiment « la parole de dieu », alors le monde aurait été créé par un sinistre imbécile !
Une chose est en tous cas certaine : il y a à présent près de 1000 ans que les Européens font les frais des querelles intestines qui opposent les « fidèles » des trois grandes religions monothéistes, la juive et ses deux dérivées (chrétiens et musulmans). Ces querelles de clochers et de minarets ont causé la mort de millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Elles ont engendré les Croisades aussi bien que la lutte fratricide que se livrent, depuis un demi-siècle, les Israéliens et les Arabes.
Pour nous, Européens, la farce a assez duré et nous disons : Basta !
Nous en avons marre de vos querelles à base de bondieuseries !
Nous en avons marre de vos fanatiques !
Nous en avons marre de vous !
Nous étions tolérants, trop tolérants sans nul doute. Mais nous allons cesser de l’être pour vous traiter dorénavant comme vous le méritez. Vous vous dites « élus de dieu » mais vous n’êtes que des immatures, des individus indignes d’entrer dans le troisième millénaire. D’ailleurs, les musulmans en sont encore loin, eux qui ont cru utile de faire redémarrer leur calendrier à zéro en l’an 622.
Sachez que nous n’en avons « rien à foutre » de vos vieilles rivalités et de vos bouts de déserts. Si vous voulez continuer à vous entretuer, si vous êtes incapables de vous comporter comme des êtres humains normaux, eh bien continuez à vous faire la guerre dans vos déserts d’Arabie, du Sahara ou d’ailleurs.
Mais foutez-nous la paix !
Depuis un bon demi siècle, les Européens sont enfin parvenus à faire la paix entre eux. Les seuls européens qui continuent à se faire la guerre sont des chrétiens qui s’entretuent au nom d’un même « dieu unique et miséricordieux ». Ceux-là ne valent pas mieux que vous et nous ne les plaindront pas. Ces quelques « exceptions » mises à part, nous avons retrouvé la paix grâce aux louables efforts des nations européennes. Et nous ne laisserons pas des « fouteurs de merde », juifs, musulmans ou autres, menacer cette œuvre de paix avec leurs conneries !
Battez-vous si vous ne savez rien faire d’autre, mais battez-vous chez vous. Il n’y a pas de place en Europe pour des gens de votre espèce.
Ne renouvelons pas les erreurs des années 20 et 30 du siècle passé, celles qui permirent au fascisme et au nazisme de prospérer, de prendre le pouvoir et de mettre le monde à feu et à sang. Les islamistes, radicaux ou prétendument « modérés » ne valent pas mieux que les sbires d’Hitler, de Mussolini ou de Franco. Car il y eut aussi, dans les rangs fascistes et nazis, des hommes et des femmes qui n’étaient pas des tortionnaires. De simples « suiveurs modérés » comme le sont la plupart des musulmans d’Europe.
Envoyons paître les « bien pensants » et les naïfs. Laissons bêler les imbéciles avec le troupeau, qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre. Prenons notre destin en mains et assumons nos responsabilités pendant que nous pouvons encore le faire. Ne nous laissons pas duper par les propos des bureaucrates européens qui veulent nous imposer leurs vues et celles des affairistes qui ne voient pas plus loin que leur compte en banque. Et s’il le faut (mais seulement s’il le faut !), débarrassons-nous, manu militari, des indésirables que nos sociétés assoupies ne savent pas (ou ne savent plus) éliminer. Nos parents et nos grands-parents ont agi de la sorte pour se débarrasser de la vermine nazie. Et nous les avons glorifiés comme il se doit. Serions-nous moins courageux qu’eux ?
Mais avant de devoir en arriver à de telles extrémités, nous devons jouer nos dernières cartes politiques. L’Union européenne peut, éventuellement, admettre trois ou quatre partenaires supplémentaires. Pas plus. Elle ne peut admettre que des nations strictement européennes et parfaitement laïques et, de toute façon, toute nouvelle candidature devrait être soumise au suffrage de l’ensemble des citoyens de l’Union, non point pays par pays mais dans le cadre d’un referendum unique. La candidature de la Turquie – pays qui n’est pas européen (49) et qui n’offre aucune garantie sur le plan politique (50) – doit être rejetée.
(49) La Turquie est, certes, à cheval sur l’Europe et l’Asie mais, pour une superficie totale 779.452 km², la Turquie d’Asie représente 755.688 km². Sa population totale est d’environ 70 millions d’habitants dont plus des ¾ vivent en zone asiatique. Ce pays doit donc être considéré comme un pays d’Asie mineure et non comme un pays européen. De ce fait, il ne peut adhérer à l’Union européenne. Le « problème turc » n’existe pas. Il n’a même pas à être discuté. Sur les cartes, on voit que la « Turquie d’Europe » (au nord de l’axe Bosphore-Dardanelles) ne représente rien par rapport à la Turquie d’Asie.
Admettre la Turquie au sein de l’Union européenne équivaudrait à faire entrer un premier loup musulman dans la bergerie européenne.
Article paru dans le numéro du 17 octobre 2003 de l’hebdomadaire « Télépro »
…Dans une école en feu de La Mecque, 15 jeunes filles sont mortes parce que les gardiens de l'établissement, membres de cette police religieuse, n'ont pas voulu laisser entrer les sauveteurs : ceux-ci auraient pu lever les yeux sur les Jeunes filles dévoilées...
Des guerres très meurtrières et sans fin sont ainsi menées contre les chrétiens ou les hindouistes par des mouvements islamiques armés. Le cas de la Tchétchénie est l’un des plus fragrants. Il ne s’agit pas, comme on pourrait le croire, d’une « guerre d’indépendance » mais bel et bien d’une guerre religieuse, d’une djihad menée contre la Russie par des terroristes armés par les pays arabes. On a vu, lors de la dramatique prise d’otage de Moscou, à quel point ces terroristes sont déterminés à faire périr des innocents pour la « gloire d’Allah ». Pour un « bon musulman », la vie terrestre est sans grande importance. Il méprise sa propre vie et donc aussi, hélas, celle des autres !
Le mépris de l’opinion et de la vie d’autrui est une constante de l’islam. Elle conditionne le comportement quotidien du musulman, conformément aux prescriptions du coran (voir l'étude analytique de ce texte). Le « bon musulman » doit être hermétique aux opinions d’autrui et à tout ce qui va à l’encontre de ses convictions religieuses. C’est ce refus systématique du dialogue qui rend illusoire les tentatives de « conciliation » et de « consensus » auxquels certains occidentaux veulent encore se raccrocher. En cela, ils démontrent qu’ils sont incapables de se mettre « à la place de l’autre », autrement dit de raisonner comme un musulman.
Il n’y a guère que la méthode trotskyste qui puisse s’opposer valablement à la pensée musulmane car elle impose, précisément, d’être en mesure de raisonner à la manière de l’adversaire et de le combattre avec ses propres armes
Pour combattre efficacement l’islamisme, il faut donc connaître la mentalité musulmane, l’histoire de la conquête arabo-musulmane et, bien évidemment, le coran. Ce n’est qu’après avoir acquis les connaissances nécessaires que l’on peut s’attaquer, à armes égales, à ces redoutables adversaires que sont les musulmans.
Une chose est en tous cas certaine : aussi longtemps que des systèmes politiques seront fondés sur la violence, sur l’intolérance et sur la volonté de domination, il se trouvera toujours des individus prêts à répondre à cette violence et à cette intransigeance par un fanatisme inconditionnel et aveugle. Et ces fanatiques, recrutés au sein de populations endoctrinées ou n’ayant rien à perdre, trouveront toujours le moyen de déjouer les systèmes de sécurité les plus « sophistiqués », surtout dans un monde qui évolue dans le sens de la « mondialisation », autrement dit dans le sens d’une ouverture toujours plus grande des marchés et d’une circulation toujours plus importante des biens et des personnes. Car la « mondialisation du terrorisme » est une conséquence directe et inévitable de la mondialisation de l’économie.
Nous devons éliminer l’islamisme et les islamistes comme nos parents et nos grands-parents ont éliminé le nazisme et les nazis. Car il n’y a pas de différences entre les « fous d’Allah » et les disciples d’Adolf Hitler, entre les fanatiques qui brandissaient « Mein Kampf » et ceux qui brandissent le coran, entre les troupes d’Himmler et celles de Ben Laden. Et s’il existe des musulmans respectueux des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, ils doivent participer activement et ouvertement à la lutte contre l’islamisme, exactement comme le firent les humanistes allemands qui luttèrent courageusement contre les nazis. Quant à ceux, parmi les musulmans, qui hésiteraient à se « compromettre » vis-à-vis de leurs prétendus « frères en religion », qu’ils ne s’étonnent pas si, un jour, ils se retrouvent traités comme de vulgaires « collabos ». Exactement comme tous ces Allemands qui, sans être de vrais nazis, refusèrent de condamner ouvertement le national-socialisme ou se firent les complices indirects du régime hitlérien.
Si la plupart des religions portent en elles un potentiel criminogène, c’est certainement l’islam qui demeure, pour l’instant, la plus criminogène de toutes les religions connues à ce jour. D’aucuns ont parlé de « réforme » de l’islam mais l’on voit mal comment il serait possible de réformer l’islam sunnite qui n’a pas de clergé et qui permet, à n’importe quel individu à l’esprit dérangé de se proclamer « saint homme » et d’enseigner sa propre interprétation d’un texte qui, quoi que l’on puisse dire, a été rédigé, il y a près de 1500 ans, par un personnage violent, sectaire et malsain. Quant à l’islam chiite, il n’est pas plus susceptible de réformes malgré l’existence d’un clergé. Pour réformer l’islam, il faudrait expurger le coran de ses principes datant du lointain Moyen-Age et de ses idées belliqueuses. Un programme quasiment irréalisable dans un système religieux qui se fonde, précisément, sur le caractère « intouchable » des « écrits du prophète ».
Il n’y a pas à dire, de toutes les inventions de l’homme, dieu est sans conteste la pire de toutes. C’est un fléau qui a tué des centaines de millions d’hommes, de femmes et d’enfants. C’est un fléau apparemment indestructible, qui perdure depuis des millénaires et qui renaît de ses cendres à la moindre occasion, tel l’oiseau Phœnix.
Aussi longtemps que les chimères divines hanteront l’esprit humain, l’humanité sera la proie des guerres et des atrocités. Les dieux ne sont sans doute pas les seules causes de conflits mais ils sont certainement à l’origine des conflits les plus meurtriers et, en tous cas, des conflits les plus stupides. On peut comprendre que l’homme puisse combattre pour se protéger ou parce qu’il a faim mais il est inadmissible, en ce début du XXIe siècle, qu’il puisse encore tuer ou asservir d’autres hommes au nom d’une chimère, au nom d’un dieu qu’il n’a jamais vu et qu’il ne verra jamais. Plus que jamais, l’homme demeure un loup pour l’homme. Mais c’est un loup lâche et hypocrite qui se retranche derrière les alibis religieux pour commettre ses crimes les plus odieux. Telle est, sans doute, la principale leçon que l’on puisse, à ce jour, tirer des évènements de ce septembre très noir.
Pas plus que les textes sacrés des Hébreux ou la bible catholique, le coran n’a rien d’un « livre révélé ». C’est une énorme imposture qui fut inspirée par le clan de bédouins auquel appartenait le prétendu « prophète ». Il ne s’agit, comme cela est démontré dans l'étude analytique, que d’un mauvais plagiat de la Thora juive, cette « loi » que Moïse était supposé tenir de dieu lui-même.
Nous avons aussi rappelé que les « prophètes », tant ceux de jadis que ceux d'aujourd’hui, prennent toujours bien soin de s’isoler du « vulgaire » pour recevoir les « ordres divins ». C’est pratique lorsqu’il s’agit de berner son monde et nous attendons toujours que « dieu » s’adresse à ses ouailles sans passer par des intermédiaires douteux. Pourquoi donc ce dieu - que l’on nous dit si puissant - demeure-t-il incapable de « communiquer » lui-même avec ses « créatures » ? N’est-il pas capable de prendre le contrôle des ondes hertziennes ou d’Internet et de parler aux humains par le biais des « médias » ? Pourquoi le dernier des imbéciles est-il en mesure de parler au monde entier et pas « dieu le père » ?
Cette banale réflexion permet, une fois de plus, d’émettre la seule conclusion logique : dieu n’existe pas plus que le diable ! Et, du même coup, nous devons admettre que le paradis et l’enfer n’existent pas non plus. Ce sont de pures inventions humaines.
Quoi qu’il en soit - et même s’il est aisé de démontrer que les textes dits « sacrés » des trois grandes religions monothéistes ne pouvaient s’appliquer qu’aux populations nomades du Moyen-Orient, telles qu’elles vivaient à l’époque où il furent rédigés – il faut bien admettre que ces religions n’ont cessé, depuis lors, de semer la zizanie au sein de l’humanité, générant guerres, génocides et crimes en tous genres.
Quand donc l’humanité sera-t-elle débarrassée de cette chienlit ? Quand donc l’homme s’affranchira-t-il des chimères qui, en lui promettant un paradis que personne n’a jamais vu et ne verra jamais, lui font commettre les pires atrocités sur terre ou supporter les pires injustices ? Quand donc les religions trouveront-elles leur juste place : en tête de la liste des drogues dures et des stupéfiants à n'utiliser que pour soigner les malades incurables ?
Comment les hommes et les femmes d’aujourd’hui peuvent-ils encore croire que la bible ou le coran (entr’autres) puissent avoir été dictés par un dieu quelconque ? Un dieu qui ne se serait adressé qu’à des bédouins incultes ? Un dieu dont, fort curieusement, les manifestations ont diminué au fur et à mesure que la science devenait à même de démasquer les imposteurs et de soigner les fous ? Quel est donc l'intérêt d'un dieu qui n’a jamais fourni la recette du bonheur sur la terre et de la paix entre les hommes ? Dieu, bien au contraire, a toujours manifesté de la violence, soit par des colères soit par des menaces, particulièrement dans le coran, du moins quand il ne s’y attarde pas sur des détails sans la moindre importance (comme la longueur de la barde des « fidèles » et autres balivernes du même genre qui parsèment les sourates).
Une fois encore, tout cela est dû au fait que les Occidentaux n’entendent rien aux réalités de l’islam et à ce coran qui est aux islamistes ce que « Mein Kampf » était aux nazis. Car, au risque de nous répéter, il faut s’imprégner du fait que l’islamisme radical présente de très nombreuses similitudes avec le nazisme. Dénoncer le coran, ramener Muhammad ibn Abd-Allah ibn el-Mottalib, dit « Mahomet », à sa dimension réelle (celle d’un malade, d’un pervers et d’un imposteur) et lutter activement contre l’hégémonie islamique, tels sont les axes majeurs de ce que doit être le combat des hommes libres contre le fascisme vert.
Il nous faut donc lire et relire le coran. Il nous faut étudier sans relâche la vie de ce prophète de pacotille qui demeure sans conteste l’un des personnages parmi les plus malsains de l’histoire de notre humanité. Il nous faut connaître l’adversaire mieux qu’il ne se connaît lui-même. Alors - et alors seulement - nous pourrons espérer le battre sur son propre terrain, le contraindre à admettre ses erreurs, lui faire déposer les armes et restaurer la paix durablement.
On y trouve des ordonnances fiscales et militaires mais aussi et surtout des appels à la guerre et tout un fatras de lois civiles régissant l’homicide, le vol, l’usure, le mariage, l’adultère, les héritages et la pratique de l’esclavage. Ces lois s’inspiraient très visiblement de celles qui étaient imposées par la théocratie juive, tout comme la plupart des rites musulmans (comme le jeûne du Ramadan qui copie celui des Juifs ou encore les rituels relatifs à l’abattage des animaux destinés à être consommés). C’est sans nul doute sous cet aspect que le coran apparaît le plus nettement comme un mauvais plagiat des textes religieux propres au judaïsme.
On continue donc à tourner en rond. Réformer l’islam relève de la mission impossible.
L'ancien vice-Premier ministre iranien, Abbas Amir-Entezam, qui a osé réclamer un référendum sur l'avenir politique du pays et les lois islamiques, a été expédié en prison pour cela.
On sait ce qu’il est advenu à Hachem Aghajari, cet intellectuel iranien qui avait osé affirmer que les musulmans n’étaient pas des singes qui devaient suivre aveuglément un chef religieux et qui plaidait pour un « protestantisme islamique ». Il fut immédiatement condamné à mort (le 6 novembre 2002) par les ayatollahs, lesquels n’ont accepté une révision en appel de la sentence coranique que pour des raisons relevant de la diplomatie internationale. Notons, en passant, qu’avant d’être mis à mort, Aghajari aurait dû subir une « peine annexe » de 74 coups de fouet !
Voilà bien la « grande richesse culturelle » de l’Islam, n’en déplaise aux propagandistes du Centre islamique de Genève !
Intransigeants et intolérants chez eux, les musulmans voudraient que les Européens - qu’ils prennent, trop souvent avec raison, pour des c… - soient, tout au contraire, pleins de « bienveillance » et de « tolérance » à leur égard. Ben voyons !
C’est ainsi que dans l’éditorial du bulletin du « Centre islamique de Genève » (n°5 – mai 1997), on peut lire que : « Tous ceux qui défendent les valeurs de l’islam sont frappés par le contraste qui existe entre la richesse de la culture musulmane et la pauvreté de la perception qu’en ont un grand nombre d’occidentaux… ».
S’il est vrai que les Arabo-musulmans de la « grande époque » furent les promoteurs d’un certain « courant culturel et artistique » (notamment dans le domaine de l’architecture), on ne peut pas s’extasier sur une prétendue « richesse de la culture musulmane » puisque cette culture est, par son essence religieuse rétrograde et théocratique, une culture figée. Dans le domaine littéraire et dans les arts dits « classiques » (musique, danse, peinture, théâtre, sculpture…) la pauvreté des contributions islamiques est flagrante. Si les Occidentaux perçoivent la culture musulmane comme étant « pauvre », ce n’est pas par méconnaissance de cette culture (comme essayent de le faire croire les « centres islamiques ») mais par la réalité de ses lacunes et de son anachronisme.
On cherchera en vain un Mozart ou un Michel-Ange musulman...
Dans le cas des chrétiens, vis-à-vis desquels il ne nourrissait pas une haine aussi profonde que vis-à-vis des Juifs, Mahomet a voulu se montrer relativement « compréhensif », tout en ravalant Josuah (Jésus), fils de Myriam (Marie), au rang de simple apôtre puisque, selon sa profession de foi, le dieu unique n’avait pas enfanté. Il rejeta également la thèse de la crucifixion en affirmant que les Juifs avaient fait crucifier un homme qui ressemblait à Jésus, non Jésus lui-même ! Il mettra ainsi pas mal d’acharnement à nier les dogmes qui voulaient faire de Jésus le fils de dieu. En cela, il ne faisait que perpétuer la vieille polémique qui opposait Juifs et chrétiens. Il cherchait même à l’envenimer pour en tirer avantage. Pour Mahomet, qui avait reçu des rudiments d’enseignement religieux basés sur l’Ancien testament, Jésus était un concurrent. Il fallait donc le faire passer pour un imposteur.
Les similitudes qui existent entre l’Ancien testament et le coran sont nombreuses. Mais elles ne peuvent apparaître qu’après avoir lu les deux textes, ce que les musulmans ne font jamais puisque être musulman c'est admettre que le coran est le seul livre qu'il faut connaître...
S’ils prenaient la peine de le faire, ils s’apercevraient que Mahomet n’a pas inventé grand-chose et que son « livre sacré » n’a rien d’une révélation divine mais tout d'une mauvaise copie.
A ce fond hérité de l’Ancien testament, Mahomet a superposé toute une série de coutumes préislamiques comme le pèlerinage à la Mekke, le culte de la pierre noire, la croyance aux « Génies » (ou « Djinns », une croyance toujours vivace chez certains arabo-musulmans) ainsi que les traditions des populations d’Ad et de Thamoud. Il a assaisonné le tout de quelques considérations propres à son clan ou strictement personnelles. Ainsi naquit la doctrine islamique.
Cette doctrine, bien que n’ayant rien de « divine », s’est imposée au monde arabe qui l’a ensuite imposée ou « revendue » à d’autres peuples. Car les Sémites ont toujours été d'excellents commerçants capables de vendre n’importe quelle camelote comme s’il s’agissait de l’or du Pérou !
La doctrine islamique est dangereuse dans le sens où elle ne laisse place à aucune spontanéité dans les rapports que l’homme prétend avoir avec son dieu. Pour les musulmans, imprégnés du fatalisme arabe, les révélations du coran s’interposent entre le « créateur » et sa « créature ». Discuter ces révélations est un blasphème. Les critiquer est un crime. Allah est, en outre, une entité abstraite, non humaine, qui n’admet pas d’hypostases. En cela, il est typiquement sémite, inabordable, incompréhensible et tout puissant. Bien plus encore que le Yahvé des Hébreux, Allah est un dieu de colère dont l’homme doit s’interdire de comprendre et de juger les desseins. C’est l’aboutissement d’une vision fataliste du monde qui est propre aux peuples des régions désertiques ou peu favorisées par la nature. Astreints à de dures conditions de vie ou aux calamités naturelles, ces peuples sont naturellement enclins à croire que l’homme n’a aucun pouvoir réel sur le cours des choses et sur ses propres actions. C’est de ce fond de fatalisme arabe que découle la vieille rengaine des musulmans : Inch'Allah, Si Allah le veut ! C’est une forme de servilité et d’incapacité à prendre son destin en main.
Et pourtant, on trouve, dans le verset 27 de la sourate XXX, une phrase qui dit : « C’est ainsi que nous exposons nos enseignements aux hommes doués d’intelligence ». Cette phrase, isolée de son contexte, a fait dire à d’aucuns que la doctrine coranique n’est pas aussi fataliste qu’on ne voudrait le dire. Il existe même différentes traductions de cette phrase qui permettent d’accentuer cette impression. L’une d’elles dit « Ainsi nous exposons intelligiblement nos signes (c’est-à-dire les révélations de Mahomet) à un peuple capable de raisonnement ». Toutefois, si l’on resitue cette phrase dans le contexte du verset 27 et de la sourate XXX, on ne lui trouve aucune signification indiquant que Mahomet a voulu permettre à ses disciples de « raisonner ». L’islam est bel et bien une religion de soumission totale à des dictats religieux. C’est une religion qui correspond au tempérament sémite et qui n’a donc strictement rien d’universelle.
Conçu pour des esprits simples et frustres, traditionnellement fatalistes, le coran était destiné à les persuader du fait que les choses de ce monde sont secondaires, qu’il faut se soumettre aux ordres et aux lois d’ici-bas tout en se préparant à accéder à un paradis doré sur tranche mais purement virtuel, aussi virtuel que nos très modernes jeux vidéos.
Comme il est facile de promettre quand on sait que l’on ne devra pas tenir ses promesses !
On observera, en outre, que le bouddhisme n’est pas une religion mais une philosophie. Jamais le Bouddha ne s’est posé en dieu. Jamais il n’a parlé au nom d’une divinité. Il fut un sage parmi les sages, non un « prophète ». S’il est vrai que le bouddhisme est souvent regardé comme une religion, c’est en vertu du comportement des adeptes et non en fonction du prince Siddhârta, celui-là même qui allait devenir le Gautama Bouddha (Gautama est son nom d’ascète, Bouddha signifiant littéralement « L’Eveillé », celui qui a atteint l’éveil suprême ou « bodhi »). Issu d’une famille d’essence royale, Siddhârta était né en l’an 563 avant notre ère, à Kapilavastu (Inde) à une centaine de kilomètres de la frontière du Tibet. Dans bon nombre de pays, le bouddhisme s’est amalgamé avec des rituels plus anciens
Même pour un pur athée, le bouddhisme est regardé comme une expression spirituelle positive et profondément pacifiste. Les bouddhistes ne font pas de prosélytisme et ne cherchent pas à concurrencer les autres formes de spiritualité. Le bouddhisme est une spiritualité que l’on pourrait qualifier de « femelle » tandis que je judaïsme et l’islam sont de type « mâle ». Cela se traduit par l’attitude des prêtres et des dirigeants religieux. Les Rabbins et les ayatollahs (et autres mollahs et imams) sont barbus, souvent hirsutes et peu soignés. Ils adoptent des attitudes et des vêtements de couleurs sombres et froides qui inspirent la crainte et la peur (les prêtres chrétiens ont abandonné la soutane noire, hormis les Traditionalistes). A l’inverse, les moines bouddhistes sont entièrement rasés, ils adoptent des attitudes faites de compassion, de bonté et de sérénité, ils portent des vêtements simples, de couleurs claires et chaudes
Dans une « école » coranique, l’enseignement se fait à coups de trique (al-falqa). Dans un monastère bouddhiste, les jeunes moinillons apprennent à leur rythme, sans brutalités ni contraintes. Ils rient et ils chantent comme tous les enfants tandis que les jeunes musulmans apprennent à vivre sous la contrainte et à semer la terreur au nom d’Allah
Le bouddhisme, c’est la lumière, le soleil, le jour, le positif, la tolérance et la paix.
L’islam c’est l’obscurité, la lune, la nuit, le négatif, l’intolérance et la guerre.
Mahomet, il est vrai, a réussi à imposer - par coran interposé - des réformes sociales relativement positives. Il a favorisé l’émancipation des esclaves, il a obtenu l’abolition des sacrifices humains et de l’élimination des filles à la naissance et quelques autres réformes moins importantes. C’est ce qui le rendit populaire chez les « petites gens ».
Mais il ne faut pas, pour autant, ignorer les nombreux aspects négatifs du coran comme les incitations à la guerre sainte et à la haine des « impies » et des « infidèles ».
Et, de toute façon, les réformes « positives » du VIIe siècle n’ont plus aujourd’hui le moindre intérêt, si ce n’est purement historique. Elles sont totalement dépassées et très en retard par rapport au droit international.
On trouvera des allusions aux traditions des populations d’Ad et de Thamoud dans les sourates suivantes :
14, 17, 22, 26, 27, 29, 38, 40, 41, 50, 51, 53 et 54.
Selon le Qoran, les prophètes et les « martyrs » bénéficient d’un accès direct au paradis. Tous les autres morts ressusciteraient le jour du jugement dernier, lequel verrait aussi apparaître le « Madhi » (le « bien dirigé ») d’Allah ou « vrai messie ». Il chasserait le faux messie qui se serait manifesté entre l’Iraq et la Syrie et serait tué par Jésus. Un vrai roman de salle de gare !
La vision coranique du paradis est véritablement féerique. C’est Dysneyland et Dysneyworld à la puissance mille. On n’attrape évidemment pas les mouches avec du vinaigre mais l’on se demande comment des gens supposés intelligents peuvent encore croire à de telles balivernes !
Globalement, le coran – en mélangeant les domaines du dogme religieux, des rituels, des pratiques sociales et des lois – n’a fait qu’imiter, très mal, ses sources principales : la Thora et le Talmud.
La tradition coranique veut que le coran soit lu et commenté dans la langue du prophète. Il n’en est rien dans la pratique puisque Mahomet parlait un dialecte arabe qui est assez différent de l’Arabe classique, langue qui sert actuellement pour l’enseignement du coran. Il a été dit, par ailleurs, que ses « révélations » furent transcrites en caractères koufiques. Ce n’est qu’ultérieurement que les transcriptions furent adaptées à l’Arabe classique, ce qui dut entraîner de nombreuses altérations de sens. Ce sont les Turcs qui, les premiers, décidèrent de transgresser la tradition en traduisant le coran dans leur langue. Mais dans de très nombreuses régions du monde, l'enseignement du coran se fait dans des « écoles coraniques » où imams et marabouts s’obstinent à faire étudier le coran dans sa version arabe à de jeunes enfants qui ne connaissent absolument pas cette langue. Ils peuvent ainsi commenter le texte à leur manière puisque leurs élèves sont dans l’impossibilité de traduire eux-mêmes le texte de base.
Dans la réalité concrète, le coran a été traduit dans presque toutes les langues. Les traductions françaises sont de qualité variable. Il ne faut toutefois pas ergoter sur certains détails de traduction puisque, de toute façon, nous ne disposons pas des textes originaux. C’est le sens global des versets qui importe, pas leur traduction littérale. En général, les bons traducteurs ont eu la bonne idée d’indiquer, par des renvois de bas de page, les nuances qui pouvaient exister entre la traduction littérale et le sens usuel de certains mots.
Outre sa division en sourates et versets, le coran est aussi divisé en 30 sections nommées « djaz’ » (aucun rapport avec le rit « menblouze », soit dit en passant) et 60 autres appelées « Hïbz ». Ces subdivisions n’ont qu’un intérêt pratique. Elles constituent des « blocs » que les croyants mémorisent en vue de les réciter en les psalmodiant (83), à la mosquée ou lors des cérémonies familiales. La récitation complète du coran, ou « khatm », est une véritable prouesse de mémorisation. Lorsqu’un musulman parvient à ce stade de connaissance du coran, il est supposé avoir atteint une sorte d’ « état de grâce » lui valant la considération de ses coreligionnaires qui voient là une preuve de très grande dévotion (mais ne serait-ce pas simplement, et surtout, une preuve de bonne mémoire ?)
Le mode d’enseignement du coran diffère donc assez radicalement de celui de la bible. On retrouve la volonté de faire réciter le texte (d’où son nom) sans qu’il y ait nécessité de le comprendre. Si la bible raconte des histoires plus ou moins fabuleuses dont le chrétien doit tirer les leçons qui s’imposent, le coran, lui, par ses versets courts et rythmés, permet un enseignement du type « bourrage de crâne ». C’est le principe du marteau et du clou. La psalmodie des versets permet, à la longue, de faire entrer le clou dans la tête. Et quand il est bien enfoncé, il devient souvent impossible de l’en retirer !
Comme le coran lui-même, le mode d'enseignement utilisé dans les écoles coraniques est dangereux pour la santé mentale. C’est celui que, de tous temps, on a utilisé pour former les fanatiques. Dans le bouddhisme, la récitation incantatoire s’accompagne d’une pratique de la méditation destinée justement à compenser les effets hypnotiques. Ce n'est pas le cas pour les musulmans. Chez les Tibétains, la récitation lancinante des mantras est aussi compensée par la méditation et, en outre, les mantras sont des incitations à la rectitude et à la modération (84), pas des appels à l’intolérance et au meurtre.
En Afghanistan, si les sinistres talibans ont fait détruire les magnifiques Bouddhas de Bamyan, ce n’est pas tant parce qu’il s’agissait d’ « idoles » mais parce que ces immenses statues inspiraient une sérénité et un appel à la paix qui ne pouvait que heurter des individus bornés et violents.
Les musulmans ne veulent pas s’intégrer à l’Europe, ils veulent intégrer l’Europe au sein de l’islam !
Notons enfin que les musulmans prétendent pouvoir fournir des « preuves de l’essence divine » du coran. Elles sont de deux types, les preuves dites « historiques » et les preuves dites « scientifiques ». Dans les deux cas, elles sont d’une pauvreté confondante. Il faut faire preuve d’une crédulité véritablement abyssale pour avaliser de telles inepties.
Les preuves dites « historiques » ne sont rien d’autres que les « hâdiths » qui sont à la base des sunnas. Ce sont des propos recueillis auprès de ceux qui auraient connus Mahomet de son vivant. Ils ne prouvent strictement rien, d’autant que pas mal de ces « témoignages » sont de pures inventions, des histoires imaginées longtemps après la mort de Mahomet. C’est un peu comme les évangiles des chrétiens, lesquels sont en partie apocryphe et ne prouvent aucunement, ni la divinité de Jésus, ni celle de l’ancien testament.
Quant aux « preuves » dites « scientifiques », elles feraient sourire un enfant de dix ans dans nos écoles occidentales ! Elles consistent en un petit nombre de versets du coran qui « prouveraient » que Mahomet ne pouvait pas tenir ses prétendues révélations d'autre chose que de son dieu unique (via l'archange Gabriel), les connaissances exprimées dans ces versets n'ayant pu être comprises que récemment (par les musulmans...). Ces versets sont passés en revue dans l'étude analytique du coran et l’on verra que tout cela ne tient pas la route une seule seconde. C'est l'un de ces versets [le n°55 de la sourate XXV (25), version de Kasimirski] qui a donné naissance à la fameuse « rumeur Cousteau ».
Comme nous en avons fait la démonstration dans les différents chapitres de la présente étude, le coran, tel qu’il nous est parvenu est un rare condensé d’intolérance, de haine et d’incitation à la guerre. C’est un recueil d’élucubrations qui ne peuvent être nées que dans l’esprit d’un malade mental. Mais cet ouvrage fait l’objet d’un enseignement systématique dans de très nombreux pays du monde. Dans les pays fortement islamisés, il est même regardé comme le « livre par excellence », le seul que l’homme devrait posséder !
Le coran est donc, bel et bien, le livre le plus dangereux du monde, un livre à proscrire, un livre à interdire dans les pays où le respect des droits de l’homme et de la femme constituent les fondements de la société, un livre à interdire dans tous les pays qui veulent continuer à vivre en paix !
Le coran est une menace pour la paix mondiale et pour les droits de l’être humain, c’est un fait évident. C’est aussi une réelle menace pour la santé mentale d’un grand nombre d’individus. Et à ce titre, il devrait être interdit en Europe conformément aux prescriptions de l’article 130 R de l’Union européenne, lequel a instauré le principe dit « de précaution » et ses deux corollaires (dont le principe de la correction à la source).
C’est ainsi que le verset 20 de la sourate IV peut se traduire ainsi : « Si deux individus parmi vous commettent une action infâme, punissez-les tous les deux. Mais s’ils se repentent et s’amendent, laissez-les tranquilles car dieu aime à pardonner et il est miséricordieux ». Compte tenu du verset qui précède, « si vos femmes commettent l'action infâme, l'adultère,... », l’ « action infâme » dont parle le coran n’est autre qu'un adultère entre deux personnes mais sans qu'aucune femme n'y participe, donc un adultère entre hommes seulement, c'est à dire soit l'homosexualité soit la pédérastie. Et l’on voit que pour les hommes, les recommandations sont beaucoup, beaucoup plus que clémentes en cette matière car le verset 19 (celui qui précède) recommande, pour les femmes adultères… de les enfermer dans des maisons jusqu’à ce que la mort les visite (ou que dieu leur procure un moyen de salut) ! ! !
Il est un fait que l’avilissement de la femme avait, sur la société musulmane, de très fâcheuses répercussions, notamment en matière de mœurs. Dans les « Mille et une nuits » - ce grand classique de la littérature arabe, la femme est désignée comme l’ennemi. Elle est la cible d’une forme particulière de misogynie née de la guerre des sexes imposée par l’islam. Sous le règne des khâlifes Hâroun ar-Rachid et Al-Amine (fils du précédent), les homosexuels tiennent carrément le haut du pavé. Ils se commettent au vu et au su de tout le monde en compagnie des « ghilmân » et les poètes adressent leurs vers à des éphèbes encore imberbes. Car l’homosexualité islamique se teinte souvent de pédophilie, exemple du prophète oblige, lui qui avait pris parmi ses épouses une fillette de six ans !
Selon le droit islamique, la société se décompose en plusieurs classes sociales dictées, comme on s’en doute, par des considérations strictement religieuses. En premier, viennent les musulmans, libres ou esclaves. En seconde place, on trouve les « gens du livre », non musulmans « tributaires » (payant tribu. Le terme moderne est : « rackettés ») qui bénéficient du statut de « dhimmi ». Ce sont des Juifs et des chrétiens qui acceptent de se soumettre à la domination musulmane et jouissent, de ce fait, du « privilège »... de ne pas être tués. Du fait de leurs compétences, ils peuvent occuper une position assez enviable dans la vie sociale, mais ils sont cependant considérés comme des inférieurs par les musulmans. On les retrouve fréquemment dans l’administration, les finances ou les professions que l’on qualifie aujourd’hui de « libérales ». Bien que détestés sur le plan théologique, les Juifs furent souvent épargnés du fait de ce statut et de leurs aptitudes pour le commerce, le droit et les affaires d’argent. C’est ainsi que la tradition veut que ce soit un Juif nommé Isaac qui servit d’interprète lors de la rencontre qui eut lieu, en 797, entre l’ambassade de l’empereur Charlemagne et le khalife Hâroun ar-Rachîd. C’est lui qui, toujours selon la tradition, aurait ramené à Aix-la-Chapelle l’éléphant offert par le calife, ses chefs étant morts en cours de route.
L’histoire nous enseigne même qu’en Egypte, de 1044 à 1047, le vizir n’était autre que le Juif Ben Sahl, favori de la mère du sultan. Ce qui fera dire à un satiriste de l’époque : « Egyptiens ! Ecoutez le conseil que je vous donne : devenez Juifs car le ciel lui-même est devenu Juif ! ».
De tels exemples de « réussite sociale » demeurent cependant exceptionnels. Les dhimmis, ces Juifs et ces Chrétiens qui avaient refusé de se convertir à l’islam, formaient surtout le gros des populations paysannes car les Arabes (les vrais, pas les peuples « arabisés ») ont, de tous temps, été réfractaires aux travaux agricoles. Ce sont des guerriers nomades – à la rigueur des commerçants – mais pas des agriculteurs(86), qu'ils méprisent.
En attendant, une cinquantaine d’exécutions capitales ont eu lieu au pays de ben Laden en 2002. Toutes ont été prononcées en vertu de la « charia », parfois pour des délits mineurs. Plusieurs de ces condamnations concernaient des ventes de drogue. Mais la charia ne s’applique pas à tout le monde. Elle ne s’appliquait pas à Mahomet et à ses successeurs (les califes). Elle ne s’applique pas, non plus, aux roitelets du désert. Elle ne s’applique qu’aux petits, aux sans grade. Ca, c’est une chose que l’on n’apprend pas dans les « écoles » coraniques. Les petits musulmans ne savent pas que si on leur impose une totale soumission aux « lois coraniques », leurs dirigeants, eux, se fichent de la charia comme de leur premier thé à la menthe
Dans nos écoles à nous, on nous enseigne une fable de Jean de la Fontaine. Une fable qui dit « Selon que tu seras puissant ou misérable, etc., etc… ». Nous, au moins, on est prévenu !
Nous avons également souligné que si le coran interdit aux musulmans de se voler entre eux, il n’interdit nullement aux mahométans de voler les « infidèles ». Pour pas mal d’entre eux, c’est même devenu une sorte de sport. Et c’est finalement en vertu des « lois coraniques » que des musulmans trouvent « normal » de tuer les « incroyants », de voler les non musulmans (et même les musulmans qui n’appartiennent pas à la même branche de l’islam), de pratiquer la traite des être humains (esclavage, prostitution,…), de s’adonner aux trafics de drogues, etc… Il est bien pratique ce coran, non ?
L'islam, le coran et Mahomet en 20 questions
et 20 réponses.
1. Le coran est-il d'origine « divine » ?
Une lecture attentive de ce livre démontre qu'il est d'origine purement humaine. Il regroupe les prétendues « révélations » de Mahomet « arrangées » par ses successeurs et notamment par le calife Othman.
Bien loin d'être un « livre saint », le coran est l'un des livres les plus malsains qui ait été rédigé depuis l'invention de l'écriture par les Phéniciens. Il est comparable au « Mein Kampf » d'Adolf Hitler sur de nombreux points mais bien plus dangereux.
2. Mahomet était-il un « saint homme » ?
Les sources historiques, y compris musulmanes, qui existent à propos de ce personnage prouvent qu'il était tout le contraire d'un « saint homme » au sens Occidental du terme. Au sens islamique du terme, Mahomet était un « Saint homme » uniquement parce que la définition musulmane d'un « Saint homme » c'est d'être comme Mahomet.
Intéressé, vaniteux, belliqueux, colérique, violent, cruel, retors et pervers, Mahomet n'est certainement pas un « beau modèle » pour l'humanité, contrairement à ce qu'affirment les musulmans. Bien plus proche d'Adolf Hitler et de Joseph Staline que de Martin Luther King ou de Gandhi, Mahomet est en fait l'opposé du personnage de Jésus Christ, tant dans les actes que dans les intentions.
Véritable obsédé sexuel, Mahomet s'est rendu coupable de pédophilie, un comportement dont on cherchera en vain l'équivalent chez le Christ (à moins d'avoir la mauvaise foi d'interpréter son "laissez venir à moi les petits enfants" comme une tentative de détournement de mineurs !). Les victimes des « guerres de conquête » de Mahomet se comptent par milliers et il est indirectement responsable de la totalité des meurtres commis au nom de la « guerre sainte » dont il fut l'instigateur. Cela justifie sa place dans la galerie des plus grands criminels de toute l'histoire de l'humanité.
Mahomet était sans doute affecté de déséquilibres mentaux profonds, du genre de ceux qui prédisposent au « mysticisme aberrant ». Il conviendrait cependant que cet individu soit jugé, à titre posthume, pour les crimes qu'il a commis et pour ceux qui ont été commis, et se commettent encore, en son nom.
3. Qu'est qu'un musulman ?
Le mot « musulman » vient de « muslim » que l'on traduit usuellement par « soumis à dieu ».
Le musulman est un homme qui accepte de se soumettre à la dictature coranique et mahométane, soit sous la pression de sa famille ou de sa communauté, soit spontanément (dans le cas des « convertis »). Le musulman se plie à la notion d' « oumma » qui implique la prédominance de la religion en toutes choses, et notamment dans le domaine juridique et politique.
Par définition, le musulman doit croire dur comme fer que le coran est la parole de dieu au sens « son des mots prononcés de la bouche même de Dieu », sons répétés par l'ange Gabriel à Mahomet, puis sons répétés à son tour par Mahomet. L'ensemble de ces sons forment le coran, mot qui signifie littéralement "récitation".
Pour le musulman, Mahomet est le dernier des prophètes. Le musulman doit respecter les principes coraniques à la lettre, sans jamais les discuter, en parfait « soumis ». Par définition, le musulman renonce à son libre arbitre et à sa faculté de compréhension dans les domaines régis par l'islam, c'est à dire en fait dans tous les domaines.
4. Qu'est-ce que l' « oumma » ?
C'est la « communauté » au sens musulman du terme. Elle recouvre l'ensemble des activités humaines, qu'elles soient familiales, sociales, juridiques, politiques, militaires etc...
Pour les musulmans, il n'existe pas de séparation entre la vie de tous les jours et la religion. La religion se mêle de tout et intervient à tous moments dans la vie des « croyants ». Prétendre que le religion musulmane peut être « apolitique » est un mensonge grossier puisque, par définition et par son application dans le principe de l' « oumma », l'islam régit nécessairement et obligatoirement le domaine
5. Qu'est-ce que la « charia » ?
La « charia » - ou « loi coranique » - est la transposition, sur le plan juridique, des prétendues révélations de Mahomet.
Pour les musulmans, par définition, le coran doit être la seule source d'inspiration dans tous les domaines, y compris dans le domaine juridique. Il en résulte que les pays soumis à l'islam sont régis par des lois qui se fondent sur les coutumes sauvages des Arabes du VIIe siècle de notre ère, la plus emblématique de ces coutumes barbares étant de tuer des personnes, surtout des femmes, à coups de cailloux (lapidation) sous des prétextes futiles.
La loi coranique est, en outre, fondée sur la discrimination sexiste puisque, selon le coran, la femme est inférieure à l'homme.
Concrètement, la charia est souvent appliquée « à la tête du client » par de prétendus « juges » ou « docteurs de la foi » qui ne sont généralement que des « savants » incultes, le terme savant étant pris ici selon son sens musulman qui signifie "qui sait au sujet du coran, de Mahomet et de l'islam". Ces religieux peuvent émettre des « avis » (fatwa) qui sont assimilés à des jugements et qui peuvent aller jusqu'à l'appel au meurtre. Tout musulman à le droit et, s'il en a la possibilité, le devoir de s'ériger en meurtrier au service de l'islam afin d'éliminer tous ceux et celles qui sont condamnés, individuellement ou collectivement, par la loi coranique (impies, incroyants, idolâtres, homosexuels, apostats etc...).
La charia est la survivance d'une vision moyenâgeuse et féodale de la justice. C'est l'un des pires archaïsmes qui puisse se concevoir en ce début du IIIe millénaire.
6. Qu'est-ce qu'une « école coranique » ?
L'école coranique n'a d'école que le nom. On n'y enseigne que la récitation en arabe phonétique du coran et tout ce qui en découle. Les sciences modernes n'y ont pas cours, surtout lorsqu'elles contredisent les « révélations » de Mahomet. De même, l'enseignement de l'histoire y est « adapté » aux impératifs de l'islam.
Les méthodes pédagogiques mises en oeuvre dans les écoles coraniques relèvent du lavage de cerveau et du bourrage de crâne tels qu'ils sont pratiqués par les sectes. Le coran est enseigné phonétiquement à des enfants qui ne comprennent pas l'Arabe : ils ne font qu'apprendre à répéter les sons des mots censés avoir été prononcés « de la bouche même de Dieu », sons supposés répétés par l'ange Gabriel à Mahomet, puis sons théoriquement répétés à son tour par Mahomet. Les châtiments corporels y sont monnaie courante.
Les écoles coraniques sont des centres d'endoctrinement par rabâchage et non des écoles au sens occidental du terme. Elles sont, avec les mosquées au sein desquelles on les trouve le plus souvent, les principaux foyers de propagation de l'islam.
7. Qu'est-ce que l' « islamisme » ?
On peut indifféremment parler de « religion musulmane », de « religion mahométane », d' « islam » ou d' « islamisme ». Ces dénominations sont strictement synonymes. Il n'y a pas, comme on voudrait le laisser croire, de « bons musulmans » et de « méchants islamistes » : Il n'y a que, d'un côté, les musulmans à qui le droit laïque et démocratique ambiant interdit de mettre en application CERTAINS préceptes de l'islam et, de l'autre côté, les musulmans qui ont, s'arrogent ou tentent d'obtenir légalement, le droit d'appliquer TOUS les préceptes de ce MÊME islam.
Le terme « islam » désigne à la fois la doctrine des musulmans et l'ensemble des territoires conquis par eux. L'islam a une vocation planétaire et doit s'imposer partout dans le monde.
8. Qu'est-ce qu'un « bon musulman » ?
C'est un musulman qui applique toutes les prescriptions coraniques. Les « bons musulmans » sont donc les éléments les plus dangereux de l'islam.
9. Qu'est-ce qu'une mosquée ?
C'est un endroit où les musulmans pratiquent leur rituel de démonstration publique et collective de soumission par prosternations, rituel improprement appelé « prière ».
C'est dans les mosquées que les prédicateurs (imams) viennent prêcher, essentiellement lors de la grande prière du vendredi. Il faut insister sur le fait que la « prière » musulmane n'a rien de commun avec celle des juifs ou des chrétiens. La « prière » musulmane est une gymnastique corporelle de soumission devant « Allah-Dieu » et devant l'« Oumma », non une formulation de souhait ou une demande, sens occidental du terme « prière ».
Pour concrétiser cette soumission totale à une entité « divine » et à ses coreligionnaires, le musulman se prosterne, face contre terre, en direction de la Mekke. Il faut cependant savoir que, du temps de Mahomet, les cinq « prières » se faisaient en direction de Jérusalem (Kotz pour les Arabes), ville « sainte » des trois religions « du livre » (la Bible dont Mahomet s'est inspiré).
C'est parce que les Juifs ont finalement refusé de le reconnaître comme prophète, malgré ses tentatives de séduction, que Mahomet à ordonné à ses adeptes, en représailles, de se tourner désormais en direction de la Ka’Ba de la Mekke et non plus en direction de Jérusalem.
Ce n'est qu'après la mort de Mahomet que le fétichisme de la pierre noire de la Mekke a petit à petit supplanté celui du « rocher » qui était jadis inclus dans le temple des Hébreux, rocher à présent inclus dans la mosquée dite d'« Omar » (ou « coupole du rocher »).
Les imams ne sont pas des prêtres mais des « directeurs de prière » qui s'imposent d'eux-mêmes : l'accession à la fonction d'imam est similaire à celle de chef de tribu, comme cela se passait chez les bédouins d'Arabie du temps de Mahomet, au VII siècle. Il n'y a pas de prêtres chez les musulmans sunnites (les plus nombreux). On ne trouve un clergé organisé que dans la branche chiite de l'islam.
Selon les sectes et les régions, les chefs musulmans sont nommés « ayatollahs » ou « mollahs ». En Arabie Saoudite, les « docteurs de la foi » sont nommés « oulémas ».
Parmi les imams et les mollahs, on trouve des propagandistes itinérants qui vont de mosquée en mosquée. Bon nombre d'agitateurs professionnels s'érigent en imams pour aller prêcher le « bon islam », autrement dit l'intolérance, la discrimination, le refus de l'intégration et la « guerre sainte » contre les non-musulmans et les « mauvais » musulmans.
En Europe occidentale, les mosquées sont les principaux foyers de sédition et de recrutement pour le terrorisme islamique. Nombreuses sont celles qui sont financées par des capitaux plus que « douteux » (notamment wahhabites et salafistes). Ces mosquées devraient être fermées et rasées, d'autant que ces constructions ne font pas partie de notre patrimoine, déprécient les quartiers où elles s'enkystent et qu'il n'existe aucune réciprocité de la part des musulmans : il est interdit de construire une église ou une synagogue en Arabie Saoudite et dans les pays islamiques.
10. Qu'est-ce que le « Djihad » ?
C'est la « guerre sainte » qui fut entamée dès les premières années de l'islam, sous la direction de Mahomet. Cette guerre est une guerre de conquête, non seulement militaire mais aussi politique et religieuse. D'abord limitée à l'Arabie et aux territoires environnants, elle est vite devenue planétaire.
Les musulmans, qui prétendent servir la « vraie foi », veulent éliminer tous les « incroyants », « impies » et autres « idolâtres ». Au nom de Mahomet et de son coran, ils ambitionnent de faire régner l'obscurantisme musulman et la loi coranique dans le monde entier. Tel est le but ultime du « Djihad ».
Depuis le VIIe siècle, le Djihad a fait des dizaines de millions de victimes. C'est une forme particulièrement insidieuse et sournoise de génocide fondé sur la discrimination religieuse.
Le Djihad n'a rien d'une guerre « conventionnelle ». C'est d'abord un engagement personnel pour tous les « bons musulmans », et les actions terroristes commises au nom de l'islam, et de son coran, peuvent être le fait de très petits groupes, voire même d'individus agissant isolément (voir aussi la question n°19). La lutte contre le Djihad relève donc de l'anti-terrorisme bien plus que de la guerre au sens où nous l'entendons habituellement. Les armées occidentales « modernes » sont impuissantes contre ce type de conflit qui découle des antiques méthodes guerrières des bédouins arabes (razzias).
Tous les musulmans qui se réclament du Djihad, ou qui prônent cette guerre odieuse, doivent être considérés, non comme des criminels de droit commun mais comme des criminels de guerre. Ils doivent être traités comme tels, en commençant par les dirigeants de l'Arabie Saoudite ainsi que les oulémas wahhabites et salafistes.
11. Qu'est-ce qu'un « dhimmi » ?
Pour les musulmans, le « dhimmi » est un adepte d'une « religion du livre » (Bible) autre que l'islam. C'est donc un juif ou un chrétien.
Dans un pays soumis à l'islam, les « dhimmis » sont supposés pouvoir continuer à pratiquer leur culte et à exercer une activité sociale mais à la condition de « payer tribu », autrement dit de se soumettre au racket organisé par les musulmans. Pour échapper à cette extorsion de fonds, ils doivent s'exiler ou se convertir à l'islam. Ceux qui n'acceptent pas la dhimmitude (c'est à dire la condition de dhimmi) sont mis à mort, tout comme les dhimmis soupçonnés de prosélytisme religieux ou de menées anti-islamiques.
Les hommes et les femmes qui ne sont pas « gens du livre » (comme les athées, les bouddhistes, les hindouistes, les animistes, etc...), ne peuvent pas devenir dhimmis, il n'existe pour eux que deux alternatives : la conversion à l'islam ou la peine de mort.
12. Quels sont les « piliers » de l'islam ?
On nomme « piliers de l'islam » les obligations imposées à tous les musulmans.
Ces piliers sont au nombre de cinq, plus un :
1. La shahada ou profession de foi : « J’atteste qu’il n’y a de dieu qu'Allah et que Mahomet est le prophète d'Allah »
2. les cinq prières quotidiennes
3. le jeune du ramadan
4. l'aumône
5. le pèlerinage à la Mekke
1.-la guerre sainte (ou Djihad)
Ce dernier pilier, non avoué et non comptabilisé officiellement, est dit « le pilier secret ».
13. Que sont les « maisons de l'islam » ?
Les « maisons de l'islam » sont :
1. Dar el Sulh, la « maison de la trêve »
2. Dar al Harb, la « maison de la guerre »
3. Dar al Islam, la « maison de l'islam »
La « maison de la trêve » désigne les territoires où les musulmans doivent agir « avec réserve » pour ne pas trop attirer l'attention du pouvoir en place.
La « maison de la guerre » concerne les pays où les musulmans se sentent assez forts pour engager une guerre ouverte contre la civilisation en place.
La « maison de l'islam » regroupe les territoires conquis et soumis à l'islam.
Les maisons connues sont la « maison de la guerre » et la « maison de l'islam ». Dar el soulh, la « maison de la trêve », est la « maison inavouée » ou « maison secrète », à l'instar du pilier caché.
14. Existe-t-il un « islam tolérant » ?
La notion de « tolérance », telle que nous l'entendons en Occident, est inexistante dans le « bon » islam.
Il ne peut y avoir de tolérance dans une religion qui se fonde sur l'application d'un livre, le coran, et d'un modèle de comportement, la vie de Mahomet, qui sont tous deux des anthologies de l'intolérance, de la négation de l'humanisme et de l'incitation au crime. Il suffit de savoir lire et de n'être pas musulman pour s'en rendre compte par soi-même.
Les musulmans qui peuvent apparaître comme « tolérants » appartiennent à la catégorie des « moutons passifs » ou à celle des agents d'infiltration qui jouent un double jeu. C'est notamment le cas, pour ceux qui sont chargés d'infiltrer la « maison de la trêve » (voir la question précédente).
15. Le port d'un voile, ou de tout autre vêtement, est-il prescrit par le coran ?
Le coran ne parle du port du voile que pour les « femmes du prophète ».
Mahomet était très jaloux et il avait voulu, sous prétexte de « révélations divines », soustraire ses femmes à la convoitise des autres hommes en leur imposant sur le visage le port d'un voile de type « rideau portatif ». On sait d'ailleurs que la plus jeune de ses épouses (Aïcha, épousée alors qu'elle n'avait que neuf ans tandis que Mahomet avait passé la cinquantaine) fut soupçonnée d'adultère et que Mahomet, selon son habitude, fit intervenir providentiellement une « révélation d'Allah » afin de mettre fin aux rumeurs qui circulaient à ce propos.
Dans de nombreux pays musulmans, les femmes ne sont pas voilées. Chez les Touaregs, c'est l'homme qui dissimule ses traits, pas la femme. Dans les régions où le voile était porté, ce vêtement servait à se protéger contre les tempêtes de sable. Et nous savons que ces tempêtes sont plutôt rares en Europe occidentale, surtout dans les écoles.
Le prétendu « voile islamique » n'est qu'un alibi pour maris jaloux, parents despotes et « grands frères » tyranniques, alibi qui peut se justifier pleinement en se basant sur la vie de Mahomet le « beau modèle ». C'est aussi une façon, pour les musulmans, d'afficher leur différence et de manifester leur mépris pour ceux et celles qui ne pensent pas et n'agissent pas comme eux. C'est une manifestation évidente de la discrimination sexiste des mahométans et de leur volonté de non-intégration.
On notera par ailleurs que le fait de se soustraire à un contrôle d'identité (par le refus d'ôter un voile, par exemple) est un délit pénal qui doit être réprimé comme tel. Il justifie l'arrestation immédiate, la mise en garde à vue et l'inculpation. En cas de récidive, des mesures administratives d'interdiction de séjour devraient être prises.
Le prétendu « problème du voile » est un faux problème. C'est l'arbre qui cache la forêt.
16. La Turquie a-t-elle sa place dans l'Europe ?
Sans la menace d'instauration d'une dictature qu'y fait planer l'armée en cas d'islamisation trop ostensible du pouvoir politique, la Turquie deviendrait illico une république islamique. Tant que la Turquie sera majoritairement musulmane, la menace militaire sous-jacente sera nécessaire pour en assurer la stabilité. Une telle situation est incompatible avec les critères démocratiques et laïques de l'Union Européenne.
La Turquie n'appartient d'ailleurs même pas au continent européen et ce seul fait, évident et incontournable, permet déjà de justifier valablement le rejet de sa candidature.
Il ne faut pas non plus négliger le fait que l'adhésion de la Turquie à l'Union Européenne serait une sorte de « cheval de Troie » pour les « bons » musulmans. Elle ferait passer la proportion de musulmans, en Europe occidentale, de moins de 10% à plus de 20% de la population globale. Et compte tenu des prévisions démographiques, leur importance numérique ne ferait que croître au cours des prochaines décennies. Très rapidement, les Turcs seraient majoritaires en Europe, alors même que leur rôle dans la construction Européenne ne fut jamais moteur. Les musulmans comptent d'ailleurs beaucoup sur la démographie pour s'imposer dans le monde. C'est en grande partie pour cette raison qu'ils tiennent tant à perpétuer les « coutumes » liées à la polygamie.
17. Qu'est-ce que le wahhabisme et le salafisme ?
C'est l'une des formes parmi les plus pures de l'islam. Les wahhabites sont parmi les « meilleurs » musulmans. Le wahhabisme est né en Arabie au XVIIIe siècle et c'est la doctrine officielle de l'Arabie saoudite. La secte musulmane wahhabite finance de nombreuses « écoles » coraniques et mosquées, ainsi que de prétendus « centres culturels » qui ne sont rien d'autre que des foyers de propagande. On y recrute les futurs terroristes et on y organise la « guerre sainte ». La plupart des terroristes qui participèrent aux attentats du 11 septembre 2001 étaient des saoudiens wahhabites, comme leur leader Ussama ben Laden et ses principaux lieutenants.
Le « salafisme » (salafyia) est une doctrine concurrente du wahhabisme. Elle est aussi dangereuse que la doctrine des Saoudiens et prône la guerre à outrance contre l'Occident. Le salafisme, né au XIXe siècle, est plus récent que le wahhabisme. Il se réclame des « pieux ancêtres » (salaf) pour revivifier un « islam en stagnation » face à un Occident dynamique et puissant. C'est surtout le nationaliste arabe Rachid Ridâ (mort en 1935) qui a propagé le salafisme dans le monde arabo-musulman.
Rappelons qu'il n'existe pas un islam mais des islams, et que l'islam n'est en fait qu'un conglomérat de sectes et de sous-sectes dont le seul point commun est d'avoir le coran comme doctrine, Mahomet comme modèle ainsi que d'adhérer aux « piliers de l'islam » (voir question 12). L'islam n'est, en fait, rien de plus qu'une « méta secte » internationale dont les branches principales sont le « sunnisme » et le « chiisme ». Le nom de l'une des sectes, de la branche dite « ismaélienne », est associée aux nombreux meurtres commis par ses adeptes. C'est la secte « des Assassins » dont le chef était nommé « Vieux de la montagne ». Ussama Ben Laden semble s'être inspiré des méthodes d'organisation et d'action de cette secte.
18. Islam et idolâtrie. Qu'en est-il ?
Les musulmans se prétendent farouchement opposés à l'idolâtrie mais une part importante de leur culte repose sur une idole préislamique, la « pierre noire » qui fait l'objet de l'adoration des pèlerins de la Mekke. Il s'agit d'un fétiche associé au culte des pierres et des astres qui avait cours en Arabie avant la fondation de l'islam par Mahomet. Les Arabes, comme tous les Sémites, adoraient d'abord le « rocher sacré » de Jérusalem (voir question N°9). Le culte des pierres, commun a presque tous les peuples dans les temps préhistoriques, ne survit plus qu'à Jérusalem et à la Mekke.
De même, la couleur verte, honorée en tant que symbole de l'islam, est une forme de fétichisme. Il s'agit, en fait, de la couleur préférée de Mahomet. La véritable couleur de l'islam est le noir, couleur des ténèbres et de l'obscurantisme. C'est la couleur de la pierre de la Kaaba (et du drap qui recouvre l'édifice) ainsi que des vêtements portés par les ayatollahs et autres mollahs. Ce fut, de tous temps, la couleur favorite des zélateurs de la barbarie. Souvenons-nous des sinistres uniformes noirs de l'« ordre SS » d'Heinrich Himmler et des chemises noires des fascistes de tous poils.
L'un des symboles majeurs de l'islam n'est-il pas le croissant lunaire que l'on associera bien évidemment à la nuit et à l'absence de lumière ?
Un autre symbole important (qui figure sur le drapeau de l'Arabie saoudite) est le sabre des conquérants arabes, ce « sabre du prophète » qui a fait tomber tant de têtes au nom d'Allah. On ne peut que sourire quand l'islam se prétend une « religion de paix et de tolérance » !
19. L'islam représente-t-il un danger pour l'Occident ?
Depuis le VIIe siècle de notre ère, l'islam n'a cessé de relancer sa « guerre sainte » (Djihad) contre tous ceux et toutes celles qui ne sont pas soumis aux lois iniques, archaïques et antidémocratiques inspirées par le coran.
Depuis quelques décennies, l'Arabie saoudite et les émirats arabes se servent de leurs revenus pétroliers pour financer l'enseignement coranique et les mosquées afin de se créer un vivier où puiser des forces pour le Djihad.
Cette nouvelle relance de la « guerre sainte » a ceci de particulier qu'elle bénéficie des énormes moyens financiers issus du pétrole et qu'elle peut en plus maintenant aisément s'étendre à l'ensemble de la planète par le fait des facilités de communication, ce qui n'était pas le cas autrefois.
L'islam est d'autant plus dangereux que ses adeptes sont incités à s'engager personnellement dans le Djihad, soit à titre individuel, soit par le biais des innombrables sectes et sous-sectes qui constituent la nébuleuse islamique. De très petits groupes terroristes, agissant sans aucune concertation et disséminés un peu partout dans le monde, peuvent donc, en imitation de leur « beau modèle » Mahomet et conformément à son coran, engager la guerre et tuer ceux qu'ils considèrent comme les ennemis de l'islam, les « infidèles », c'est à dire essentiellement les Occidentaux.
20. Que faut-il faire ?
Il faut, tout d'abord, informer le plus largement possible les non-musulmans afin qu'ils sachent ce qui est écrit noir sur blanc dans le coran, afin qu'ils sachent ce que fut réellement la vie de Mahomet et afin qu'ils sachent en conséquence ce qu'est vraiment l'islam. Il faut ensuite interdire l'enseignement coranique et fermer les mosquées. Il ne restera plus qu'à interdire la vente et la diffusion du coran puis à déclarer l'islam hors la loi.
Vaste programme...
C'est un programme qui n'a pu être appliqué vis à vis d'une doctrine totalitaire similaire, le nazisme, qu'a l'issue d'une guerre mondiale sanglante ayant abouti à l'utilisation de la bombe atomique.
De façon subsidiaire, il faut prendre des mesures répressives à l'encontre des musulmans qui refusent ostensiblement de s'intégrer ou qui prêchent la non intégration. Cela peut aller de la suppression progressive des avantages sociaux jusqu'à l'expulsion du territoire de l'Union Européenne (vers le pays musulman de leur choix, on restera humain !).
Il faut, par ailleurs, faire juger - comme criminels de guerre et par des tribunaux militaires - toute personne se revendiquant du Djihad et prônant la « guerre sainte » contre l'Occident.
Enfin, il faut traduire, à titre posthume, le dénommé Mahomet devant le tribunal de l'histoire et ce, afin de le faire condamner pour ses crimes.
Toutes ces bonnes intentions se heurtent au fait que les pays musulmans tiennent l'Occident « par les couilles » avec le pétrole dont nous sommes stupidement devenus totalement dépendants. Il serait urgent de consacrer un maximum d'effort au développement de toutes les technologies, et elles sont nombreuses, qui peuvent permettre de s'affranchir rapidement des importations de pétrole. Par delà, ces technologies doivent nous permettre de priver de leurs revenus les vaniteux « roitelets du pétrole » afin de les remettre à leur juste place : dans le désert, sous la tente et au moyen-âge, comme Mahomet leur « beau modèle ».
De tout ce qui a été dit précédemment, il résulte également qu’aucun crédit ne doit être accordé à ceux qui prêchent pour un « islam d’Europe ». L’Union Européenne n’est certainement pas un « club chrétien » (elle ne l’a d’ailleurs jamais été) mais elle est – et doit demeurer – un « club laïque », résolument et strictement laïque. Cette condition sine qua non de l’unité européenne ne permet pas d’intégrer l’islam, pas plus que d'autres religions d'ailleurs, dans les structures de l’Union Européenne. Au risque de nous répéter, nous insisterons sur le fait que l’islam est, par sa nature même, une doctrine « anti-laïque ». Un musulman est incapable de concevoir la notion de laïcité et s’il est capable de la concevoir – et de la respecter – c’est qu’il n’est pas musulman, ou qu'il attend son heure pour abattre la laïcité quand il en aura la possibilité.
De tout ce qui a été dit précédemment, il résulte également qu’aucun crédit ne doit être accordé à ceux qui prêchent pour un « islam d’Europe ». L’Union Européenne n’est certainement pas un « club chrétien » (elle ne l’a d’ailleurs jamais été) mais elle est – et doit demeurer – un « club laïque », résolument et strictement laïque. Cette condition sine qua non de l’unité européenne ne permet pas d’intégrer l’islam, pas plus que d'autres religions d'ailleurs, dans les structures de l’Union Européenne. Au risque de nous répéter, nous insisterons sur le fait que l’islam est, par sa nature même, une doctrine « anti-laïque ». Un musulman est incapable de concevoir la notion de laïcité et s’il est capable de la concevoir – et de la respecter – c’est qu’il n’est pas musulman, ou qu'il attend son heure pour abattre la laïcité quand il en aura la possibilité.
Il ne peut y avoir de paix au Proche-Orient puisque les « hommes de Dieu » (rabbins, imams, ayatollahs,…) ne cessent de prêcher la « guerre sainte » et de s’enfoncer dans l’intolérance. Sur ce plan là, les « juifs orthodoxes » ne valent pas mieux que les « islamistes intégristes ». C’est ainsi qu’en 1994 fut mis en service le premier « bus kasher » comportant une séparation entre les hommes et les femmes. Il répondait aux exigences des orthodoxes qui se plaignaient de devoir « côtoyer des femmes légèrement vêtues » !
Il ne peut y avoir de paix au Proche-Orient puisque les « hommes de Dieu » (rabbins, imams, ayatollahs,…) ne cessent de prêcher la « guerre sainte » et de s’enfoncer dans l’intolérance. Sur ce plan là, les « juifs orthodoxes » ne valent pas mieux que les « islamistes intégristes ». C’est ainsi qu’en 1994 fut mis en service le premier « bus kasher » comportant une séparation entre les hommes et les femmes. Il répondait aux exigences des orthodoxes qui se plaignaient de devoir « côtoyer des femmes légèrement vêtues » !
Comment peut-on espérer faire la paix avec de tels fous furieux ?
Re: Le coran etc....
Salut Jacques,
http://www.e-solex.fr/
C'est pas avec ça que vous risquez de leur faire mal...
Là, c'est déjà mieux : http://manonthemove.com/wp-content/uplo ... nsonia.jpg
++
Buck
Pour les Canadiens qui connaissent pas :Je m’appelle Jacques, je suis français et habite en Allemagne. En plus je suis en retraite et mon hobby est les VELOSOLEX. Voilà qui est presque tout dit.
http://www.e-solex.fr/
C'est pas avec ça que vous risquez de leur faire mal...

Là, c'est déjà mieux : http://manonthemove.com/wp-content/uplo ... nsonia.jpg
++
Buck
Tu n'y es pas allé de clavier mort
Salut Jacques1,

Mais tu commences un peu raide : un pavé de 85.2 Ko.
Tu n'y es pas allé de clavier mort.
Amicalement,

P.S. Sans avoir tout lu (j'ai seulement échantillonné), je pense être plutôt d'accord. Tu prêches à des convertis.
Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
- Jonathan l
- Messages : 2332
- Inscription : 19 juil. 2007, 03:02
Re: Le coran etc....
Salut Wall of text!
J'ai commencé à lire, mais je me suis découragé à un moment donné.
Par contre j'ai quand même repéré ceci
J'ai commencé à lire, mais je me suis découragé à un moment donné.
Par contre j'ai quand même repéré ceci
Fatima était fille de sa première épouse, mais pas sa seule. Elle était sa préféré.(époux de sa fille unique Fatima)
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.
- Feel O'Zof
- Messages : 1186
- Inscription : 21 juil. 2006, 19:05
Re: Le coran etc....
Bonjour Jacques 1er et bienvenu sur le forum.
Je n'ai - évidemment - pas tout lu votre roman mais je me permets tout de même de commenter certaines parties qui m'ont sauté aux yeux.
Comprenez-moi bien. J'adhère complètement au principe de laïcité, je suis totalement athée et je considère les religions comme des fraudes et la croyance religieuse comme une névrose (bénigne dans le cas des modérés).
Toutefois, je ne pense pas que stéréotyper les musulmans, les comparer maintes fois aux nazis (vous avez gagnez beaucoup de points Godwin dans ce texte!) et inciter à la haine et à la violence ne soit une solution désirable pour qui que ce soit. L'usage que vous faites du singulier pour parler du groupe ennemi (le musulman, l'Arabe) ainsi que le fait que vous utilisiez le «nous» et invoquiez «nos grands-parents»... Personnellement, ça m'apparaît tout aussi nazi que ceux que vous dénoncez.
Fermer les mosquées et interdire le coran m'apparaît également plutôt extrémiste...
Je n'ai - évidemment - pas tout lu votre roman mais je me permets tout de même de commenter certaines parties qui m'ont sauté aux yeux.
En partant, avec une première phrase de même, moi ça me dit «Voici un texte de propagande haineuse envers les immigrants!» et ça ne me donne pas le goût de poursuivre ma lecture. Mais grâce à mon incroyable ouverture d'esprit, je poursuis tout de même en lisant en diagonal mais en donnant le bénéfice du doute.L’islam est ainsi devenu, avant toute chose, la religion des peuples guerriers. Elle n’a strictement rien d’attrayant pour des nations pacifiques et évoluées.
Je suis d'accord. Mais n'oublions pas de raser aussi le Vatican!Le monde vivra dans la hantise de la guerre aussi longtemps que Jérusalem sera la pomme de discorde qui oppose les « religions du désert ». La meilleure chose qui puisse arriver à l’humanité serait qu’un tremblement de terre rase, une fois pour toutes, cette ville maudite. L’idéal serait que ce tremblement de terre rase aussi La Mekke et Médine.
C'est aussi ce que firent les chrétiens ainsi que toute les religions. Ça n'est pas le propre de l'islam.Dans la pratique, ils ont toujours tenté de récupérer les « lieux saints » au seul profit de l’islam et d’effacer les traces des autres religions.
Utiliser le singulier pour parler d'un groupe est bien utile pour faire de la propagande haineuse.Le musulman, surtout s’il est Arabe, a toujours rêvé de conquérir le monde.
Tout comme la bible, ne l'oublions pas.Le coran, tel qu’il nous est parvenu, est un ouvrage pervers qui autorise les interprétations les plus malsaines et les plus dangereuses qui soient.
Est-ce ce qu'on appelle de la censure?Le problème paraît donc insoluble et, vu le caractère criminogène du coran, il ne reste qu’une solution : en interdire la vente, la diffusion et l’enseignement sur le territoire des pays appartenant à l’Union européenne.
Même chose pour toutes les religions. Un croyant modéré est un mauvais croyant par définition.Mais il ne peut pas être « modéré ». S’il est modéré, au sens où nous l’entendons, c’est qu’il n’est pas un « bon musulman ».
Conspirationnisme. Paranoïa. Xénophobie. Appel à la haine.Nous sommes bel et bien confrontés à une invasion islamique de l’Europe, une invasion « en douceur » (comme, en fait, l'immense majorité des invasions historiques) mais bien réelle qui se fait avec la complicité active de ceux- là mêmes qui sont l’objet de l’invasion !
(...)
Car tel est leur plan, leur objectif . Se rendre maîtres du territoire européen par une infiltration insidieuse et prendre le pouvoir « légalement » en infiltrant peu à peu les institutions. C’est ce que firent Adolf Hitler et ses « nazis » entre 1920 et 1933 !
Il est donc de notre devoir de combattre les arabo-musulmans (et leurs complices) comme nos pères et nos grands-pères combattirent le fascisme, le nazisme, le pétainisme, le rexisme, le franquisme et le stalinisme.
Et le christianisme n'est une religion autochtone qu'au Proche-Orient. Pis après?Pour mémoire, l’islam n’est une religion « autochtone » qu’en Arabie.
Propagande haineuse.Pour nous, Européens, la farce a assez duré et nous disons : Basta !
(...)
Nous en avons marre de vous !
Nous étions tolérants, trop tolérants sans nul doute. Mais nous allons cesser de l’être pour vous traiter dorénavant comme vous le méritez. Vous vous dites « élus de dieu » mais vous n’êtes que des immatures, des individus indignes d’entrer dans le troisième millénaire.
Incitation au meurtre.Et s’il le faut (mais seulement s’il le faut !), débarrassons-nous, manu militari, des indésirables que nos sociétés assoupies ne savent pas (ou ne savent plus) éliminer. Nos parents et nos grands-parents ont agi de la sorte pour se débarrasser de la vermine nazie. Et nous les avons glorifiés comme il se doit. Serions-nous moins courageux qu’eux ?
Je suis en total accord avec cette partie.Il n’y a pas à dire, de toutes les inventions de l’homme, dieu est sans conteste la pire de toutes. C’est un fléau qui a tué des centaines de millions d’hommes, de femmes et d’enfants. C’est un fléau apparemment indestructible, qui perdure depuis des millénaires et qui renaît de ses cendres à la moindre occasion, tel l’oiseau Phœnix.
Aussi longtemps que les chimères divines hanteront l’esprit humain, l’humanité sera la proie des guerres et des atrocités. Les dieux ne sont sans doute pas les seules causes de conflits mais ils sont certainement à l’origine des conflits les plus meurtriers et, en tous cas, des conflits les plus stupides. On peut comprendre que l’homme puisse combattre pour se protéger ou parce qu’il a faim mais il est inadmissible, en ce début du XXIe siècle, qu’il puisse encore tuer ou asservir d’autres hommes au nom d’une chimère, au nom d’un dieu qu’il n’a jamais vu et qu’il ne verra jamais. Plus que jamais, l’homme demeure un loup pour l’homme. Mais c’est un loup lâche et hypocrite qui se retranche derrière les alibis religieux pour commettre ses crimes les plus odieux.
En total désaccord avec cette partie.20. Que faut-il faire ?
Il faut, tout d'abord, informer le plus largement possible les non-musulmans afin qu'ils sachent ce qui est écrit noir sur blanc dans le coran, afin qu'ils sachent ce que fut réellement la vie de Mahomet et afin qu'ils sachent en conséquence ce qu'est vraiment l'islam. Il faut ensuite interdire l'enseignement coranique et fermer les mosquées. Il ne restera plus qu'à interdire la vente et la diffusion du coran puis à déclarer l'islam hors la loi.
Vaste programme...
Comprenez-moi bien. J'adhère complètement au principe de laïcité, je suis totalement athée et je considère les religions comme des fraudes et la croyance religieuse comme une névrose (bénigne dans le cas des modérés).
Toutefois, je ne pense pas que stéréotyper les musulmans, les comparer maintes fois aux nazis (vous avez gagnez beaucoup de points Godwin dans ce texte!) et inciter à la haine et à la violence ne soit une solution désirable pour qui que ce soit. L'usage que vous faites du singulier pour parler du groupe ennemi (le musulman, l'Arabe) ainsi que le fait que vous utilisiez le «nous» et invoquiez «nos grands-parents»... Personnellement, ça m'apparaît tout aussi nazi que ceux que vous dénoncez.
Fermer les mosquées et interdire le coran m'apparaît également plutôt extrémiste...
Dernière modification par Feel O'Zof le 25 sept. 2010, 17:31, modifié 1 fois.
Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.
Re: Le coran etc....
Salut les gars,
Je doute qu'il soit l'auteur de ce texte car au niveau de l'orthographe & ponctuation & syntaxe, il est plutôt bien dans l'ensemble, alors que Jacques fait une erreur dès les premières lignes, à moins que cette phrase ait un sens ?
http://coranix.org/105bis/105bis_2.htm
++
Buck
Il manque le "et la "propagande" anti-musulmane" après le "VELOSOLEX".Je m’appelle Jacques, je suis français et habite en Allemagne. En plus je suis en retraite et mon hobby est les VELOSOLEX Voilà qui est presque tout dit.
Je doute qu'il soit l'auteur de ce texte car au niveau de l'orthographe & ponctuation & syntaxe, il est plutôt bien dans l'ensemble, alors que Jacques fait une erreur dès les premières lignes, à moins que cette phrase ait un sens ?
EDIT : Ayé, j'ai trouvé une partie du texte içi :Par contre, j’ai un texte qui convint très spectaculaire :
http://coranix.org/105bis/105bis_2.htm
++
Buck
- syntaxerror
- Messages : 609
- Inscription : 25 oct. 2008, 02:41
Re: Le coran etc....
Bonjour Jacques1
Avant tout, j'admire ton esprit de synthèse... sinon sur le fond, même si on ne peut pas tout rejeter, tu nous ferais pas une petite fixation sur fond d'intolérance et de racisme?
Avant tout, j'admire ton esprit de synthèse... sinon sur le fond, même si on ne peut pas tout rejeter, tu nous ferais pas une petite fixation sur fond d'intolérance et de racisme?
J'ai énormément de doutes, très peu de certitudes mais je n'ai pas de croyances.
Re: Le coran etc....
Bonjour tout le monde et merci pour l’accueille chaleureux.
merci aussi pour vos commentaires que j’ai lus attentivement.
Ce récit ( un peu long ) n’est pas pour propager la haine mais
pour convaincre les douteux ou les sceptiques.
merci aussi pour vos commentaires que j’ai lus attentivement.
Ce récit ( un peu long ) n’est pas pour propager la haine mais
pour convaincre les douteux ou les sceptiques.
- HarryCauvert
- Messages : 1188
- Inscription : 26 juin 2010, 15:57
Re: Le coran etc....
Manque d'ambition, manque de vision, manque d'audace! Ne vaudrait-il pas mieux tuer tout le monde une bonne fois pour toutes?Feel O'Zof a écrit :Je suis d'accord. Mais n'oublions pas de raser aussi le Vatican!Le monde vivra dans la hantise de la guerre aussi longtemps que Jérusalem sera la pomme de discorde qui oppose les « religions du désert ». La meilleure chose qui puisse arriver à l’humanité serait qu’un tremblement de terre rase, une fois pour toutes, cette ville maudite. L’idéal serait que ce tremblement de terre rase aussi La Mekke et Médine.
Juste pour le fun: Fitz And The Tantrums, The Walker
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Re: Le coran etc....
Salut à tous.
Je ne commenterais guère le message de l’initiateur de ce fil ; sous prétexte d'une critique féroce de la religion islamique, l'auteur de livre à un déferlement d'une haine viscérale anti-arabe, qui déborde parfois de son objet (« Car les Sémites ont toujours été d'excellents commerçants capables de vendre n’importe quelle camelote comme s’il s’agissait de l’or du Pérou ! », ou « La meilleure chose qui puisse arriver à l’humanité serait qu’un tremblement de terre rase, une fois pour toutes, cette ville maudite. [Jérusalem] »)
Comme toujours, la bêtise le disputant à l'ignorance et la haine à la réflexion, le vieux réflexe raciste laisse filer de magnifiques perles : « les cinq « prières » se faisaient en direction de Jérusalem (Kotz pour les Arabes) » sans doute la ville allemande de Kötz ? Au lieu de... Al-Quds.
Où bien, ne s'agit-il que d'un long copier-coller, que notre copiste a décidé de propager sur le net (voir en fin de page, les commentaires), et n'a pas eu le temps de relire ?
Évidemment...
Je ne commenterais guère le message de l’initiateur de ce fil ; sous prétexte d'une critique féroce de la religion islamique, l'auteur de livre à un déferlement d'une haine viscérale anti-arabe, qui déborde parfois de son objet (« Car les Sémites ont toujours été d'excellents commerçants capables de vendre n’importe quelle camelote comme s’il s’agissait de l’or du Pérou ! », ou « La meilleure chose qui puisse arriver à l’humanité serait qu’un tremblement de terre rase, une fois pour toutes, cette ville maudite. [Jérusalem] »)
Comme toujours, la bêtise le disputant à l'ignorance et la haine à la réflexion, le vieux réflexe raciste laisse filer de magnifiques perles : « les cinq « prières » se faisaient en direction de Jérusalem (Kotz pour les Arabes) » sans doute la ville allemande de Kötz ? Au lieu de... Al-Quds.
Où bien, ne s'agit-il que d'un long copier-coller, que notre copiste a décidé de propager sur le net (voir en fin de page, les commentaires), et n'a pas eu le temps de relire ?
Évidemment...
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: Le coran etc....
Hello,Cartaphilus a écrit :Où bien, ne s'agit-il que d'un long copier-coller, que notre copiste a décidé de propager sur le net (voir en fin de page, les commentaires), et n'a pas eu le temps de relire ?
Évidemment...
Effectivement une partie de ce texte provient de : http://coranix.org/103/103_3.htm.
Étant donné la longueur du mur de texte, on peut être d'accord avec certains passages, mais ils sont noyés dans une mer de préjugés qui rendent le texte (dans son ensemble) comme un message de propagande qui n'a rien d'objectif. Tout est noir ou blanc (mais surtout noir).
La faute en revient peut être aux médias qui font la une sur les extrémistes / radicaux depuis quelques années, mais aussi sur les (comme je l'avais déjà mentionné) islamistes modérés qui (à mon avis) ne vont pas assez sur la "scène publique" pour dénoncer ce radicalisme.
Résultat, les personnes qui s'informent seulement par les journaux et infos télévisées, qui n'ont pas de personnes islamistes dans leur entourage, n'ont droit qu'à un seul côté de la médaille.
Je ne nie pas que la monté de l'islamisme radical dans certains pays ne doit pas être pris à la légère. Et de toute façon, je suis personnellement contre toutes formes de religions. Elles ont toutes été créées par l'Homme, elles sont toutes sujettes à l'interprétation, la corruption et les abus de pouvoir.
Le texte (et l'opinion) présenté ici aurait été mieux accueillis s'il avait été beaucoup (beaucoup) plus court et s'il se serait contenté de présenter seulement des faits objectifs sans le côté "croisade" malsain et l'appel à la haine. Bref, ce n'est pas un texte que j'utiliserais personnellement pour convaincre mon entourage du danger de l'islamisme radical.
A+

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Re: Le coran etc....
Sur l'islam en terme de religion, je n'ai pas grand chose à dire. C'est une religion du moyen-âge, et comme telle, elle comprend tous les défauts qu'on est en droit d'attendre d'une religion d'une part, d'une croyance médiévale d'autre part.
Mais comme l'islam n'est pas qu'une religion, mais aussi une idéologie politique, il convient aussi d'en dire un mot. Cette doctrine est totalitaire, extrémiste et liberticide. Elle est opposée aux droits de l'homme, discriminante envers les femmes, les croyants des autres religions, les athées, les homosexuels, les intellectuels, bref tout le monde à l'exception des musulmans mâles et faisant partie du sérail.
Bref, c'est une horreur.
Mais comme l'islam n'est pas qu'une religion, mais aussi une idéologie politique, il convient aussi d'en dire un mot. Cette doctrine est totalitaire, extrémiste et liberticide. Elle est opposée aux droits de l'homme, discriminante envers les femmes, les croyants des autres religions, les athées, les homosexuels, les intellectuels, bref tout le monde à l'exception des musulmans mâles et faisant partie du sérail.
Bref, c'est une horreur.
La crainte des dieux est la fin de la sagesse.
Re: Le coran etc....
Et en ce qui concerne le moyen-âge, les cathos viennet à peine d'en sortir, et encore...C'est une religion du moyen-âge, et comme telle, elle comprend tous les défauts qu'on est en droit d'attendre d'une religion d'une part, d'une croyance médiévale d'autre part.
Qui va faire l'étude analytique pour les religions occidentales ?
Re: Le coran etc....
Hello,Miro a écrit :Et en ce qui concerne le moyen-âge, les cathos viennet à peine d'en sortir, et encore... Qui va faire l'étude analytique pour les religions occidentales ?
Je suis relativement d'accord avec vous sur cette affirmation. Idefonse parle de religion "discriminante envers les femmes, les croyants des autres religions, les athées, les homosexuels, les intellectuels", ce qui s'applique également aux religions "chrétiennes".
Mais avouez que l'islam est de beaucoup (et vraiment beaucoup) moins indulgente. Et, pour citer Ildefonse une fois de plus, l'islam n'a pas renoncé à faire partit du monde politique et de décider des lois sur la population, lois basées sur leur interprétation du Coran.
Oui, le christianisme (les Cathos) sont en retard sur l'"évolution" de la société, mais l'islam (intégriste) est réellement au niveau du moyen-âge.
A+

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Vive la laïcité sociale
Salut Fair,
Tu dis :
Ça saute aux yeux.le christianisme (les Cathos) sont en retard sur l'"évolution" de la société, mais l'islam (intégriste) est réellement au niveau du moyen-âge.
Par exemple, en ce qui concerne la liberté de presse, selon Reporters sans frontières (2008), les pays musulmans font plutôt piètre figure.
Mais c'est surtout dans la laïcité sociale que le retard est le plus criant.
Au Québec, on revient de loin. Je me souviens des processions du "mois de Marie" (mai) qui se tenaient à Longueuil dans les années '50. Des processions au flambeau, dans les rues de la paroisse, en récitant le chapelet et en promenant une statue. Quand tout était récité, la parade s'arrêtait et le célébrant allait sonner à la porte de la maison la plus proche (ou à peu près) pour y demander de garder la statue jusqu'au lendemain soir où la procession reprendra là.
Misère! Aujourd'hui, ça n'aurait plus d'allure.
J'ai l'impression que la plupart des sociétés musulmanes d'aujourd'hui sont à peu près laïcisées comme l'était la société québécoise francophone des années 50. Dans plusieurs cas, je t'accorde que le retard est plus grand. Ton Moyen-Âge tient la route.
Pour les Talibans, j'irais même jusqu'à l'homme de Cro-Magnon.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
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Re: Le coran etc....
Salut Fair, salut à tous.
La critique de la religions, de toutes les religions, est un exercice qui m'est familier, notamment celle de l'islam ; même si je peux dresser un long réquisitoire contre celui-ci, au risque de passer pour un athée intégriste, je ne confonds jamais les musulmans et les Arabes. L'auteur de ce texte sait-il qu'il existe des chrétiens arabes, des juifs arabes, et, je l'espère, des athées arabes issus de toutes les cultures ?
En outre, publier un long message sans avoir pris la peine ni de le relire, ni de le citer n'incite pas à donner un quelconque crédit à d'éventuelles bonnes intentions de son auteur ; j'y vois une forme de propagande haineuse motivée par la xénophobie, entachée d'habituels clichés imbéciles.
Notons par ailleurs que ce type de prose n'est pas toujours dénuée d'une arrière-pensée, soit pour promouvoir une autre religion, soit pour exalter le nationalisme des « imbéciles heureux qui sont nés quelque part », ce qui explique peut-être le glissement de sa diatribe vers d'autres « Sémites ».
La critique de la religions, de toutes les religions, est un exercice qui m'est familier, notamment celle de l'islam ; même si je peux dresser un long réquisitoire contre celui-ci, au risque de passer pour un athée intégriste, je ne confonds jamais les musulmans et les Arabes. L'auteur de ce texte sait-il qu'il existe des chrétiens arabes, des juifs arabes, et, je l'espère, des athées arabes issus de toutes les cultures ?
En outre, publier un long message sans avoir pris la peine ni de le relire, ni de le citer n'incite pas à donner un quelconque crédit à d'éventuelles bonnes intentions de son auteur ; j'y vois une forme de propagande haineuse motivée par la xénophobie, entachée d'habituels clichés imbéciles.
Notons par ailleurs que ce type de prose n'est pas toujours dénuée d'une arrière-pensée, soit pour promouvoir une autre religion, soit pour exalter le nationalisme des « imbéciles heureux qui sont nés quelque part », ce qui explique peut-être le glissement de sa diatribe vers d'autres « Sémites ».
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: Le coran etc....
Bonjour,
Je n'ai pas trouvé de références solides, la seule que j'ai est celle-ci mais elle me paraît partisane, quoique que citant une source officielle qui est "la CIA – The world fact book (2007)". Et elle ne parle pas de pourcentage d'arabes musulmans mais de pourcentage de musulmans rapportés à la population des pays cités.
Mais vu les chiffres annoncés, je crains que ce pourcentage néanmoins ( d'arabes non musulmans NDLR ) soit assez faible dans ces pays.
LAlbanie — musulmans 70%
Malaisie — musulmans 60.4%
Qatar — musulmans 77.5%
Soudan — musulmans 70%
Le Bangladesh — musulmans 83%
Egypte — musulmans 90%
Gaza — musulmans 98.7%
Indonésie — musulmans 86.1%
Iran — musulmans 98%
Irak — musulmans 97%
Jordanie — musulmans 92%
Maroc — musulmans 98.7%
Pakistan — musulmans 97%
Palestine — musulmans 99%
Syrie — musulmans 90%
Tajikistan — musulmans 90%
Turquie — musulmans 99.8%
Emirats Arabes Unis — musulmans 96%
Afghanistan — musulmans 100%
Arabie Saoudite — musulmans 100%
Somalie — musulman 100%
Yémen — musulmans 99.9%
Voilà cette référence mais à prendre avec des pincettes.
Voici d'autre part la référence de la CIA, citant toutes les religions en pourcentage par pays.
Enfin une autre source précisant que 20 à 25% des musulmans sont arabes ( soit 1/4 ), ce qui ne nous donne pas le pourcentage d'arabes qui soient musulmans.
Comment en sortir ? Je crois que légitimer l'Islam modéré en l'aidant à fortifier ses fondations est une piste sérieuse et intéressante tout en exigeant le strict respect des lois républicaines. On a vu avec le débat sur le voile intégral en France que ce n'était pas une mince affaire et que nos politiques avaient du mal à mettre en avant le strict respect des lois républicaines.
Les chrétiens arabes, les juifs arabes, les athées arabes existent, c'est incontestable mais quelle en est leur proportion par rapport aux arabes musulmans ?Cartaphilus a écrit : La critique de la religions, de toutes les religions, est un exercice qui m'est familier, notamment celle de l'islam ; même si je peux dresser un long réquisitoire contre celui-ci, au risque de passer pour un athée intégriste, je ne confonds jamais les musulmans et les Arabes. L'auteur de ce texte sait-il qu'il existe des chrétiens arabes, des juifs arabes, et, je l'espère, des athées arabes issus de toutes les cultures ?
Je n'ai pas trouvé de références solides, la seule que j'ai est celle-ci mais elle me paraît partisane, quoique que citant une source officielle qui est "la CIA – The world fact book (2007)". Et elle ne parle pas de pourcentage d'arabes musulmans mais de pourcentage de musulmans rapportés à la population des pays cités.
Mais vu les chiffres annoncés, je crains que ce pourcentage néanmoins ( d'arabes non musulmans NDLR ) soit assez faible dans ces pays.
LAlbanie — musulmans 70%
Malaisie — musulmans 60.4%
Qatar — musulmans 77.5%
Soudan — musulmans 70%
Le Bangladesh — musulmans 83%
Egypte — musulmans 90%
Gaza — musulmans 98.7%
Indonésie — musulmans 86.1%
Iran — musulmans 98%
Irak — musulmans 97%
Jordanie — musulmans 92%
Maroc — musulmans 98.7%
Pakistan — musulmans 97%
Palestine — musulmans 99%
Syrie — musulmans 90%
Tajikistan — musulmans 90%
Turquie — musulmans 99.8%
Emirats Arabes Unis — musulmans 96%
Afghanistan — musulmans 100%
Arabie Saoudite — musulmans 100%
Somalie — musulman 100%
Yémen — musulmans 99.9%
Voilà cette référence mais à prendre avec des pincettes.
Voici d'autre part la référence de la CIA, citant toutes les religions en pourcentage par pays.
Enfin une autre source précisant que 20 à 25% des musulmans sont arabes ( soit 1/4 ), ce qui ne nous donne pas le pourcentage d'arabes qui soient musulmans.
J'avoue que je ne suis pas allé bien loin dans la prose de ce monsieur, trop de relents désagréables mais à l'heure où l'Islam se présente à nous, forte d'intolérance, au point de vouloir imposer des règles morales à notre société laïque ( Par exemple, en France, certaines cantines sont déjà 100% "allal", la ville de Villejuif dans le département 94 en région parisienne notamment), il est inévitable de voir se développer ce genre de prose.cartaphilus a écrit : En outre, publier un long message sans avoir pris la peine ni de le relire, ni de le citer n'incite pas à donner un quelconque crédit à d'éventuelles bonnes intentions de son auteur ; j'y vois une forme de propagande haineuse motivée par la xénophobie, entachée d'habituels clichés imbéciles.
Notons par ailleurs que ce type de prose n'est pas toujours dénuée d'une arrière-pensée, soit pour promouvoir une autre religion, soit pour exalter le nationalisme des « imbéciles heureux qui sont nés quelque part », ce qui
explique peut-être le glissement de sa diatribe vers d'autres « Sémites ».
Comment en sortir ? Je crois que légitimer l'Islam modéré en l'aidant à fortifier ses fondations est une piste sérieuse et intéressante tout en exigeant le strict respect des lois républicaines. On a vu avec le débat sur le voile intégral en France que ce n'était pas une mince affaire et que nos politiques avaient du mal à mettre en avant le strict respect des lois républicaines.
Loi de mauricemaltais : Quand on vient de prendre x minutes pour lire un texte de mauricemaltais, on vient de perdre x minutes.
Théorie d'affabulation gattienne : Pour ce qui concerne les DAHUS la physique exotique prévoi la matérialisation de particules imaginaires
Théorie d'affabulation gattienne : Pour ce qui concerne les DAHUS la physique exotique prévoi la matérialisation de particules imaginaires
Re: Le coran etc....
Encore faudrait il qu'un islam modéré existe plus qu'à l'état de traces.
Aujourd'hui, la laïcité française est attaquée de toutes parts, et plus seulement par les fanatiques religieux.
En France, le président de la région limousine a demandé que le conseil constitutionnel déclare la loi de 1905 sur la laïcité inconstitutionnel au prétexte qu'elle est discriminante.
Aujourd'hui, la laïcité française est attaquée de toutes parts, et plus seulement par les fanatiques religieux.
En France, le président de la région limousine a demandé que le conseil constitutionnel déclare la loi de 1905 sur la laïcité inconstitutionnel au prétexte qu'elle est discriminante.
La crainte des dieux est la fin de la sagesse.
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Re: Le coran etc....
Plusieurs des pays qui tu cites ne sont pas des pays arabes... donc ça va être dur d'y trouver des Arabes non-musulmans!embtw a écrit :Mais vu les chiffres annoncés, je crains que ce pourcentage néanmoins ( d'arabes non musulmans NDLR ) soit assez faible dans ces pays.

Je ne pense pas que ce soit une donnée pertinente pour confondre "Arabe" et "musulman". Le nombre d'Occidentaux non-chrétiens ne doit pas être très élevé non plus, mais je serais quand même offusqué qu'on me considère comme un chrétien simplement parce que je suis Occidental!embtw a écrit :Les chrétiens arabes, les juifs arabes, les athées arabes existent, c'est incontestable mais quelle en est leur proportion par rapport aux arabes musulmans ?
Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.
Re: Le coran etc....
L'Indonésie n'est pas un pays arabe et pourtant, l'Islam y est extrêmement présent.
Il y aurait près de 200 millions de Musulmans, faisant du pays celui ou il y a le plus de Musulmans croyants sur terre.
Il y aurait près de 200 millions de Musulmans, faisant du pays celui ou il y a le plus de Musulmans croyants sur terre.
Lighthouses are more helpful then churches.
Benjamin Franklin
Benjamin Franklin
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Re: Le coran etc....
Dénoncer les inepties, les contradictions et les non-sens des religions est une chose, exercice auquel je me livre sans réserve, mais confondre peu ou prou « origine ethnique » et religion pour stigmatiser les « Arabes » ressortit à un réflexe xénophobe condamnable ; celui-ci, comme je l'ai déjà fait remarquer, ne contente pas ici d'un seule cible, mais a tendance à déborder sur d'autres populations (« les Sémites », «[...] des « fouteurs de merde », juifs, musulmans ou autres » [...]).
Il est clair pour moi que la prose extraite du site coranix, quelles que soient les informations qu'elle contient, ne peut pas retenue comme une simple attaque, fût-elle violente, de l'islam mais bien comme un appel à la discrimination et à la haine, voire au meurtre.
Et s'il est nécessaire de lutter contre tous les prescriptions religieuses que certains voudraient imposer à notre société laïque, toute critique se doit d'être rigoureuse, exempte des scories racistes telles que celles disséminées dans le texte en question, clichés qui nient l'humanisme au nom duquel ce combat contre l'obscurantisme doit être mené.
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Il est clair pour moi que la prose extraite du site coranix, quelles que soient les informations qu'elle contient, ne peut pas retenue comme une simple attaque, fût-elle violente, de l'islam mais bien comme un appel à la discrimination et à la haine, voire au meurtre.
Et s'il est nécessaire de lutter contre tous les prescriptions religieuses que certains voudraient imposer à notre société laïque, toute critique se doit d'être rigoureuse, exempte des scories racistes telles que celles disséminées dans le texte en question, clichés qui nient l'humanisme au nom duquel ce combat contre l'obscurantisme doit être mené.
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Votre position a donc évolué.Ildefonse a écrit :Encore faudrait il qu'un islam modéré existe plus qu'à l'état de traces.
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: Le coran etc....
Non, les adeptes d'un islam des lumières sont en quantité homéopathique dans le monde d'aujourd'hui. Il y en a eu davantage à une époque, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui.
La crainte des dieux est la fin de la sagesse.
Re: Le coran etc....
Bonjour,
Je reconnais que mon texte de présentation était long. Il a été copier/coller en plusieurs reprises et formaté à fin.
Il y a quelques jours, en me baladant sur le net, j’ai découvert :
http://atheisme.free.fr/index.html
Fort recommandé à y jeté un œil.
Jacques
Je reconnais que mon texte de présentation était long. Il a été copier/coller en plusieurs reprises et formaté à fin.
Il y a quelques jours, en me baladant sur le net, j’ai découvert :
http://atheisme.free.fr/index.html
Fort recommandé à y jeté un œil.
Jacques
Citation de Mark Twain
Salut Jacques1,
Tu dis :
Merci de partager. Je viens d'y passer 10 minutes délicieuses et je pense que je pourrais y passer 10 heures sans me lasser. Peut-être même 10 jours.Il y a quelques jours, en me baladant sur le net, j’ai découvert :
http://atheisme.free.fr/index.html
Fort recommandé à y jeté un œil.
En particulier, j'ai bien aimé cette citation de Mark Twain :
Je suis passé près d'en faire ma nouvelle signature."Si on est capable de rire de soi, on est assuré de rire longtemps !"

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
Re: Le coran etc....
Salut Cartaphilus,
Etonnant d'ailleurs que sur leur site, on puisse lire ceci : Site internet certifié et censuré par le Conseil de Surveillance des Sites Islamophobes
(Une blague ?)
Ce site et la propagande qu'il véhicule ne feront que victimiser les islamistes*, ce qui les rendra plus forts. Erreur stratégique.
* : http://fr.wikipedia.org/wiki/Islamisme
ps : Tjs intéressant à lire : http://islamla.com/
++
Buck
+1Il est clair pour moi que la prose extraite du site coranix, quelles que soient les informations qu'elle contient, ne peut pas retenue comme une simple attaque, fût-elle violente, de l'islam mais bien comme un appel à la discrimination et à la haine, voire au meurtre.
Etonnant d'ailleurs que sur leur site, on puisse lire ceci : Site internet certifié et censuré par le Conseil de Surveillance des Sites Islamophobes

Ce site et la propagande qu'il véhicule ne feront que victimiser les islamistes*, ce qui les rendra plus forts. Erreur stratégique.
* : http://fr.wikipedia.org/wiki/Islamisme
ps : Tjs intéressant à lire : http://islamla.com/
++
Buck
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