Pour commencer, je crois que j'ai mal exprimé mes idées dans mon dernier message. En disant que j'étais un "demi-sceptique" comme tu l'as compris, je ne voulais pas dire que je n'étais pas sceptique mais plutôt qu'il m'arrivait parfois d'être naïf. Naturellement, ça ne t'arrive jamais à toi car tu est trop "hot". Par naïf, je veux dire qu'il m'arrive de me faire faire un poison d'avril par mes amis (Quand ce n'est pas moi qui leur fait), de croire un politicien à l'occasion ou de voir des lumières dans le ciel et penser que j'ai des visions jusqu'à temps que je m'apperçoive que ce sont des aurores boréales. (En passant, j'en ai vu de très belles l'été dernier en Gaspésie) Naturellement, toi ça ne t'arrive jamais, soit que tu es un super-sceptique ou soit que tu n'as pas d'amis!
En ce qui concerne le recrutement de personnes moins sceptiques, je partage ton point de vue à moitié. Oui, j'avoue que répéter 50 fois les mêmes choses c'est épuisant à la longue. Par contre, je pense que le rôle des sceptiques est d'enseigner la démarche scientifique aux gens plus naïfs ou plus ignorant. Ce n'est pas donné à tout le monde de faire des études universitaires comme plusieurs sceptiques. Je ne crois pas qu'ils soient tous idiots, je pense plutôt que ces personnes sont plus ouvertes que tu ne peux le croire.
Salut,
B.
|