Merci Stephane : pour les adresses fournies, ce sera long, avec mon traducteur . Mais je risque déjà quelques questions : -- pour ton premier paragraphe , l'essentiel n'est-il pas contenu déjà dans l'alternative continu/discontinu ? Les structures massives dont tu parles ne sont-elles pas en fait, pour la relativité, des propriétés de l'espace , appréhendé comme un continuum, et alors, que la masse infiniment grande soit dans l'espace infiniment petit ne reproduit-il pas tout simplement-- tant que l'on se passe d'image bien sûr-- le simple calcul de limite comme on l'apprend aux élèves de lycée en introduisant la dérivée, c'est-à-dire en fondant les calculs mathémathiques sur l'hypothèse du continu ? Les valeurs discrètes du discontinu quantique détruiraient tout naturellement cette représentation . Le sens de ma question est la suivante : l'incompatibilité ne peut-elle pas se présenter, ou au moins se suggérer, dans un premier temps , avec cette considération accessible à pratiquement tout le monde ? -- peut-on y relier ton troisième paragraphe : avec ce qui précède -- mais je ne sais pas si cette tentative de repartir du plus simple est légitime-- , la différence de mathématisation est évidente ; mais si on pense au vecteur d'état manipulé matriciellement par la physique quantique face au plus simple vecteur de la physique classique , ne peut-on revenir sur celui-ci en se disant que le grain de sable était là dès l'origine : aussi bien position que quantité de mouvement n'existent que par passage à l'instant : or t=0 n'existe pas ( ou bien disons que l'on passe très arbitrairement finalement d'une durée à une date ) , la position n'existe pas et le mot lui-même le dit : position = posé , et il y avait peut-être déjà un passe-passe hardi à étudier un mouvement avec du posé, par passage à la limite : on peut se rappeler qu'à l'origine de l'application de cette notion à la physique, Newton si ma mémoire est bonne parlait de fluxion , ce qui contenait peut-être mieux une certaine réserve indiquant un certain forcing des choses pour rendre le calcul possible . Ceci rédigé dans l'improvisation enthousisate de la découverte de ce site décidément super . P.S : où trouver un exposé accessible , ce qui pour moi suppose en plus : en français, sur l'histoire de la théorie des cordes ?