Bon, je suis un peu tanné de cette conversation, on continue de parler l'un à travers l'autre. Cela dit, non et non, un enfant ne fait pas l'expérience du "bois". Si on lui dit, "c'est du plastique", eh bien, il le croira aussi -- et il croira, s'il connaît les propriétés des deux matériaux, que la table fondra sous la chaleur au lieu de s'enflammer. Pour appeller quelque chose "bois" il faut une théorie du bois, sous forme d'une définition. Moi je te dis que cette définition peu contenir les atomes, et que les atomes représentent une explication parfaitement évidente des propriétés du bois, donc qu'ils font partie de l'expérience à travers leurs conséquences. Il suffit d'étendre la définition de "bois". Toi, tu argumentes qu'une définition simple peut faire l'affaire, et c'est évidemment vrai, mais cette simplicité est non-nécessaire. Tu dois donc postuler une limite arbitraire à ce qui est "utile" de savoir. Non seulement ça, mais de plus tu argumentes que si la définition "simple" ne cadre pas avec la "complexe" c'est très bien aussi. Je suis en désaccord sur les deux points.