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Re:Re:Pterodactyle: Pour MARTIN encore! (et toujours)


Re: Re:Pterodactyle: Pour MARTIN encore! (et toujours) -- Martin
Posted by GATTI , Jan 16,2001,07:51 Index  Forum

Re:Pterodactyle: Pour MARTIN encore! (et toujours)

Re: Pterodactyle: Pour MARTIN encore! (et toujours) -- GATTI
Posted by Martin , Jan 15,2001,20:59 Post Reply Forum

1- Je doute fortement que le propriétaire de ce journal ai eu les capacités nécessaires pour juger de la véracité de cette affaire

GATTI: Monsieur Roux propriétaire du journal n'a pas du tout vocation a juger de la véracité des faits dans cette affaire inhabituelle pour lui. La seule chose qu'il fait, il rapporte des faits sans y apporter le moindre commentaire. Ces faits lui sont parvenus de toute évidence du naturaliste versé en paléontologie mais pas un paléontologue patenté. Ce naturaliste réside sur le secteur de GRAY et a demandé l'anonymat. C'était un homme de bon sens étant donné qu'a l'époque on se serait fait lyncher pour moins que cela .Voyez les discussions ridicules a n'en plus finir sur ce forum au sujet de l'évolution.
Fournir une preuve aussi claire confirmant MAGISTRALEMENT la théorie de Darwin. C'était le bûcher assuré.

2- Le paléontologue s'étant intéressé à l'affaire est toujours introuvable et sans nom. De plus, même s'il existait un paléontologue dans la ville de Gray, cela ne donnerais pas plus de crédit à l'affaire, car il faudrait prouver qu'il a bien été impliqué.

GATTI: Ce n'est pas un paléontologue, mais un naturaliste ; mon objectif ici n'est pas de refaire l'historique de la ville de GRAY mais de retrouver des éléments de preuve sur ce fossile. Vous comprendrez dans ces conditions que je cherche dans la seule direction qui m'est donnée a GRAY: a savoir le nom du naturaliste (paléontologue amateur).Ne vous impatientez pas pour ce qui est de mettre un nom sur cet homme ! je serais étonné que dans la famille de cette "illustre" personne il n'y ai pas quelque descendants qui gardent trace de cette affaire dans une malle poussiéreuse au grenier . Apres tout, avec la généalogie on peut espérer retrouver des gens qui gardent des vieux papiers et de vielles photos (qui sait?) dans leurs greniers. D'autre part je vais aussi lancer des investigation en direction de la direction des chemins de fer. Il serait étonnant que les archives relatant l'épopée héroïque de la construction de la voie ferrée ne gardent pas de trace de cette affaire. J'ai déjà ciblé l'endroit exact de la découverte supposée: CULMONT qui est situé a 1kilometre de CHALINDREY (52). Pour ma part je trouve tout cela assez cohérent et je garde bon espoir de trouver bientôt les premiers indices indiscutables .


3- Généralement, les travaux scientifiques n'excitent pas les foules, c'est pourquoi il existe des revues spécialisées. Un paléontologue de l'époque aurait eu tout intérêt à publier ce genre de découverte, avec cadavre à l'appui, évidemment.

GATTI: Vous rêvez ! vous êtes totalement incapable de vous mettre dans le contexte de l'époque.Les ouvriers ayant trouvé cette bête monstrueuse se sont adressés a la première personne cultivée ayant un minimum de connaissance . Gray étant a 45 kms de Culmont le cadavre de l'oiseau/reptile à pu y être transporté sans encombre. Tout cela est cohérent! Rien ne dit que ce naturaliste avait compris l' importance de cette découverte et était en mesure de faire une publication. Les moyens de transport vers Paris n'étaient pas chose aisée (puisque le chemin de fer était seulement en construction) un voyage sur paris n'était pas évident ; mais attendons d'en savoir plus avant de tirer des plans sur la comete.


4- Si vous voulez établir un rapport entre ces 2 types d'animaux et cette "affaire", au moins citez leur capacité d'hibernation.

GATTI: Le rapport est évident ; ce sont des animaux a sang froid, même les serpents sont concernés. C'est encore un indice intéressant car un animal volant ne laisse pas penser a un reptile a première vue. N'importe qui autre que moi aurait laissé tomber cette affaire car cet événement qui semblait a première vue sans rapport avec les crapauds moulés m'est apparu comme primordiale pour la démonstration que je cherche a faire. En effet avec des gens suspicieux de l'espèce des chercheurs et des savants actuels, il serait inutile de dire que le crapaud résiste a des siècles d'hibernation personne ne prendrait l'information au sérieux car les crapauds existent de nos jours. Avec le lézard volant c'est une autre histoire; il vous sera plus difficile d'expliquer l'existence d'un ptérodactyle vivant en 1850 que celle d'un crapaud. Les capacités d'hibernation des crapauds sont connues et démontrées pour des périodes de quelques années , (ceci étant en rapport avec la résistance au gel dont on connaît le processus )Ce qui m'amène avec mon enquête c'est un processus d'une toute autre pointure: la perpétuation de la vie n'est pas affectée par le temps. l'animal ne consomme pas d'énergie du tout pendant cette hyper-hibernation supposée .Une fois enchâssé ,il se trouve en condition de supporter des contraintes de température inimaginables . C'est en cela que la médecine est concernée au plus haut point ici.


5- Le fait que l'"affaire" ai eue lieu loin de la ville de Gray n'augmente pas sa crédibilité. Au contraire, cette histoire a eue tout le temps d'être déformée avant d'arriver en ville.

GATTI: Ceci n'est qu'une question secondaire , j'ai déjà répondu a cette question qui demande a ce que vous mettiez dans le contexte socio-économique de l'époque.

6- Tiens, puisque vous m'accusez de j'men-foutisme sur cette affaire, j'ai décidé de vous rappeler votre réputation sur ce forum. En effet, d'après ce que j'ai pu lire dans les réponses à vos nombreux post, il semble que vous êtes du genre à vous intéresser à plusieurs dossiers à la fois, sans jamais en mener un à terme. Serais-ce vrai ?

GATTI: Ma réputation sur ce forum a été faite par des sceptiques, mis à part l'affaire de la machine magnétique a fabriquer de l'énergie ou je me suis fait mener en bateau par un dénommé DOS SANTOS , je n'ai rien a retiré de mes projet, au contraire je suis plus que jamais conforté dans mes convictions.
Surtout quand, apres des années de recherche je découvre que même des universitaires témoignent sur les poltergeist qui a eux seul confortent mon fabuleux dossier RIOM.

Voici un petit échantillon :
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William ROLL , Psychologue, professeur d'université est reconnu par les parapsychologues comme un des plus grands spécialistes mondiaux des phénomènes poltergeist. Il enseignait la parapsychologie dans le cadre du département psychologie au "West Georgia College" de Carrollton (Atlanta)

Extrait de l'ouvrage 130/…"Les chants de l'invisible" de Bernard MARTINO ED
DITION J'ai lu 1992
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(Page 193 et suite)
William Roll: C’est le cas poltergeist le plus récent que j’ai pu observer. J’ai amené TINA , la fille de 14 ans chez moi et le phénomène a continué.
Apres je l’ai amenée à Durham.
Il y avait là Edward Kelly et Steve Baumann…
L’intensité du phénomène avait diminué, on a essayé de le réactiver avec de l’hypnotisme et les objets ont bougé alors que nous étions trois à observer Ia fille et qu’elle ne pouvait pas interférer avec les objets cibles, certains étant dans une autre pièce. Je voulais filmer mais la femme
de l’un d’entre eux s’y opposait pour des raisons éthiques : parce que la fille était mineure, parce qu’on était des hommes, ce genre de bêtises ! J’ai dû laisser tomber...
Bernard Martino - Non mais là donc vous avez vu les objets bouger ?

William Roll - Pas tout à fait parce que je surveillais la fille, j’entendais le bruit, je me retournais et l’objet cible était déjà par terre... Parfois il m’a semblé le voir tomber mais je n’ai jamais vu le début du phénomène puisque je ne quittais pas la fille des yeux
Bernard Martino - Ah e comprends, d’où l’intérêt de pouvoir filmer. Combien de cas poltergeists avez-vous observés en tout ?
William Rol1- Disons que les cas dont je suis raisonnablement sûr qu’ils n’étaient pas provoqués, ça doit être entre sept et dix.
Bernard Martino - Mais les objets bouger, deux fois seulement en trente ans !
William Roll - Oui, mais c’est intéressant parce que quand vous voyez les objets bouger vous n’avez plus aucun doute ! C’est très rare, mais c’est pas vraiment difficile à observer ; il faut se trouver là, devenir un membre de la famille, ne plus être un simple observateur et là ça se produit, sous votre nez ! Les gens chez qui ça arrive sont paniqués, ils ne comprennent pas ce qui se passe. Si vous leur expliquez que ce n’est ni bon ni mauvais, que ça peut arriver parfois, ils se calment, ça les aide...


Bernard Martino - Pourriez-vous me raconter ça deux fois ?

William Roll - Eh bien... les deux phénomènes ont eu lieu dans une petite maison, dans un endroit appelé Olive Hill, dans le Kentucky. Tôt dans la soirée, un certain nombre d’objets étaient tombés d’une commode de la chambre à coucher. Je l’avais examinée et remis les objets à leur place, pour voir s’il y avait des forces qui s’exerçaient ou autres, mais tout semblait normal. Et puis, plus tard ce soir-là, je me trouvais dans l’embrasure de la porte de la chambre, face à la commode, sur laquelle il y avait un flacon d’eau de Cologne. I1 y avait deux autres personnes à proximité :1 agent - le jeune homme qui était au centre de ces phénomènes -, un garçon d’environ douze ans, se
tenait dans une autre pièce sur ma droite, tandis que sa sœur et moi nous trouvions dans la chambre où il y avait la commode. Sa sœur se tenait debout juste derrière moi. II n’y avait personne d’autre que nous dans cette chambre à coucher. Alors que je regardais le
flacon d’eau de Cologne, il a bougé, a décrit une trajectoire d’environ un mètre vingt et est tombé sur le sol. J’étais alors la personne la plus proche de ce flacon. Je l’avais examiné antérieurement, je l’ai réexaminé ensuite ainsi que la commode, et je n’ai trouvé aucune explication ordinaire à ce qui avait pu se produire. J’ai donc pensé qu’il s’agissait probablement un cas de psychokinèse spontanée.

Bernard Martino - Vous en avez observé un autre m’avez vous dit ?

William Roll - Un peu plus tard, ce même soir, je marchais derrière ce garçon, et je ne le quittais pas des yeux, pour être sûr qu’il ne pouvait toucher aucun objet. A un moment, il se trouvait dans la cuisine, entre l’évier et la table - où nous nous étions assis un moment auparavant pour prendre le café... C’était une table de cuisine américaine classique, avec une surface en formica et contre-plaqué et des pieds métalliques, autour de laquelle étaient disposées quatre chaises. Le garçon s’est retourné et m’a fait face. Il pouvait être à deux mètres cinquante ou à trois mètres de moi. A ce moment précis, la table s’est soulevée de plusieurs dizaines de centimètres en l’air, puis a tourné de quarante-cinq degrés et s’est écrasée sur le dossier des chaises qui étaient autour. Donc elle s’était beaucoup soulevée, puisqu’elle est retombée au-dessus des chaises. Les tasses, le pot de café, tout ce qui se trouvait sur la table a été renversé à terre
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ceci conforte assez bien la véracité des faits relatés par Camille Flammarion sur l'affaire de MADRAS (voir mon petit grenier : http://multimania.com/casar