Noé et ses filles, d'après la Bible, auraient abusé un peu de la vigne et se seraient permis certaines activités que la Direction de la Protection de la Jeunesse, aujourd'hui, aurait certainement dénoncé avec vigueur et condamné au criminel. Et la même situation de «perpétuation» de l'espèce se pose : si la descendance de Noé vient de lui, de ses fils et de ses filles, il aurait dû y avoir un méchant problème génétique de patrimoine. Et pourtant, toujours d'après la Bible, Noé a vécu un peu beaucoup longtemps et a eu une nombreuse descendance, tous des fils et des filles forts, fringants, pettant de santé et combatifs, desquels ont surgi les premières tribus d'humains, si ma mémoire biblique est bonne. La «génétique» d'alors était-t-elle différente de celle d'aujourd'hui, concernant la procréation entre membres de la même famille. Faudrait trouver un morceau d'ADN des os de Noé : après tout, s'il a vécu plusieurs siècles, y doit bien y avoir un ti-boutt d'os quelque part sur le mont Ararat ? Si, d'après des chercheurs biblistes, on a trouvé des morceaux de BOIS de l'arche dans la région, un os des membres de sa famille devrait résister plus longtemps que du bois pourri, et être plus facile à identifier et à analyser, non...?
Les experts de ce forum, répondez à mes interrogations... naïves, SVP ?
Claudius
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