Et pour Bleu j'ajouterais, toujours dans le même optique, que le «bien» c'est ma survie individuelle (dans les conditions les plus agréables possible), et le «mal» ma propre mort (dans les conditions les plus atroces). Si j'étais sur une île déserte ça se résumerait sans doute à ça, mais en société je dois bien sûr faire un tas de compromis pour en arriver à accomplir le «bien». Entre autres respecter le code de la route.