Non, je n'ai pas lu Mamdani, mais à force de cotoyer diplomates, affairistes et réfugiés africains, en plus d'être en partie originaire du Cameroun, permet de se faire une assez bonne idée du problème. Si "les africains" ne forment pas plus un groupe homogène que "les européens" ou "les américains", la problématique que vivent quasiment tous les pays d'Afrique est extrêmement similaire d'un pays à l'autre. Cela contribue en bonne partie à cet amalgame langagier.