"Totalement"? C'est que vous avez encore interpréter de travers ce que j'ai dit, comme d'habitude.
Vous possédez un cerveau d'humain, je suppose? Vous ne croyez pas que la forme de celui-ci est en partie dictée par des interactions génétiques? Si non, c'est bien parce que vous ne voulez rien comprendre à mon message (et aux découvertes scientifiques) mais l'interprêter en faveur de vos concusions. Les gènes interviennent effectivement dans la construction du cerveau, ce qui veut dire dans l'établissement des connexions entre les différentes parties de celui-ci. On peut dire, alors, sans risque de se tromper, que les gènes influencent UNE PARTIE de la construction et du fonctionnement du cerveau: en un sens, ils délimitent ses capacités. Comme, à ce que nous sachions de manière certaine (e.g., scientifiquement, pas par des élucubrations spirituo-vaseuses) le cerveau est absolument nécessaire pour que naissent les émotions.
De plus, et contrairement à ce que vous affirmez, si ce n'était "qu'une question de synapse", l'individu serait en possession d'une grande partie de ses émotions dès la naissance. Ce qui veux dire - et c'est facile à observer - qu'une partie des émotions sont acquises lors de la vie, lors de la croissance et de l'interaction avec l'environnement.
Gene: "Ors chaque être humain a ses émotions prores indépendantes de son entourage avant, pendant et après sa naissance"
Cela s'explique par les interactions complexes entre nature (génétique, qui fait que tous les humains ont des sentiments limités par la similarité de leur propre cerveau et permet les "universels") et environnement (affine les particularités).
Pas besoin d'esprits ou de dons pré-existants la-dedans. Toujours le chapeau invisible que vous mettez sur les choses: qu'il soit là ou non, ça ne change rien du tout.
Maintenant, j'en ai marre que vous référiez sans cesse à ce que j'ai tenté de vous expliquer. Vous n'y comprenez rien, alors ne me citez pas! Ou, si vous voulez être honnête, vous rappellez à chaque fois que je juge votre système simpliste et stérile.
Jean-François
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