Présomption irréfragable chez les soi-disant sceptiques: c'est toujours la faute de "l'autre".
"Difficile d'être constructif face à quelqu'un qui généralise, puis revient au cas particulier, puis re-généralise, et qui fait de la réthorique pour dénigrer et non pour dialoguer."
Je l'ai déjà précisé, je me modèle sur votre genre.
"On ne sait ni trop pourquoi, ni trop où il veut en venir."
Lieu commun: ça finit toujours par sortir à quelque part dans les enfilades, et toujours à propos d'un "anti"-sceptique.
Nil novi sub sole, finalement.
|