Tout dépend de l'âge des protagonistes (avant 25 ans = faire appel aux spécialistes des troubles du développement), mais on peut espérer que la rencontre d'un prince charmant (grâce bien sûr aux amulettes), l'usage réitéré des pampers qui finit généralement par en résulter (dont la consistance et le parfum sont parfaitement immuns aux charmes magiques), ainsi que la résistance opiniâtre du prince-moins-charmant-qu'au-début à toute activité ménagère (dont aucun envoûtement n'est jamais venu à bout sur les 5 continents) finissent par venir à bout des illusions les plus tenaces.
Si le trouble résiste après l'âge de 26-27 ans, ça devient plus sérieux et relève soit du psy, soit de l'équivalent contemporain de Ménie Grégoire (on peut aussi essayer une cure intensive de Barbara Cartland comme dérivatif).