Ce qui m'inquiète le plus, c'est qu'aucun responsable politique américain, depuis bientôt une semaine, n'a remis en question la politique étrangère américaine qui, depuis des années, pousse une partie du monde au terrorisme.
Ce n'est peut-être pas le bon moment de le faire pour des raisons stratégiques, mais, au moins, ils pourraient se dispenser de se présenter comme les protecteurs sans peur et sans reproche de la démocratie mondiale.