C'est bien ce que je disais: vous, ayant eu le privilège de sortir de votre "goulag" (par votre seul mérite, sans aucune aide ni appui, sans aucune circonstance favorisante, etc., etc., et en toute modestie, celle que vous avez acquise à force de volonté, pas la naturelle et sans mérite qu'a la majorité des gens à la naissance), pouvez vous permettre de mépriser vos compatriotes qui n'en ont pas fait autant (par mauvaise volonté, fainéantise, manque de motivation, que sais-je).
Quant à votre dernier paragraphe, c'est un vrai poème, qu'on peut résumer par "c'est comme ça, et du moment que moi, je n'en pâtis pas, pourquoi me poserais-je des questions ou me soucierais-je des conséquences"?
Quelle grandeur d'âme ! Quelle réflexion ! Quelle profondeur d'analyse historico-économique !
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