Salut aussi à Bruno qui, j'espère, comprendra mon malaise.
Le texte contient beaucoup de passages en mode "ironico-négatif" (je ne connais pas le terme technique). On dit le contraire de ce qu'on pense d'une façon telle que l'auditeur doit comprendre le contraire de ce qui est dit. Je me suis peut-être enfargé dans ça.
Aussi, je pense que plusieurs paragraphes "non marqués BRUNO" auraient dû l'être afin d'enlever au lecteur le souci de deviner "qui parle".
Par exemple"
"On trouve le «Zyban», marque de commerce d’une pilule qui est en fait un dépresseur. Sa fonction déclarée est de décrocher le fumeur de sa dépendance à la nicotine. Zyban ne donne son taux de réussite que pour la première année et déclare un taux de réussite, avec suivi médical, de 30,3%."
Ce sont là avancées de faits sobrement énoncée. Ce n’est certainement pas l’adversaire de Bruno qui parle. Pourtant il n’y avait pas de "BRUNO" en tête du paragraphe.
Le lecteur a la tâche difficile. Il lui faut, à chaque paragraphe non marqué, deviner QUI dit ce qui est dit. Et l’usage du mode "ironico-négatif" ne lui facilite pas la tâche.
C’est ce désarroi du lecteur que j’ai voulu exprimer, rien de plus.
J’espère n’avoir froissé personne.
Cordialités,
Denis
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