Votre classement des communications psychiques (en six types) me parait soulever quelques problèmes. Le type 2, par exemple:
GATTI:
II) Communications entre êtres vivants conscients et les entités des personnes décédées ayant vécu sur une même planète. Les communications de type II sont celles qui semblent représenter la plupart des communications spirites.
DENIS:
Pour qu’on puisse communiquer avec les entités (ou âmes, ou esprits) des personnes décédées, il faudrait, me semble-t-il, que ces personnes décédées aient amené "de l’autre côté", minimalement, leurs pensées, leurs souvenirs et leurs noms.
Je pense que vous sous-estimez l'importance du cerveau dans la "construction" du psychisme.
Pensez aux milliers de cas de traumatisés cérébraux qui ont perdu une plus ou moins grande partie de leurs capacités mentales. Pensez aux effets de l'alcool et des drogues. Pensez à la maladie d'Alzheimer.
Si une détérioration du cerveau provoque une détérioration de la pensée, quelles sont, selon vous, les conséquences d’une destruction du cerveau?
Je suis presque certain que vous croyez à la survie de l'âme. Pensez vous qu'on se continue en conservant sa pensée, ses souvenirs, son nom?
Si vous croyez qu'on conserve sa pensée, ses souvenirs et son nom, que se passe-t-il pour les malheureux qui, par accident ou maladie, ont précisément perdu (DE LEUR VIVANT) leur pensée, leurs souvenirs et leur nom? Eux, comment se continuent-ils de l'autre côté? Sont-ils "réparés" à l’instant de la mort?
Et les gens qui sont morts bébé, foetus ou embryon? Et les chats? Et les poissons? Chacun se continue de l’autre côté en y amenant sa pensée, ses souvenirs et son nom? Y compris les personnes qui les avaient perdus de leur vivant?
J’ai un peu de mal avec ça.
Ai-je tort d’y voir une difficulté?
Cordialement,
Denis
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