À propos, j'ai relu le résumé de Rogé (1999) sur les hypothèses étiologiques. Ils n'ont pas l'air plus avancé que dans le cas de la schizophrénie. On est sûr d'une base génétique. Plusieurs gènes sont en jeu. Les anomalies anatomiques et physiologiques sont fréquentes, mais pas les même d'un autistes à l'autre (sauf pour la masse cérébrale excédentaire et pour la petitesse du tronc cérébrale). On n'a pas trouvé le filon d'or de Salomon…