Comme vous, «Je ne suis ni économiste, ni historien, ni sociologue, ni politicologue», mais j'estime que vous faites une bonne analyse de la situation.
Je souscrit plus particulièrement à ce passage :
ANDRÉ :
«Denis, tu parles de la responsabilité des pays pauvres dans leur malheur, comme la surpopulation, le manque de démocratie, l'analphabétisme, etc...Crois-tu vraiment que nos multinationales apporteraient une solution à ces problèmes? N'en seraient-elles pas une des causes?»
Une des causes, en effet. Parmi d'autres, c'est probable. Mais en voilà une que Sam aime bien occulter.
Évariste