Je suis dessolé pour la mauvaise présentation de mes textes scannés mais je n'ai pas le choix car mes activités professionnelles actuelles ne me permettent pas d'emporter mon PC.Je travaille donc avec un stylo Parker. Comme tu le disais rien ni personne ne pourra m'empêcher de faire des recherches que je considère comme utiles
La preuve de la delocalisation de la conscience, (accidentelle ou pas) faite par des médecins qui assistent au coma serait selon moi recevable par la recherche officielle. Ceci impliquerait automatiquement la credibilisation forte de pas mal d'autres dossiers sensibles comme la réincarnation. Paradoxalement le discours du comateux ayant vecu une NDE ressemble étrangement au discours des gens qui parlent de réincarnation. La similitude est plus que troublante. L'aunification des dossiers est possible sur la base des travaux des du style de ceux du Professeur PARNIA dont parle "Science et Avenir" de fevrier2002.
Je continuerai donc mon etude manuscrite de se dossier .Quand le texte en sera dactylographié je le posterai ici.
Je connais assez bien le Professeur Jourdan qui est cité dans l'article mais je n'irai pas jusqu'à le suivre dans ses spéculations de physique theorique .Je suis persuadé de l'interet pour la physique (quantique surtout) mais il n'est pas bon que des chercheurs non spécialises en physique donne une explication idyllique de l'affaire.
Il faut y aller a petits pas et laisser les spécialistes de chaque secteur de recherche travailler sereinement
EXEMPLE FRAPPANT
Dans le cas des réincarnations l'existence d'une conscience active autonome et invisible doit être prise en compte par les physiciens.
Exemple tiré d’une enquête faite par le professeur d’université Yan Stephenson (hors de tout soupçons de charlatanisme) :
« Une personne décédée (de mort violente) depuis deux ans sensée être la réincarnation d'un enfant qui déclare être restée (après sa mort) deux ans dans un arbre dans la cour de la propriété familiale. Elle observait la vie de ses proches depuis son perchoir et donne tous les détails de la vie de sa famille qu’elle a observée durant les deux ans qui suivirent sa mort. L'a enfant né dans un village éloigné raconte en détail les événements observés selon lui depuis l'arbre en question .
Le nouveau né dès qu'il su parler déclara spontanément s'appeler du nom de la personne décédée (dont il ne connaissait pas du tout l'identité) ; et raconta la plupart des événements vécus par sa première famille qu'il avait contemplé depuis l'arbre situé dans la cour de l'habitation qu'il dit ne pas avoir quitté pendant les deux années qui ont suivi sa mort. Ces faits ont été en grande partie vérifiés par Stephenson.
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