Je n'étais pas trop loin de mon côté. Le modèles des équilibres ponctués a été proposé pour répondre aux observations du registre fossile mentionnées par Raup. Ces observations ne semblent pas en accord à première vue avec un gradualisme évolutif.
Finalement, c'était bien une citation-clé.
Ton commentaire sur le "parcequoi" est selon moi le plus pertinent de toute ta réponse. C'est presque aussi bon que le mien sur les fonds attribués à prouver l'évolution ;-)
Pour Julien maintenant :
Pourriez-vous répondre aux questions que vous avez posées à Denis? Je ne vois pas par exemple en quoi le fait que nous rêvions est une évidence de l'existence d'un créateur.
Pour ce qui de la sexualité, comment l'homme était-il supposé se reproduire avant que Dieu se rende compte "qu'il n'était pas bon que l'homme soit seul" (J'ai mis des guillemets mais c'est de la paraphrase) et qu'il crée la femme.
Je peux me tromper. Dîtes-le moi si c'est le cas.
Il existe une forme de sexualité chez les bactéries et une sexualité claire chez les organismes unicellulaires. La sexualité étant définie comme un moyen de brasser le matériel génétique pour former de nouvelles combinaisons. Toutefois, la sexualité est un processus et ça ne laisse pas de traces comme un organisme. Ceci dit, la question est intéressante mais je n'en ai pas de grande connaissance. Le paléontologue et biologiste André Langaney a écrit un petit livre sur l'histoire naturelle de la sexualité : Le sexe et l'innovation.
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