Je travaille en Suisse dans un domaine médical où se présentent beaucoup de personnes venues du sud de l'Italie pour travailler dans des conditions "proches de l'esclavage". Il nous arrive couramment de détenir de la sorte des données confidentielles sur des proches de ces patients, et vous seriez étonné de la facilité avec laquelle on retrouve des personnes qui ont, comme vous, roulé leur bosse dans le monde entier. Je pourrais, sur des bases extrêmement ténues, "jouer à la voyante" avec un grand nombre de personnes. La déontologie l'interdit, heureusement d'ailleurs.