-«Il faut comprendre que le gros des progrès enregistrés dans la qualité de la vie des prolétaires et des paysans est le fruit de la lutte des classes. C'est de haute lutte que la classe ouvrière a arraché les principaux piliers de ce que l'on appel pudiquement le "filet social". On pense bien sûr à l'assurance chômage et à l'aide social, mais il faut aussi y inscrire l'assurance maladie et les principaux services sociaux. »
Vrai: c'est grâce à la lutte des ouvriers que nous avons de bonnes conditions de vie aujourd'hui...
-«Pour faire simple, je préfère voir mon travail comme un acquis des luttes prolétariennes qu'une version miel vinaigre d'un appareil répressif ou d'un appareil idéologique.
Ça reste à démontrer... Certes, les psys soulagent les maux individuels; mais si ces maux sont causés par la mauvaise organisation du travail, ne devrions-nous pas plutôt changer modifier l'organisation du travail afin que les hommes soient plus heureux?
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