Il faut comprendre que le gros des progrès enregistrés dans la qualité de la vie des prolétaires et des paysans est le fruit de la lutte des classes. C'est de haute lutte que la classe ouvrière a arraché les principaux piliers de ce que l'on appel pudiquement le "filet social". On pense bien sûr à l'assurance chômage et à l'aide social, mais il faut aussi y inscrire l'assurance maladie et les principaux services sociaux.
Pour faire simple, je préfère voir mon travail comme un acquis des luttes prolétariennes qu'une version miel vinaigre d'un appareil répressif ou d'un appareil idéologique.
Dans un société déchirée par la lutte des classes, il n'y a pas nécéssairement d'unité dans l'enchevaitrement de la superstructure idéologique et politique. Cela dit sans vouloir vous vexer…
:)
|