C'est mon gros problème, le "contenu transcendant". C'est une notion tellement floue (voir le message de "quelqu'un") que l'on peut facilement en faire une Vérité absolue que l'on va chercher à imposer aux autres. Comme la "preuve" de cette Vérité n'est pas accessible au sens, il n'existe que la foi pour y croire. Seulement, comment départager les différentes Vérités lorsqu'elles nous sont présentées? En quoi la foi en les fantômes est-elle vraiment différente, ou moins vraie, que celle en les anges?

GA: "Lorsque l'on épure la religion catholique de ses bondieuseries, il reste Thomas d'Acquin."

Lorsqu'on épure la religion de ses bondieuseries, il ne reste que des hommes et une certaine éthique. Cette éthique peut très bien se passer de Dieu et de ceux qui profitent de cette Vérité pour maintenir les avantages que leur procure cette vision dogmatique. Il faut remettre tous crédits et responsabilités de ses agissements à l'Homme.

GA: "Et, même dans une expérience religieuse plus simple comme celle du " quelqu'un " qui nous écrivait plus haut, il y a peut-être quelque chose de plus que de la bondieuserie."

Dans les arts martiaux aussi, il y a cette recherche de la "remontée de l'être intérieur"... pour pouvoir vaincre plus efficacement. Il y a trop de flou dans la foi pour permettre la réconciliation de foi divergentes.

Jean-François

P.S.: il est dommage que René Decroix ne fasse plus d'apparition. J'aimerai bien avoir son avis sur le mythe de Jésus.

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