Comment détermine-t-on cette capacité lorsque cela touche une décision qui peut conduire à la mort? Chez un patient suffisamment jeune pour ne pas savoir ce que cela veut vraiment dire, il est difficile de déterminer ce qui est la part du rêve (paradisiaque) de la connaissance de la réalité. Me semble.
Florence: "la liberté de choix du médecin"
D'une part, un médecin n'a pas l'humanité à garder. D'autre part, si on enlève toute responsabilité au médecin dans le processus décisionnal, c'est un vote de non-confiance. Et, un médecin doit croire en sa capacité de sauver (surtout que dans le cas présent, il peut le faire). C'est vrai que le dilemme est difficile à résoudre.
Jean-François