Oui, et comme pour toute allégorie, on peut lui faire dire ce qu'on veut. Ce passage a peut-être été interprété comme étant une allégorie de plein d'autres choses qui n'ont absolument rien à voir avec l'interprétation de l'auteur du texte que vous nous avez proposé. Chacun est libre de l'interpréter comme il veut, de voir dans le fleuve ou le dragon l'objet, le phénomène culturel ou historique qu'il veut bien y voir. Bref, encore une fois, en matière d'allégorie, on peut dire n'importe quoi et son contraire. Toute la littérature nouvellâgeuse est basée sur des interprétations d'allégories tirées de toutes sortes de textes et sur des analogies boiteuses. Jamais de faits vérifiables, jamais de raisonnement logique.
Et je ne vois toujours pas le rapport entre l'action de la Terre qui engloutit un fleuve et Internet qui s'étend sur toute la planète. Ça me paraît même plutôt contradictoire (engloutir n'a pas du tout la même signification qu'étaler, étendre).
Au moins vous admettez que ce pseudo raisonnement par analogie qui domine tout ce texte permet de dire n'importe quoi. C'est pour moi la définition même de la foutaise pour en revenir au premier message que j'avais posté en réponse aux vôtres.
Pour les habits de Li Ssu, je sais bien que ce détail n'était qu'accessoire. Mais cette confusion de l'auteur entre Orient et Moyen-Orient m'en dit long sur celui-ci...
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