Ces questions sont rhétoriques. Évidemment qu'il y a toujours moyen de formuler une question pour laquelle il n'y a pas de réponse. C'est un effet de language. Par exemple, «de la force infinie ou de l'objet infiniment massif, qui gagne?» On peut formuler différemment pour un système explicatif autre: «votre dieu tout-puissant pourrait-il créer un objet si lourd que lui-même ne pourrait plus déplacer?» (question qui m'a fait sacrer dehors de mon cours de religion au secondaire ;-) ).
Je ne pense pas qu'il soit bien productif de tirer des conclusions sur la science à partir d'effets rhétoriques. Au contraire, il faut utiliser la science pour faire le ménage dans la rhétorique et la «philo 101» des «questions sans réponses».