En général, lorsque l'on fait une mesure expérimental d'un phénomène quelquonque implicant un phénomène d'interférence ou de diffraction (pour mettre en valeur le comportement ondulatoire) l'instant immédiatement avant la mesure, l'objet mesurer est une onde et existe dans tout son dommaine d'application (par exemple, son front d'onde dans la cas d'une onde plane) et au moment précis de la mesure, l'appareil "projette" l'onde dans un état au sa nature de particule est révélé.
Par exemple: soit deux fentes minces de largeur près de la longueur d'onde (environ 400-700 nm dans le visible) sur laquelle on projette un ou plusieurs photons. Si le débit d'émission de photon est assez bas, et il est possible expérimentalement de le faire, de sorte qu'il ne passe, disons, un photon par minute. De plus on instale une pellicule photosensible (un film de caméra par exemple) à chaque minute, il apparêtra un point ou un photon a atteint le film. L'instant avant l'apparition du point, le photon avait une probabilité de se trouver sur les positions correspondant à un sinus hyperbolique (sin x /x) en intensité selon l'axe perpendiculaire à la fente. c'est-à-dire que la probabilité est la plus forte au centre et diminue en s'éloignant et il y a des points selon cette distribution où JAMAIS il n'y aura de photon car la probabilité d'occupation y est nulle. On ne peut pas dire que le photon est seulement une particule car il a interféré avec lui même en passant, en tant qu'onde, à travers les DEUX fentes en même temps. Mais on ne peut pas dire qu'il est seulement une onde car il n'est apparu qu'un seul point sur la pelicule. C'est une des expérience qui démontre que la lumière est A LA FOIS une onde ET une particule.
On peut faire la même chose avec des atomes, des électrons, etc.
Avec de léger calcul, pour faire la même chose avec, disons, moi, il me faudrait plus de temps que le nombre d'Avogadro en seconde (10 exposant 23) pour être diffracté à travers une porte.
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