Julien oublie l'alternative suivante: Dieu en a marre des bigots et les précipite aux Enfers (ce ne serait pas la première fois qu'il change d'avis; d'ailleurs, les premiers seront les derniers, n'est-ce pas? On interprète comme on veut), pour converser calmement avec les "naturalistes" qu'il a enfin convaincu de Son existence en leur apparaissant.
C'est quand j'imagine une telle scène que je trouve dommage que Dieu n'existe pas.
Jean-François